« Pour exister, ces opérateurs régionaux visent souvent des créneaux bien précis, comme les réseaux d’initiative publique (RIP, en zone rurale) ou le marché B to B, pour lequel leur offre est bien adaptée. « De manière générale, le rôle des petits opérateurs sur les RIP est reconnu partout, ce sont eux qui lancent le marché, ils ont des taux de pénétration conséquents même si, tous ensemble, ils dépassent rarement les 30 % », assure Ariel Turpin, délégué général de l’Avicca, qui constate la qualité de service et le fort taux de fidélisation des entreprises et des collectivités.
Ils pèseraient environ 3 % d’un marché des entreprises estimé à 13 milliards d’euros par la toute jeune Association des opérateurs télécoms alternatifs (Aota). »
En effet, ça tourne souvent dans le vide. Et pour peu que le mysticisme de l’organisation semi-mafieuse, semi-démoniaque de La Main te laisse de marbre (comme c’est mon cas), alors il n’y a vraiment plus d’enjeux, seulement des personnages qui boivent du café ou du whisky entre deux scènes de kung-fu et de sentiments fleur bleue.
Le
11/12/2017 à
19h
15
Moi aussi, je n’ai pas accroché aux personnages des séries TV Marvel, à part Jessica Jones. Pourtant, j’ai bien aimé les premiers épisodes de Dare Devil mais j’ai décroché quand les “méchants” sont devenus un peu trop mystiques.
De toute façon, je crois que j’ai fait une over-dose de ces héros qui luttent contre les mafias. Dernièrement Netflix a mis au catalogue un film avec Al Pacino et Anthony Hopkins, Manipulations : il paraît qu’il s’agit d’un thriller prenant, mais j’ai zappé au bout de quelques dizaines de minutes, car le personnage d’Anthony Hopkins ressemblait au personnage stéréotypé du vieux parrain mafieux marié avec une jeune blondinette qui s’ennuie… Bref, j’ai assez vu de films de mafieux.
Au moins, Jessica Jones est un personnage qui ne cherche pas à être une super héroïne qui cherche à sauver le monde d’un système vérolé par le grand complot mafieux (elle est plutôt blasée et fatiguée dans la saison1).
Là je vais parler de personnes de mon entourage familial (mais pas seulement) : il y a des personnes qui auront toujours besoin de disposer de statistiques, de faits tangibles pour réfléchir. Ces personnes ne savent pas réfléchir dans l’abstrait, dans l’intuition, dans le plausible. Il leurs faut matière à vérifier. Comme Saint Thomas, ils ont besoin de toucher (ou faire semblant de toucher) pour croire que ça existe.
Qu’on tente de prouver par a+b quelque chose dans un sujet quantifiable, factuel (qui touche le tangible), c’est excellent. Mais chercher à prouver tout ce qu’on affirme est pour le moins ridicule. La plupart du temps, dans la vraie vie, personne ne peut prouver quoi que ce soit, il faut apprendre à faire avec, plutôt que d’accuser l’autre de ne pas savoir prouver par a+b ce qu’on est soi-même incapable de prouver autrement que par des ersatz de preuves fabriquées dans le seul but de pouvoir continuer à raisonner avec quelque chose de tangible. Ce besoin d’avoir la preuve pour croire ce que l’autre affirme. Cette question du Pourquoi? qui revient inlassablement et qui efface toutes les autres questions (qui? où? quand? etc), c’est pénible et inutile si l’interlocuteur est pris à rebrousse poil.
Au repas de Noël, je vais encore avoir affaire avec ce genre de discours où, pour certaines personnes de mon entourage, tout est scruté à la loupe (chaque affirmation, chaque opinion, chaque sujet de discussion).
Franchement, soit on demande à son interlocuteur si un débat contradictoire l’intéresse, soit on tourne en rond seul dans sa tête à chasser le détail, à élaborer des démonstrations. On paraîtra moins chiant et moins agressif car l’objectivité, la vérité, ça n’existe pas dans la réalité du quotidien. Que chacun construise sa réalité comme il l’entend et que chacun laisse autrui penser et raisonner comme il l’entend (ça n’en fait pas forcément un raisonnement faux, les pensées les plus binaires ou manichéennes ont toutes les chances d’être les plus faussement simplistes dans la vie en société).
Le
11/12/2017 à
15h
04
Toi aussi, tu as du mal à comprendre que les paradoxes existent ?
À force, je vais finir par croire que ma pensée est trop complexe (comme celle d’E Macron) " />
Le
10/12/2017 à
23h
10
Je ne discute plus avec toi. Désolé. Je n’aime pas ton état d’esprit. Vraiment, lâche-moi la grappe. D’ailleurs, je vais filtrer tes commentaires. Bonne continuation dans tes contre-raisonnements.
le lien de discussion n’a pas fonctionné. ce commentaire s’adresse bien à Faith.
Le
10/12/2017 à
21h
30
Désolé si tu m’as pris en grippe. Ce n’était pas mon intention. J’ai reconnu mon erreur à propos de l’expression “démarche scientifique”, Je ne vois pas ce que tu attends de plus. De toute façon, Tu ne comprendras jamais ce que je raconte, et c’est très bien ainsi. Évite de répondre à mes commentaires, ce sera plus simple pour nous deux.
Le
10/12/2017 à
20h
55
Très intéressant. Donc finalement, on peut dire qu’un simple témoignage sert une démarche scientifique et à la révélation de la vérité. Je la garde dans mes favoris et je la ressortirais ici ou là, la prochaine fois qu’on mettra en doute la probité d’un documentaire (ex: documentaires d’ARTE) ou d’un reportage d’investigation (ex: Cash Investigation). Notamment le passage de l’article Wikipedia que tu cites et qui affirme : « L’étude des pratiques des chercheurs révèle cependant une si grande diversité de démarches et de disciplines scientifiques que l’idée d’une unité de la méthode est rendue très problématique. »
Maintenant que nous sommes d'accord sur la définition d'une démarche scientifique, tu m'en diras plus sur le reste de mon commentaire précédent, en tout cas je l'espère.
