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7412 commentaires

Le 27/09/2017 à 19h 46

Il suffit d’être en possession d’un matériel, connecté ou non, qui peut diffuser la TV.



En revanche, les micro-ordinateurs avec carte TV ne sont pas taxables

 

 http://bofip.impots.gouv.fr/bofip/2117-PGP.html

Le 27/09/2017 à 18h 41







sr17 a écrit :



[…]

Les personnes qui ne regardent pas Arte n’ont pas à payer pour Arte.

 […]





Le principe d’un prélèvement obligatoire est qu’il est obligatoire afin de payer les infrastructures et les services publics. Tu peux avoir toutes les opinions que tu veux, si l’État pense que l’existence d’ARTE est indispensable, tout le monde paiera pour ARTE, comme tout le monde paie pour avoir l’école gratuite (même si on ne va pas à l’école et même si on n’a pas d’enfant).


Le 27/09/2017 à 15h 27

Les personnes à petits revenus résidant dans l’Hexagone ne paient pas la contribution à l’audiovisuel public (il existe des éxonérations fiscales pour eux) :

 

Je suis non imposable à l’impôt sur le revenu, vais-je payer une taxe d’habitation et la contribution à l’audiovisuel public ? - impots.gouv.fr

Le 27/09/2017 à 15h 45

ça, j’avais compris. Malheureusement, j’ai déjà vu la trilogie des années 1980, ça tombe mal. C’est le retour en arrière qui m’a déconcerté. C’est comme les flash-back à l’intérieur d’une histoire, il faut suivre le narrateur pour comprendre l’histoire, et moi, ça me fait sortir de l’histoire (ça casse le récit, ça ne me plaît pas du tout).



 

Le 27/09/2017 à 13h 20

Star Trek, c’est aussi Spock qui n’est pas un humain (même si l’acteur est blanc) et c’est le premier baisé interracial(dans l’Amérique des années 1960).

Le 27/09/2017 à 12h 56

J’ai répondu Star Trek, même si la trilogie Star Wars a ma préférence, parce que :





  • je n’ai pas compris les suites de Star Wars qui relatent des événements passés (les retours en arrière, les flash-back sont pas du tout mon truc),

  • le vaisseau dans Star Trek a un nom qui m’a toujours fasciné (l’Enterprise) et le modèle social dans Star Trek avec différentes planètes et différentes espèces humanoïdes qui cohabitent parfois ensemble me plaît beaucoup (notamment Spock et ses oreilles pointues),

  • Star Trek est une série TV à l’origine alors que Star Wars est visible d’abord en salle de cinéma. Personnellement, dans ma jeunesse, j’étais plus un habitué des séries TV et j’allais rarement au ciné.



Le 27/09/2017 à 14h 49

Comme quoi, Microsoft profite des bénéfices des développements de l’open-source, les modèles économiques ne sont pas complètement étanches, n’en déplaise aux Ayatollahs qui aiment segmenter les choses et mettre des étiquettes à tout.

Le 27/09/2017 à 14h 38

Je le crains… Ce sera sans moi (et je ferais des économies sur ma facture d’électricité en plus). Pas besoin de box, une solution 3G/4G me suffirait pour mes usages (même si le confort d’une connexion stable à forts débits est appréciable).

Le 27/09/2017 à 14h 17

L’effet Mastodon ?

Le 27/09/2017 à 09h 52

C’est toute la différence entre un fonctionnaire de l’État et un salarié. Un salarié a la capacité de refuser une modification substantielle de son poste de travail (délocalisation de son poste ou changement de ses attributions), ou de négocier son salaire. Pas le fonctionnaire.



 En contrepartie, le fonctionnaire ne peut pas se faire licencier avec un avancement de carrière tout tracé.

Le 27/09/2017 à 07h 40

Le prix compte, mais pas dans l’absolu. Il y a apparemment d’autres facteurs qui rentrent en ligne de compte : quand on compare les parts de marché d’Orange par rapport à ses concurrents, la progression du nombre de clients Orange est impressionnante malgré des tarifs élevés.

