Si tu as des infos fiables sur les conditions précises de contaminations, merci de nous les fournir. J’ai cherché et je n’ai rien trouvé. Même les chiffres sur les “clusters” ne sont pas des données valables parce qu’ils ne représentent qu’une faible partie de toutes les contaminations.
À partir de là, on ne sait pas les commerces sont une source importante de contamination malgré le port du masque et autres gestes barrières.
J’ai d’ailleurs demandé à la présidence de la république la communication de l’ensemble des documents ayant conduit le Président de la République à décider le reconfinement annoncé le 28 octobre 2020.
Je n’ai encore rien reçu ! Je vais ensuite saisir la CADA… Il faut bien remplacer Xavier qui ne fait plus partie de l’équipe de NXI…
Difficile tout de même de croire que les commerces soient les seuls lieux épargnés. Ils y contribuent forcément, même un peu.
Mais comme je le disais, à mon sens la fermeture des commerces n’est pas seulement dû au fait que ce soit des lieux de contamination. Les commerces donnent aussi des raisons aux gens de se déplacer et d’être au contact des autres. Il n’y a pas de mystère, il est impossible d’attraper le virus en restant seul chez soi et sans recevoir aucune visite.
Pour limiter les risques, il me parait donc assez logique de limiter les déplacements, le travail et donc les commerces. Le but n’est pas de limiter les achats ou les ventes, mais de limiter les interactions au plus possible.
Reste à définir le curseur entre économie et santé. Sachant que la difficulté est que l’un influe sur l’autre.
Le
02/11/2020 à
11h
51
anagrys a dit:
C’est vrai, après avoir complètement foutu la m…, l’Etat est là pour… aider. Mais si son commerce calanche (et s’il n’a pas la tréso pour tenir, c’est ce qui va arriver, aides ou pas) ça sera pour sa pomme. C’est gentil de lui expliquer comment il doit vivre.
J’ai un pote qui a un resto. Il veut que son resto survive, donc il se met à faire de l’emporté, pas le choix. Les autres, ceux que notre administration a déclarés comme “non vitaux”, ils font quoi…? Ceux qui s’adaptent pour pouvoir vivre sans compter sur d’hypothétiques aides (que nous devrons tous payer pour le prochain demi-siècle) méritent le respect, certainement pas le mépris hautain de ceux qui sont bien à l’abri. Au fait, on a un bilan des “aides” qui ont été versées pour le premier confinement ? (sachant qu’en matière d’aide, il s’agit juste de la garantie de l’Etat pour des prêts bancaires, de quoi permettre à une trésorerie de tenir un peu, mais qu’il faut rembourser quand-même)
Mais on parle de pandémie.
Si on ne ferme pas les commerces, les gens circulent et le nombre de cas grave augmente. Si on ferme les commerces, certains feront faillites avec tout ce que cela peut impliquer. Il n’y a pas vraiment de solution miracle, idéale, où l’on peut à la fois préserver l’économie tout en limitant la propagation de la maladie.
Le mépris ne concerne pas la situation des commerçants. Ils ont des problèmes et bien le droit de vouloir des solutions. Mais pas au risque de mettre en danger les vies d’autrui. Vouloir faire fonctionner son commerce à tout prix, en détournant la loi et donc en ne respectant pas les consignes sanitaires, juste pour son bénéfice personnel… Ça c’est méprisable.
Le
02/11/2020 à
11h
21
anagrys a dit:
Peut-être… dans ce cas, il a juste à fermer boutique et à aller pointer chez Popol, tant pis pour lui.
D’une, il y a des aides. De deux, c’est le principe du confinement en fait.
On entend de partout que cela ne fait que servir les intérêts des lobbys, que c’est un complot, une grande machination… Les trucs habituels en fait. Mais faut voir l’état des hôpitaux et du personnel soignant qui est à bout. Ils ont eu une “pause” relative et sont de nouveaux réquisitionnés. On parle de malades par milliers, et de morts.
Alors ouais, c’est pas la meilleure période. Mais entre me priver de livre ou de maquillage pendant deux mois et l’accentuation du nombre de malades/morts… Bah mon choix est vite fait.
L’égoïsme ambiant est assez triste. Même dans les cas grave on reste sur du chacun pour soi.