Le
10/12/2017 à
17h
07
Non, une démarche scientifique consiste à trouver des preuves et à exprimer une réalité tangible. Un témoignage, une expérimentation, une hypothèse (par exemples), il faut les croire, leur faire confiance ou les admettre, à défaut de pouvoir le prouver (chose qu’un rationaliste ne sait pas faire).
Le
10/12/2017 à
15h
55
La démarche scientifique est une démarche du détail qui s’affranchit d’une vision globale pour mieux définir par les mots des phénomènes.
Or, ne voir que par le bout de la lorgnette chaque chose, rend cette démarche scientifique complètement aveugle des enjeux et des mécanismes dans leur ensemble. Les mots sont réducteurs de la réalité, la vérité pure et parfaite n'existe dans aucun texte et dans aucun discours (qu'il s'agisse de rapports, d'études, d'essais,... même les plus scientifiques d'entre eux).
Il n’y a qu’une démarche faite d’expérimentations, d’hypothèses, d’indices et de témoignages pour révéler des réalités qu’un esprit cartésien ne verra jamais, trop occupé à chercher des artéfacts, des défauts d’un raisonnement, à définir une vérité qui n’existe qu’en théorie ou en laboratoire et qui sera contredite par un autre cartésien qui regardera cette vérité sous un angle différent.
Le
10/12/2017 à
15h
46
tenir compte d’un témoignage, élaborer une hypothèse de départ pour construire un jugement, une opinion, est beaucoup plus constructif que de chercher des preuves là où il n’y en a pas.
Faire confiance n’est pas vraiment pas l’apanage d’un esprit cartésien, c’est sa grande force et son immense faiblesse.
Le
10/12/2017 à
10h
46
les cartésiens et les zététiciens sont de retour avec leur incapacité à faire la différence entre une opinion et un fait vérifiable " />
Je dirais plutôt “proche des préoccupations de l’État français” : on peut être une entreprise publique ou quasi-monopolistique sur un marché et proposer des services non-marchands/universels/régulés/etc, avec une préoccupation du service rendu, au lieu d’une préoccupation d’influence diplomatique ou économique sur le reste de la Société.
D'ailleurs, on a vu comment cette politique centralisatrice des intérêts économiques de l'État français était efficace avec Arcelor, Peugeot, Alstom, Alcatel (j'en oublie peut-être?) : tant que le paquebot tient, ça fonctionne, mais attention aux icebergs et aux écueils.
Le
09/12/2017 à
09h
15
wanou2 a écrit :
Sauf que l’état ne veut pas assumer la mise en oeuvre d’un réseau fibre national !
Je ne parle surtout pas de nationaliser la fibre locale (du NRO aux habitations), on n'est plus dans un contexte politico-économique de ce genre. Mais au moins que les FAI discutent avec autre chose que leur rival Orange sur les marchés mis en concurrence quand il s'agit de marchés régulés.
D'ailleurs, ce sont déjà les collectivités locales qui pilotent les réseaux fibrés. Il suffit au moins que Orange crée une filiale dédiée aux activités régulées et aux relations avec les FAI (une filiale d'Orange ou un GIE d'opérateurs ou des syndicats de collectivités locales ou autre). Ce serait déjà pas mal, pour ne pas dire une évidence.
Le
09/12/2017 à
08h
05
Séparation fonctionnelle des activités d’Orange, telle est la solution viable.
Le
08/12/2017 à
17h
14
Mon exemple n’était peut être pas bon " />
Le
08/12/2017 à
12h
24
spidermoon a écrit :
J’ai quand même un doute qu’une entreprise puisse confier son accès à un opérateur inconnu. Bien sur, quand tout va bien, c’est moins cher, mais en cas de souci, plus de sav garanti par Orange. L’entreprise aura comme interlocuteur l’opérateur de détail, lui même en contact avec l’opérateur de gros qui a loué l’accès auprès d’Orange. Bon courage en cas de pépin " />
WereWindle a écrit :
Je me faisais la même réflexion en lisant… Drôle d’idée de penser que ça va marcher mieux ou avoir plus de succès commercial en multipliant les intermédiaires.
Les télécoms, c’est Fabulon : on peut facilement trouver un intermédiaire efficace dans l’assurance (les agents généraux, les courtiers), dans l’électricité (des producteurs/fournisseurs comme Engie ou Total Spring), dans la banque, etc. Mais ce serait impossible dans les télécoms - vous comprenez les intermédidaires, les partenariats commerciaux, pffff… c’est lourd, c’est lent, inefficace.
le marketing est la science de l’image d’un produit : tout ce qui est vendu en supermarché ou en boutique de grande enseigne est principalement constitué par un emballage et une image de marque flatteuse/eur pour le consommateur.
La conclusion de l’article est intéressante. Si c’est pour ajuster localement la réponse du service public aux besoins locaux, pourquoi pas. Mais s’il s’agit que l’Arcep fasse comme le CSA en demandant une complexité supplémentaire du dispositif pour justifier son existence et les moyens à sa disposition, ça me paraît ubuesque – d’autant que je n’ai pas le souvenir que l’Arcep ait déjà demandé la séparation des activités d’Orange (à la différence de l’Ofcom britannique vis-à-vis de BT/Openreach).
La question n’est pas de savoir si on veux être toujours connecté, mais si on aimerait que l’ordinateur portable soit connecté par réseau mobile 4G plutôt que par wifi (on peut bien déconnecter le wifi d’un ordinateur portable ou la connexion mobile 4G d’un smartphone).
Le
07/12/2017 à
14h
58
" />
C'est une évidence pour moi aussi. Ça me fait penser aux journalistes ou artistes du spectacle qui s'appuient sur Facebook ou Youtube pour toucher un large public et qui crient à la censure ou à la manipulation de l'opinion publique (astroturfing comme ils disent). Il ne faut pas rêver, l'internet des plateformes et des objets est un internet managé (dirigé), cloisonné, bridé, éditorialisé, rentabilisé, etc.
