Hypocrate traitait les ulcères cutanés avec de l’arsenic… se demande comment en faire un shampoing
Le
28/09/2020 à
19h
38
La notion de polluant est applicable à toute molécule selon le dosage. Je n’ai jamais dit que le CO2 était intrinsèquement toxique comme l’est l’arsenic. Donc si effet de serre trop de CO2… donc le CO2 pollue le mélange de l’air (azote, oxygene etc).
Le
28/09/2020 à
19h
10
Le CO2 est un polluant en grandes quantites. Comme beaucoup d’autres gaz le problème c’est le mélange.
Le
28/09/2020 à
19h
08
A usage constant le seul indicateur est la démographie. L’effet rebond est un problème lorsque les externalités négatives sont mal maitrisees : transports en centre ville insufisants, charbon et mineurs…. On peut l’appliquer à la consommation de combustile nucléaire en 1960 mais vu le taux d’équiment des menages en 2020 l’effet rebond porte sur le CO2 diminué par habitant… et pas en effet le CO2 global car la démographie à taux constants fera qu’il y aura plus de CO2 émis dans tous les cas…
Quant au tirage par le bas du marché il provient de l’absence d’obligation par ACV. Si on pratiquait ce type de d’objectifs (la méthodologie) il y aurait 2 ou 3 marques chez Darty. Comme pour l’économie numérique en gros….
Le
28/09/2020 à
18h
31
Ah mais que le coût devienne nul personne n’en doute sérieusement. Il suffit de regarder le PIB… Mais au passage on a dépollué la proportion individuelle de CO2/energie electrique… pour des eurosoviets c’est déjà pas mal non ? Mais bon, il n’y avait pas d’espérance de frigo au goulag c’est vrai…..
Le
28/09/2020 à
17h
30
Les économies d’énergie marchent grâce à des brevets ou la production d’un savoir. C’est donc bien rentable pour le fabriquant ou le concepteur.
Faut-il payer à l’achat les kw/h en moins de consommés ou après ?
Je te laisse reflechir là dessus…
Quant à la pollution relis les magouilles reellement escrologiques de wolkswagen et on en reparle….
Le
28/09/2020 à
17h
25
Oui le cycle de vie se rapporte à l’objet (materiaux, transport, recyclage…), pas tant au marché et la dépense globale que cela implique.
Donc brevet d’un constructeur en Europe = A contre G ou F pour une techno standard. Là on valorise la performance sur le marché. Rien de bien évident à comprendre côté performance écologique.
Le
28/09/2020 à
15h
56
Tant qu’il n’y aura pas d’ACV sur les étiquettes on ne peut pas faire de vrais indices. Ce qui explique pourquoi les appareils chinois sont au niveau A+++ apres quelques années mais ne le seraient jamais si on raisonnait en ACV !! Faut pas chercher plus loin la justification de ces étiquettes.
Je ne dis pas qu’il ne faut pas fonder. Je dis que vu les schémas que j’ai vu circuler, la resistance à la compression d’un remblai correct (pierres ou autres) suffit à répondre au problème si toutesfois il est correctement mis en oeuvre. Ensuite le fer permer d’avoir la resistance à la traction (contreventement). Là encore le béton ne présente pas d’autre intéret que sa mise en oeuvre simplifiée et a donc un cout (le clinker) trop élevé en CO2 pour rien de très innovant. Observe les édifices en pierre, tu verras que la poussé d’archimède c’est pas très explicite au moyen age mais plutot bien maitrisé quand meme…..
Centre de gravité plus bas, moins de masse en piettement. Si c’est pas possible il existe aussi des pylônes electriques en treillis depuis 70 ans… pour un programme Nationaliste de transition énergétique ce serait pas si con plutôt que de fabriquer des prises au vent démesurées avec des mats certes ronds, mais pleins en exterieur et vides à l’intérieur…
Pas le même ordre de grandeur en individuel mais l’usage reste collectif et a un impact groupé (logement + reseau). Au final je pense que c’est malheureusement comparable…. Pourquoi sinon ferait-on payer les remblais ?
Tant mieux si on sait faire des choses, mais ça n’évite pas l’éceuil constructif qui est bien commun… !
Les derniers points je te renvoie au experimentations E+C. Il suffit de faire de la cogénération à tous les niveaux AVEC la forme batie. Donc a résolu ce problème assez rapidement. :-)
Le
28/09/2020 à
10h
20
deathscythe0666 a dit:
Non, le béton est un problème aussi, on ne fait pas des constructions qui sont soumises à des contraintes importantes (il faut bien comprendre que pour qu’une éolienne fournisse une puissance de 3 MW, il faut qu’elle oppose une résistance au vent qui se transmettra au pied) avec n’importe quoi (d’où le problème d’accès à un sable correct pour le secteur de la construction)
Et lorsqu’il n’y avait pas de béton armé, il y a à peine 150 ans, on construisait bien mieux. Est-ce à dire que les ingénieurs béton sont des abrutis incapables de construire correctement ? Sérieusement, je suis tenté de dire oui dans pas mal de cas… car c’est bien le métal qui donne la forme et la résistance, le lestage au vent tu peux l’avoir avec n’importe quoi de la même masse volumique… c’est un fait assez simple qui est vite oublié.
Le problème des ENR, ce sont tous les matériaux (il en faut en ordre de grandeur de 10 à 100 fois plus que pour des moyens concentrés)
On peut aussi les faire moins hautes et dégager de l’espace autour. Ou tant qu’à construire par ordinateur s’amuser à les dessiner dans le sens d’une économie de matériaux comme Violet de le Duc l’avait suggéré.
Avec un impact non négligeable et surtout plus important que si on utilise des énergies plus concentrées.
Tu creuses pour faire une maison, c’est pas plus grave ou j’ai mal compris ?
Là, le problème change encore de dimension : l’offshore est extrêmement cher et sa durabilité est encore à prouver. Un des projets offshore emblématiques actuellement en développement va produire de l’électricité au prix … de l’EPR de Flamanville.
Quand on veut que ceci ou cela coûte cher, on prend surtout des gens qui ne savent pas construire. 99% des cas.