 

Bouygues Telecom et Free (Mobile) : croissance au 1er semestre, guerre de clocher sur le mobile

6e partie « Comment se placent les uns et les autres » - Next inpact 01/09/2017

Le 27/09/2017 à 06h 36

Moi, je fais partie de ces gens-là justement… enfin… je ne fais pas partie des “petites connexions” (débits inférieurs à 3 Mb/s) - de chez moi je peux accéder à de l’ADSL supérieur à 12 Mb/s. J’ai la fibre depuis plusieurs mois et même si je reconnais que c’est confortable lors des téléchargements et de l’envoi de courriels avec pièces jointes, il n’y a quasi-aucune différence dans mes usages avec ma courte ligne ADSL. Il y a 10 ans, au passage du 56k à l’ADSL, j’ai accepté l’ADSL pas seulement pour les débits meilleurs, mais aussi parce que ça ne coûtait pas plus cher. Sérieusement, à part un foyer de 3 ou 4 personnes aux usages multiples (les gros consommateurs de données), ou des gens qui utilisent un NAS ou qui jouent aux mmeuporg en réseau, etc, qui a besoin de débits de ouf ?




 Perso, je veux bien joué à "qui a le meilleur débit?" ou "qui a la plus grosse?" mais pas à n'importe quel prix, et pas pour des services qui me sont inutiles (les publicités de la 4G ou de la fiiibre qui va très très très vite ou les services en "illimité", moi, ça me fait bien rigolé : ça sert à quoi ? La TV 4K ? La VoD ?). Ça, c'est du marketing à la sauce Apple ou Zara : il te faut acheter consommateur parce que tu le vaux bien (L'Oréal) et parce que sinon tu seras un exclu et un paria.       

 

Le problème de la fibre est le même avec le compteur Linky d'Enedis : l'opérateur raconte aux gens que c'est mieux qu'avant, mais quand ils l'utilisent, il n'y a aucune différence apparente (ou dans le pire des cas, il y a des désagréments). Alors, certes, les gens ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, mais les gens n'acceptent pas forcément de changer leurs habitudes ou de voir leur abonnement augmenter sur le simple motif que c'est le progrès ou que c'est bourré de services (en tout cas, les gens, sont des individus, aux comportements divers et variés, qui ont d'autres intérêts dans la vie que d'accéder à un réseau performant).

Le 26/09/2017 à 17h 19

Personnellement, j’aime bien quechoisir.org, mais j’aime peu ce ton polémique qui se ressent comme ici vis-à-vis d’Orange, avec en plus plusieurs approximations quant à la situation actuelle des déploiements de la fibre FttH (même si l’étude de l’UFC-Que Choisir est, ma foi, très bien documentée).



Mais bon… peut-être faut-il saluer, de la part de cette association de consommateurs, l’intention de dénoncer l’hégémonie d’Orange sur le territoire français - hégémonie dont l’État et quelques Collectivités locales s’accommodent très bien.

Le 26/09/2017 à 19h 45

Where is Big Moustache ?

youtube.com YouTube

Le 25/09/2017 à 20h 30

Quand je regarde les séries TV récentes (plus ou moins dystopiques, fantastiques, cyniques), je me rends compte qu’on va à grands pas vers un monde hyper surveillé, protégé, guidé par des systèmes automatisés. Si on veut passer inaperçu, il faudra changer de téléphone portable périodiquement, fréquenter les cybercafés, porter une capuche, une casquette, des lunettes noires, utiliser des leurres pour laisser des traces numériques faussées, etc.



En revanche, je ne crois pas (ou je n’ai pas envie d’y croire?) que, commeLaurent Alexandre le prétend, l’intelligence artificielle décidera à la place de l’humain ou que l’humain sera complémentaire à l’IA.



Donc, je pense malheureusement, à mon grand regret (c’était mieux avant?), que ces députés LR sont des pionniers de ce que sera probablement la Société de demain.

<img data-src=" />

Le 25/09/2017 à 11h 13

Apparemment, Laurent Calixte, journaliste (voir le #Replay de la semaine dernière), serait d’accord avec toi au sujet des opinions politiques de M. Zuckerberg. Je cite son analyse publiée sur Medium :



« […]

 1.1.3 Mark Zuckerberg et Facebook :



Les opinions politiques de Mark Zuckerberg sont plus nuancées, mais sont elles aussi très influencées par le libertarianisme. En matière de liberté d’action de l’entrepreneur, il était même allé jusqu’à dire que “la vie privée n’est plus une norme sociale”-une façon de promouvoir une vision du monde qui lui permette de développer au maximum son activité, justement fondée sur l’exploitation commerciale des données privées des utilisateurs.

 

 Il affiche à la fois une vision progressiste, avec son engagement pour favoriser l’immigration de talents étrangers aux Etats-Unis, et une vision plus individualiste, dans laquelle l’entrepreneur-roi façonne le monde au gré de ses désirs.