Le
07/12/2017 à
14h
49
Quand on est avant-gardiste, il faut accepter les conservatismes.
D’ailleurs, actuellement, la publicité d’Apple What’s a computer ?» - publicité Apple vue ici - démontre bien que l’ordinateur “à papa” c’est terminé : Apple l’a dit, les autres constructeurs vont le généraliser " />
Le
07/12/2017 à
14h
38
“Ne se prononce pas”… parce queje reste dubitatifsur la question :
d’une part, je regrette le fait que l’informatique familiale devienne connectée, intelligente, as a service
d’autre part, si les ordinateurs de Bill Gates (des années 1980-1990) comportent une carte eSIM/SIM, alors je crains que cela m’incite à abandonner la qualité de la fibre pour la 4G car la mobilité est aussi un atout, il faut bien le reconnaître (un smartphone en mode modem ne me semble pas spécialement pratique et ergonomique, de prime abord).
Ces deux éléments ne sont pas indispensable pour rouler, donc forcément ils passent après, et non la voiture n'est pas sortie, elle est en alpha-test interne.
C'est du bashing de merde ça...
Stel a écrit :
Elle est pas encore sortie la caisse, elle est encore en beta test chez les employés, franchement vous abusez avec cette news.
Alors, elle est en beta-test ou en alpha-test ? Il faudrait savoir.
Le
07/12/2017 à
16h
14
Au moins, Tesla a pensé à la radio FM contrairement à de grandes marques de smartphones que je ne nommerais pas (shame on you).
Personnellement, abonné Freebox de fin 2007 à début 2011, Free m’a toujours contacté par mails automatisés et courriers postaux automatisés. Et jamais aucune réponse à toutes mes demandes que ce soit par mail ou courriers recommandés. Je me rappelle notamment des événements suivants:
un courrier recommandé que j’avais envoyé à la réception du colis contenant les boîtiers Freebox car il manquait une antenne wifi par rapport à la notice (j’ai su par la suite que les freebox avaient évolué) - aucune réponse de la part de Free, mais au moins je me suis assuré de ne pas être tenu pour responsable d’un éventuel incident,
un prélèvement automatique refusé par ma banque qu’un mail automatisé de Free m’a invité à payer par CB. Résultat : frais de paiement du fait qu’il ne s’agissait pas d’un prélèvement automatique #WTF" />,
à la résiliation, j’ai demandé à recevoir une facture de solde de tout compte et averti que mon autorisation de prélèvement automatique serait supprimée préférant payer par CB ou chèque (à l’époque le prélèvement SEPA n’existait pas). Aucune réponse mais une lettre automatisée me signifiant que le retour de la Freebox n’était pas effectif et que je risquais 500€ de dédommagement #WTF" />. Je n’ai jamais autant écrit de lettres avec photocopie de justificatifs à un fournisseur qu’à Free (et à son affactureur Intrup Justicia ou un nom comme ça, qui lui, se faisait passer pour un Huissier de Justice et me harcelait au téléphone par l’intermédiaire d’un serveur vocal #WTF" />).
Peut-être aurais-je dû essayer en chat ou par téléphone surtaxé, ça aurait pu résoudre mes problèmes, qui sait? En tout cas, je préfère l’écrit, on garde une trace et je n’aime pas discuter en instantané à distance, surtout par appel surtaxé (le courriel, les SMS, Twitter sont mes amis).
Alors, ce n’est peut-être pas une arnaque (perso, j’aime bien croire à la bonne foi de mes interlocuteurs), mais en tout cas, de la part d’un commerçant, c’est de la pure bêtise car, en ce qui me concerne, il faudra plus qu’un tarif de 2€ par mois pour me revoir comme client. Dans les années 2000, BouyguesTel a refusé de me désimlocker un téléphone au motif que je n’étais plus client chez eux, je suis redevenu client Bouygues (Bbox) au bout de 10 ans (c’est bien parce que leur offre est pertinente actuellement et que BouyguesTel prend en compte mes doléances jusqu’à présent).
Le
06/12/2017 à
20h
11
parce que l’absence de mauvaise foi excuse le problème ?
Personnellement, en cas de problème, je contacte le fournisseur :
Si il me prouve sa prise en compte de mon problème (qui est aussi le sien puisque nous sommes en contrat l’un envers l’autre), alors tout va bien,
Si il me prouve qu’il me laisse attendre dans mon problème ou qu’il refuse de faire un geste en vue de le résoudre, alors je résilie son contrat avec moi (et une entourloupe dans le processus de résiliation me fait penser qu’il n’a pas vraiment envie de me revoir parmi ses clients).
L’honnêteté n’a rien à voir dans une relation de commerce, il s’agit plutôt de confiance (celle-ci se gagne difficilement et se perd très rapidement).
Le
06/12/2017 à
19h
37
Et s’il s’agit d’une erreur (selon la différence que tu as l’air de faire par rapport au mot arnaque), ça change quoi à l’affaire ?
Perso, si je n’avais pas accès la latence faible de la fibre à 18€ par mois, il y aurait longtemps que j’utiliserais la 4G pour me connecter à internet à moins de 30€ par mois.
Extrait : « Le message est donc clair, Apple espère que les jeunes générations ne sauront pas ce qu'est cette « chose du passé », qui permet notamment d'effectuer une tâche complexe avec un outil étrange que l'on appelle « souris ». De leur côté, les adeptes des Mac apprécieront sans doute de se voir considérés comme des dinosaures. »
Le
05/12/2017 à
19h
14
En somme, à partir de 40 ans et avec une formation initiale de niveau professionnel sans le bac, on est bon pour faire des kilomètres afin d’atteindre l’accueil de Pôle-Emploi, CAF, CPAM, etc, dont on dépend et qui se situe généralement à plus de 10 Km (quand ce n’est pas à 30 Km pour les personnes n’habitant pas à proximité d’une préfecture ou d’une sous-préfecture) de son domicile.