C’est pas aussi efficace qu’une “ferme” solaire, il faut l’orientation correcte notamment.
Il existe des PV suiveurs dans ce cas. (pilotables…) Et là encore, quelque chose de bien construit présente les qualités requises (exposition principale au sud).
Mouais, une centrale thermique c’est quelques hectares et ça a une puissance (pilotable) de plusieurs GW en général (avec plusieurs générateurs).
C’est pas pire au final. Tu peux piloter les besoins industriels qui font les 3.8 mais dans l’habitat c’est inutile.
Le
28/09/2020 à
09h
52
deathscythe0666 a dit:
750 millions de tonnes de béton (pour les socles d’éoliennes),
Remplace béton par gravâts avec un peu de ciment le problème est réglé. Le problème c’est l’acier (mat et ferraillages), pas le béton.
quelques millions de tonnes de néodyme
Faut creuser…
7500 km² (bien exposés) où mettre les éoliennes;
On les as en mer.
et qqch comme 5000 km² pour les panneaux PV, ce qui doit faire pour les deux dans les 5% de nos terres cultivables.
Ou 50% d’emprise au sol des toitures. Soit une bonne diminution des 5% de terres cultivables.
Tout ceci déduit des emprises existantes (centrales à charbon etc), le rendement c’est pas si grave je trouve.
Le
26/09/2020 à
05h
10
Si on parle en rendement sur l’automobile. Un moteur thermique c’est en gros 30⁄35% de rendement de la pompe à la voiture. Pour un véhicule électrique à hydrogène, si on prend en compte 70% de rendement de l’électrolyse et 50% de rendement sur la pile à combustible on arrive à un rendement de 35% de l’électrolyseur à la voiture.
La clé de l’hydrogène c’est pas tellement les usages ponctuels comme la voiture mais plutôt les logiques de co-génération ou de stockage. Ici on peut réduire l’entropie significativement.
Le rendement global des systèmes est très favorable d’autant que pratique : indépendance vis-à-vis des réseaux possibles, technologie aussi safe que le gaz qu’on connaît déjà, latence correcte si production locale etc.
La batteries resteront compétitives même à long terme. Dans tous les cas on ne fait qu’ajouter les cordes à notre arc. Après il faut pouvoir gérer les énergies comme on gère des sources et c’est pas si simple politiquement…
Le
26/09/2020 à
05h
01
Loeff a dit:
La capitalisation actuelle démontre quand même une confiance aveugle envers la société. Musk annonce monts et merveilles, des annonces folles, et finalement il n’y a rien de concret, juste des approximations et possiblement une batterie un peu moins cher s’ils arrivent surmonter quantité de contraintes techniques bien réelles sur lesquelles beaucoup se sont cassés les dents. Réaction logique de la bourse. Si la capitalisation était plus “réaliste” vis-à-vis de son potentiel à court ou moyen terme (vis-à-vis de ce qu’elle produit vraiment), peut-être que ce serait plus stable, mais Tesla est une action hautement spéculative, la faute à Musk. Mais d’un autre coté, si Musk n’avait pas été là, je doute que Tesla serait encore là aujourd’hui, il fallait un Musk pour se voir accorder des fonds quand tous les voyants étaient au rouge.
La capitalisation porte aussi sur les partenariats avec panasonic et autres. Mais ce n’est pas vu.
Le problème de Tesla c’est qu’on se concentre effectivement sur Musk et pas le marché des batteries en toile de fond qui progresse lentement mais sûrement. Le coût du kw/h en neuf est largement compétitif maintenant (divisé par 10 en 10 ans), encore plus compétitif dans l’occasion (powerwalls de récupération, retro-fits à base de packs Tesla ou d’autres constructeurs)… tout ce monde qui fait vivre les ingénieurs et scientifiques est absent du débat et même très occulté par le marketing donc la bourse spécule encore une fois sans rapport avec le marché REEL des batteries. Sans avoir cette hauteur de vue qui justifierait qu’on en ait besoin pour vivre… comme d’habitude. Musk incarne donc la contestation et l’innovation à cause des actionnaires qui ne veulent pas réfléchir plus loin que le bout de leur nez tout en restant libéraux tels des moutons de panurge prêts à suivre celui ou celle qui personnifiera le plus la tech.
Ainsi à chaque annonce c’est la déception tant le problème reste assez ordinaire (une batterie reste un réservoir…) AMHA.
Pensée magique. Il n’y pas de conversion linéaire. Encore moins proportionelle.
Mais sors nous donc la part individuelle des impots européens qui finance le CERN. L’audience serait certainement ravie de se libérer du joug des stakanovistes Européens ! Ou de découvrir que l’abonnement à NXi est peut-être plus élevé…
Le
28/09/2020 à
17h
06
Point qui n’a toujours pas été étayé par une analyse détaillée du budjet de fonctionnement du CERN. Même pas d’ordres de grandeurs affirmés.
A moins que la recherche nécessite en effet de retourner à des casemattes dont le coût est en effet moins dispendieux pour des résultats meilleurs en multiples diatribes et invectives tant le scientifique doit être mis à nu pour retrouver la nature et continuer d’être persécuté dans son existence même par des juges et parties d’un seul tenant. Dans cette hypothèse farfelue, ta partialité évidente serait en effet conservée.
Le
28/09/2020 à
15h
45
C’est ton hypothèse. Tu n’as pas montré en quoi le CERN devrait être rentable sur un plan énergétique. Ni en quoi le cout de l’étude serait disproportionné, ni en quoi le travail in situ serait une torture pour les ingénieurs, ni enfin en quoi il y aurait escroquerie ou atteintes disproportionnées à l’environnement.
En effet, les dépenses du CERN ne sont pas invalidées par ses conséquences. Donc soit le rapport en question est accablant et tu peux t’appuyer dessus pour geindre sur les vers de terre massacrés soit c’est une escrologie auquel cas c’est la nature subventionelle globale qui est attaquée… mais comme tu l’as toi-même rappelé le CERN ne fait pas de prêt, il reçoit des subventions et subventionne.
