votre avatar

Le_Cha_po

est avec nous depuis le 6 juin 2013 ❤️

18 commentaires

Le 14/09/2015 à 21h 48

Je viens de demander pour les “Il était une fois la vie”,  je suis un grand fan et c’est un instantané des connaissances médicale de l’époque (ils étaient bien documenté).

Le 22/05/2014 à 14h 48







zefling a écrit :



Faux, le calcul les plus compliqué que j’ai souvent à faire c’est la multiplication ou la division, niveau primaire. <img data-src=" /> Il y a vraiment que quand je me lance dans un truc graphique que certains théorèmes de math sont bien pratiques (et que je suis bien content de connaître). Le plus compliqué ça reste la logique. Si ça ou ça, si ça et ça ou ça. C’est presque toujours du vrai/faux. On peut faire des choses très compliqué rien avec de la logique… Il n’y a qu’à voir les CPU. ;)







Je dis juste que les deux domaines sont tellement reliés qu’il est assez étrange de faire la distinction. C’est une question de gout, y a pas de différence profonde entre un programmeur et un matheux …


Le 21/05/2014 à 13h 25







Baldr a écrit :



Pourtant encore actuellement la meilleure façon d’expliquer la multiplication à un gosse c’est de lui faire faire une boucle contenant une addition. Du coup la boucle est déjà un concept acquis depuis longtemps au moment où l’élève arrive aux fractions ^^”







malheureusement ce sont des concepts oublié à leur arrivé dans le supérieur parce qu’expliqué une boucle à des débutants, c’est pas la panacée !


Le 21/05/2014 à 13h 21







Lafisk a écrit :



Ben je suis une bille aussi et justement, l’informatique est large, perso mon raisonnement d’IT. je l’ai acquis bien plus grace aux legos qu’aux maths. J’etais bon en math jusqu’a ce que j’ai un tres mauvais prof au lycee. Mais aujourd’hui, justement les math dans l’info sont necessaire plutot que dans quelques domaines que partout. Avant il fallait de bonne base de math unp eu partout mais plus trop aujourd’hui. J’ai beau etre nul en math ca ne m’empeche pas d’etre plutot bon en intelligence artificielle par exemple. Effectivement ca ferme la porte du traitement d’image (encore que … j’en ai fait aussi meme si j’etais pas tres doue) et de la conception de moteur 3D) mais bon y’a pas que ca dans la vie ^^”







Pour être mathématicien et informaticien, je pense que quand on sait coder, on est on bon en math (et vice-versa). Il ne faut pas sur-estimer l’aspect académique des mathématiques. Ecrire un programme ou prouver un théorème sont deux choses relativement identiques (et il y a un même des théorèmes de math qui prouvent ça :p).



On peut avoir des préférences pour l’un ou pour l’autre, mais c’est un peu comme choisir la couleur de son stylo …


Le 14/05/2014 à 19h 12







kypd a écrit :



Je sais pas quel cursus vous avez fait ou si ça a changé en 10 ans, mais les souvenir que j’ai du DEUG Math-Info sont un peu plus velu que ça…



1ere année, POO, Portes logiques en électronique, algorithmie sur les tris et les complexité, notions de Traitement du signal, Algèbre Booléen, projet de fin d’année un jeu (type echec ou autre plateau) en général en mode texte, avec points supplémentaire pour l’interface graphique, le glisser-deposer, partie en réseau, intelligence artificiel…







J’enseigne dans des cursus math-info/info de L1 (deug première année). Je donne TP/TD de prog. Enseigner de la POO en première année c’est surestimer largement les étudiants. Je ne rigole pas quand je dis que la plus part beugue sur une boucle FOR. Au deuxième semestre le cours de POO est un massacre complet. Il y a évidement des étudiants bons pour qui un programme plus musclé ne seraient pas un soucis, mais c’est (très) loin d’être la majorité.

Par contre, ils ont des cours de technos WEB qui fonctionnent plutôt bien je crois.







kypd a écrit :



2eme année, C, Emulateur ASM, Automates, Compilateur, , UML



Après en début de Licence on arrive sur l’optimisation combinatoire, Langage fonctionnel (LISP…), parallélisme, modules kernel/drivers, algo de compression…



Alors après y en a peut être des plus assidus que d’autre mais ne pas savoir comment est exécuté du code JS quand on simule des instructions ASM sur un processeur à registres émulé en JAVA, c’est même plus un problème de suivre c’est survoler complètement son cursus !







Je n’enseigne pas en deuxième ni troisième année.

Les exigences pour passer ne sont pas démentiels mais je crois que seul 30% y parviennent d’une année sur l’autre.