 

 La première vision l’amène à soutenir l’initiative FWD.us, qui milite activement pour favoriser l’immigration aux Etats-Unis.

 

 La seconde vision, plus individualiste, est révélée par l’avis qu’il a exprimé au sujet du premier livre qu’il a lu dans le cadre de son programme “Une année de livres” : Il écrit ainsi sur son mur que “The End of Power”, de Moises Naim, est un livre qui explore la façon dont le monde se transforme en donnant aux individus une large part du pouvoir qui était jusqu’alors détenu par les gouvernements, les militaires, ou d’autres institutions. Je crois profondément à cette tendance qui consiste à donner aux individus plus de pouvoir.”

 

 Cette ambivalence se retrouve au niveau des préférences concernant les partis politiques classiques. Contrairement à ses confrères de la Silicon Valley, Zuckerberg penche plus vers le Parti Républicain que vers le Parti Démocrate, ne serait-ce qu’au niveau des dons de Facebook à ce parti -même s’il affirme qu’il n’est “ni Républicain, ni Démocrate”. Mais cette préférence montre que le libertarianisme, avec son ambivalence droite/gauche, brouille les pistes politiques classiques.

 

 D’autant plus qu’un événement survenu au printemps 2016 a créé la surprise : Facebook avait sponsorisé l’une des conventions de Donald Trump, alors que Zuckerberg a pris publiquement position contre les propositions du candidat républicain -lequel forme sans doute un exemple trop parfait de ce que peut donner un libertarien à l’état sauvage.

 […] »

Le 25/09/2017 à 10h 43

Facebook et Google (entre autres) ont financé les 2 campagnes électorales de B. Obama, donc si M. Zuckerberg devait avoir une influence sur la Maison blanche, c’est déjà fait depuis quelques années (M. Zuckerberg n’a pas besoin d’être élu président des États-unis pour avoir de l’influence).

Le 23/09/2017 à 22h 41

Jokes de Papa 5- publié il y a quelques dizaines de minutes par Gaboomfilms QC sur Facebook.&nbsp;

Le 23/09/2017 à 07h 21

« Et dommage que le nom et la qualification des participants au débat ne soient pas affichée en incrustation dans l’image »



Au temps pour moi, je n’ai pas été suffisamment attentif : il y a par moments le nom des invités au débat qui s’affiche à l’écran <img data-src=" />

Le 23/09/2017 à 07h 02

2 remarques à propos des “intouchables géants du Net” -&nbsp; On Va Plus Loin sur Public Sénat :





  • aucune référence aux grands agrégateurs de données français et européens (qui ne sont pas des géants mais qui existent et se développent actuellement),

  • le débat ramène ce qui est européen au nombril français (voire parisien?) : par exemple, Qwant n’est pas uniquement une entreprise française.



    Et dommage que le nom et la qualification des participants au débat ne soient pas affichée en incrustation dans l’image ou dans la description de l’émission sur les sites web - c’est utile pour se renseigner sur les participants au débat (si quelqu’un de Public-Sénat passe par là…) :



  • Stéphanie Villers- économiste - groupe mutuelle santé Humanis (aujourd’hui on dit “groupe de protection sociale” parce que la Sécurité sociale n’est bientôt plus un monopole, au profit des “mutuelles santé” de plus en plus importantes dans la protection sociale).

  • Julie Gommes- manager en cyber-sécurité (ouconsultante en cyber-sécurité sur franceinfo)

  • Vincent Renoux - avocat fiscaliste

  • Laurent Calixte - journaliste IT-High Tech - auteur de “Apple, Google, Amazon, Facebook sont-ils devenus des partis politiques ?



Le 22/09/2017 à 17h 25

« Quel réseau utilise Cdiscount mobile ?&nbsp;




Sachez enfin que Cdiscount&nbsp;mobile a l'avantage de passer par NRJ Mobile, ce qui lui&nbsp;permet d'accéder aux       

réseaux de trois des quatre opérateurs nationaux : Bouygues Telecom,&nbsp;Orange et SFR. Il n'est par contre pas précisé lequel est utilisé par défaut, ni s'il est possible d'en changer.