Bref, c’est toi qui regresse.
Le
28/09/2020 à
10h
22
Dommage qu’on ait pas inventé alzaman pour entretenir cette flamme.
Le
28/09/2020 à
10h
03
C’est toujours plus drôle que le retour de Léguman
Le
27/09/2020 à
17h
46
Je vais donc te citer : “Si le raisonnement logique de ma réfutation (mon 1er §) t’échappe, c’est que tu n’as pas fait ton travail (ou pas compris) : je ne suis pas ton employé (ou ton instructeur), ce n’est pas à moi de prouver le point, mais à celui qui l’affirme.”
Applique donc tes propres règles à toi-même avant d’espérer débattre.
Histoire humaine des ingénieurs et doctorants sur site. C’est plus clair ?
Absorbé signifie que le coût est indissociable de la nature de la dépense, pas qu’il n’en serait pas arbitrairement séparable par un artifice comptable. Au final, dénoncer les artifices comptables pour en proposer d’autres ne sert à rien. Encore moins à servir les sciences.
Hypothèse non réfutable car tu n’as à aucun moment produit la comptabilité du CERN et ce qu’il devrait faire impérativement. CQFD
Non, 50% en moins par rapport à la moyenne nationale au bout de 6 mois. = rentabilité
Le
26/09/2020 à
22h
34
tmtisfree a dit:
Réduire les impacts sur l’environnement coûte de l’argent dans TOUS les cas, justifiés ou non. Tant que les analyses coûts / bénéfices n’ont pas été correctement réalisées avec des métriques et méthodes d’évaluation et d’estimation appropriées, il est impossible d’affirmer le contraire quelque soit l’échelle envisagée. À moins de croire aux licornes magiques.
(…) le gaspillage de temps et de ressources financières publiques et humaines engloutis à pondre des rapports qui sont essentiellement des postures de greenwashing et qui finiront à la broyeuse comme les autres. Une pure perte pour la société.
L’histoire humaine ne part pas à la broyeuse. Si le CERN arrive à atteindre les objectifs fixés plutôt génériques, le coût de ces objectifs est déjà absorbé par le sujet d’étude in situ et lui-même déjà provisionné… ceci est une hypothèse non réfutable toutes choses égales par ailleurs.
Mais non, il faudrait crucifier les escrologistes dont l’emprise financière moyenne avoisine les 0,006% dans le bâtiment pour en moyenne une réduction de 50% de la note d’énergie consommée dans les 6 mois… c’est l’homme du terrain et de l’ombre qui te le dit.
Je crois avoir compris te méthodes d’évaluation: si ce n’est pas à perte, alors le monde devient économiquement viable et la rhétorique une calamité d’un autre temps. C’est à de demander qui je cite [cède] à cette ““pression”” auto-infligée, (…) pour apaiser sa conscience de péchés fantaisistes””
Ce que tu appelles des articles à charge contre, ne sont rien d’autres qu’une suite de poncifs de la part de personnes qui n’ont fait AUCUN test à partir du code source.
Jusqu’à preuve du contraire, un code source n’est que la traduction des fonctions qu’on lui demande de remplir. La qualité du code source ne présume en rien sa qualité d’usage (windows est un exemple… il y en a d’autres)
Je ne vois pas donc en quoi une connaissance technique particulière serait nécessaire pour comprendre la notion d’identité numérique… et encore moins nécessaires pour saisir que des identitéS sont en réalité le vrai sujet du débat.
Le
26/09/2020 à
15h
16
Plutôt d’accord en fait.
La question c’est celle de savoir si on peut identifier nominativement, pas nominativement, par pseudonyme peu importe, une action faite avec un système à un instant T par le logiciel mis en place. En gros, indépendamment de la hiérarchie applicative choisie, le fait que le processeur lise les données suffit à démontrer a posteriori qu’il y a eu une action. C’est seulement un jeu de piste causal plus ou moins difficile à remonter pour arriver à une source, et ce, que l’application dise “je suis anonyme” ou pas. Par bluetooth ou pas. Toute communication requiert un échange…
D’où ma remarque sur la qualité supposée du tiers impliqué : le concepteur du système.
C’est le recours au tiers pour une action banale qui n’a aucun intérêt dans tous les cas. On a pas besoin de StopCovid pour signaler à ses congénères qu’on est malade, cette application ne sert au mieux qu’à faire travailler gratuitement les citoyens pour enrichir des modèles prédictifs d’épidémie, au pire à isoler si nécessaire un peu plus les citoyens et à se supplanter à desseins à leur bienveillance mutuelle innée.
Le
26/09/2020 à
05h
22
On est pas des chats de Schrödinger : on ne peut pas être malade et pas malade.
L’absolu du problème reste le tiers par lequel passe l’information. Donc on ne sortira jamais techniquement de la notion de confidentialité. Ou alors, il faudrait que tout le monde devienne une bombe cryptographique ambulante et dissimule ses traces sous une quantité intraitable de données non-pertinentes : je doute qu’un état prenne ce risque en laissant aux citoyens le choix de leurs parures techniques…
Il fallait donc nommer ce logiciel (en français) stop-parures, avec deux p, comme dans supputer.
Du contenu illégal resterait en ligne parce qu’on arrive pas à prouver qu’il est illégal…
Un propos diffamatoire reste publié avant sa condamnation. Je ne vois pas le problème.
Le
28/09/2020 à
11h
00
Le problème reste que l’illicéité d’une vidéo est plus simple à montrer que sa licéité. Donc par définition, étant hors interdictions manifestes, c’est l’accusation qui y gagne et la défense qui y perd à démontrer que ce qui n’est pas interdit est autorisé sur des bases extérieures au droit (en l’occurrence l’usage et la technique).
C’est donc loin d’être “automatique” car il y a création de valeur lorsque dans l’autre cas (illicéité supposée) on en enlève ou on filtre.
L’article 17 n’est pas si incohérent dans sa définition d’un principe d’égalité des parties au final… on pourrait même le modifier avec les exceptions au droit d’auteur Français comme la courte citation et les autres afin de recadrer cette fois avec les bons trous fondements les exceptions !
