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Idiogène

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4748 commentaires

Le 26/06/2019 à 11h 38

C’est en partie l’effet loi sur le renseignement et tout le reste qui est arrivé après… impossible de garder une indépendance avec une laisse numérique d’un côté et un directeur de rédaction peu regardant sur la qualité de l’autre.

S’ajoute les analyses vaseuses issues des statistiques dont ils ne connaissent pas les méthodes et hop… le réel est devenu technocratique alors qu’il n’avait pas nécessairement à l’être dans bien des cas.



Je partage le constat que toutes les opinions ne se valent pas.

Je comprends l’idée d’un conseil fixe mais même avec une relecture éclairée l’agenda du journal échappe à relecture, et c’est bien cet agenda qui pose un énorme problème sur le plan déontologique.










Le 26/06/2019 à 10h 39

C’est justement le rôle des éditorialistes que de donner une forme de cautionnement à l’information écrite.



Historiquement c’est ce qui garantit la pluralité de l’information dans la mesure où aucun journal ne cache en théorie ses orientations politiques. C’est plutôt l’incapacité de certains journalistes ou chef de rédaction trop prudents à toucher le réel qui est en cause : à force de se contenter des agences de presse les journaux sont devenus des relais et seulement des relais… donc à quoi bon parler de vérifier l’information si c’est pour amoindrir systématiquement la portée politique de celle-ci ?



Le journalisme ne devient pas objectif car il utilise un appareil photo. On croit nager en plein cauchemar en lisant entre les lignes une idée pareille.

Le 26/06/2019 à 08h 29

Pénal ou Pravda, il faut choisir. Intéressant…

Le 26/06/2019 à 11h 17

Si un OPJ la demande alors oui, il y aura transmission.

Le problème est que de mémoire FB n’est pas basé en France, donc cela doit effectivement passer par une coopération internationale avec l’Irelande.

Et d’autre part en théorie il faudrait une victime… mais bon !



J’imagine donc que lorsque la question est posée en des termes vagues la réponse procédurière l’est tout autant.

Le 26/06/2019 à 08h 32

L’art et la manière de ne pas incriminer les biais cognitifs des concepteurs d’IA faible. <img data-src=" />

Le 26/06/2019 à 10h 17

Dans ce cas précis je pense plutôt que le musée n’a pas de réponse (comment en aurait-il une) à la CADA.



Leur seul problème c’est la vente en boutique de reproductions dérivées avec marque apposée. Donc la CADA n’a pas tort de souligner dans sa réponse qu’il y aurait certainement une forme de licence ou de redevance, ce qui expliquerait que l’accord entre Paris et Baltimore n’a pas donné lieu à communication des scans 3D.



C’est cette correspondance qu’il faudrait avoir… pour connaître le montant exact.

Le 25/06/2019 à 17h 42

Ce qui n’a pas de sens c’est de vouloir user d’un droit moral imprescriptible lorsque il ne concerne pas l’objet de la demande. Tout en profitant de l’allongement de la rente…





Alexis Fitzjean ó Cobhthaigh lui a répondu que le droit moral « n’autorise en aucun cas les entraves à l’utilisation d’une œuvre, mais seulement les limitations aux usages susceptibles de porter atteinte à l’image de l’artiste ». Impossible en conséquence de fonder le refus de communication sur un tel droit.





Donc au musée de montrer que Rodin souhaitait limiter les moules il y a 100ans dans son atelier. Ou de monter que son usage de la copie avait été pensé. (l’impression 3D permettant de fabriquer entre autre chose des moules, le problème n’est pas technique !)

Le 25/06/2019 à 13h 08

Oui… en revanche que disait Rodin des moules ?

C’est le même problème : possibilité de recréer des bronzes échelle 1:1 sans autorisation, et par n’importe qui. <img data-src=" />

Le 24/06/2019 à 19h 48

La responsabilité morale est une notion qu’ils ne connaissent pas, par conséquent (réflexe du musée), l’ensemble des adeptes de numérisation n’en ont pas.

Le 24/06/2019 à 19h 44

Si cela peut amener des visiteurs dans leurs jardins je ne comprends absolument pas leurs réticences… ce musée est magnifique mais ils considèrent manifestement les bronzes comme leurs nains géants de jardin.

Le 26/06/2019 à 08h 24

Cela n’avait pas empêché des ventes à la Libye. On a connu la suite.