Contacté par nos soins, l'opérateur nous explique que, « par défaut », c'est actuellement le réseau de SFR qui est utilisé pour ce forfait. Néanmoins, « en cas de problème de réseau avéré, comme pour le reste des offres Euro-Information Telecom, le client pourra basculer sur un autre réseau (Orange ou Bouygues Telecom) ». »  





&nbsp; Cdiscount mobile lance un forfait à 2 € par mois, voyons ce qu’il propose- Next inpact - 22/11/2016

Le 22/09/2017 à 00h 16

<img data-src=" />  Il manque des mots à ma 1ère phrase, je voulais écrire :

 Oui, curieusement, il suffit qu’un opérateur (public ou privé - en zone peu dense ou en zone moyennement dense) fibre une zone pour que Orange ou SFR se mettent à déployer de la fibre FttH là où auparavant la rentabilité n’était pas suffisante pour investir.

Le 22/09/2017 à 00h 04

« Elles sont devenues rentables assez rapidement, pour qu’ils se mettent à fibrer comme ça. Je ne vois pas vraiment SFR investir dans un truc qu’il ne rentabilisera jamais&nbsp;<img data-src=" /> »

&nbsp;

Oui, curieusement, il suffit qu’un opérateur (public ou privé - en zone peu dense ou en zone moyennement dense) pour que Orange ou SFR se mettent à déployer de la fibre FttH là où auparavant la rentabilité n’était pas suffisante pour investir.



&nbsp;&nbsp;exemples :

Dans la Loire, Orange se défend de concurrencer la fibre publique- Next inpact - 10/07/2017

Fibre : la méthode de SFR pour griller la priorité à Orange sur des millions de lignes- Next inpact - 13/09/2017

&nbsp;

&nbsp;

« Donc dans ce cas SFR a de facto interdiction de fibrer là, ça semble logique.<img data-src=" /> »

&nbsp;

N’ayant pas préempté ces zones (zones AMII conventionnées décidées en 2011), SFR n’a pas à s’intéresser à ces zones… en théorie. Mais vu que les zones AMII et le plan France THD vont probablement être remis en question dans les mois à venir, SFR anticipe les prochains enjeux des années à venir. C’est un peu comme les NRA-MeD (Montée en Débit DSL) qu’Orange construit subitement dès qu’un RIP déploie de la fibre optique à un endroit (voir l’exemple précédent dans la Loire).

Le 21/09/2017 à 23h 43

« Qui sait, peut-etre que des petites entreprises trouveraient des benefices a fibrer des zones peu denses, la ou les 4 FAI n’y arrivent pas actuellement. »




 Les RIP (Réseaux d'Initiative Publique) sont souvent construits par des petites entreprises, qui fusionnent parfois entre elles malheureusement pour  faire face aux besoins d'investissements (Axione, Altitude  infrastructure, Covage, Tutor pour les plus connues) :       







  • &nbsp;https://www.aota.fr/membres/

  • &nbsp;http://www.firip.fr/firip/nos-membres.html

  • &nbsp;http://www.interop-fibre.fr/membres





    « Ce n’est pas le role de ces collectivites de construire des reseaux fibres. Laissons les entreprises dont c’est le metier faire et autorisons la concurrence dans le secteur des telecoms (4 FAI, c’est un cartel) … »

    &nbsp;

    Ce sont les opérateurs privés qui préemptent les zones à fibrer, pas l’inverse : autrement-dit, un RIP n’existe que par l’absence d’un projet de fibrage par un opérateur privé sur une zone précise. De toute manière, ce sont les collectivités locales qui pilotent l’aménagement du territoire, donc le fibrage FttH de leur territoire (le cahier des charges en quelque sorte) : chacune décide de confier la construction des RIP à une régies publique ou à un concessionnaire ou à un partenaire privé qui s’occupe de tout. Je suppose que beaucoup d’élus locaux partagent tes idées à ce sujet car beaucoup de RIP sont construits par des entreprises privées.

    &nbsp;

    D’ailleurs, sur un RIP, plusieurs FAI peuvent proposer leurs offres (la concurrence des services numérique peut donc bien avoir lieu sur un RIP… encore faut-il que les 4 FAI nationaux acceptent de louer le réseau d’un opérateur FttH local plutôt que de louer le réseau cuivre d’Orange).

    &nbsp;

    &nbsp;

    « Oui, mais collectivites locales = Etat in my book &nbsp;Que se passera t-il quand Paris fermera les robinets a pognons du moutontribuable (ce qui se passe deja) ? Comment ces collectivites vont entretenir ces reseaux ? »



    Justement, le plan France THD devrait être remis en question dans les mois à venir, vu que l’objectif 2022 ne sera pas tenu. Si seulement les opérateurs privés ne se tiraient pas dans les pattes plutôt que de collaborer, la France serait déjà fibrée (2006: début des déploiements de la fibre - plus de 10 ans de subventions diverses, surtout concernant Orange, avec notamment sesNRA-MeD).