Un gros chamboulement depuis 10ans c’est la généralisation des IUT/DUT et classes prépas qui fonctionnent bien. Ce sont des filières sélectives et une bonne proportion de nos étudiants n’y ont pas été acceptés ou ont été virés. Certains sont issus de bac-pro ou littéraire et n’ont pas fait de math depuis la seconde voire la troisième. Ça a tendance à niveler vers le bas le niveau général en première année.



En troisième année certains bons étudiants de prépa/IUT reviennent à l’université et le niveau augmente relativement brutalement, les profs s’adaptant à leur publique.


Le 14/05/2014 à 16h 37







HarmattanBlow a écrit :



Parce que certains se sont trompés de vocation, que d’autres sont à un virage de leur carrière, que des derniers préfèrent bosser 18h par semaine une semaine sur deux plutôt que 60h par semaine 50 semaines sur 55, etc.





Le concours n’est pas dure. Ils ne remplissent même pas (la moitié des postes sont pourvus en math). Il suffit de le passer…. j’en ai rencontré des ingénieurs en reconversion, en général ils passent sans soucis…







HarmattanBlow a écrit :



Les gamins qui sortent de licence (niveau requis pour un CAPES) savent à peine coder, ils savent encore moins bâtir une architecture viable et ils savent rarement comment leur code JS est exécuté par la machine.







Le niveau requis pour le CAPES est le MASTER depuis deux ans: réforme dites de la mastérisation. Le parcours canonique (mais non nécessaire) est d’avoir un niveau L3-M1 disciplinaire et une spécialisation pédagogique en M2.



Je rappel qu’on peut être très bon disciplinairement et très mauvais enseignant… ce sont deux métiers différents. Perso, pour avoir à faire les deux, je suis moins à l’aise face aux étudiants que face à une machine….



Et avant que les gamins se posent des questions du genre “comment leur code JS est exécuté par la machine”, il serait pas mal qu’il puisse écrire du code JS…. ce qui prends quelques années de formations. En poste bac, on arrive tout juste à faire écrire des programmes d’une dizaine de lignes en fin de première année. Les concepts de base de l’informatique sont difficiles à apprendre …


Le 14/05/2014 à 15h 49







HarmattanBlow a écrit :



Ouf ! J’ai cru qu’ils allaient confier l’enseignement de l’informatique à des personnes ayant une expérience de l’industrie. On est passé à ça les gars !







Pourquoi des gens ayant une expérience de l’industrie iraient enseigner à des écoliers/lycéens 18h/semaine ? Et pourquoi des personnes formées pour donner ces enseignements seraient mauvaises ?



De toute façon, avant d’apprendre les dernière tech de pointes du secteur, c’est pas mal de commencer par une boucle for …. et je crois pas qu’un ingé spécialisé système RT soit particulièrement armé pour ça …


Le 14/05/2014 à 14h 57







kvasir a écrit :



<img data-src=" />

J’ai passé l’option info avec mon bac C en 1993…







Oui, et ils utilisaient le Logo pour enseigner le code en primaire. Cela boit faire 20 ans que ce n’est plus le cas, je crois. De toute façon, même à l’époque, il n’y avais pas assez d’enseignants formés au sujet pour en faire une option massive…


Le 14/05/2014 à 14h 40







flamwolf a écrit :



La meilleur solution serait peut-être de foutre une bonne fois pour toute la paix à internet et d’arrêter l’accumulation des réglementations et des processus inutiles qui coûtent de l’argent et bride l’innovation.







On a pas du lire le même article. Il n’est pas question de réglementation mais d’adapter une modernité face au numérique. L’enseignement de l’informatique arrive tout juste en terminal comme option. Le seul concours de recrutement actuel pour les prof c’est l’agrégation de math-info qui est TRÈS théorique. Mettre en place un CAPES et AGREG d’informatique ainsi que des enseignements sur le sujet dés le collèges voir le primaire, c’est une demande de longue date.



Il y a énormément à faire pour démocratiser l’informatique auprès du grand publique. Ce faisant, cela peut créer des vocations et des industries nouvelles, que du bonheur.


Le 08/11/2013 à 09h 48

Comme d’autre lecteurs, je ne trouve pas la qualité rédactionnelle incroyable ! Certes elle s’améliore, tant en écriture qu’en contenus. Toutefois, un renouvellement de ma part est assuré tant que PCinpact continuera à assurer cette excellente veille juridique sur les sujets numériques. Je trouve incroyable que ce soit presque le seul média à faire ce boulot !



Sur certain sujet, c’est même, je trouve, une leçon de journalisme politique !



Cha_po bas !