Le 25/06/2019 à 14h 20

Pour Noël ? <img data-src=" />

Le 25/06/2019 à 13h 25

Je conteste, c’est noir ou blanc dans le cas des autorisations android : seuls les périphériques sont pris en compte, pas les détails comme les identifiants uniques qui sont la clé de la collecte de datas.

Hors ce sont ces détails qui rendent possible dans le cas d’Apple par exemple de faire de la confidentialité différentielle sans respecter les conseils des mathématiciens et cryptographes ce qui aboutit à la dé-anonymisation a posteriori des utilisateurs.



La frontière ne cesse d’être repoussée et sans que s’en inquiète particulièrement le législateur.

Le RGPD est instructif à ce sujet : on protège les données, pas les personnes… exemple typique de la fausse bonne idée. <img data-src=" />

Le 25/06/2019 à 13h 02

Oui, sans en comprendre l’effet.

C’est donc tout à fait qualifiable d’escroquerie en bande organisée… en français, dans le texte. <img data-src=" />

Le 25/06/2019 à 12h 23

Sans plus de détails difficile de savoir exactement de quoi il s’agit comme espiogiciel.



Mais admettons, alors pourquoi la gendarmerie n’a-t-elle toujours pas ouvert d’enquête contre Google et Apple pour la vente des mêmes logiciels ? <img data-src=" />



Peut-on punir seulement ceux qui vantent leurs méthodes ouvertement et pas ceux qui les font passer pour autre chose du style… localiser mes amis ? Du style autorisations douteuses sur android ? <img data-src=" />



Ce ne serait pas comme si on ne voulait pas appliquer la loi hein !

Le 25/06/2019 à 16h 38

Il n’y a pas de malentendu, juste une querelle sur le style.



Je trouve gonflé d’exiger des sources inexistantes sur une problématique non traitée à ma connaissance de l’appropriation culturelle des termes issus de l’informatique. Le marketing étant un puissant outil de non-pensée vu de l’extérieur et renvoyant fatalement chacun à une prise de position individuelle supposant un travail personnel visant à répondre à la question posée. <img data-src=" />

Le 25/06/2019 à 16h 24

Et ça ose demander des sources histoire d’éviter de questionner la valeur. Formidable. <img data-src=" />

Le 25/06/2019 à 15h 27

Il n’y a pas appropriation injustifiée lorsque l’on parle d’une licence. Une licence n’est pas un droit de propriété c’est un contrat. Dans le cas de GNU un contrat à destination de l’utilisateur sans question mercantile.



Que l’appropriation d’usage de Linux passe par une communauté de dévs soit.

Mais je crois que personne n’empêche de faire des drônes de combat avec le noyau Linux dedans…



Dans ce cas il faudrait réécrire la GPL et y inclure des clauses de moralité. Du genre.





The Software shall be used for Good, not Evil.

Le 25/06/2019 à 14h 26

Une source pour expliquer que Linux est sous GPLv2 ? <img data-src=" />

Le 25/06/2019 à 14h 04



dont Linux représente 2%





Cela me rappelle une certaine courbe de Gauss. <img data-src=" />

Le 25/06/2019 à 15h 12

Bon par contre…





L’élue ne compte d’ailleurs pas s’en arrêter là. Au détour d’un second amendement, qui pourrait être examiné aujourd’hui, la présidente de la commission de la culture propose que les fonctionnaires soient sensibilisés « à la connaissance et à la compréhension des enjeux liés à l’écosystème numérique ainsi qu’aux modalités de protection des données personnelles ».








L’écosystème numérique : donc l’extraction de métaux rares dans des conditions inhumaines avec rejets d’eau non dépolluée et une énergie grise colossale en sortie c’est un bout de l’ecosystème… Pas mal, pas mal.

Le 25/06/2019 à 13h 27



Et rien concernant les grandes entreprises de l’énergie, des télécoms, les banques ?





Anéfé. <img data-src=" />

Le 25/06/2019 à 14h 15

Tactique de vieux : envoyer sa femme au combat d’idées pour faire taire la concurrence masculine et la subjuguer par séduction.



C’est très habile. Et cela crée des discussions sans résolution comme celle-ci. Réfléchissez un peu ! <img data-src=" />

Le 23/06/2019 à 22h 31

Si Marlène est de la partie…

Alors.



Doit-on regretter que le ridicule ne tue pas ?

Vous avez 4h <img data-src=" />

Le 23/06/2019 à 22h 12

Je l’ai déjà dit : boxs avec une gestion DNS locale. (ça améliore la redondance et prévient le DNS hijack sur des pans entiers de l’internet).

