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7412 commentaires

Le 10/04/2015 à 08h 19

« Vive la politique à la Française. -_- »



 Vive la politique militaire de l'OTAN     (NATO)   





La lutte contre le terrorisme  - extrait :

« Le terrorisme représente une menace réelle et grave pour la sûreté et la sécurité de l’Alliance et de ses membres. C’est une menace universelle, qui ne connaît ni frontières, ni nationalités, ni religions – face à laquelle la communauté internationale doit être unie. Les activités que mène l’OTAN en matière de lutte contre le terrorisme mettent l’accent sur une meilleure connaissance de la menace et une meilleure préparation, sur le développement de capacités adéquates et sur un engagement accru aux côtés des pays partenaires et d’autres acteurs internationaux. »



 source : nato.int)

Le 09/04/2015 à 18h 12

le Big Data va même parfois plus loin que la simple publicité ciblée : les fournisseurs/distributeurs sont capables (quand ça fonctionne correctement) de proposer en temps réel des offres commerciales dimensionnées à chaque client connu.



Par ailleurs la publicité (qu’elle soit ciblée ou non) a souvent un objectif prioritaire : matraquer l’esprit afin de faire consentir le consommateur potentiel que le produit/le service proposé est la meilleur solution pour lui (désir/frustration = pulsion d’achat).

Le 09/04/2015 à 11h 04

<img data-src=" />

Le 09/04/2015 à 08h 46

perdre la diffusion de 11 chaines TV partout dans le Monde par exemple



Mais on peut encore en douter. Personnellement, je n’ai rien constaté, à part seulement que le site web TV5monde.com est indisponible (en maintenance) actuellement. Peut-être même que la direction de TV5 Monde essait de mettre l’incompétence d’une des filiales du groupe sur le dos de “méchants” cyber-terroristes.

Le 08/04/2015 à 22h 10

Pour dissiper tout malentendu, je n’essaie pas d’affirmer le contraire de ce que tu affirmes. J’essaie simplement de dire que tu affirmes des choses que tu ressens mais que personne ne peut démontrer.




 Faire des amalgames est tellement facile (de manière intentionnelle ou de manière involontaire) que j'ai voulu simplement exposer une réalité sur des éléments existants et vérifiables.        






 Je connais relativement bien ce que tu penses, et c'est très bien d'avoir un avis, d'autant que je suis plutôt en accord avec tes propos (sauf que je dirais que le doute est permis et que je ne serais pas aussi affirmatif que dans tes précédents commentaires).       





&nbsp;



 Nota Bene : pour être précis, l'article cité dans ton commentaire de msn.com est signé latribune.fr et Delphine Cuny  

(désolé, je m'attache encore aux choses tangibles : pour savoir s'il y a conflit d'intérêt et remettre en contexte un article, c'est un détail important)

Le 08/04/2015 à 19h 39

Il faut différencier le réseau de transit d’Orange à l’international et le réseau de transport d’Orange au National. Par exemple dans le transit d’Orange, il y a potentiellement des données Google destinées à des abonnés Free.



Tout ça est un peu plus complexe qu’il n’y paraît et le “secret des affaires” n’aident pas à la transparence nécessaire à la compréhension du problème.

Le 07/04/2015 à 17h 28

Moi je ressens ces réactions plutôt comme du Vivendi-bashing :

trop français, trop cher, trop CAC40, …



En même temps, Dailymotion, reste français et reste propriété d’une grosse société du CAC40, donc ça le fait aussi, le Dailymotion-bashing

Le 07/04/2015 à 16h 39

Vivendi est un des plus importants fournisseurs/diffuseurs de contenus en Europe (télévision, cinéma, billeterie de spectacle) avec une présence mondiale dans la musique (Universal Music Group). Le rachat de Dailymotion n’est pas si étonnant que ça et pas forcément une mauvaise chose non plus… à part si on se focalise sur le modèle économique de Google/YouTube, de NRJ et de TF1 dont le modèle économique ne repose que sur l’audience et la publicité.

Le 08/04/2015 à 13h 17

pour ceux que ça intéressent :



« «&nbsp;Changeons la banque&nbsp;!&nbsp;», c’est le titre du livre de Benoît Legrand, le patron d’ING Bank France, à paraître le 9 avril. Il y fait, sans surprises, l’apologie du modèle digital et low cost, et fournit quelques scénarios de «&nbsp;banque fiction&nbsp;» pour l’avenir. Extraits en avant-première. »



« Réinventer la banque grâce aux données »

paragraphe intéressant (Big Data …)

&nbsp;&nbsp;

source : cBanque



Nota Bene : “en ligne” (par ex.) au lieu de “digital” serait plus approprié. Sacrés web-marketeur !!