Le
28/09/2020 à
10h
32
Bah non, il faut que ça reste vague ! Comme ça, vu qu’il y a présomption de culpabilité, bah il peuvent ratisser large et récolter un max de pognon sur le dos d’honnêtes personnes.
Présomption de culpabilité technique, c’est donc un problème technique, pas de droit. #polichinelle
Le
28/09/2020 à
10h
05
Les éclaircissements techniques c’est le travail de la HADOPI. En théorie seulement.
Le
28/09/2020 à
09h
37
Poppi enregistre son nouvel album : il bénéficie donc de la présomption d’innocence. (c’est pas plus capillotracté que ce dessin animé comme réponse ! bonus)
Personnellement, je trouvais ça déjà absurde il y a des années (comme je le dis, ça fait longtemps que j’utilise un thème stylus), ça aurait dû être fait dès le début. Après, j’imagine qu’il y a eu de longue discussion et que comme ici, il a fallut convaincre les personnes qui refusait ce changement (la FAQ semble aussi destiné aux membres de Wikipédia). Des rumeurs, dans les membres de wikipédia, il y aurait de sacrés têtes de mule. Le statu quo est alors la seule évolution possible.
Le changement d’interface, ça fait toujours râler les gens, facebook et twitter en font souvent l’exercice. De manière générale, faire changer les habitudes, c’est difficiles au point que parfois le changement ne peut venir que d’un nouveau projet.
(reply:1826698:Idiogène)
Ca existe, j’ai vu ça, soit tu te connectes et tu as une option pour, soit tu ajoutes ?useskin=skinnameà la fin de l’url en remplacer skinname par l’un des skins suivant :
0
1
2
amethyst
chick
cologneblue
modern
monobook
myskin
nostalgia
on
simple
standard
vector
Ce que tu explique, c’est le principe de HTML+CSS, HTML, de la séparation de l’information structurée et sa mise en page.
Fonctionne pas chez moi. Par contre on pourrait en effet structurer autrement les pages, avec un thème de structuration “à la carte” donc… qui serait juste un bouton à choix multiples et le navigateur fait le reste. (un peu comme l’option lecture de FF mais plus travaillée évidemment).
Il existe bien des versions mobiles donc je ne vois pas en quoi ce serait plus difficile de rendre le paramètre “taille d’écran” manuel, à minima (je sais bien que CTRL+molette existe mais je pense aux autres).
Le
28/09/2020 à
05h
16
Et pourquoi pas faire des thèmes plutôt qu’un seul ?
Il est où le problème à comprendre que l’affichage unitaire provient du livre et qu’ici personne ne sera jamais d’accord sur une mise en page vu que la page n’existe pas comme le reste des pseudo contraintes subjectives ajoutées pour rendre l’outil métaphoriquement pertinent alors que là encore, c’est pas le sujet !
Dans les eaux internationales difficile de se revendiquer propriétaire de l’air. Il y a toute une polémique sur les 26/27ghz avec les météorologues d’ailleurs…
Après pas besoin de 10w pour faire de la vod à 4 mètres… c’est le même problème d’usage en effet. Il y a une frise interactive qui résume le document, pas besoin de cachet.
Le
28/09/2020 à
08h
21
patos a dit:
En France, ce type d’équipement ne peut t’être vendu que par un opérateur, et est donc configuré pour les fréquences que l’opérateur loue. Tu n’as pas le droit de l’acheter “nu”. C’est pour ça que dans la news, il est bien dit que Samsung à Verizon comme partenaire “pour commencer”
Et on se demande bien pourquoi on devrait louer des fréquences à 3000mhz alors que le wifi à partir de 5160Mhz existe aussi et fait aussi bien (voir mieux côté exposition aux ondes) que de la 5G…
(quote:1826639:j34n-r0x0r) A-t-on encore besoin de ce discours pour respecter (ou ne pas respecter) notre environnement ?
Disons qu’on a surtout besoin d’exemples de réalisations où l’environnement est un paramètre avec lequel on a correctement joué… car on s’en fout un peu de la béatitude lorsque le danger guette ! Action !
Le
26/09/2020 à
22h
59
Le rien fait partie de l’univers ? rien =/= vide (au sens de non-être quoi).
Le
26/09/2020 à
21h
16
Sauf si derrière la limite il n’y a absolument rien ! Le rien serait infini… pléonasme ? (question pas si littéraire en fait)
(quote:1826516:j34n-r0x0r) C’est possible, comme la théorie de l’extension/contraction ou du multivers… mais pour l’instant on ne peu pas prouver ces modèles (et peut-être même que les moyens pour le prouver ne sont pas applicable partout) donc tout est possible.
Prend n’importe quel modèle que tu puisse dessiner ou représenter sur un tableau et met toi 5 secondes a la place du curieux qui te demande “ et en dehors du dessin il y a quoi ? comment le savoir ? “.
Il y a un moment ou la science est obligé de dire ” je ne sais pas encore “ et c’est plutôt une bonne chose pour ne pas foutre les scientifiques au chômage.
Mais si on sait répondre : il y a du vide. La surface du tableau suffit à montrer qu’il y a bien quelque chose en dehors du dessin dont les limites sont le dessin lui-même… Le problème c’est en dehors du tableau il y a quoi ? Un mur ? Une rue ? etc.
Tout corps étant causé par un autre on peut continuer longtemps dans un sens comme dans l’autre : avant le big bang, il y avait quoi ? Et avant ce qu’il y avait avant le big bang il y avait quoi ? Avant, et avant ? etc
Le temps parait plus énigmatique que l’espace à mon sens. D’où que ce doc bien qu’étant plus orienté biologie pose la bonne question : combien de temps faut-il à un environnement pour “tester” toutes les combinaisons moléculaires avant d’arriver à la vie qu’on connaît, et pourquoi cela marche si bien. Même remarque sur des atomes pour qu’ils forment un univers observable par ces mêmes formes de vie !