Personnellement, ayant la quarantaine, c'est vrai que j'ai du mal avec ces objets communicants qu'on appelle smartphone ou tablette et qui ont la caractéristique de transmettre des données en veux-tu, en voilà de manière perverse -- phénomène dont on n'a généralement pas conscience. Je me sens soudainement comme ces cinquantenaires, dans les années 1990, que j'écoutais critiquer internet car un ordinateur connecté à internet pouvait potentiellement être espionné (je connaissais une personne qui avait 2 PC: un pour tenir ses comptes et stocker des données personnelles, et un ordinateur spécialement pour naviguer sur internet).
Si tu veux parler de la qualité technique, je n’ai pas connu de panne. Ceci-dit je suis un petit utilisateur de mobile (avant 2012 et avant Free mobile j’avais une carte prépayée que je rechargeais 4 fois par ans de 10€), donc mon avis ne vaut pas grand chose. Et il est évident que les MVNO servent de variable d’ajustement aux opérateurs de réseau pour rentabiliser au maximum leur infrastructure :
quand le réseau est libre les MVNO ont de la capacité-réseau à vendre,
quand le réseau sature, les MVNO sont les premiers à subir des restrictions d’usages (un peu comme la priorisation qui existe entre abonnements professionnels et abonnements grand public).
Le
04/12/2017 à
19h
17
Pour ma part,
je suis un petit consommateur et à la différence d’un “power user”, j’aime payer ce que je consomme, donc j’ai du mal avec les forfaits uniques et les packages de services (le summum étant le forfait quadplay qui me donne l’impression d’être un client captif). Mais depuis quelques années, Prixtel revient sur son modèle initial de l’adaptation automatique du forfait à la consommation du client, la dernière modification a été la séparation de son forfait modulable en 2 forfaits qui ne comportent plus que 3 et 4 tranches tarifaires. C’est dommage.
je n’ai plus à m’énerver avec les 4 principaux opérateurs mobile. Avec Prixtel (ou un autre MVNO), je suis sûr de ne pas être l’un des millions “insectes” tout juste bon à payer. Par courriel ou par téléphone, j’ai toujours eu de bons contacts avec les MVNO malgré les déconvenues (même si elles ne sont pas nombreuses, les questions de facturation sont parfois déroutantes).
Et tu proposes quoi, à part râler sur des râleurs ?
J’attends le moment où, peut-être, tu vas nous dire que, parce que tu n’as pas le tout-à-l’égout, tu as une cabane au fond du jardinet que ça te va bien ? " />
Le
05/12/2017 à
08h
18
L’égalité et le marché, sont deux notions qui n’ont rien à voir : l’égalité est une notion politique et le marché, une notion économique. En l’occurrence, politiquement, personne n’interdit aux 4 gros opérateurs de fournir leurs services sur des RIP (bien au contraire). Peut-être n’y sont-ils pas suffisamment incités ? En tont cas, économiquement, sûrement que ces 4 FAI nationaux ne voient pas leur intérêt (pour le moment) dans la fourniture de leurs services sur des réseaux qui ne leur appartiennent pas, dans des conditions qui ne les satisfont pas, dans des zones moins denses qui les intéressent moins que d’autres zones pour lesquelles leur convoitise est plus forte.
Le
05/12/2017 à
08h
08
On n’est plus dans les années 1970-1980, l’État-providence et la planification, c’est fini. Dans une Société néo-libérale telle que la nôtre actuellement, l’État ne peut imposer que des redevances et autres impôts, tout se passe par la négociation avec les acteurs du marché (libéralisme=liberté économique).
Le
04/12/2017 à
19h
53
On voit qu’on est lundi vue la teneur des commentaires. Courage les gars, la semaine ne fait que commencer.
Le
04/12/2017 à
15h
59
pas du tout rentable, c’est vite dit. À la campagne, on a l’eau courante, les routes bitumeuses, l’électricité, le téléphone, etc. Et tous ces réseaux sont rentables (il suffit de cumuler le montant des factures depuis quelques dizaines d’années et comparer avec les investissements nécessaires (du déploiement du réseau et de la maintenance sur la même période) pour voir que la rentabilisation est faite depuis longtemps.
Ceci-dit, la rentabilité sur 3 ans n’existe pas dans ces endroits peut fréquentés.
Le
04/12/2017 à
13h
46
Estya a écrit :
cartes toujours inexactes, (…)
Imprécises
" />
D’ailleurs si le taux de locaux raccordables est en dessous de 10% dans la commune en question, ça veut bien dire qu’il y a, dans cette commune, des habitations qui ne sont pas raccordées.
Le
04/12/2017 à
11h
17
Erreur de ma part : sur le site de l’Arcep, il n’y a que l’information concernant les opérateurs d’infrastructure (un FAI peut proposer ses offres commerciales sur le réseau fibre d’un autre opérateur).
Le
04/12/2017 à
11h
08
Quand un opérateur raccorde une habitation à son réseau fibre, il en informe au préalable l’ensemble des FAI de France. 3 mois après, quand tous les opérateurs ont eu le temps de réaliser le déploiement horizontal dans la rue ou de négocier un partenariat commercial, les offres commerciales peuvent commencer.
Une soit-disante exclusivité de 3 ou 6 mois, c’est du Bullshit de télévendeur pour faire patienter son client et qu’il n’aille pas à la concurrence.
Il existe des tests d’éligibilité comme ariase.com ou degrouptest.com ou sur les sites web commerciaux des FAI. Ou sinon, comme indiqué dans l’article ci-dessus : https://cartefibre.arcep.fr
Plutôt que la référence au note-pad ou au mouse-pad ou je ne sais quel autre objet, je propose le mot ardoise conçu par l’Académie française et libre de droits : mi ardoise, ça sonne bien " />
Quand j’ai testé Spotify ou quand j’utilise encore maintenant Netflix, j’ai toujours l’impression que l’algorithme tombe à côté avec cette idée très surévaluée qu’il sera en mesure de m’apporter ce que j’attends maintenant (chercher à quantifier une envie est un peu un “tue-l’envie”, c’est un peu comme les profils sur les sites de rencontre: comme si l’amour était une question rationelle).