Le
02/11/2020 à
11h
10
anagrys a dit:
On l’oublie un peu, mais si les libraires sont fermées c’est parce-que leurs syndicats ont exigé qu’ils ne bénéficient pas de dérogation au premier confinement. Avec des amis pareils, ils n’ont pas besoin d’ennemis ! La solution pour eux (ceux qui resteront, au-moins) serait peut-être de mettre des coups de pied au derrière géant quand cette histoire sera passée.
Mais sinon, je trouve très intelligente l’adaptation de ce petit commerçant !
En fait, c’est surtout assez idiot. C’est juste un coup de comm.
Le commerce est enregistré d’une certaine façon et n’a pas le droit de vendre autre chose. Et, comme les supermarchés qui ont fermé leurs rayons librairies, le fait de vendre des produits alimentaires ne lui donne toujours pas le droit de vendre des livres.
Le
02/11/2020 à
11h
00
J’ai toujours du mal à comprendre ce besoin de faire plonger le voisin avec soi.
C’est tout de même un faux débat. À partir du moment où il y a confinement, les vendeurs en ligne font déjà plus de vente que les autres. Même en ouvrant les librairies, les clients seront pas assez nombreux parce que beaucoup préfèreront commander en ligne pour éviter les risques.
Sachant que si on permet aux libraires d’ouvrir, faut le faire aussi avec tout le reste. Et là, le principe de confinement perd assez vite son sens. Le confinement avec tout ouvert, c’est un couvre-feu à la limite. On a vu la très limite efficacité de ce dernier.
Mais comme d’habitude, les gens gueulent pour rien, pour tout et son contraire. Ça veut des masques, mais ça ne les met pas ou mal lorsqu’il y en a. Ça accuse l’absence de réaction, mais ça veut à tout prix désobéir. Ça soutien le personnel soignant, mais ça veut ne rien subir.
C’est binaire à partir du moment où ça oppose deux forces, et deux seulement. Ici : le peuple et le gouvernement.
Je ne connais pas un seul cas où la faute ne revient qu’à une seule partie d’un conflit entre deux entités. Je ne connais même pas un seul cas où l’on peut réellement ne voir que deux entités.
Tu parles d’un principe d’action/réaction. C’est surtout un manque d’éducation démocratique. Les gens acceptent de moins en moins le compromis. Les gens acceptent de moins en moins de perdre.
Suffit de regarder les derniers combats législatifs, l’opposition dit simplement « non », la majorité passe en force. Un projet comme Notre-Dame-des-Landes, là encore, c’est simplement un « non », et tous les efforts du monde, toutes les tentatives de conciliation sont vouées à l’échec.
Les cas s’accumulent. Chacun défend uniquement ses idées et ses intérêts. Il n’y a plus d’esprit de groupe. Et forcément, quand tu penses perdre souvent, sans jamais rien gagner, tu te radicalises. Là, il n’y a pas de différence entre gouvernement et peuple, tout le monde est concerné.
Le
12/07/2017 à
19h
32
Vision tout de même bien binaire, bien manichéenne. Le bon peuple contre le vil gouvernement.
Certainement pas non. Surtout pas accepter tout et n’importe quoi. Mais on a le droit de critiquer de vielles lois, tout en ayant l’honnêteté de dire qu’elles sont vieilles.
Dire que la France devient une dictature, par exemple, est faux. La loi ne changera rien. Dire qu’elle l’est déjà, et en revanche plus correct pour ceux qui partagent cette idée.
C’est bien de se réveiller, même en retard, mais il ne faudrait pas penser que tout se déroule sous nos yeux et qu’il n’y a pas de passé.
Le
08/06/2017 à
17h
37
Oui, enfin… cela fait plusieurs mois que l’exception est la règle. Renouveler l’État d’Urgence en permanence, ou faire en sorte que l’État d’Urgence soit permanent… il n’y a pas grande différence.
Le
08/06/2017 à
17h
12
Comme beaucoup, tout cela ne me plait pas. Mais l’article est trompeur, c’est un souci, et le lecteur pas assez assidu.
À présenter la loi dans son ensemble, cela laisse penser que tout est nouveau, alors que non. Il suffit de lire certains commentaires où certains critiquent des éléments qui sont déjà votés et déjà inclus dans notre droit. Les nouveautés sont tout de même assez peu nombreuses.
D’une part, Valve ne peut pas ignorer qu’un éditeur abuse de ses clients, car il s’agit clairement de cela.