Comme ça à terme tout est bloqué par défaut et puis si un parent veut quand même accéder à du porn il le fera en âme en conscience comme avec les moteurs de recherche qui filtrent par défaut les résultats de recherche.

Le 23/06/2019 à 22h 06

Le DPI coûte un bras.





Pour tous les pays non répertoriés ci-dessous, l’âge minimum requis pour gérer son propre compte Google est 13 ans.





Rien n’est dit sur l’usage. Google propose même un “family link”.





Donnez à vos enfants de bonnes habitudes numériques





Et sinon.


Le 23/06/2019 à 17h 44

Résolveur DNS intégré à la boite-routeur avec interception des requêtes dns, une app de pilotage dédiée avec 2FA pour l’ordiphone du parent censeur (de porn, mais aussi de pub etc). Simple, efficace.



Les seules limites : vpn, dns chiffré. Et le coût du chipset de la box qui monte. <img data-src=" />

Le 23/06/2019 à 13h 30

La source de financement est importante mais vu les autres c’est du pain béni pour RT d’avoir la possibilité grâce au web et aux bouquets box de rentrer en rivalité avec les journaux Français… ne pas trop s’étonner non plus du créneau choisi.



Après Fact Checker n’est pas synonyme de journalisme d’investigation. La preuve :



(Ret.) General Michael Hayden, former Director of the CIA, former Director of the National Security Agency and former Principal Deputy Director of National Intelligence (George W. Bush administration)



Suis-je le seul à me demander ce que fait un as des ADM en carton dans le conseil de ce site ? <img data-src=" />

Le 22/06/2019 à 09h 58

Déjà punissable. Ce n’est pas le problème : l’ennui c’est la coopération des acteurs du web sous astreinte.



Je troll mais ce n’est pas la mer à boire ce texte. Finalement.

Le 21/06/2019 à 15h 55



Ce texte prohibe donc « le fait soit de fabriquer, de transporter, de diffuser par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support un message à caractère (…) pornographique », dès lors que ce contenu est « susceptible d’être vu ou perçu par un mineur »





Punissons également les fabricants de braguettes de ne pas détecter la pédophilie. <img data-src=" />

Le 23/06/2019 à 16h 31

Oui. <img data-src=" />

Le 22/06/2019 à 20h 00

Plus vrai que vrai. Le blanchissement de droit de l’homme est un sport national. <img data-src=" />

Le 21/06/2019 à 15h 15

Je suis d’accord que l’abus de troll ne pose pas de problème pour enquêter mais à chaque proposition de loi les bonnes questions ne sont pas soulevées et leur accumulation n’aboutit qu’à une dissuasion qui a aucun moment ne permet d’avoir une contre partie socialement désirable… la sanction sans proportionnalité n’est pas une bonne idée.

Le 21/06/2019 à 13h 04

J’ai lu “vidéo”, “téléphone mobile contenant”, “En garde à vue, il a expliqué”.

Quand on voudra sanctionner pour d’autres contenus il ne se passera rien…

Le 21/06/2019 à 12h 17

Alors l’IP ne doit pas être la seule preuve retenue ce qui explique des coûts d’identification supplémentaires.

Tu as un extrait, une source ? <img data-src=" />

Le 21/06/2019 à 12h 00

Et les républiques bananières ? C’est pas plus clair ?

Le 21/06/2019 à 11h 57

Oui =&gt; Hadopi. <img data-src=" />

Le 20/06/2019 à 20h 33

Je ne baisse pas les bras, j’attrapais un coquillage…



La licéité de la preuve ne peut être garantie sans authentification forte de l’auteur. Quand les utilisateurs auront l’envie d’être responsables, ils auront une clé publique personnelle. <img data-src=" />

Le 20/06/2019 à 20h 19


  • 10.000

Le 20/06/2019 à 17h 44

Encore faudrait il définir ce qu’est l’efficacité.

Les moyens sont chez Facebook, mais ce serait confondre doctrines de renseignement et de police. Je doute qu’il s’agisse d’une bonne idée. <img data-src=" />

Le 20/06/2019 à 17h 25

Alors dans ce cas imaginons comment poursuivre ces auteurs techniquement.

Je pressens qu’on va rigoler…

Le 22/06/2019 à 09h 54

Véhicule de collection c’est une définition qui ne se limite pas qu’à l’auto de parade… il y a de tout… même des voitures récentes. Le critère important c’est la rareté.