Le
25/09/2020 à
10h
20
Ce qui serait bien avec la vie sur d’autres planètes c’est que StopCovid pourrait enfin fonctionner avec quelques milliers d’années d’avance sur la transmission inter-planétaire du virus. La psychose deviendrait vite universelle cela dit…
Non. Il a saisi au clavier. Chaque lettre est identique à la précédente ou la suivante. Donc la police de caractère est saisie et non dessinée : clavis Sauf à considérer que Flock, à la bourre, écrit des lettrines entre chaque série de strips. Peu probable ! Autre grille de lecture, on peut prêter implicitement au personnage (Tim Cook) un lapsus linguae dans la mesure où il parle Anglais et non le Français.
Le
26/09/2020 à
20h
46
Non, entre clavis ou linguæ il faut choisir son lapsus.
Le
26/09/2020 à
15h
03
Celui de 2005 avec un photoshopage façon Trump. Ce combo…
Pour disperser une manifestation “A terme il est même prévu d’envoyer automatiquement des SMS à tous les téléphones qui captent sur les lieux de la manifestation, et cela pour mieux faire passer les consignes.”
Sans doute que ce gouvernement se décide enfin à investir parce qu’il a plus peur des manifs que des terroristes ou des catastrophes naturelles.
En même temps quand on voit que les élus du Sud-Ouest relaient les appels à la désobéissance, je sens que la fin du quinquénnat va être “sportif”
C’est la révolution orange, rebelote.
Le
27/09/2020 à
08h
11
La sirène va normalement avec le plan de prévention des risques, plan de prévention des risques qui fait partie du DTU fourni à l’achat ou location de ton logement. Bon si t’es as en zone à risque forcément t’as rien :)
Sinon le réflexe où que tu sois et d’allumer une radio FM pour écouter les instructions, le kit de survie : (une radio / une lampe de poche avec des piles - ou à manivelle-, connaître où se confiner)
Le plus comique c’est qu’en cas d’alerte avérée par sirène, il ne faut pas utiliser les réseaux de téléphonie afin de ne pas surcharger les appels d’urgence, mais ça peu le savent… comme le reste des conduites à tenir.
(reply:1826279:ProFesseur Onizuka) Nos : pas tellement sur les crypto offre : manque d’unité inutiles : pas plus que le reste de la tech, même moins rémunérateur vu les contraintes de sécurité !
Après la planche à billets c’est une autre affaire, le problème c’est de savoir si ce sont bien des billets ou non
Donc oui, je suis d’avis que le numérique peut grave aider à faire diminuer les émissions. Mais pour ça, faut revoir, privilégier, encourager un certain nombre de pratiques.
Ce ne sont pas les émissions qui diminuent, ce sont les usages qui augmentent !
La brève lie dans le détail : “ 2x24MW of power supply / 30 Diesel Generators with 50 hours run time at full load”
4748 commentaires
De nouvelles étiquettes énergétiques arrivent, à quoi faut-il s’attendre ?
28/09/2020
Le 28/09/2020 à 19h 53
Hypocrate traitait les ulcères cutanés avec de l’arsenic… se demande comment en faire un shampoing
Le 28/09/2020 à 19h 38
La notion de polluant est applicable à toute molécule selon le dosage. Je n’ai jamais dit que le CO2 était intrinsèquement toxique comme l’est l’arsenic.
Donc si effet de serre trop de CO2… donc le CO2 pollue le mélange de l’air (azote, oxygene etc).
Le 28/09/2020 à 19h 10
Le CO2 est un polluant en grandes quantites. Comme beaucoup d’autres gaz le problème c’est le mélange.
Le 28/09/2020 à 19h 08
A usage constant le seul indicateur est la démographie.
L’effet rebond est un problème lorsque les externalités négatives sont mal maitrisees : transports en centre ville insufisants, charbon et mineurs….
On peut l’appliquer à la consommation de combustile nucléaire en 1960 mais vu le taux d’équiment des menages en 2020 l’effet rebond porte sur le CO2 diminué par habitant… et pas en effet le CO2 global car la démographie à taux constants fera qu’il y aura plus de CO2 émis dans tous les cas…
Quant au tirage par le bas du marché il provient de l’absence d’obligation par ACV. Si on pratiquait ce type de d’objectifs (la méthodologie) il y aurait 2 ou 3 marques chez Darty. Comme pour l’économie numérique en gros….
Le 28/09/2020 à 18h 31
Ah mais que le coût devienne nul personne n’en doute sérieusement. Il suffit de regarder le PIB… Mais au passage on a dépollué la proportion individuelle de CO2/energie electrique… pour des eurosoviets c’est déjà pas mal non ?
Mais bon, il n’y avait pas d’espérance de frigo au goulag c’est vrai…..
Le 28/09/2020 à 17h 30
Les économies d’énergie marchent grâce à des brevets ou la production d’un savoir. C’est donc bien rentable pour le fabriquant ou le concepteur.
Faut-il payer à l’achat les kw/h en moins de consommés ou après ?
Je te laisse reflechir là dessus…
Quant à la pollution relis les magouilles reellement escrologiques de wolkswagen et on en reparle….
Le 28/09/2020 à 17h 25
Oui le cycle de vie se rapporte à l’objet (materiaux, transport, recyclage…), pas tant au marché et la dépense globale que cela implique.
Donc brevet d’un constructeur en Europe = A contre G ou F pour une techno standard.
Là on valorise la performance sur le marché. Rien de bien évident à comprendre côté performance écologique.
Le 28/09/2020 à 15h 56
Tant qu’il n’y aura pas d’ACV sur les étiquettes on ne peut pas faire de vrais indices.
Ce qui explique pourquoi les appareils chinois sont au niveau A+++ apres quelques années mais ne le seraient jamais si on raisonnait en ACV !! Faut pas chercher plus loin la justification de ces étiquettes.
Battery Day de Tesla : derrière les chiffres et les belles promesses, quelle réalité ?
