si seulement ils avaient pu foutre les millions économisés en licence, dans la restauration des logements étudiants du crous et autres organisations publiques….
C’est un autre débat et je tiens à préciser que j’ai parcouru 13 pages de commentaires peuplées par Patch et jinge pour te répondre ça.
☐
Le
12/11/2015 à
22h
05
zangdor a écrit :
Comme dit par une personne avant moi, favoriser l’OpenSource parce c’est de l’OpenSource, ça dévalorise le produit. Sauf si le besoin oblige clairement à passer par du libre.
Quant au libre dans l’éducation : je ne refuse pas que certains utilisent du propriétaire. Mais, en tant qu’utilisateur de leur immonde fork Ubuntu fait par Google, de leur ENT hébergé par Google et de leur service mail hébergé par Google, je veux avoir le choix. Je veux pouvoir légalement (sans devoir trop casser les machines) utiliser Tails dessus si j’en ai envie, et que mes mails avec des profs puissent être stockés ailleurs que sur les serveurs Google.
Demandez aux utilisateurs “classiques” (non oppressés, non libristes) s’ils préfèrent que leurs mails, à eux mais aussi aux personnes transgenres, handicapées, de nationalité étrangère auxquels ils accèdent par une interface Roundcube ou tierce, soient stockés chez une entreprise qui respecte leur vie privée ou une régie publicitaire, vous vous attendez à quel résultat ?
☐
Le
11/11/2015 à
14h
09
methos1435 a écrit :
Et d’où vient l’argent pour payer ces développeurs ? De mamie Georgette au fond du Cantal ? …
Redhat :
→ Développe une plateforme payante basée sur GNU/Linux hébergée sur du hardware assemblé par l’entreprise (50€/an en standalone, 2000€/an pour louer une installation pro)
→ A créé Fedora, une distribution gratuite à destination des utilisateurs sur laquelle expérimenter de nouvelles technologies
→ Les entreprises paient pour la qualité des services et des plateformes Redhat et financent le développement des versions futures et, par ce biais, de Fedora
→ Fournit des ressources humaines et financières au BTRFS et à Gnome
→ Les bons comptes font les bons amis
“Ah bah c’est fun, les libristes ont plus d’imagination qu’une session de coworking”
☐
Le
11/11/2015 à
13h
52
Yutani a écrit :
Je suis d’accord, si ça se faisait, la transition se ferait certainement dans la douleur pour “réapprendre” le tout (ça ne serait pas la 1ère fois)
Pas “certainement” : la ville de Fontaine, dans l’agglomération grenobloise, a passé la quasi-totalité de son parc informatique sous Ubuntu avec Cairo-dock (“vers un GreNux?”).
Le personnel informatique s’est appuyé sur le travail déjà entrepris par ses prédécesseurs en utilisant principalement des logiciels libres dans le parc informatique (Firefox, Libreoffice…).
Ils ont alors fait passer la direction et une vingtaine de volontaires sous Cairo-dock avant d’y engager 20% du parc informatique. Actuellement ils font une transition progressive de l’ensemble du personnel.
Leur travail a inspiré la ville de Grenoble (dirigée par le maire Éric Piolle, d’étiquette PG-EELV il me semble, à toutes fins utiles).
Bref, la transition s’est faite sans encombre. Il suffit juste de prendre le temps et de planifier son parcours. Un peu comme pour envoyer une sonde.
☐
Le
11/11/2015 à
13h
28
> “par le fait qu’ils peuvent être vérifiés et améliorés par tous”
Ça ça me fait bien rire. Oui tout le monde peut aller voir le code
source, mais c’est comme en droit, en compta ou n’importe quel domaine
d’expert: seuls les plus avertis peuvent comprendre une partie, et quasi
7 commentaires
Le gouvernement refuse de donner la priorité aux logiciels libres
11/11/2015
Le 12/11/2015 à 22h 18
Le 12/11/2015 à 22h 05
Le 11/11/2015 à 14h 09
Le 11/11/2015 à 13h 52
Le 11/11/2015 à 13h 28
> “par le fait qu’ils peuvent être vérifiés et améliorés par tous”
source, mais c’est comme en droit, en compta ou n’importe quel domaine
d’expert: seuls les plus avertis peuvent comprendre une partie, et quasi
personne n’est capable d’en comprendre l’intégralité.
J’ai beau
avoir les connaissances suffisantes en programmation, jamais je n’irai
voir le code source d’un logiciel qui a plus de 10k fichiers sources.
Très bien. Rendons la loi closed-source.
> De plus si le logiciel libre est si accessible, comment cela se fait-il
que les interfaces graphiques soient toujours aussi pourries (ok, elles
ont été grandement améliorées en 10 ans, mais ont toujours plus de 10
ans de retard sur ce qui se fait à coté).
Tu es un troll.
> Le logiciel c’est très bien, et c’est super que ça existe, mais ça n’est
pas la solution à tous les problèmes, loin de là. C’est un peu comme
les associations, c’est très bien qu’elles soient là, mais ça n’est pas
aux associations de faire tourner la société et de s’occuper de tout le
social du pays, sinon c’est de l’exploitation, ou alors on tourne au
communisme.
Tu es un troll en roue libre et qui a l’air très con.
> Si on veut aller dans ce sens, on crée un fond/une contribution/…
(enfin une taxe de plus quoi) pour financer le logiciel libre, en gros
on crée une entreprise d’État qui développe ET installe et maintient les
logiciels libres, en les facturant à très bas prix (le reste étant payé
par la taxe). Ça permettrait d’avoir un savoir-faire et une entreprise
qui tourne. Ça sera au détriment d’entreprises privées, mais au moins il
y aurait une logique de capitalisation des connaissances.
Tu es un troll qui réinvente la roue.
☐
Un magazine condamné à 10 000 euros d’amende pour incitation au piratage
29/06/2015
Le 01/07/2015 à 12h 46
Le 01/07/2015 à 07h 50