D’autre part, rien dans les messages dévoilés, ne laisse présumé de menaces de mort. Là encore, il s’agit d’internet. On peut le regretter, signaler une triste époque, mais j’ai connu pire en deux parties de n’importe quel MOBA (où personne ne porte plainte au passage) que les messages dévoilés par l’éditeur.
Et même si ces menaces de morts étaient réellement punies par la loi, rien n’empêche l’éditeur de porter plainte.
Et non, l’exemple n’est pas valable. Je n’irais pas proposer des arnaques sur les commentaires de NextINpact, je ne serais pas un utilisateur peu acceptable, je n’irais pas demander les données personnels des utilisateurs de NextINpact… Bref, si réellement il y avait insulte sur des sites, j’irais directement contacter la justice.
Liara T’soni a écrit :
Visiblement, les joueurs peuvent insulter en toute impunité.
Papa Newell veille sur nous.
Non. Valve ne contrôle pas la justice.
Le
19/09/2016 à
13h
27
Je pense que tous les éditeurs le savent déjà en fait. Tu es chez Valve, tu respectes Valve. Si tu n’acceptes pas les conditions, tu vas ailleurs. C’est difficile, oui, on le sait tous, il n’empêche que c’est comme cela pour les éditeurs comme pour les joueurs.
Quant à la position prise, je m’interroge. Techniquement, est-ce qu’il y a réellement un lien avec l’affaire ? Valve dit simplement que l’éditeur ne respecte pas les clients Steam, c’est tout. C’est flou. Même si on comprend bien, Valve ne dit pas si l’éditeur à tort ou raison, ni si les clients ont tort ou raison.
D’ailleurs, avec tout le pouvoir et monopole qu’on lui connait, Valve ne peut pas interdire à l’éditeur de poursuivre ses intentions de procès.
Le
19/09/2016 à
13h
08
Je pense que les autres studios pourront comprendre le message.
C’est une chose de vouloir demander justice ou modération à propos d’un ou plusieurs commentaires. Mais c’en est une toute autre que d’aller les chercher par paquet en espérant y obtenir un maximum de profit.
Le problème est bien là à mon sens. On a un éditeur créé uniquement pour faire de l’argent, sans jamais éditer de bon jeu.Des jeux qui se copient, qui se répète, voire qui volent à d’autres des logos ou autres assets. Bref, une belle arnaque. On ne parle pas d’un seul mauvais jeu, d’un jeu qui ne plait pas à certains, ou d’un retour à la réalité après de folles promesses…
Par-dessus cela, le même éditeur souhaite poursuivre en justice le moindre commentaire négatif en espérant obtenir un maximum de dédommagement pour les raisons les plus folles. Entre Youtube et Steam, ils en réclament déjà près de 30 millions.
Je ne suis donc pas d’accord, c’est loin d’être un signe pour l’ensemble des studios. C’est juste un cas particulier. Valve peut bien défendre ses clients sans paraitre trop les protéger.
C’est vrai. Microsoft n’approuve pas vraiment cette vente d’OEM. Ce sont des licences qui ne devraient être vendues qu’avec les machines et non séparément. Une licence OEM ne concerne qu’une machine, c’est dans les conditions Microsoft.
En revanche dire que 130€ pour une licence Windows, non lié au matériel, serait “très onéreux”… Bon d’accord, c’est pas à portée de tous, c’est plus cher que Linux. Mais il s’agit tout de même d’un prix très convenables pour un logiciel. Un jeu neuf se vend 60€. Un an de Photoshop, c’est déjà quasiment le double. Antidote est au même prix…
33 pages de commentaires, et seulement une fois il a été rappelé que tout le monde n’a pas forcément accès a internet et dont la radio et la télé restent des sources d’informations, alors oui si on peut leur permettre d’avoir accès a divers programmes pour pas trop cher (132€/an)
Tout le monde n’a pas internet, certes. Est-ce que tout le monde doit forcément payer pour ceux qui n’ont pas internet ?
Est-ce que l’information publique est forcément de meilleure qualitée que l’information privée ? J’ai rarement vu de différence entre un journal de Tf1, de M6, Canalplus, ou France2. Il n’y a bien que celui d’Arte qui se détache du lot, et les régionaux de France3.
SirOtter a écrit :
Certes le programme n’est pas toujours des plus instructifs, mais le divertissement est un droit pour ceux qui le regardent, chacun ses choix, faudrait juste arrêter de se sentir plus important qu’un autre parce que Môssieur a décreté que ce que d’autres regardent c’est de la merde.