    Plan fibre : sans accord, « il n’y aura pas d’autre choix que des voies plus coercitives »- Next inpact - 29/08/2017

Le 21/09/2017 à 23h 42

Le 21/09/2017 à 09h 57

Je vois 2 raisons :





  • les RIP se situent dans des zones peu denses que les opérateurs nationaux n’ont pas préemptées car elles sont soit-disant non-rentables… comme les zones blanches des réseaux mobiles où les opérateurs mutualisent leurs investissements pour couvrir les zones les plus reculées du territoire centre-bourgs des villages. Donc pourquoi un seul réseau mobile dans ces zones et plusieurs réseaux FttH ?

  • un RIP est financé par l’impôt et n’a pas le droit d’entrer en concurrence avec un opérateur privé soumis à la concurrence. Donc quel intérêt pour un opérateur de faire concurrence à ces réseaux d’initiative publique ? Si ce n’est saboter ou pirater les projets et les efforts financiers d’une collectivité locale ?

  • et une raison subsidiaire : Patrick Chaize a l’air d’être défavorable à la concurrence par les infrastructures, d’où cette affirmation qui correspond à son opinion personnelle.



Le 21/09/2017 à 06h 48







kevinz a écrit :



Super ca.

&nbsp;Un reseau fibre, gere par l’Etat, a l’image d’un reseau SNCF gere par l’Etat.





Où ça un réseau géré par l’État ? Ce serait plutôt des réseaux locaux (qui existent déjà) gérés par les collectivités locales, non ?


Le 20/09/2017 à 09h 03

Comme quoi, à droite, il n’y a pas que des ultra-libéraux économiques. D’ailleurs, les marxistes sont plutôt favorable à une nationalisation des infrastructures (propriété de l’État). Patrick Chaize est plutôt favorable à l’exploitation des infrastructures publiques par les collectivités locales.



Et quand on est président du syndicat intercommunal des communications électroniques de son département comme Patrick Chaize, et que ce même syndicat pilote un RIP (Réseau d’Initiative Publique), qu’on soit de droite ou communiste, soit on vend son réseau à SFR/Altice, soit on se démène pour sauver les investissements et le projet qu’on dirige.



Autre exemple : j’habite dans une commune de droite depuis l’après-guerre. Ce sont ces élus de droite qui ont fait les investissements pour construire la régie d’eau potable et la régie d’assainissement des eaux usées (toujours maintenues par des élus de droite), et qui ont construit des parkings municipaux gérés encore aujourd’hui par une régie municipale. Et ça fonctionne très bien sans que personne n’ait demandé à mettre en place une concession privée. Ceci-dit, on ne peut pas en dire autant du réseau de distribution électrique et du réseau de communications électroniques (Enedis, Orange et SFR/Altice ont de beaux jours devant eux dans ma commune).

Le 21/09/2017 à 21h 46







dvr-x a écrit :



Je ne sais pas si on peut dire que le rachat de Motorola n’était pas une réussite. C’était cher ! Certes, même un bon paquet de Brevets. Et ca a relancé un constructeur qui était presque mort… Tous les Motorola écoulés depuis, et maintenant les Lenovo, ca fait quand même un max de clients et c’est grâce à ce rachat…

[…]





Moi aussi, je pensais que la stratégie de Google/Alphabet était, dès le départ, de se débarrasser de la partie “matériel” de Motorola mobility et de ne garder que les brevets.


Le 21/09/2017 à 21h 36

Ça me fait penser qu’en allant dans un magasin Fnac, il y a quelques jours, il y avait en tête de gondole :





  • l’iPhone,

  • un pack promotionnel “un smartphone entrée de gamme + un accessoire”

  • le 3310 à 70€ de Nokia.



    &nbsp;Il semblerait que le dumbphone soit la nouvelle tendance de cette fin d’année 2017&nbsp; <img data-src=" />

Le 21/09/2017 à 14h 33

Les profondeurs du web

&nbsp;

&nbsp;source : Les Experts:Cyber (CSI:Cyber)

Le 21/09/2017 à 09h 39

C’est vrai ça, je n’y avais pas pensé&nbsp;<img data-src=" />&nbsp; En tout cas, je vois bien SFR/Altice tenter de racheter quelques RIP dans les années à venir, et Orange négocier l’exploitation de plusieurs RIP en jouant sur la simplicité d’une concession avec “l’expertise” du 1er réseau télécom de France (un peu comme Enedis sur le réseau de distribution électrique). Et je vois bien BouyguesTel continuer avec Axione en gardant un pied dans quelques RIP et pourquoi pas amplifier son influence sur quelques zones peu denses.




