Si la vidéo était restée sur snapshat, on n’en aurait jamais rien su. On aurait les violeurs en liberté et la victime dans leur appartement… ça laisse songeur.
Plus le temps passe, et plus le nombre de foyer qui profitent de l’audiovisuel sur ordi (et qui renoncent au téléviseur) augmente, et plus l’extension de l’assiette aux écrans (et donc à TOUT le monde) sera difficile à passer.
<< dans un contexte de forte évolution des usages dans la consommation des services audiovisuels en général >>
-> me fait bien rire celle là.
Si tu veux prendre en compte l’évolution des usages en rapport à la télé publique, tu peux commences par des injustices plus prioritaires, et par exemple légaliser le partage sur les oeuvres produites par le service public, et y interdire les DRM.
3 commentaires
NASA : 2,95 millions de photos de la Terre vue depuis l’espace librement accessibles
06/04/2016
Le 06/04/2016 à 06h 59
Bonjour, je me demande si je peux utiliser ces photos pour mon livre. En d’autres termes, quelle est la licence?
Je suis allé voir sur le site, rubrique ‘term of use’, et ils disent:
<< MADASはクリエイティブ・コモンズ 表示 2.1 日本 ライセンスのもとに提供されています。
「産総研地質調査総合センターの研究成果情報の利用について」
[MàJ] Que risque celui qui diffuse la vidéo du viol sur les réseaux sociaux ?
04/01/2016
Le 04/01/2016 à 13h 44
Si la vidéo était restée sur snapshat, on n’en aurait jamais rien su. On aurait les violeurs en liberté et la victime dans leur appartement… ça laisse songeur.
Le gouvernement juge « injuste » de conditionner la redevance à la seule détention d’une TV
20/08/2015
Le 20/08/2015 à 14h 16
Plus le temps passe, et plus le nombre de foyer qui profitent de l’audiovisuel sur ordi (et qui renoncent au téléviseur) augmente, et plus l’extension de l’assiette aux écrans (et donc à TOUT le monde) sera difficile à passer.
<< dans un contexte de forte évolution des usages dans la consommation des services audiovisuels en général >>
-> me fait bien rire celle là.
Si tu veux prendre en compte l’évolution des usages en rapport à la télé publique, tu peux commences par des injustices plus prioritaires, et par exemple légaliser le partage sur les oeuvres produites par le service public, et y interdire les DRM.