Sur Spotify, Tinder, etc, un peu moins sur Netflix, j’ai l’impression de devoir donner des informations à l’algorithme pour lui permettre de mieux cerner mes goûts et mes attentes, mais j’ai bien conscience que l’algorithme ne me propose que ce qu’il peut me proposer (l’offre existante n’est pas extensible et sûrement pas paramétrée pour moi) et mes attentes du moment ne sont pas forcément génériques (l’humeur change, c’est l’aléa de l’être humain).
Bref, nourrir un algorithme pour le rendre plus intuitif, ça ne m’intéresse pas tant que ça. Et finalement, même si j’imagine aisément que l’algorithme sera, à l’avenir, une aide précieuse à la décision de l’être humain, je ne crois pas que l’algorithme puisse combler les lacunes d’une offre de toute manière limitée et sûrement pas paramétrée pour chaque individu (d’où l’importance de l’éditorialisation et la sensibilité des choix d’un vrai humain).
Intéressant, même si sur le coup j’ai pas trop compris la campagne d’UFC que Chosir qui m’a fait payer des frais de départ alors j’étais abonné depuis assez longtemps pour ne rien à avoir à payer.
[…]
L’UFC-Que choisir n’a pas demandé à ce que Free renonce aux frais de résiliation dégressifs, mais a demandé à ce que Free renonce à des frais d’activation différés qui n’étaient autre que des frais de résiliation qui correspondaient à un tarif nominal de 96€ dégressif proportionnellement au temps d’abonnement. Ce qui a été reconnu comme abusif par la justice (les frais d’activation ne peuvent être payés qu’à la souscription comme leur nom l’indique - quant aux frais de résiliation de la ligne, celle-ci doit correspondre à la réalité de ce que Free paie à son prestataire pour désactiver la ligne).
Dans ces conditions, Free, plutôt que de garder ce système intéressant des frais de résiliation dégressifs avec un tarif nominal réaliste d’environ 50€, a choisi stratégiquement de les rendre fixes.
En gros les Youtube, Dailymotion se cachent derrière une définition abusive du statut d’hébergeur (comme les NATUse cachent derrière une définition de la Net Neutrality qui leur convient), et les syndicats d’auteurs et d’ayant-droits se cachent derrière la Culture (avec un grand C) pour réclamer plus de diversité et plus de moyens de contrôle de leurs droits.
Tout ça est bien pratique pour tout ce petit monde de l’entertainment car finalement, l’enjeux n’est-il pas de négocier le paiement de droits et autres marges-arrière entre partenaires de bonne compagnie ?
7412 commentaires
Stéphane Richard veut « des internets particuliers » pour coller à différents besoins
11/12/2017
Le 11/12/2017 à 21h 35
" /> " />
Extrait article lesechos.fr du 11/12/2017 intituléBataille de la fibre : les opérateurs de proximité veulent leur place au soleil:
« Pour exister, ces opérateurs régionaux visent souvent des créneaux bien précis, comme les réseaux d’initiative publique (RIP, en zone rurale) ou le marché B to B, pour lequel leur offre est bien adaptée. « De manière générale, le rôle des petits opérateurs sur les RIP est reconnu partout, ce sont eux qui lancent le marché, ils ont des taux de pénétration conséquents même si, tous ensemble, ils dépassent rarement les 30 % », assure Ariel Turpin, délégué général de l’Avicca, qui constate la qualité de service et le fort taux de fidélisation des entreprises et des collectivités.
Ils pèseraient environ 3 % d’un marché des entreprises estimé à 13 milliards d’euros par la toute jeune Association des opérateurs télécoms alternatifs (Aota). »
Le 11/12/2017 à 21h 29
Orange, l’opérateur multi-services, multi-networks,multi-pass.
Le 11/12/2017 à 21h 19
" /> Stéphane Soumier
Alain Weill
Jessica Jones : la saison 2 débarquera le 8 mars 2018
11/12/2017
Le 11/12/2017 à 19h 21
En effet, ça tourne souvent dans le vide. Et pour peu que le mysticisme de l’organisation semi-mafieuse, semi-démoniaque de La Main te laisse de marbre (comme c’est mon cas), alors il n’y a vraiment plus d’enjeux, seulement des personnages qui boivent du café ou du whisky entre deux scènes de kung-fu et de sentiments fleur bleue.
Le 11/12/2017 à 19h 15
Moi aussi, je n’ai pas accroché aux personnages des séries TV Marvel, à part Jessica Jones. Pourtant, j’ai bien aimé les premiers épisodes de Dare Devil mais j’ai décroché quand les “méchants” sont devenus un peu trop mystiques.
De toute façon, je crois que j’ai fait une over-dose de ces héros qui luttent contre les mafias. Dernièrement Netflix a mis au catalogue un film avec Al Pacino et Anthony Hopkins, Manipulations : il paraît qu’il s’agit d’un thriller prenant, mais j’ai zappé au bout de quelques dizaines de minutes, car le personnage d’Anthony Hopkins ressemblait au personnage stéréotypé du vieux parrain mafieux marié avec une jeune blondinette qui s’ennuie… Bref, j’ai assez vu de films de mafieux.
Au moins, Jessica Jones est un personnage qui ne cherche pas à être une super héroïne qui cherche à sauver le monde d’un système vérolé par le grand complot mafieux (elle est plutôt blasée et fatiguée dans la saison1).