De toute manière, tant que Orange ne se sent pas menacé par un RIP qui serait susceptible de demander le statut de zone fibrée à quelques endroits de France, l'opérateur continuera à exploiter son réseau cuivre dans ces zones, et à laisser ses concurrents vendre des offres ADSL et à déserter ces réseaux FttH locaux (à mon avis, l'Arcep fait un beau cadeau aux opérateurs nationaux en n'augmentant pas les prix de gros des offres ADSL régulés... malgré tout, dans quelques années, l'Arcep sera obligée de le faire... mais on aura perdu encore une fois plusieurs années de déploiement de la fibre).      






à voir aussi ce que va devenir le Plan France THD à l'avenir...       



Aménagement numérique : l’action des opérateurs privés « trop molle », pour l’Avicca &nbsp;lagazettedescommunes.com - 09/06/2017

France THD : les industriels des réseaux publics voient l’avenir en 4G fixe

&nbsp;Next inpact - 06/07/2017

Le 20/09/2017 à 17h 09

Le mode nuit de Twitter web est assez spécial : ils ont rajouté des lignes de séparation entre les blocs de la page. C’est un peu dommage à mon avis.

Le 19/09/2017 à 13h 05







Tandhruil a écrit :



[…]

Il est normal que Orange (qui n’est pas juridiquement France Télécom) […]





France Telecom a été renommée Orange le 1er juillet 2013

fr.wikipedia.org Wikipediahttps://selectra.info/telecom/fournisseurs/orange/france-telecom

http://www.boursier.com/actions/actualites/news/france-telecom-les-actionnaires-…


Le 18/09/2017 à 16h 22

Cocasse, le fait que Orange ne souhaite pas aller au Conseil d’État tout en étant en désaccord, et préfère négocier avec la collectivité locale (pour lui faire changer d’avis)

&nbsp;<img data-src=" />

ça me fait penser aux liens étroits entre Enedis et les collectivités locales quand il s’agit de décider au profit de l’intérêt général sans aucune transparence et sûrement pas de concertation publique. Par exemple, c’est comme ça que Linky est mal accepté par une partie non négligeable de la population (mauvais com’, discussions entre décideurs en dehors de toute procédure publique, les élus votant en faisant confiance à l’expertise de l’exploitant de l’infrastructure).

Le 19/09/2017 à 11h 10

Ceci-dit, qu’il existe des salariés malveillants qui ne se font pas prendre la main dans le sac, ça existe sûrement et c’est dommage pour l’entreprise et pour l’employeur. Mais c’est toujours pareil, il existe des procédures à mettre en place pour éviter des incidents pareils (la vidéosurveillance, les autorisations d’accès à un poste de travail, des accès limités avec identifiants et mots de passe, etc). Et au cas où ça arriverait, il existe parfois des assurances.

Le 19/09/2017 à 11h 01

L’arrêt de la Cour de cassation dit seulement que l’employeur ne peut pas licencier pour faute sur une simple suspicion de vol de données confidentielles. À la charge de l’employeur de prouver la faute de l’employé qu’il souhaite licencier pour faute. Rien de plus.



Ceci-dit, on peux toujours se faire un roman de ce qu’a effectivement fait le salarié. On peut aussi penser que le salarié était un espion d’une puissance étrangère, mais c’est de la littérature. Le fait est qu’un employeur ne peut pas licencier un salarié pour faute sans faute clairement établie.

Le 19/09/2017 à 07h 57







wpayen a écrit :



[…]

PS2 : Cette jurisprudence ne me semble pas avoir d’impact en France, la décision cassée est de Nouvelle-Calédonie. (C’est un ancien TOM avec ses lois propres).