Le 03/09/2013 à 08h 23

J’ai plutôt l’impression qu’on va retrouver de la puissance de calcul dans les moindre recoin de nos appartements. Un pc dans la télé, le frigo la machine à lavé et l’aspirateur ! Le tout interconnecté pour manipulé depuis le travail ! Révolution domotique internet des objets toussa ! Ca serait cool un frigo qui commande automatiquement les yaourts de ma copine quand il s’aperçoit que y en plus assez …. ou un aspi qu’on peut régler pour s’oqp d’une pièce par jour …



Ce n’est pas si compliqué à mettre en place ! Après est ce que l’intérêt vaut l’investissement …

Le 27/08/2013 à 12h 45







bbbbben a écrit :



La France est quand même devant l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne sans aller jusqu’à citer les pays les plus libéraux comme UK, USA et le plus libéral, le Japon.







A part que dans les prélèvements en France comprennent la sécurité sociale et les retraites ! Ce qui n’est pas le cas des autres pays. Le taux de prélèvements est juste un mauvais indicateur à oublier.


Le 22/08/2013 à 14h 18







cyrano2 a écrit :



La NSA s’en fout car, si il ne casse pas encore de l’AES128, il pourront le faire dans 5 ans. Et puis tout chiffrement AES même 256 bits à base de mot de passe est cassable en quelques heure sur un PC. Le nombre de mot de passe possible “humainement” est très largement en dessous de 100 bits d’entropie. Pour info, pour dépasser 100 bits, il faut 8(!) mot du langage courant. Qui fait cela ?

.







On peut imaginer un protocole transparent pour l’utilisateur (pas de mdp à rentrer) avec des chiffrage aussi gros que nécessaire générer (presque) aléatoirement non ?


Le 22/08/2013 à 14h 12







tass_ a écrit :



Non mais les recherches dans les gros systèmes ne passent pas par la BDD, MySQL est pas assez performant et peu de sites web sont sous Oracle même chez les grands comptes.

La recherche est faite par des index en “dur” en plain text, en java (souvent par SolR qui s’appuie sur Lucene de java).



La complexité est souvent en o(n) voire pire, mais ce n’est pas le soucis.

Quand tu dois afficher 300 objets, que chacun de ces objets sont riches (des attributs en textes riches, des images, des relations vers les autres objets) la complexité de l’algo pour récupérer la liste d’objet est négligeable par rapport au temps d’I/O pour récupérer effectivement les données (chercher l’image,…) et récupérer les données ça tu ne pourras jamais y couper.





Je ne dis rien d’autre :) !


Le 22/08/2013 à 13h 55







smnr a écrit :



Désolé je n’ai pas compris, tu peux reformuler ? <img data-src=" />





Oups désolé ! Une base de donnée c’est une structure qui permet de stocker efficacement …. des données …. Quand on demande à un étudiant de faire un algorithme de recherche dans un tableau trié, il va en gros faire une boucle et parcourir tous le tableau ! La complexité est donc linéaire (o(n)). En rusant on peut facilement faire un algorithme en o(log(n)) (dichotomie). Dans la vrai vie, avec des vrais programmes, les algos de recherche (requêtes SQL par exemple) sont en pratique, en temps constant.

Heureusement d’ailleurs, car si google avait une complexité linéaire, on ferait une recherche en 10 ans !

(J’espère être plus claire :/)


Le 22/08/2013 à 13h 46







tass_ a écrit :



La complexité ? Beaucoup plus ou beaucoup moins là n’est pas la question, les algorithmes sont peu nombreux, ce qui est complexe c’est la richesse des données, surtout avec les api de persistances.

Quand tu vois que des fois appeler un attribut d’un objet peut faire 200 requêtes SQL (si c’est un lien vers un objet riche qui a lui même d’autres liens…), la complexité du listing derrière est ridicule par rapport au temps d’I/O nécessaire à récupérer l’objet.







Je prends ça pour un “beaucoup moins” :) ! Je suppose que l’algo est très en amonts ! Dans la conception des technos et non pas dans leurs utilisations ! Je me suis toujours dis que la vitesse des BDD au quotidien est impressionnante par rapport aux complexités des algos naturelles !


Le 22/08/2013 à 13h 28







tass_ a écrit :



Parce que coder un algorithme de tri en C et monter une site de e-commece ont autant à voir que faire une expérience sur les matériaux en laboratoire et constuire un immeuble ?



ps: pour te faire peur, rien n’est en o(n) ou même s’en approchant dans les CMS :p







C’est beaucoup plus ou beaucoup moins ? <img data-src=" />


Le 20/08/2013 à 18h 15

Abonné muet mais abonné content ! Continuez comme ça ! Une vrai ligne éditoriale et du vrai journalisme, ça se voit !