25/09/2020
Le 28/09/2020 à 19h 28
Je ne dis pas qu’il ne faut pas fonder. Je dis que vu les schémas que j’ai vu circuler, la resistance à la compression d’un remblai correct (pierres ou autres) suffit à répondre au problème si toutesfois il est correctement mis en oeuvre. Ensuite le fer permer d’avoir la resistance à la traction (contreventement). Là encore le béton ne présente pas d’autre intéret que sa mise en oeuvre simplifiée et a donc un cout (le clinker) trop élevé en CO2 pour rien de très innovant.
Observe les édifices en pierre, tu verras que la poussé d’archimède c’est pas très explicite au moyen age mais plutot bien maitrisé quand meme…..
Centre de gravité plus bas, moins de masse en piettement. Si c’est pas possible il existe aussi des pylônes electriques en treillis depuis 70 ans… pour un programme Nationaliste de transition énergétique ce serait pas si con plutôt que de fabriquer des prises au vent démesurées avec des mats certes ronds, mais pleins en exterieur et vides à l’intérieur…
Pas le même ordre de grandeur en individuel mais l’usage reste collectif et a un impact groupé (logement + reseau). Au final je pense que c’est malheureusement comparable…. Pourquoi sinon ferait-on payer les remblais ?
Tant mieux si on sait faire des choses, mais ça n’évite pas l’éceuil constructif qui est bien commun… !
Les derniers points je te renvoie au experimentations E+C. Il suffit de faire de la cogénération à tous les niveaux AVEC la forme batie. Donc a résolu ce problème assez rapidement. :-)
Le 28/09/2020 à 10h 20
Et lorsqu’il n’y avait pas de béton armé, il y a à peine 150 ans, on construisait bien mieux. Est-ce à dire que les ingénieurs béton sont des abrutis incapables de construire correctement ? Sérieusement, je suis tenté de dire oui dans pas mal de cas… car c’est bien le métal qui donne la forme et la résistance, le lestage au vent tu peux l’avoir avec n’importe quoi de la même masse volumique… c’est un fait assez simple qui est vite oublié.
On peut aussi les faire moins hautes et dégager de l’espace autour. Ou tant qu’à construire par ordinateur s’amuser à les dessiner dans le sens d’une économie de matériaux comme Violet de le Duc l’avait suggéré.
Tu creuses pour faire une maison, c’est pas plus grave ou j’ai mal compris ?
Quand on veut que ceci ou cela coûte cher, on prend surtout des gens qui ne savent pas construire. 99% des cas.
Il existe des PV suiveurs dans ce cas. (pilotables…)
Et là encore, quelque chose de bien construit présente les qualités requises (exposition principale au sud).
C’est pas pire au final. Tu peux piloter les besoins industriels qui font les 3.8 mais dans l’habitat c’est inutile.
Le 28/09/2020 à 09h 52
Remplace béton par gravâts avec un peu de ciment le problème est réglé. Le problème c’est l’acier (mat et ferraillages), pas le béton.
Faut creuser…
On les as en mer.
Ou 50% d’emprise au sol des toitures. Soit une bonne diminution des 5% de terres cultivables.
Tout ceci déduit des emprises existantes (centrales à charbon etc), le rendement c’est pas si grave je trouve.
Le 26/09/2020 à 05h 10
La clé de l’hydrogène c’est pas tellement les usages ponctuels comme la voiture mais plutôt les logiques de co-génération ou de stockage. Ici on peut réduire l’entropie significativement.
Le rendement global des systèmes est très favorable d’autant que pratique : indépendance vis-à-vis des réseaux possibles, technologie aussi safe que le gaz qu’on connaît déjà, latence correcte si production locale etc.
La batteries resteront compétitives même à long terme. Dans tous les cas on ne fait qu’ajouter les cordes à notre arc. Après il faut pouvoir gérer les énergies comme on gère des sources et c’est pas si simple politiquement…
Le 26/09/2020 à 05h 01
La capitalisation porte aussi sur les partenariats avec panasonic et autres. Mais ce n’est pas vu.
Le problème de Tesla c’est qu’on se concentre effectivement sur Musk et pas le marché des batteries en toile de fond qui progresse lentement mais sûrement.
Le coût du kw/h en neuf est largement compétitif maintenant (divisé par 10 en 10 ans), encore plus compétitif dans l’occasion (powerwalls de récupération, retro-fits à base de packs Tesla ou d’autres constructeurs)… tout ce monde qui fait vivre les ingénieurs et scientifiques est absent du débat et même très occulté par le marketing donc la bourse spécule encore une fois sans rapport avec le marché REEL des batteries. Sans avoir cette hauteur de vue qui justifierait qu’on en ait besoin pour vivre… comme d’habitude.
Musk incarne donc la contestation et l’innovation à cause des actionnaires qui ne veulent pas réfléchir plus loin que le bout de leur nez tout en restant libéraux tels des moutons de panurge prêts à suivre celui ou celle qui personnifiera le plus la tech.
Ainsi à chaque annonce c’est la déception tant le problème reste assez ordinaire (une batterie reste un réservoir…) AMHA.
Le CERN détaille son empreinte écologique et se fixe des objectifs
22/09/2020
Le 28/09/2020 à 18h 20
Pensée magique.
Il n’y pas de conversion linéaire. Encore moins proportionelle.
Mais sors nous donc la part individuelle des impots européens qui finance le CERN. L’audience serait certainement ravie de se libérer du joug des stakanovistes Européens ! Ou de découvrir que l’abonnement à NXi est peut-être plus élevé…
Le 28/09/2020 à 17h 06
Point qui n’a toujours pas été étayé par une analyse détaillée du budjet de fonctionnement du CERN. Même pas d’ordres de grandeurs affirmés.
A moins que la recherche nécessite en effet de retourner à des casemattes dont le coût est en effet moins dispendieux pour des résultats meilleurs en multiples diatribes et invectives tant le scientifique doit être mis à nu pour retrouver la nature et continuer d’être persécuté dans son existence même par des juges et parties d’un seul tenant.
Dans cette hypothèse farfelue, ta partialité évidente serait en effet conservée.