Apparemment, la justice en Nouvelle-Calédonie est du ressort de la République française :



« Depuis sa prise de possession par la France en 1853, l’État dispose d’une représentation en Nouvelle-Calédonie. À partir de 1981, c’est le Haut-commissaire de la République, délégué du gouvernement, qui incarne l’État français dans le pays. […]

Le Haut-commissaire fait publier les lois du pays avec le contreseing du président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie. […] Il est chargé de l’organisation des services relevant des pouvoirs régaliens de l’État comme la sécurité publique et la justice. Il assiste de droit aux Comités des signataires de l’accord de Nouméa, et est le garant de l’application de ce dernier en tant que représentant de l’État. »

&#160https://gouv.nc/letat-en-nouvelle-caledonie



« Cour de cassation

chambre sociale

Audience publique du mercredi 5 juillet 2017

REPUBLIQUE FRANCAISE

AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS

LA COUR DE CASSATION, CHAMBRE SOCIALE, a rendu l’arrêt suivant : »

&#160legifrance.gouv.fr République Française


Le 19/09/2017 à 07h 38

Je crois que tu te trompes, il faut remettre en contexte, et éviter les généralités qui n’aboutissent à rien : l’employeur n’a pas pu prouver l’existence de la copie de données confidentielles, c’est ça le soucis à la base. Il n’a même pas consulté le contenu de la clé USB quand le représentant du personnel lui a remis la clé USB, au motif que le salarié aurait eu largement le temps d’effacer les données confidentielles.



extrait de l’arrêt (j’ai souligné les passages en question) :




 « 1°/ que l'employeur ne peut procéder à la consultation du contenu de la  clé USB personnelle d'un salarié sur le lieu de travail en son absence  ou sans qu'il ait été dûment appelé ; qu'ainsi, dès lors que l'employeur demande au salarié de consulter en sa présence le contenu de sa clé USB personnelle sur le lieu de travail, celui-ci est tenu de lui en assurer l'accès ; qu'en l'espèce, la cour d'appel a décidé, par motifs propres  et adoptés, d'écarter l'existence de toute faute commise par le salarié  concernant la copie, invoquée par l'employeur, de fichiers du serveur de l'entreprise au moyen de sa clé USB personnelle ; qu'elle a notamment relevé que le seul fait que le salarié n'obtempère pas, sur le champ, à l'injonction que lui a fait l'employeur de lui remettre sa clé USB personnelle afin de vérifier son contenu, ne constitue pas en soi un comportement fautif ; qu'elle ajoute qu'il n'est pas contesté que cette  clé a été remise un quart d'heure plus tard par le délégué du personnel  au directeur général, mais que celui-ci n'a pas voulu en prendre connaissance au motif que les fichiers copiés avaient pu être effacés ;  qu'en statuant ainsi, alors que l'employeur était en droit d'exiger du  salarié la vérification du contenu de sa clé USB personnelle au sein de  l'entreprise et qu'il a été mis dans l'impossibilité de réellement vérifier si des données appartenant à l'entreprise avaient été ou non transférées, la cour d'appel a violé les articles 9 du code de procédure civile de Nouvelle-Calédonie, Lp. 121-1 du code du travail de  Nouvelle-Calédonie et 1134 du code civil de Nouvelle-Calédonie ; »

Le 19/09/2017 à 05h 21

D’ailleurs, où as-tu lu que l’employé a volé des données confidentielles dans son entreprise ? Moi, ce n’est pas ce que j’ai lu.

Le 19/09/2017 à 05h 15

Là, tu résumes une décision de justice sans avoir lu l’arrêt complet. La justice, c’est un peu plus dense que quelques lignes d’un article de presse (d’autant que l’article comporte des liens vers des sites web qui permettent de comprendre l’arrêt de la Cour de Cassation en question).

Le 18/09/2017 à 09h 34

Il faut dire aussi que l’efficacité d’une antenne-relais est très variable et dépend de tellement de facteurs qu’il est difficile de prévoir le débit réel à un instant t. Pour offrir un débit constant et élevé, l’idéal serait une antenne à proximité de chaque terminal avec peu d’utilisateurs connectés à chaque antenne, sans obstacle entre les deux, etc.

Le 16/09/2017 à 17h 26

J’ai bien aimé aussi l’analogie tranchée de guerre/tranchée de dépose de câbles. Ceci-dit, le monument au mort de la guerre 14-18 est un symbole un peu trop fort d’après moi. Mais bon… en fermant un oeil, ça passe mieux.

Le 16/09/2017 à 17h 14

Le dessin “BFM-surveillance administrative” fait référence au fait que BFM TV diffuse en boucle des informations spectaculaires ou sensationnelles qui sont donc potentiellement autant de raisons à surveiller la chaîne d’info en continu par le ministère de l’intérieur (c’est une vue de l’esprit, un point de vue de l’auteur, pas forcément à prendre au pied de la lettre… quoi que…).



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Le 16/09/2017 à 12h 25

Le documentaire “la guerre du renseignement” est intéressant dans le sens qu’il remet en cause la surveillance de masse dans la lutte contre le terrorisme.