Le 04/04/2015 à 13h 10

C’est mon avis aussi… depuis une petite expérience personnelle d’un incident CB. D’une manière générale, en matière d’assurance (moyens de paiement ou autres), le Diable se cache dans les détails et l’énergie qu’il faut déployer pour faire reconnaître ses droits n’est pas négligeable.



Depuis cette mauvaise expérience, je n’adopte plus que la CB à autorisation systématique (Electron/Maestro) et la CB rechargeables ou prépayée (pour mes achats sur internet). Et qu’on ne me dise pas que la CB à autorisation systématique est réservée aux interdits bancaires. Car la dénomination d’une CB (Electron, Gold, Platine, etc) ne présume pas précisément de son fonctionnement : le fonctionnement dépend de la banque qui émet la CB.



la définition générique de la CB à autorisation systématique : « Une carte à autorisation systématique interroge le solde du compte bancaire auquel elle est attachée avant chaque transaction. »

lafinancepourtous.com



Le contrôle a priori du solde de mon compte bancaire constitue pour moi une sécurité supplémentaire pour ne pas me retrouver à découvert en cas d’usurpation ou de vol de ma CB. Et c’est une contrainte éventuelle que j’assume, d’autant que je suis disposé à payer en espèces (paiement anonyme de surcroît) ou par chèque : car le format numérique et le format papier sont complémentaires et le resteront très longtemps (n’en déplaise aux banques)

Le 08/04/2015 à 13h 09

firefox 37.0 + quelques plugins et extensions incompatibles avec la version 37 + adobe flash

= pages web difficiles à s’afficher + extinction inopinée et prématurée du navigateur

Le 08/04/2015 à 12h 01

moi je ne suis pas contre la publicité sobre et informative en sus de mon abonnement. En revanche je n’aime pas la publicité ciblée, car j’ai l’impression d’être observé par un “cyber- sniper” du webmarketing.



Par ailleurs si Next Inpact affichait des publicités sans Adobe Flash, je pourrais les voir : la plupart du temps, je bloque le plugin Adobe Flash sur Firefox parce que ce n’est pas forcément compatible avec ce type de navigateur (lenteurs, blocages, bugs, etc).

Le 08/04/2015 à 11h 13

une norme technique est établie pour couvrir les besoins pendant plusieurs décénnies. La norme LTE-4G est là pour longtemps et ce n’est pas le marketing/les pubs de nos chers opérateurs nationaux qui changera cette réalité technique. Par exemple, la norme GSM-2G existe déjà depuis environ 2 décennies, et cette norme 2G n’est pas prête à être abandonnée.

Le 07/04/2015 à 17h 49

Il y a 2 opérateurs qui équipent le territoire héxagonal en réseau de distribution fibré, hormis les zones très denses



moi non plus je ne cite pas les noms (mais on les connait)

Le 06/04/2015 à 08h 12

Le débit est de toutes façons bridé par l’opérateur (même si le marketing parle d’illimite) : par ex. 20 Mb/s en ADSL



Donc la consommation de chaque abonné ne peut pas dépasser un plafond de consommation de bande passante. A chaque seconde, chaque usager du réseau est bridé dans son utilisation du réseau.



En d’autres termes, c’est négligeable pour un opérateur, que, à un instant donné, un abonné soit un gros consommateur ou qu’il consomme peu (d’autant que la consommation des uns à un instant est facilement compensée par l’absence de conso des autres au même moment).



Mais c’est vrai, pour le consommateur, il serait appréciable d’avoir une tarification qui lui permette de réguler lui-même, individuellement, sa propre conso de bande passante (un peu sur le modèle des tarifs modulo de Prix tel, par ex.).

Le 04/04/2015 à 10h 59

Personnellement, j’ai quitté Twitter quand Laure Manaudou s’est fait littéralement incendiée de bêtises après son tweet qui faisait la relation entre les jeux vidéos et le passage à l’acte d’un tireur fou (en Finlande ou en Norvège). Je me souviens avoir eu du dégou et de l’effroi devant ce phénomène semblable à un mouvement de foule / une vindicte populaire.