646ème édition des LIDD : Liens Idiots Du Dimanche
09/12/2017
Le 11/12/2017 à 16h 02
Là je vais parler de personnes de mon entourage familial (mais pas seulement) : il y a des personnes qui auront toujours besoin de disposer de statistiques, de faits tangibles pour réfléchir. Ces personnes ne savent pas réfléchir dans l’abstrait, dans l’intuition, dans le plausible. Il leurs faut matière à vérifier. Comme Saint Thomas, ils ont besoin de toucher (ou faire semblant de toucher) pour croire que ça existe.
Qu’on tente de prouver par a+b quelque chose dans un sujet quantifiable, factuel (qui touche le tangible), c’est excellent. Mais chercher à prouver tout ce qu’on affirme est pour le moins ridicule. La plupart du temps, dans la vraie vie, personne ne peut prouver quoi que ce soit, il faut apprendre à faire avec, plutôt que d’accuser l’autre de ne pas savoir prouver par a+b ce qu’on est soi-même incapable de prouver autrement que par des ersatz de preuves fabriquées dans le seul but de pouvoir continuer à raisonner avec quelque chose de tangible. Ce besoin d’avoir la preuve pour croire ce que l’autre affirme. Cette question du Pourquoi? qui revient inlassablement et qui efface toutes les autres questions (qui? où? quand? etc), c’est pénible et inutile si l’interlocuteur est pris à rebrousse poil.
Au repas de Noël, je vais encore avoir affaire avec ce genre de discours où, pour certaines personnes de mon entourage, tout est scruté à la loupe (chaque affirmation, chaque opinion, chaque sujet de discussion).
Franchement, soit on demande à son interlocuteur si un débat contradictoire l’intéresse, soit on tourne en rond seul dans sa tête à chasser le détail, à élaborer des démonstrations. On paraîtra moins chiant et moins agressif car l’objectivité, la vérité, ça n’existe pas dans la réalité du quotidien. Que chacun construise sa réalité comme il l’entend et que chacun laisse autrui penser et raisonner comme il l’entend (ça n’en fait pas forcément un raisonnement faux, les pensées les plus binaires ou manichéennes ont toutes les chances d’être les plus faussement simplistes dans la vie en société).
Le 11/12/2017 à 15h 04
Toi aussi, tu as du mal à comprendre que les paradoxes existent ?
À force, je vais finir par croire que ma pensée est trop complexe (comme celle d’E Macron) " />
Le 10/12/2017 à 23h 10
Je ne discute plus avec toi. Désolé. Je n’aime pas ton état d’esprit. Vraiment, lâche-moi la grappe. D’ailleurs, je vais filtrer tes commentaires. Bonne continuation dans tes contre-raisonnements.
le lien de discussion n’a pas fonctionné. ce commentaire s’adresse bien à Faith.
Le 10/12/2017 à 21h 30
Désolé si tu m’as pris en grippe. Ce n’était pas mon intention. J’ai reconnu mon erreur à propos de l’expression “démarche scientifique”, Je ne vois pas ce que tu attends de plus. De toute façon, Tu ne comprendras jamais ce que je raconte, et c’est très bien ainsi. Évite de répondre à mes commentaires, ce sera plus simple pour nous deux.
Le 10/12/2017 à 20h 55
Très intéressant. Donc finalement, on peut dire qu’un simple témoignage sert une démarche scientifique et à la révélation de la vérité. Je la garde dans mes favoris et je la ressortirais ici ou là, la prochaine fois qu’on mettra en doute la probité d’un documentaire (ex: documentaires d’ARTE) ou d’un reportage d’investigation (ex: Cash Investigation). Notamment le passage de l’article Wikipedia que tu cites et qui affirme : « L’étude des pratiques des chercheurs révèle cependant une si grande diversité de démarches et de disciplines scientifiques que l’idée d’une unité de la méthode est rendue très problématique. »
Le 10/12/2017 à 17h 07
Non, une démarche scientifique consiste à trouver des preuves et à exprimer une réalité tangible. Un témoignage, une expérimentation, une hypothèse (par exemples), il faut les croire, leur faire confiance ou les admettre, à défaut de pouvoir le prouver (chose qu’un rationaliste ne sait pas faire).
Le 10/12/2017 à 15h 55
La démarche scientifique est une démarche du détail qui s’affranchit d’une vision globale pour mieux définir par les mots des phénomènes.
Il n’y a qu’une démarche faite d’expérimentations, d’hypothèses, d’indices et de témoignages pour révéler des réalités qu’un esprit cartésien ne verra jamais, trop occupé à chercher des artéfacts, des défauts d’un raisonnement, à définir une vérité qui n’existe qu’en théorie ou en laboratoire et qui sera contredite par un autre cartésien qui regardera cette vérité sous un angle différent.
Le 10/12/2017 à 15h 46
tenir compte d’un témoignage, élaborer une hypothèse de départ pour construire un jugement, une opinion, est beaucoup plus constructif que de chercher des preuves là où il n’y en a pas.
Faire confiance n’est pas vraiment pas l’apanage d’un esprit cartésien, c’est sa grande force et son immense faiblesse.
Le 10/12/2017 à 10h 46
les cartésiens et les zététiciens sont de retour avec leur incapacité à faire la différence entre une opinion et un fait vérifiable " />
Bruxelles rappelle l’Arcep à l’ordre sur l’ouverture du réseau fibre d’Orange aux concurrents
08/12/2017
Le 09/12/2017 à 19h 18
Le 09/12/2017 à 09h 29
Je dirais plutôt “proche des préoccupations de l’État français” : on peut être une entreprise publique ou quasi-monopolistique sur un marché et proposer des services non-marchands/universels/régulés/etc, avec une préoccupation du service rendu, au lieu d’une préoccupation d’influence diplomatique ou économique sur le reste de la Société.
Le 09/12/2017 à 09h 15
Le 09/12/2017 à 08h 05
Séparation fonctionnelle des activités d’Orange, telle est la solution viable.