Le 28/09/2020 à 15h 45
C’est ton hypothèse. Tu n’as pas montré en quoi le CERN devrait être rentable sur un plan énergétique. Ni en quoi le cout de l’étude serait disproportionné, ni en quoi le travail in situ serait une torture pour les ingénieurs, ni enfin en quoi il y aurait escroquerie ou atteintes disproportionnées à l’environnement.
En effet, les dépenses du CERN ne sont pas invalidées par ses conséquences. Donc soit le rapport en question est accablant et tu peux t’appuyer dessus pour geindre sur les vers de terre massacrés soit c’est une escrologie auquel cas c’est la nature subventionelle globale qui est attaquée… mais comme tu l’as toi-même rappelé le CERN ne fait pas de prêt, il reçoit des subventions et subventionne.
Bref, c’est toi qui regresse.
Le 28/09/2020 à 10h 22
Dommage qu’on ait pas inventé alzaman pour entretenir cette flamme.
Le 28/09/2020 à 10h 03
C’est toujours plus drôle que le retour de Léguman
Le 27/09/2020 à 17h 46
Applique donc tes propres règles à toi-même avant d’espérer débattre.
Absorbé signifie que le coût est indissociable de la nature de la dépense, pas qu’il n’en serait pas arbitrairement séparable par un artifice comptable. Au final, dénoncer les artifices comptables pour en proposer d’autres ne sert à rien. Encore moins à servir les sciences.
Hypothèse non réfutable car tu n’as à aucun moment produit la comptabilité du CERN et ce qu’il devrait faire impérativement. CQFD
Non, 50% en moins par rapport à la moyenne nationale au bout de 6 mois. = rentabilité
Le 26/09/2020 à 22h 34
=> Métriques => lesquelles ?
=> méthodes d’évaluation => lesquelles ?
=> estimations appropriées => lesquelles ?
=> licornes magiques => lesquelles ?
L’histoire humaine ne part pas à la broyeuse. Si le CERN arrive à atteindre les objectifs fixés plutôt génériques, le coût de ces objectifs est déjà absorbé par le sujet d’étude in situ et lui-même déjà provisionné… ceci est une hypothèse non réfutable toutes choses égales par ailleurs.
Mais non, il faudrait crucifier les escrologistes dont l’emprise financière moyenne avoisine les 0,006% dans le bâtiment pour en moyenne une réduction de 50% de la note d’énergie consommée dans les 6 mois… c’est l’homme du terrain et de l’ombre qui te le dit.
=>
StopCovid dans le flou, le gouvernement dans l’opacité
23/09/2020
Le 28/09/2020 à 11h 23
Jusqu’à preuve du contraire, un code source n’est que la traduction des fonctions qu’on lui demande de remplir. La qualité du code source ne présume en rien sa qualité d’usage (windows est un exemple… il y en a d’autres)
Je ne vois pas donc en quoi une connaissance technique particulière serait nécessaire pour comprendre la notion d’identité numérique… et encore moins nécessaires pour saisir que des identitéS sont en réalité le vrai sujet du débat.
Le 26/09/2020 à 15h 16
Plutôt d’accord en fait.
La question c’est celle de savoir si on peut identifier nominativement, pas nominativement, par pseudonyme peu importe, une action faite avec un système à un instant T par le logiciel mis en place.
En gros, indépendamment de la hiérarchie applicative choisie, le fait que le processeur lise les données suffit à démontrer a posteriori qu’il y a eu une action. C’est seulement un jeu de piste causal plus ou moins difficile à remonter pour arriver à une source, et ce, que l’application dise “je suis anonyme” ou pas. Par bluetooth ou pas. Toute communication requiert un échange…
D’où ma remarque sur la qualité supposée du tiers impliqué : le concepteur du système.
C’est le recours au tiers pour une action banale qui n’a aucun intérêt dans tous les cas.
On a pas besoin de StopCovid pour signaler à ses congénères qu’on est malade, cette application ne sert au mieux qu’à faire travailler gratuitement les citoyens pour enrichir des modèles prédictifs d’épidémie, au pire à isoler si nécessaire un peu plus les citoyens et à se supplanter à desseins à leur bienveillance mutuelle innée.
Le 26/09/2020 à 05h 22
On est pas des chats de Schrödinger : on ne peut pas être malade et pas malade.
L’absolu du problème reste le tiers par lequel passe l’information.
Donc on ne sortira jamais techniquement de la notion de confidentialité.
Ou alors, il faudrait que tout le monde devienne une bombe cryptographique ambulante et dissimule ses traces sous une quantité intraitable de données non-pertinentes : je doute qu’un état prenne ce risque en laissant aux citoyens le choix de leurs parures techniques…
Le 25/09/2020 à 10h 16
Même pas 0,42% ? Dommage…
Article 17 : la France fustige les lignes de la Commission européenne
28/09/2020
Le 28/09/2020 à 11h 07
Un propos diffamatoire reste publié avant sa condamnation. Je ne vois pas le problème.
Le 28/09/2020 à 11h 00
Le problème reste que l’illicéité d’une vidéo est plus simple à montrer que sa licéité. Donc par définition, étant hors interdictions manifestes, c’est l’accusation qui y gagne et la défense qui y perd à démontrer que ce qui n’est pas interdit est autorisé sur des bases extérieures au droit (en l’occurrence l’usage et la technique).
C’est donc loin d’être “automatique” car il y a création de valeur lorsque dans l’autre cas (illicéité supposée) on en enlève ou on filtre.
L’article 17 n’est pas si incohérent dans sa définition d’un principe d’égalité des parties au final… on pourrait même le modifier avec les exceptions au droit d’auteur Français comme la courte citation et les autres afin de recadrer cette fois avec les bons
trousfondements les exceptions !Le 28/09/2020 à 10h 32
Présomption de culpabilité technique, c’est donc un problème technique, pas de droit. #polichinelle
Le 28/09/2020 à 10h 05
Les éclaircissements techniques c’est le travail de la HADOPI. En théorie seulement.
Le 28/09/2020 à 09h 37
Poppi enregistre son nouvel album : il bénéficie donc de la présomption d’innocence. (c’est pas plus capillotracté que ce dessin animé comme réponse ! bonus)
Le 28/09/2020 à 09h 26
Wuf ?