En revanche sur Facebook, tout le monde “s’aime” (ce n’est pas forcément plus réjouissant), à part dernièrement où je me suis énervé sur un gars qui cherchait à me faire admettre que je racontais des âneries dans la rubrique “Avis” de la page d’une marque commerciale. Je souhaitais mettre un terme à la discussion et il continuais à me solliciter. Finalement, je l’ai bloqué.



Les réseaux sociaux sont utiles et ludiques pour discuter avec d’autres quidam ou avec des personnalités médiatisées, mais parfois, seuls derrière notre écran, nous ne sommes pas toujours très “net” (jeu de mot) ou très conscient de la portée de nos paroles (des paroles parfois dangereuses/blessantes pour nous-même ou pour autrui). Avoir le temps de prendre conscience de ces dangers, c’est peut-être le seul avantages qu’auront les “digital natives”.

Le 04/04/2015 à 10h 28

Pourquoi les journalistes et les professionnels de l’audiovisuel sont-ils autant férus de Twitter au point de refuser de parler de ses inconvénients ou de ses effets négatifs ?



A ma connaissance, seuls Daniel Schneidermann et Audrey Pulvar n’en disent pas que du bien.

Le 04/04/2015 à 10h 14

Certes, dans ce cas, il suffit de rester à sa place.

Le 03/04/2015 à 18h 08

« Qui gouverne ? Comment préserver l’intérêt général quand, partout, l’argent semble remplacer le vote ? Larry Lessig dénonce sans relâche l’emprise des intérêts privés sur la démocratie américaine. Professeur de droit et d’éthique à Harvard, conseiller d’Obama en 2008, il connaît tous les rouages de Washington. Il a décidé de se rebeller pour sauver l’intérêt général.

Un film de Flore Vasseur »

youtube.com YouTubeyoutube.com YouTube« Larry Lessig était l’invité du ” Tank” à Paris. Avec la réalisatrice Flore Vasseur, il est revenu sur les principaux sujets du documentaire “La Rébellion du Professeur de Harvard” diffusé par ARTE. »

info.arte.tv Arte

Le 03/04/2015 à 13h 31

« Après ING… Vu comment ces banques en ligne irlandaises ont failli juste clamser il y a qqes années, ça ne me rassure pas. »



On peut aussi parler de Banques populaires qui a presque fait faillite avec sa filiale Natixis. Ce réseau bancaire a été sauvé grâce à l’Etat français et grâce à sa fusion précipitée avec les Caisses d’Epargne.



On peut aussi parler de Société générale qui a presque mis la clé sous la porte à cause, soit-disant, de Jérôme Kerviel qui était bien pratique pour excuser les pertes abyssales de la banque sur les marchés d’investissements.





D’autre part, j’imagine que tu voulais dire « néerlandaise » au lieu de « irlandaises »

Le 03/04/2015 à 13h 23

A mon avis, le choix d’une banque en ligne ou une banque de réseau est une question de besoin relationnel et de capacité/d’envie d’être plutôt autonome (ou non) en cas de problèmes qui peuvent survenir à tout moment dans une vie. Sans compter qu’il faut aimer interagir avec sa banque sur un écran (web/mail) et/ou au téléphone dans le cas d’une relation de banque en ligne.




 Autrement dit, les banques en ligne aujourd'hui sont surtout des banques low-cost. D'ailleurs, on peut comparer leur modèle économique aux compagnies aériennes low-cost : des services de base gratuits et les suppléments sont à tarif élevé.       






 Ce sont 2 modèles différents, qui peuvent même parfois être complémentaires. Chacun voit midi à sa porte       








 « Mais je veux bien un exemple de pb absolument non gérable dans une banque en ligne. »       






 Quand on a la chance d'être en contact avec un vrai conseiller bancaire (pas un vendeur de produits financiers), ça peut parfois aider en cas de coup dur ou dans le cas d'un projet particulier. Malheureusement, la plupart des agences bancaires ont aujourd'hui des objectifs de vente, et le pire : faire payer des découverts et des commissions d'intervention (quand il ne s'agit pas de crédit renouvelable) est devenu une activité normale.

Le 02/04/2015 à 19h 37

« (…) la fidélité ça paye réellement, ne serait-ce que pour les conseils



avisés dont tu ne profiterais probablement pas avec un simple       

commercial, comme tu le dis plus haut, voire sur les conditions de

prêts/placements bien plus favorables.






&nbsp;Bref tout cela pour dire que, pour l'avoir aussi testée, la politique de      

l'abeille n'est pas forcément la meilleure pour son intérêt à long

terme. »






Si tu as trouvé une agence bancaire qui favorise la fidélité, alors prend soin de cette relation bancaire. C'est plutôt rare de nos jours.  De nos jours, l'enjeux serait plutôt de favoriser le client captif.     