Le 08/12/2017 à 17h 14
Mon exemple n’était peut être pas bon " />
Le 08/12/2017 à 12h 24
Un fournisseur de produits de luxe peut interdire à ses distributeurs agréés de vendre sur Amazon
07/12/2017
Le 07/12/2017 à 23h 51
le marketing est la science de l’image d’un produit : tout ce qui est vendu en supermarché ou en boutique de grande enseigne est principalement constitué par un emballage et une image de marque flatteuse/eur pour le consommateur.
Orange reprend du service universel, avec plus de contraintes
06/12/2017
Le 07/12/2017 à 23h 07
La conclusion de l’article est intéressante. Si c’est pour ajuster localement la réponse du service public aux besoins locaux, pourquoi pas. Mais s’il s’agit que l’Arcep fasse comme le CSA en demandant une complexité supplémentaire du dispositif pour justifier son existence et les moyens à sa disposition, ça me paraît ubuesque – d’autant que je n’ai pas le souvenir que l’Arcep ait déjà demandé la séparation des activités d’Orange (à la différence de l’Ofcom britannique vis-à-vis de BT/Openreach).
[Sondage] De la 4G via une eSIM/SIM dans les PC portables, ça vous intéresse ?
07/12/2017
Le 07/12/2017 à 16h 32
La question n’est pas de savoir si on veux être toujours connecté, mais si on aimerait que l’ordinateur portable soit connecté par réseau mobile 4G plutôt que par wifi (on peut bien déconnecter le wifi d’un ordinateur portable ou la connexion mobile 4G d’un smartphone).
Le 07/12/2017 à 14h 58
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Le 07/12/2017 à 14h 49
Quand on est avant-gardiste, il faut accepter les conservatismes.
D’ailleurs, actuellement, la publicité d’Apple What’s a computer ?» - publicité Apple vue ici - démontre bien que l’ordinateur “à papa” c’est terminé : Apple l’a dit, les autres constructeurs vont le généraliser " />
Le 07/12/2017 à 14h 38
“Ne se prononce pas”… parce queje reste dubitatifsur la question :
Enfin la radio FM et un compteur kilométrique pour la Model 3 de Tesla
07/12/2017
Le 07/12/2017 à 16h 26
Le 07/12/2017 à 16h 14
Au moins, Tesla a pensé à la radio FM contrairement à de grandes marques de smartphones que je ne nommerais pas (shame on you).
Vente privée : Free Mobile remboursera ses clients facturés trop tôt de 19,99 €
06/12/2017
Le 07/12/2017 à 09h 53
Personnellement, abonné Freebox de fin 2007 à début 2011, Free m’a toujours contacté par mails automatisés et courriers postaux automatisés. Et jamais aucune réponse à toutes mes demandes que ce soit par mail ou courriers recommandés. Je me rappelle notamment des événements suivants:
Peut-être aurais-je dû essayer en chat ou par téléphone surtaxé, ça aurait pu résoudre mes problèmes, qui sait? En tout cas, je préfère l’écrit, on garde une trace et je n’aime pas discuter en instantané à distance, surtout par appel surtaxé (le courriel, les SMS, Twitter sont mes amis).
Alors, ce n’est peut-être pas une arnaque (perso, j’aime bien croire à la bonne foi de mes interlocuteurs), mais en tout cas, de la part d’un commerçant, c’est de la pure bêtise car, en ce qui me concerne, il faudra plus qu’un tarif de 2€ par mois pour me revoir comme client. Dans les années 2000, BouyguesTel a refusé de me désimlocker un téléphone au motif que je n’étais plus client chez eux, je suis redevenu client Bouygues (Bbox) au bout de 10 ans (c’est bien parce que leur offre est pertinente actuellement et que BouyguesTel prend en compte mes doléances jusqu’à présent).
Le 06/12/2017 à 20h 11
parce que l’absence de mauvaise foi excuse le problème ?
L’honnêteté n’a rien à voir dans une relation de commerce, il s’agit plutôt de confiance (celle-ci se gagne difficilement et se perd très rapidement).
Le 06/12/2017 à 19h 37
Et s’il s’agit d’une erreur (selon la différence que tu as l’air de faire par rapport au mot arnaque), ça change quoi à l’affaire ?
Numérique en France : progression des usages, vie privée et millions d’exclus d’Internet
05/12/2017
Le 06/12/2017 à 12h 48
Perso, si je n’avais pas accès la latence faible de la fibre à 18€ par mois, il y aurait longtemps que j’utiliserais la 4G pour me connecter à internet à moins de 30€ par mois.
Le 05/12/2017 à 19h 34
« What’s a computer ?» - publicité Apple vue ici.
Le 05/12/2017 à 19h 14
En somme, à partir de 40 ans et avec une formation initiale de niveau professionnel sans le bac, on est bon pour faire des kilomètres afin d’atteindre l’accueil de Pôle-Emploi, CAF, CPAM, etc, dont on dépend et qui se situe généralement à plus de 10 Km (quand ce n’est pas à 30 Km pour les personnes n’habitant pas à proximité d’une préfecture ou d’une sous-préfecture) de son domicile.
Open Data « par défaut » : Next INpact traîne deux ministères devant le Conseil d’État
06/12/2017
Le 06/12/2017 à 10h 58
Prixtel ajoute de la data à son forfait Le complet
04/12/2017
Le 06/12/2017 à 08h 54
Si tu veux parler de la qualité technique, je n’ai pas connu de panne. Ceci-dit je suis un petit utilisateur de mobile (avant 2012 et avant Free mobile j’avais une carte prépayée que je rechargeais 4 fois par ans de 10€), donc mon avis ne vaut pas grand chose. Et il est évident que les MVNO servent de variable d’ajustement aux opérateurs de réseau pour rentabiliser au maximum leur infrastructure :
Le 04/12/2017 à 19h 17
Pour ma part,
Fibre : l’Arcep sort une carte des déploiements et prépare enfin la transparence
04/12/2017
Le 05/12/2017 à 20h 08
Et tu proposes quoi, à part râler sur des râleurs ?