Le morceau clé : « chacun ses choix ». Sauf que nous ne l’avons justement pas, nous devons tous payer. Pourquoi ? Parce que « Môssieur a décrété » que tout le monde devait payer pour regarder la télévision ou payer pour que d’autres la regarde.
SirOtter a écrit :
Tu as fait ton choix, les autres font les leurs, tu n’es pas mieux que les autres à vouloir imposer tes choix. Sinon à ce compte là on t’impose pour rendre l’accès à internet aisé pour tous ? entre 132€/an pour la télé publique et 360€/an (a raison d’un abo moyen de 30€/mois) pour l’accès à l’internet, y a une certaine différence
Encore une fois, notion de choix. Chose inexistante.
La différence est importante. Nous devons payer pour quelque chose que nous ne consommons pas. Si tu veux regarder de magnifiques programmes (puisque la critique semble interdite), libre à toi. Mais pourquoi devrions-nous payer pour que, de nous, tu sois seul à en profiter ? Dans ce cas – et pour reprendre ton point – je demande à celui qui ne peut, ou ne veut, pas avoir internet de payer aussi une partie de notre abonnement.
Et pour ce qui est de l’abonnement internet à 30€, c’est de base une erreur. Un abonnement est vendu avec internet, téléphone et télévision compris (encore une obligation). Sauf à considérer que les deux derniers sont gratuits, l’abonnement internet seul devrait logiquement coûter moins cher. Personnellement, j’ai les trois pour 15€, à chacun le choix de se faire plus ou moins arnaquer.
SirOtter a écrit :
et pour ton contenu de qualité sur le net faut en plus allonger de nouveau la monnaie sinon c’est financé par la pub que vous détestez tant sur le net, mais oui avec adblock vous êtes tous fiers d’accéder gratuitement et sans pub à du contenu, j’espère que personne ne vous paye pour quelque boulot que vous fournissez.
Je peux parcourir quasiment tous les sites d’informations du monde, gratuitement. Certains articles sont payants, certes, mais même sans cela, c’est déjà plus que l’information donnée par la télévision. La qualité est variable… Mais prétendre que seul ce qui est payant est de qualité serait une erreur. Nextinmpact ne serait pas une source de qualité ?
Et finalement, cette notion de « choix » ne pourrait-elle pas être utile dans ce cas ? Si je préfère payer sur internet plutôt que payer une télévision que je ne regarde pas, pourquoi me l’interdire ? Aujourd’hui, je dois faire l’un et l’autre. 132€ par an inutile, en plus du contenu internet payant si intéressé.
Concernant la publicité, c’est un autre débat. Mais l’ère de tout faire payer uniquement par ce seul moyen est assez abjecte. Cela porte de nombreux conflits d’intérêt et donne un pouvoir considérable au publicitaire. Le contenu même peut être atteint.
Personnellement, dans mon travail, je ne suis pas forcé d’induire mes « clients » en erreur parce qu’une entreprise, étrangère à la mienne, me l’ordonne en faisant pression sur mon salaire. On me paie pour mon travail, pas pour le nombre de clic ou de vu.
SirOtter a écrit :
Sinon pour en revenir au sujet, oui faut adapter la loi, mais le faire sans léser personne ça sera comme toujours pas simple.
Le sujet initial ne fait nullement mention de la fin de la télévision publique. Il ne fait que confirmer une décision toujours plus abjecte, visant à faire payer un plus large publique pour une chose qu’il ne consomme pas forcément. Les parlementaires partent du principe que du moment qu’il est possible de regarder une seconde de chaîne publique, alors il faut payer la redevance.
À ce stade, autant rendre cet impôt obligatoire et automatique pour tout foyer fiscal. Il va être rare de trouver des personnes ne disposant d’aucune télévision, d’aucun ordinateur, smartphone ou tablette…
15 commentaires
Les supermarchés bientôt interdits de vendre des produits « non essentiels »
02/11/2020
Le 02/11/2020 à 12h 25
Difficile tout de même de croire que les commerces soient les seuls lieux épargnés. Ils y contribuent forcément, même un peu.
Mais comme je le disais, à mon sens la fermeture des commerces n’est pas seulement dû au fait que ce soit des lieux de contamination. Les commerces donnent aussi des raisons aux gens de se déplacer et d’être au contact des autres. Il n’y a pas de mystère, il est impossible d’attraper le virus en restant seul chez soi et sans recevoir aucune visite.