En tout cas, de mon expérience, le métier de banquier consiste actuellement plutôt à faire souscrire des placements et des crédits pour capter les liquidités qui n'iront pas ailleurs (des découverts autorisés jusqu'aux crédits immobilier en passant par  "l'obligation" de souscrire une carte bancaire ou "l'obligation"  d'ouvrir un compte dont le client n'a aucunement besoin).      





D’ailleurs, les banques cherchent continuellement des liquidités depuis 2008 : que ce soit les banques coopératives qui forcent la main pour faire souscrire des parts de capital (le client-sociétaire) ou les banques commerciales qui forcent la main sur les fonds garantis, les assurances-vie et autres fonds à formule.




&nbsp;

Le 02/04/2015 à 19h 00







ExoDarkness a écrit :



Bien entendu, d’où ma précision “banque 100 % en ligne”. &nbsp;Les filiales de la société générale et LCL proposent ces prestations mais niveau tarif c’est très loin de Boursorama & ING Direct par exemple.&nbsp;

(…)



je ne sais pas ce que tu appelles “filiale”, cependant le groupe Boursorama est une filiale de la Société générale à 55,5% du capital

http://groupe.boursorama.fr/fr/le-groupe/presentation/chiffres-cles/





ExoDarkness a écrit :



Le multi-comptes c’est bien mais quid des banques qui comme ING réclament la domiciliation bancaire de ces revenus ?

(…)



pour être précis, ce n’est pas spécifiquement une domiciliation bancaire, mais plutôt un versement mensuel minimum (pour obtenir la “gratuité” du service - notamment la carte bancaire à “0€”)





ExoDarkness a écrit :



(…)

Au passage coté assurance, le tout en ligne est nettement moins glorieux, je n’ai pas encore réussi à sauter le pas…

(..)



effectivement, tu mets le doigt sur une particularité de la banque en ligne : inutile d’en attendre un accompagnement ou un conseil (ou alors il s’agira d’un conseil low-cost, c’est-à-dire un conseil très sommaire et très bref).



&nbsp;La banque en ligne, c’est surtout de la banque low-cost : le client est très seul et se suffit à lui-même face aux difficultés éventuelles et face aux choix de produits bancaires


Le 02/04/2015 à 17h 55

plus exactement, le groupe ING est issu de la fusion d’un banquier et d’un assureur :

« En 1986, la banque d’État néerlandaise Rijkspostspaarbank est privatisée, devenant Postbank, tout en continuant à utiliser le réseau des bureaux de poste du pays. En 1989, Postbank fusionne avec NMB Bank pour donner naissance à NMB Postbank Groep. La fusion de cette banque avec l’assureur Nationale Nederlanden en 1991, donne naissance au groupe ING. »

fr.wikipedia.org Wikipediahttp://www.ing.com/About-us/Our-stories/History-of-ING.htm (pour les anglophones)

Le 02/04/2015 à 17h 19

les banques de réseau sont des machines à vendre des produits financiers

les banques en lignes sont des machines à collecte de capitaux (banques low-cost : services de base gratuits sous conditions de revenus / d’épargne et services additionnels à tarif élevé)



Quant à SOON, voilà le prototype du service moins chers si le client consent à la collecte et au traitement de ses données financières :

&nbsp;“Big Data by AXA” (Google a pris du retard pour le coup)

<img data-src=" />

&nbsp;

Le 03/04/2015 à 09h 17

qui utilise encore le réseau GSM 2G ?

tout le monde (même avec un iPhone 6 ou un HTC one M8)

Le 02/04/2015 à 13h 14

il ne faut pas exagérer, il n’y a pas péril en la demeure. Il s’agit plus d’un audit de l’opération de fusion-acquisition que d’une opération de police judiciaire (avec pièces à conviction et mise en garde à vue)

Le 02/04/2015 à 13h 10

rien ne dit que du matériel soit déménagé. Dans l’article de l’AFP il est plutôt question de mettre “sous scellés des bureaux”.



C’est aussi relou, mais j’imagine que l’entreprise fonctionne quand même sans problème.

Le 02/04/2015 à 12h 54

perquisition :

“2. P. anal. Inspection ou fouille d’un lieu clos opérée par une autorité quelle qu’elle soit.”

http://www.cnrtl.fr/lexicographie/perquisition

Le 02/04/2015 à 07h 09

chez moi, Firefox m’a affiché un message d’échec de la mise à jour, en me proposant de télécharger le fichier d’installation.