Quand ce n’est pas le kilométrage annuel qui est retenu c’est la rareté et l’investissement personnel du conducteur. Un assureur est en règle générale content de savoir que son client s’investit.

Tous les contrats ne sont donc pas identiques, dans certains cas l’usage quotidien ne pose pas de problème bien que spontanément l’idée d’une voiture de collection implique le contraire.

Le 21/06/2019 à 13h 14

Oui et on comprend bien que la logique de la technique entraine une course à la technique et ainsi de suite…

Moi j’appelle cela un cercle vicieux.



Rouler vite ne sert à rien, pas de gain sur la durée des trajets, c’est même expliqué avec les calculs dans les épreuves théoriques du code de la route.

Étrange qu’on ne retienne que les radars et pas le code… la riposte graduée avec les radars eu peut-être été une bonne idée à bien y regarder. <img data-src=" />

Le 21/06/2019 à 12h 10

Et on inventa le limiteur de vitesse pour éviter de regarder sans cesse le compteur plutôt que la route par peur du flash…

Exemple typique de la fausse bonne idée les radars. <img data-src=" />



Tu le dis toi-même, c’est un tout.

Le 21/06/2019 à 11h 42

Oui, c’est seulement la moitié de leur raisonnement.

Quand bien même la voiture serait ancienne le status collection implique un entretien conséquent, donc un soin apporté au véhicule qui peut très bien être un véhicule principal.

En règle général un collecteur est moins dangereux qu’un utilisateur lambda car il prend plus de risques corporels avec son véhicule donc il est réputé plus à même de maitriser son véhicule.



C’est pour illustrer l’idée que la technique ne protège pas un conducteur de ses turpitudes.

Ce n’est donc pas si simple de décréter une mesure de sécurité routière quand l’accidentologie (le réel quoi) est plus subtil.

Le 20/06/2019 à 20h 50

Le nombre de morts baisse chaque année de 1970 mais n’est pas spécifiquement imputable aux sanctions prises qui représentent finalement bien peu de morts évités en comparaison de l’enseignement, des équipements de sécurités des véhicules, leur construction etc.



Un truc qui me fera toujours bien rigoler quand on me parle de sécurité routière c’est les assurances “voitures de collection”. Les assureurs savent d’expérience qu’un conducteur qui conduit une poubelle de 1988 mais la bichonne est moins accidentogène que madame de 35 ans, prudente, avec sa voiture dernier cri. <img data-src=" />

Le 20/06/2019 à 20h 17

Les arguments ne mélangent rien, un argumentaire est par définition un mélange d’arguments ! <img data-src=" />



Si l’article n’est pas une thèse on pourrait y reprocher l’absence d’un fil directeur mais là il s’agit de montrer que non, l’obligation légale du port du casque à vélo est contre productif eu égard à l’ambition de voir le vélo adopté massivement.

Le 20/06/2019 à 18h 44

La ceinture de sécurité évite seulement des lésions plus graves qu’elles ne le seraient dans un intervalle de vitesses d’impact bien défini, au delà elle est inutile et peut même être un obstacle à la fuite si le carburant prend feu !

Je sais, dur dur d’être imbibé…

Le 21/06/2019 à 15h 44

Matériel.net avait l’avantage d’offrir des informations sur l’évolution du prix des produits, pas mal d’expertise en montage PC rare pour l’époque au lancement et aussi des produits introuvables en France.



La fusion a fini d’arrondir les angles rendant les choses lisses et au final la concurrence s’est effacée.

Par contre le service client a gagné en réactivité et suivi (mais ce n’est pas gratuit pour autant).

Le 21/06/2019 à 12h 30

La sanction du journal que tu évoques est limitée aux effets du délit en gros : seul le tirage est sanctionné, pas le fond de l’affaire qui est acquis.



On pourrait imaginer sanctionner la publication d’images de vidéosurveillance si elles avaient été diffusées sauf que la règlementation vise a priori la captation d’images sans information préalable et dans des conditions non autorisées… la loi de 1881 est pensée sur un mode de sanctions a posteriori.



Donc si on souhaitait calibrer l’amende un peu mieux, on la ferait déjà supporter au(x) responsable(s) de l’installation et éventuellement à l’entreprise ayant installé le dispositif en connaissance de causes ou alors en lui demandant de certifier la date d’installation du système pour faire débuter la période assujettie à l’amende.