Le 15/09/2017 à 21h 09







EplucheTomate a écrit :



[…]

&nbsp;Pour ma part, je considère plus cela comme un ensemble de religions et de croyances qui ne sont pas spécifiques à “nos”(?) sociétés, mais qui à l’heure de la mondialisation et d’internet -entre autres- ont trouvés des terrains propices à leur extension. Je veux dire par là qu’il s’agit plus-mais pas uniquement- pour moi d’un symptôme d’obscurantisme intellectuel individuel qu’un symptôme sociétal, mais je comprends et j’approuve la métaphore de “cancers des sociétés”&nbsp;






Je suis plutôt d'accord. Et j'ajouterais que les rézo socio donnent l'impression au quidam, qui s'exprime et qui reçoit l'information, de pouvoir s'affranchir du relais des journalistes, des institutions de presse. Il y a là un gros fantasme (plus ou moins conscient) parmi beaucoup de gens (plus ou moins bien intentionnés), de pouvoir changer le Monde et de pouvoir manipuler leur environnement de la même manière qu'ils se sentent manipulé.     





Avant Facebook/Twitter, seul un artiste du spectacle, un journaliste, un philosophe, un médecin, etc, médiatisé avait ce pouvoir-là, cette opportunité de dire les choses et de voir des milliers de gens y adhérer (comme un adepte adhère à la thèse d’un gourou).


Le 15/09/2017 à 20h 24

&nbsp;La plupart des gens n’ont pas le temps (ou l’envie ou le réflexe) de s’informer plus profondément ailleurs quand ils reçoivent une information.




&nbsp;Beaucoup de gens n'ont même pas conscience que l'information se construit, puis se communique, puis se reçoit avec des préjugés, partis pris, opinions, croyances. En d'autre terme, beaucoup de gens reçoivent l'information comme la Vérité (avec un grand V) et ceux qui s'aperçoivent brusquement qu'on ne leur a pas tout dit ou qu'on leur a raconter le joli côté de l'histoire (voire qu'on leur a menti sur quelques aspects de l'histoire), se mettent à s'inventer leur propre Histoire, leur propre Vérité hédoniste face à l'arbitraire des "puissants".      






&nbsp;Développer l'esprit critique, c'est d'abord comprendre que l'information se traite (lire un article ou un livre ou regarder un film ne se fait pas en "gobant" ce qui y est raconté), que l'information n'est pas neutre, qu'on peut aussi parfois mal comprendre (même un journaliste, même un chef d'État, même un chef d'entreprise du Nasdaq, même un physicien). Un journaliste, un expert ou un spécialiste  (fut-il scientifique) n'est qu'un témoin parmi d'autres, n'a pas les  capacités cognitives surhumaines pour exprimer l'ensemble des aspects  (parfois contradictoires) de son sujet. En d'autres termes, la Vérité n'existe pas.

Le 15/09/2017 à 17h 59

Informations, le grand complot- ARTE

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« Enquête sur les théories du complot et les fake news qui foisonnent à l’ère des réseaux sociaux. Ce documentaire montre combien ces fausses informations sont faciles à produire et à assimiler. Un marché de dupes qui rappelle, plus que jamais, la nécessité d’aiguiser notre esprit critique. »

Le 14/09/2017 à 16h 37

Quand on vois que des Collectivités locales louent l’espace public pour l’organisation de manifestations privées comme le Tour de France ou le Sosh Big Air, on n’en est pas loin&nbsp; <img data-src=" />

Le 14/09/2017 à 14h 31

Le préambule d’une Constitution (de surcroit, préambule d’une constitution antérieure, intégrée en préalable du préambule de la Constitution en vigueur) énonce des principes fondamentaux, non des règles d’application. Un principe fondamental est une direction, un cap. Une règle est un mode opératoire.&nbsp;D’ailleurs, le Droit constitutionnel ne sert qu’à définir les rôles au sein de l’État, ni plus ni moins.




 Si la Constitution définissait le service public précisément, il y aurait à redire. Or ce n'est pas le cas.        






  Il faut d'abord définir la notion de "service public national" dans la Constitution. Cette notion peut se présenter sous différentes formes et sous différents niveaux de précision dans sa définition (à réglementer dans les lois et décrets).&nbsp;        






  &nbsp;http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/nouveaux-...  

&nbsp;https://www.doc-du-juriste.com/droit-public-et-international/droit-administratif...