  Ensuite, il a fallu que je "rafraîchissent" Firefox pour enfin pouvoir me connecter sur Next Inpact (et visualiser les différentes icônes du site web) et&nbsp; pouvoir lire des vidéos YouTube.    





Inconvénients : suppression de mes “extensions” au navigateur et remise à zéro des paramètres du navigateur (en renvanche, les “plugins” inutiles comme Adobe Acrobat ou Java Toolkit ou MS Office 2010 sont bien restés accrochés comme des verrues au navigateur.

Le 01/04/2015 à 21h 02

Quelle plaie cette version 37 de Firefox : j’ai dû “Rafraîchir Firefox” pour pouvoir lire des vidéo en streaming sur YouTube et pour pouvoir me reconnecter sur NEXT INPACT&nbsp;



résultat : j’ai perdu toutes les “extensions” mais en revanche impossible de se débarrasser des “plugins” inutiles “java toolkit” “adobe acrobat” etc.

Le 02/04/2015 à 06h 54







wrongillusion a écrit :



Merci aux petits Africains qui crèvent dans les mines pour les profits de cette boîte…





Certes. Merci aussi aux petits Africains qui collectionnent les déchets informatiques de la planète.


Le 01/04/2015 à 12h 03

Ah! parce que Univers Freebox fait de l’info ?




Moi j'appelle ça de la rumeur, du buzz, du tapage, du oui-dire, du bruit :    



c’est le “Closer” de la marque commerciale “Free”

Le 31/03/2015 à 18h 17

compatible joyn ?

<img data-src=" /> 2e

Le 31/03/2015 à 18h 17

encore des phablettes !!

<img data-src=" />

Le 31/03/2015 à 17h 13

J’ajouterais que Iliad n’a pas l’air d’avoir les mêmes qualités que ses concurrents-partenaires, en génie civil et en relation avec les collectivités territoriales / avec les institutions. Cependant, beaucoup de supports d’antennes-relais sont déjà mutualisés (ce qui facilite un peu les choses)

Le 30/03/2015 à 13h 26

2 questions ou observations :




 « Grace ou à cause des infrastructure réseau moins couteuse »       






 Quel est le raisonnement qui pousse à affirmer que le réseau -- réseau 4G en général? ou réseau Free? -- est moins coûteux (à construire? à maintenir?) qu'un réseau 2G ? Pour ce qui est des réseaux 2G de Orange, SFR-Numericable et BouyguesTel, chacun d'eux est déjà amorti, si ce n'est déjà rentabilisé (ce qui coûte cher est de couvrir les zones de population peu denses, qui ne sont pas rentables sans la couverture des zones très denses).       

&nbsp;






 « J'ai envie de dire un bon réseau se montait en 5 - 6ans »       






 non, pour développer un réseau mobile :       






Le 31/03/2015 à 16h 58

Merci pour l’explication et le lien <img data-src=" />

Le 31/03/2015 à 16h 56

Effectivement, je n’ai pas été suffisamment attentif à l’article de Nxi. Ce qui m’a troublé, ce sont des expressions comme “application Joyn by SFR” ou encore le fait que BouyguesTel se montre réticent.



La terminologie marketing me laisse dubitatif. D’ailleurs, à la réflexion, je préfère appeler ce service RCS plutôt que Joyn : SMS MMS RCS ça me parle mieux.

Le 31/03/2015 à 12h 07

Même si la France est championne des normes industrielles inutiles (mais utiles pour le commerce de quelques industriels), et même si c’est vrai que la norme internationale de messagerie enrichie sur réseau IP / LTE-4G(sur laquelle repose Joyn) n’a pas l’air de faire consensus auprès des opérateurs mobile, je reprendrais ta petite illustration en changeant les acteurs :



    &nbsp;          

Rappelle moi comment on fait là?



-Tu es sur WhatsApp ? Tu est sur Blackberry messenger ?&nbsp; Sur quelle plateforme ? Android, iOS, Windows ? Quelle version d’OS ?

-Ah bah non moi j’utilise HangOut…allez bisous hum?<img data-src=" />




   &nbsp;         

C'est d'ailleurs grâce aux normes inscrites sur "un bout de papier" que le smartphone le plus haut de gamme est autant compatible GSM-2G que compatible LTE-4G : sinon Apple ne ferait pas de SMS et essayerait d'imposer iMessage comme elle le fait avec iTunes et l'AppStore (Apple n'étant qu'un exemple).