Pour limiter les risques, il me parait donc assez logique de limiter les déplacements, le travail et donc les commerces. Le but n’est pas de limiter les achats ou les ventes, mais de limiter les interactions au plus possible.
Reste à définir le curseur entre économie et santé. Sachant que la difficulté est que l’un influe sur l’autre.
Le 02/11/2020 à 11h 51
Mais on parle de pandémie.
Si on ne ferme pas les commerces, les gens circulent et le nombre de cas grave augmente. Si on ferme les commerces, certains feront faillites avec tout ce que cela peut impliquer.
Il n’y a pas vraiment de solution miracle, idéale, où l’on peut à la fois préserver l’économie tout en limitant la propagation de la maladie.
Le mépris ne concerne pas la situation des commerçants. Ils ont des problèmes et bien le droit de vouloir des solutions. Mais pas au risque de mettre en danger les vies d’autrui. Vouloir faire fonctionner son commerce à tout prix, en détournant la loi et donc en ne respectant pas les consignes sanitaires, juste pour son bénéfice personnel… Ça c’est méprisable.
Le 02/11/2020 à 11h 21
D’une, il y a des aides.
De deux, c’est le principe du confinement en fait.
On entend de partout que cela ne fait que servir les intérêts des lobbys, que c’est un complot, une grande machination… Les trucs habituels en fait. Mais faut voir l’état des hôpitaux et du personnel soignant qui est à bout. Ils ont eu une “pause” relative et sont de nouveaux réquisitionnés. On parle de malades par milliers, et de morts.
Alors ouais, c’est pas la meilleure période.
Mais entre me priver de livre ou de maquillage pendant deux mois et l’accentuation du nombre de malades/morts… Bah mon choix est vite fait.
L’égoïsme ambiant est assez triste.
Même dans les cas grave on reste sur du chacun pour soi.
Le 02/11/2020 à 11h 10
En fait, c’est surtout assez idiot. C’est juste un coup de comm.
Le commerce est enregistré d’une certaine façon et n’a pas le droit de vendre autre chose.
Et, comme les supermarchés qui ont fermé leurs rayons librairies, le fait de vendre des produits alimentaires ne lui donne toujours pas le droit de vendre des livres.
Le 02/11/2020 à 11h 00
J’ai toujours du mal à comprendre ce besoin de faire plonger le voisin avec soi.
C’est tout de même un faux débat. À partir du moment où il y a confinement, les vendeurs en ligne font déjà plus de vente que les autres. Même en ouvrant les librairies, les clients seront pas assez nombreux parce que beaucoup préfèreront commander en ligne pour éviter les risques.
Sachant que si on permet aux libraires d’ouvrir, faut le faire aussi avec tout le reste. Et là, le principe de confinement perd assez vite son sens. Le confinement avec tout ouvert, c’est un couvre-feu à la limite. On a vu la très limite efficacité de ce dernier.
Mais comme d’habitude, les gens gueulent pour rien, pour tout et son contraire.
Ça veut des masques, mais ça ne les met pas ou mal lorsqu’il y en a. Ça accuse l’absence de réaction, mais ça veut à tout prix désobéir. Ça soutien le personnel soignant, mais ça veut ne rien subir.
Au Journal officiel, la sixième prorogation de l’état d’urgence
12/07/2017
Le 15/07/2017 à 20h 42
C’est binaire à partir du moment où ça oppose deux forces, et deux seulement. Ici : le peuple et le gouvernement.
Je ne connais pas un seul cas où la faute ne revient qu’à une seule partie d’un conflit entre deux entités. Je ne connais même pas un seul cas où l’on peut réellement ne voir que deux entités.
Tu parles d’un principe d’action/réaction. C’est surtout un manque d’éducation démocratique. Les gens acceptent de moins en moins le compromis. Les gens acceptent de moins en moins de perdre.
Suffit de regarder les derniers combats législatifs, l’opposition dit simplement « non », la majorité passe en force. Un projet comme Notre-Dame-des-Landes, là encore, c’est simplement un « non », et tous les efforts du monde, toutes les tentatives de conciliation sont vouées à l’échec.
Les cas s’accumulent. Chacun défend uniquement ses idées et ses intérêts. Il n’y a plus d’esprit de groupe. Et forcément, quand tu penses perdre souvent, sans jamais rien gagner, tu te radicalises. Là, il n’y a pas de différence entre gouvernement et peuple, tout le monde est concerné.