Le 28/09/2020 à 09h 20
10²⁹ c’est plus court à lire.
Invalidation du Privacy Shield : les organisations professionnelles réclament des mesures contre l’insécurité juridique
28/09/2020
Le 28/09/2020 à 09h 30
Il faudrait les envoyer faire un stage erasmus à Naples.
Le 28/09/2020 à 09h 17
Les pauvres.
Wikipedia change de look
25/09/2020
Le 28/09/2020 à 09h 09
Fonctionne pas chez moi.
Par contre on pourrait en effet structurer autrement les pages, avec un thème de structuration “à la carte” donc… qui serait juste un bouton à choix multiples et le navigateur fait le reste. (un peu comme l’option lecture de FF mais plus travaillée évidemment).
Il existe bien des versions mobiles donc je ne vois pas en quoi ce serait plus difficile de rendre le paramètre “taille d’écran” manuel, à minima (je sais bien que CTRL+molette existe mais je pense aux autres).
Le 28/09/2020 à 05h 16
Et pourquoi pas faire des thèmes plutôt qu’un seul ?
Il est où le problème à comprendre que l’affichage unitaire provient du livre et qu’ici personne ne sera jamais d’accord sur une mise en page vu que la page n’existe pas comme le reste des pseudo contraintes subjectives ajoutées pour rendre l’outil métaphoriquement pertinent alors que là encore, c’est pas le sujet !
Sinon le cônisme fait des adeptes…
Samsung Link Cell : un boîtier tout-en-un pour de la 5G (mmWave) à l’intérieur des bâtiments
28/09/2020
Le 28/09/2020 à 08h 56
Dans les eaux internationales difficile de se revendiquer propriétaire de l’air. Il y a toute une polémique sur les 26/27ghz avec les météorologues d’ailleurs…
Après pas besoin de 10w pour faire de la vod à 4 mètres… c’est le même problème d’usage en effet. Il y a une frise interactive qui résume le document, pas besoin de cachet.
Le 28/09/2020 à 08h 21
« Et si la Terre était unique ? » : un documentaire et une interview d’un planétologue
25/09/2020
Le 28/09/2020 à 05h 10
Disons qu’on a surtout besoin d’exemples de réalisations où l’environnement est un paramètre avec lequel on a correctement joué… car on s’en fout un peu de la béatitude lorsque le danger guette ! Action !
Le 26/09/2020 à 22h 59
Le rien fait partie de l’univers ?
rien =/= vide (au sens de non-être quoi).
Le 26/09/2020 à 21h 16
Sauf si derrière la limite il n’y a absolument rien ! Le rien serait infini… pléonasme ? (question pas si littéraire en fait)
Mais si on sait répondre : il y a du vide. La surface du tableau suffit à montrer qu’il y a bien quelque chose en dehors du dessin dont les limites sont le dessin lui-même…
Le problème c’est en dehors du tableau il y a quoi ? Un mur ? Une rue ? etc.
Tout corps étant causé par un autre on peut continuer longtemps dans un sens comme dans l’autre : avant le big bang, il y avait quoi ? Et avant ce qu’il y avait avant le big bang il y avait quoi ? Avant, et avant ? etc
Le temps parait plus énigmatique que l’espace à mon sens.
D’où que ce doc bien qu’étant plus orienté biologie pose la bonne question : combien de temps faut-il à un environnement pour “tester” toutes les combinaisons moléculaires avant d’arriver à la vie qu’on connaît, et pourquoi cela marche si bien.
Même remarque sur des atomes pour qu’ils forment un univers observable par ces mêmes formes de vie !
Le 25/09/2020 à 10h 20
Ce qui serait bien avec la vie sur d’autres planètes c’est que StopCovid pourrait enfin fonctionner avec quelques milliers d’années d’avance sur la transmission inter-planétaire du virus.
La psychose deviendrait vite universelle cela dit…
#Flock est sans pareil
26/09/2020
Le 27/09/2020 à 17h 33
Non. Il a saisi au clavier. Chaque lettre est identique à la précédente ou la suivante. Donc la police de caractère est saisie et non dessinée : clavis
Sauf à considérer que Flock, à la bourre, écrit des lettrines entre chaque série de strips. Peu probable !
Autre grille de lecture, on peut prêter implicitement au personnage (Tim Cook) un lapsus linguae dans la mesure où il parle Anglais et non le Français.
Le 26/09/2020 à 20h 46
Non, entre clavis ou linguæ il faut choisir son lapsus.
Le 26/09/2020 à 15h 03
Celui de 2005 avec un photoshopage façon Trump. Ce combo…
Le Cell Broadcast en France, c’est pour 2022
25/09/2020
Le 27/09/2020 à 08h 14
C’est la révolution orange, rebelote.
Le 27/09/2020 à 08h 11
Le plus comique c’est qu’en cas d’alerte avérée par sirène, il ne faut pas utiliser les réseaux de téléphonie afin de ne pas surcharger les appels d’urgence, mais ça peu le savent… comme le reste des conduites à tenir.
Finance numérique : la Commission européenne propose une « nouvelle approche ambitieuse »
25/09/2020
Le 26/09/2020 à 21h 52
Après la planche à billets c’est une autre affaire, le problème c’est de savoir si ce sont bien des billets ou non
Next INpact v7 : les améliorations du Brief et des flux RSS sont là
30/09/2020
Le 25/09/2020 à 15h 13
Le logo Hardware est un FAKE.
Le reste est bon.
Les French Days de la rentrée 2020 débuteront demain à 7 h
24/09/2020
Le 25/09/2020 à 10h 08
Dans ces remakes blanche neige finie sur la paille, va comprendre.
Datacenters et empreinte énergétique : pour Scaleway, « les pratiques doivent changer »
24/09/2020
Le 25/09/2020 à 05h 01
Ce ne sont pas les émissions qui diminuent, ce sont les usages qui augmentent !
La brève lie dans le détail : “ 2x24MW of power supply / 30 Diesel Generators with 50 hours run time at full load”
24 mega watts c’est pas rien…