    Mais bon... j'imagine que tout ça fait partie de la guerre industrielle et commerciale que se livrent les industriels (guerre dont je suis totalement étranger et que je trouve ridicule : vaut mieux se mettre autour d'une table et&nbsp; répondre à des impératifs de coordination de la chaîne de production)

Le 31/03/2015 à 10h 58

dans l’article, il n’était pas spécialement question de norme internationale même si le terme “GSMA” est cité (je ne connaissait pas la GSMA)

Le 31/03/2015 à 10h 24







Qruby a écrit :



C’est pas français comme truc, c’est international, initié par le GSMA . (…)





merci pour l’info <img data-src=" />


Le 31/03/2015 à 10h 04







manus a écrit :



Data obligatoire =&gt; ne remplacera jamais le SMS

Un des gros intérêts du SMS c’est qu’il fonctionne en GSM de base et est léger pour le réseau.

J’imagine bien le jour de l’an avec leur Joyn…





c’est vrai, comment ré-inventer la roue en faisant croire que c’est plus moderne, plus facile, plus fonctionnel.


Le 31/03/2015 à 09h 59

je ne comprends pas la comparaison avec le SMS : le SMS est une norme internationale, non ?

Le 31/03/2015 à 09h 35

Ca a surtout servi à conserver des clients que les offres de Free mobile aurait tentés. Maintenant que la situation est stabilisée et que la fusion SFR-Numericable est aboutie, SFR repart sur de nouvelles bases commerciales.



Mais c’est vrai, que l’entreprise Free connait moins de secousses dans ses offres commerciales que le groupe SFR. Free sait aussi se montrer aussi très discrètes sur ses passages à vides

Le 31/03/2015 à 08h 52

aimée des gros actionnaires, les petits subissent



SFR est la marque commerciale qui a englouti la majeur partie de ses concurrents par fusions, acquisitions, démembrement de conglomérats internationaux sur-endettés… et la saga ne semble pas terminée…

Le 31/03/2015 à 08h 33

AOL (feu AOL-Time-Warner) correspondrait plus à feu Vizzavi (feu Vivendi-Universal : J2M, Cegetel, Studios Universal, Pathé, Seagram, Havas, Canal plus, etc), à la différence que la marque AOL existe encore.



ou      



AOL (le FAI) correspondrait mieux à Virgin mobile : AOL n’avait pas pris le tournant industriel du dégroupage ADSL en France, et est resté trop longtemps sur un modèle économique quasi-semblable à celui du MVNO qu’était Virgin mobile (Virgin mobile a tout de même une licence full-MVNO mais l’entreprise s’est tout de même fait racheté par un opérateur-propriétaire de réseau)

Le 31/03/2015 à 09h 25

pour être précis : l’Arcep s’occupe des offres de gros (entre opérateurs télécom) et des offres de “service universel” (offres de détail grand public régulées car non soumises à la mise en concurrence)



Pour le reste des offres commerciales, l’Arcep ne s’occupe pas de ces offres-là.

Le 29/03/2015 à 14h 11

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Le 29/03/2015 à 01h 21

Effectivement, ce n’est pas une question de censures d’articles hostiles à Facebook,



c'est une question de choix et de découverte.       






Plutôt qu'avoir affaire aux choix éditoriaux d'un algorithme et aux choix d'une entreprise de       

webmarketing comme Facebook, autant avoir affaire aux choix éditoriaux d'une rédaction de journalistes sensés et réfléchis . Les algorithmes qui éditorialisent de plus en plus les contenus que je consulte sur Facebook, servent à présenter des contenus selon les désirs de l'utilisateurs et selon les intérêts publicitaires de la plateforme de réseau social.






Personnellement, je ne crois pas qu'un algorithme informatique me contente dans mes recherches d'informations : l'intérêt que je portais à Facebook était un mélange de flux RSS et de micro-blogging. Une sorte de contact direct avec des individus (personnalités publiques ou simples connaissances) dont j'avais envie de connaître l'actualité ainsi que leurs opinions. La surprise, la découverte et le lien direct avec la personne n'existent plus avec un algorithme.       






A part ça que facebook fasse du business à la manière de BFM-RMC ou de TF1, ça devient effectivement de plus en plus une évidence ; d'où mon intérêt de plus en plus important pour la presse en ligne payante (ce qui ne veut pas dire que l'intérêt que je porte à Facebook ou à TF1 soit complètement nul)