J’attends le moment où, peut-être, tu vas nous dire que, parce que tu n’as pas le tout-à-l’égout, tu as une cabane au fond du jardinet que ça te va bien ? " />
Le 05/12/2017 à 08h 18
L’égalité et le marché, sont deux notions qui n’ont rien à voir : l’égalité est une notion politique et le marché, une notion économique. En l’occurrence, politiquement, personne n’interdit aux 4 gros opérateurs de fournir leurs services sur des RIP (bien au contraire). Peut-être n’y sont-ils pas suffisamment incités ? En tont cas, économiquement, sûrement que ces 4 FAI nationaux ne voient pas leur intérêt (pour le moment) dans la fourniture de leurs services sur des réseaux qui ne leur appartiennent pas, dans des conditions qui ne les satisfont pas, dans des zones moins denses qui les intéressent moins que d’autres zones pour lesquelles leur convoitise est plus forte.
Le 05/12/2017 à 08h 08
On n’est plus dans les années 1970-1980, l’État-providence et la planification, c’est fini. Dans une Société néo-libérale telle que la nôtre actuellement, l’État ne peut imposer que des redevances et autres impôts, tout se passe par la négociation avec les acteurs du marché (libéralisme=liberté économique).
Le 04/12/2017 à 19h 53
On voit qu’on est lundi vue la teneur des commentaires. Courage les gars, la semaine ne fait que commencer.
Le 04/12/2017 à 15h 59
pas du tout rentable, c’est vite dit. À la campagne, on a l’eau courante, les routes bitumeuses, l’électricité, le téléphone, etc. Et tous ces réseaux sont rentables (il suffit de cumuler le montant des factures depuis quelques dizaines d’années et comparer avec les investissements nécessaires (du déploiement du réseau et de la maintenance sur la même période) pour voir que la rentabilisation est faite depuis longtemps.
Ceci-dit, la rentabilité sur 3 ans n’existe pas dans ces endroits peut fréquentés.
Le 04/12/2017 à 13h 46
Le 04/12/2017 à 11h 17
Erreur de ma part : sur le site de l’Arcep, il n’y a que l’information concernant les opérateurs d’infrastructure (un FAI peut proposer ses offres commerciales sur le réseau fibre d’un autre opérateur).
Le 04/12/2017 à 11h 08
Quand un opérateur raccorde une habitation à son réseau fibre, il en informe au préalable l’ensemble des FAI de France. 3 mois après, quand tous les opérateurs ont eu le temps de réaliser le déploiement horizontal dans la rue ou de négocier un partenariat commercial, les offres commerciales peuvent commencer.
Une soit-disante exclusivité de 3 ou 6 mois, c’est du Bullshit de télévendeur pour faire patienter son client et qu’il n’aille pas à la concurrence.
Il existe des tests d’éligibilité comme ariase.com ou degrouptest.com ou sur les sites web commerciaux des FAI. Ou sinon, comme indiqué dans l’article ci-dessus : https://cartefibre.arcep.fr
#Replay : transplantation cardiaque, secrets des pyramides et joueurs durs à cuire
01/12/2017
Le 05/12/2017 à 15h 50
Ne dit-on pas : « Qui ne dit mot, consent. » ?
" /> je suis loin →
Marques : devant la justice européenne, l’iPad d’Apple l’emporte sur le MI PAD de Xiaomi
05/12/2017
Le 05/12/2017 à 10h 12
Plutôt que la référence au note-pad ou au mouse-pad ou je ne sais quel autre objet, je propose le mot ardoise conçu par l’Académie française et libre de droits : mi ardoise, ça sonne bien " />
Les Croissants nous détaillent leur matinale radio personnalisée, financée par les internautes
04/12/2017
Le 05/12/2017 à 08h 48
Quand j’ai testé Spotify ou quand j’utilise encore maintenant Netflix, j’ai toujours l’impression que l’algorithme tombe à côté avec cette idée très surévaluée qu’il sera en mesure de m’apporter ce que j’attends maintenant (chercher à quantifier une envie est un peu un “tue-l’envie”, c’est un peu comme les profils sur les sites de rencontre: comme si l’amour était une question rationelle).
Sur Spotify, Tinder, etc, un peu moins sur Netflix, j’ai l’impression de devoir donner des informations à l’algorithme pour lui permettre de mieux cerner mes goûts et mes attentes, mais j’ai bien conscience que l’algorithme ne me propose que ce qu’il peut me proposer (l’offre existante n’est pas extensible et sûrement pas paramétrée pour moi) et mes attentes du moment ne sont pas forcément génériques (l’humeur change, c’est l’aléa de l’être humain).
Bref, nourrir un algorithme pour le rendre plus intuitif, ça ne m’intéresse pas tant que ça. Et finalement, même si j’imagine aisément que l’algorithme sera, à l’avenir, une aide précieuse à la décision de l’être humain, je ne crois pas que l’algorithme puisse combler les lacunes d’une offre de toute manière limitée et sûrement pas paramétrée pour chaque individu (d’où l’importance de l’éditorialisation et la sensibilité des choix d’un vrai humain).
Six ans après l’arrivée de Free Mobile, des forfaits de 1 à 10 euros pour tenter d’attirer le client
30/11/2017
Le 04/12/2017 à 14h 09
La SACEM et la SACD plaident pour une redéfinition du statut des hébergeurs
04/12/2017
Le 04/12/2017 à 10h 26
En gros les Youtube, Dailymotion se cachent derrière une définition abusive du statut d’hébergeur (comme les NATUse cachent derrière une définition de la Net Neutrality qui leur convient), et les syndicats d’auteurs et d’ayant-droits se cachent derrière la Culture (avec un grand C) pour réclamer plus de diversité et plus de moyens de contrôle de leurs droits.
Tout ça est bien pratique pour tout ce petit monde de l’entertainment car finalement, l’enjeux n’est-il pas de négocier le paiement de droits et autres marges-arrière entre partenaires de bonne compagnie ?