votre avatar Abonné

maps

est avec nous depuis le 12 avril 2013 ❤️

59 commentaires

Le 08/04/2022 à 16h 44

Ce serait mieux qu’un système façon copie privée.


Le 05/08/2021 à 16h 27

Plutôt intéressant pour des prestataires, qui auront accès uniquement au PC dans le Cloud. Pas besoin de leur prêter un PC. Leur entreprise leur en fournit un, ils accèdent à celui nécessaire pour le SI client dans le cloud.


Le 06/05/2021 à 17h 08

Bonne idée, l’ouverture du capital.
Attention cependant :




  • Si Tof revend une partie de ses parts, l’argent lui revient, et cela n’apporte rien à la société, sauf s’il réinvestit, ce qui me semble compliqué pour peu de choses. (Rappelez-vous certaines controverses lors de l’ouverture du capital de la FDJ, qui n’a pas vraiment permis de dégager beaucoup d’argent pour peu de choses.

  • Si vous réalisez une augmentation de capital, tout le monde va être dilué, sauf s’ils participent.

  • normalement, effectivement, les start-ups qui lèvent des millions n’ont pas de fonds propres négatifs (vu qu’ils ont la trésorerie des précédentes levées de fonds). Les valorisations se font sur la valeur comptable d’une société, mais pas seulement (sinon, Amazon n’aurait jamais pu continuer, vu les dettes accumulées pendant les années du début).



Stratégie inspirée de quelque chose déjà vu dans un autre contexte :




  1. revente d’actions de Tof à d’autres actionnaires déjà présents, si on veut éviter certaines dilutions, ou des nouveaux que l’on veut faire rentrer en “historique” ==> baisse du pourcentage détenu avant augmentation de capital et donc dilution.

  2. émission de nouvelles actions au même prix, assorties d’une prime d’émission (voir s’il est possible d’en émettre certaines assorties d’une prime d’émission pour les nouveaux, et certaines non assorties pour les actionnaires déjà présents, ce qui peut diminuer / éviter la dilution).

  3. incorporation de la prime d’émission au capital.

  4. La société peut utiliser le capital ainsi entré pour investir.


Le 16/04/2021 à 14h 55

Personne n’a relevé les différences de profil entre les deux hommes, qui en disent (à mon avis) long sur l’évolution (future) de la société.
l’ancien DG, cador technique, est remplacé par un financier, spécialiste de la croissance externe.
C’est, pour moi, une évolution significative. Il est en plus remplacé par deux personnes, une pour le poste de DG, une pour la gestion des réseaux.
L’avenir nous dira s’il était seul en cause dans la vision réseau que certains qualifient “d’étriquée” et que beaucoup veulent voir changer.


Le 10/05/2017 à 19h 40

Il existe des extensions pour utiliser EWS avec Tbird pour exchange. Avec EWS, on peut se connecter à Office365, notamment. Sinon, j’utilisais auparavant Davmail, gratuit et en Java.

 

&nbsp;J’aime bien le logiciel sinon, je m’y suis habitué, même si je regrette encore Eudora <img data-src=" />. Le principal reproche que je lui ferais, concerne la gestion des PJ, qu’on ne peut mettre dans le corps du message, et qui n’apparaissent pas non plus dans le corps du message.


Le 02/09/2016 à 12h 49

@Ahuri, je ne mettrai pas cela en fonction des DRM ou non-DRM, je verrai cela plus au niveau des CGU / CGV, la TVA est réduite ou non en fonction de ce que tu as le droit de faire avec ton livre, si tu en es propriétaire ou non.

&nbsp;Amazon, avec ses abonnements est plus un service.

Le DRM en soi n’est pas un mal, c’est une gestion de droits. Si nous n’avons plus de droits, on est très embêté.

S’il faut faire en sorte que tu ne puisses plus lire un e-book que tu as revendu, prêté ou donné, ça ne me gênerait pas, à condition qu’il y ait cette notion de propriété et que tu aies donc le droit de prêter, donner ou revendre un e-book.


Le 02/09/2016 à 08h 25

Une chose à voir aussi. Un livre est un objet physique. Il est à toi. Tu peux le prêter, le donner, le revendre. Pour un livre électronique, il est possible que ce soit un “service de lecture” ou équivalent. Les livres ne t’appartiennent pas vraiment. En cas de décès, impossible de léguer une bibliothèque.

Une des explications est que, si en cas de prêt de revente ou de don d’un livre physique, le propriétaire d’origine ne peut plus l’utiliser. Par contre, pour un livre numérique, c’est différent, il est possible d’en transmettre une copie sans perte de l’original. En ce sens, je comprends un taux de TVA différencié.

Par contre, les coûts de stockage et distribution sont bien moindres pour du livre numérique que pour du livre physique, les prix devraient être différents.

J’ai du mal à comprendre aussi les différences de prix sur un même livre numérique entre deux “éditions”. Autant sur du papier, la différence de taille de qualité de papier, de soin mis à la reliure sont perceptibles, autant sur de l’électronique, j’ai du mal à voir cette différence.

&nbsp;


Le 08/10/2015 à 18h 23

Hello, petite faute de frappe (syntaxe HTML) juste avant la copie d’écran sur refonte de la gestion des polices.



&nbsp;“une refonte<a href="http://www.nextinpact.com/news/” target=”_blank”&gt; de la gestion des polices,&nbsp;des taillessur les différents écrans&nbsp;et des tags&nbsp;a aussi été opérée.”

&nbsp;

Suis pas sûr que target=”_blank”&gt; soit prévu pour apparaître dans le titre de l’article.


Le 24/01/2014 à 14h 03

Il me semble avoir lu que C+ (filiale de Vivendi comme encore SFR), avait lancé des chaînes sur Youtube et commençait à en faire une source de revenu alternative.



Par ailleurs, en proposant aussi une box médias sous Androïd, on arrive à une convergence d’intérêts et d’offres, pour la consommation de vidéo sur Internet multi-origines. Cela va faire peut-être plus tard des offres spéciales canal + ou sat SFR via mobile et box SFR.



Est-ce un essai de calquer le modèle Internet sur le modèle de la télé par câble / satellite ?

Revient-on aux temps “bénis” de Prodigy, AOL, Infonie ? (Vous avez accès à notre contenu illimité, mais limité sur Internet).