Le 12/07/2017 à 19h 32
Vision tout de même bien binaire, bien manichéenne. Le bon peuple contre le vil gouvernement.
Ligne par ligne, l’avant-projet de loi sur l’état d’urgence permanent
08/06/2017
Le 08/06/2017 à 17h 47
Le 08/06/2017 à 17h 37
Oui, enfin… cela fait plusieurs mois que l’exception est la règle. Renouveler l’État d’Urgence en permanence, ou faire en sorte que l’État d’Urgence soit permanent… il n’y a pas grande différence.
Le 08/06/2017 à 17h 12
Comme beaucoup, tout cela ne me plait pas. Mais l’article est trompeur, c’est un souci, et le lecteur pas assez assidu.
À présenter la loi dans son ensemble, cela laisse penser que tout est nouveau, alors que non. Il suffit de lire certains commentaires où certains critiquent des éléments qui sont déjà votés et déjà inclus dans notre droit. Les nouveautés sont tout de même assez peu nombreuses.
Un éditeur poursuit des clients de Steam pour harcèlement, Valve coupe les ponts
19/09/2016
Le 19/09/2016 à 13h 39
D’une part, Valve ne peut pas ignorer qu’un éditeur abuse de ses clients, car il s’agit clairement de cela.
D’autre part, rien dans les messages dévoilés, ne laisse présumé de menaces de mort. Là encore, il s’agit d’internet. On peut le regretter, signaler une triste époque, mais j’ai connu pire en deux parties de n’importe quel MOBA (où personne ne porte plainte au passage) que les messages dévoilés par l’éditeur.
Et même si ces menaces de morts étaient réellement punies par la loi, rien n’empêche l’éditeur de porter plainte.
Et non, l’exemple n’est pas valable. Je n’irais pas proposer des arnaques sur les commentaires de NextINpact, je ne serais pas un utilisateur peu acceptable, je n’irais pas demander les données personnels des utilisateurs de NextINpact… Bref, si réellement il y avait insulte sur des sites, j’irais directement contacter la justice.
Le 19/09/2016 à 13h 27
Je pense que tous les éditeurs le savent déjà en fait. Tu es chez Valve, tu respectes Valve. Si tu n’acceptes pas les conditions, tu vas ailleurs. C’est difficile, oui, on le sait tous, il n’empêche que c’est comme cela pour les éditeurs comme pour les joueurs.
Quant à la position prise, je m’interroge. Techniquement, est-ce qu’il y a réellement un lien avec l’affaire ? Valve dit simplement que l’éditeur ne respecte pas les clients Steam, c’est tout. C’est flou. Même si on comprend bien, Valve ne dit pas si l’éditeur à tort ou raison, ni si les clients ont tort ou raison.
D’ailleurs, avec tout le pouvoir et monopole qu’on lui connait, Valve ne peut pas interdire à l’éditeur de poursuivre ses intentions de procès.
Le 19/09/2016 à 13h 08
Je pense que les autres studios pourront comprendre le message.
C’est une chose de vouloir demander justice ou modération à propos d’un ou plusieurs commentaires. Mais c’en est une toute autre que d’aller les chercher par paquet en espérant y obtenir un maximum de profit.
Le problème est bien là à mon sens. On a un éditeur créé uniquement pour faire de l’argent, sans jamais éditer de bon jeu.Des jeux qui se copient, qui se répète, voire qui volent à d’autres des logos ou autres assets. Bref, une belle arnaque. On ne parle pas d’un seul mauvais jeu, d’un jeu qui ne plait pas à certains, ou d’un retour à la réalité après de folles promesses…
Par-dessus cela, le même éditeur souhaite poursuivre en justice le moindre commentaire négatif en espérant obtenir un maximum de dédommagement pour les raisons les plus folles. Entre Youtube et Steam, ils en réclament déjà près de 30 millions.
Je ne suis donc pas d’accord, c’est loin d’être un signe pour l’ensemble des studios. C’est juste un cas particulier. Valve peut bien défendre ses clients sans paraitre trop les protéger.
Pourquoi la justice européenne a sanctuarisé la vente liée PC et OS
07/09/2016
Le 11/09/2016 à 23h 53
C’est vrai. Microsoft n’approuve pas vraiment cette vente d’OEM. Ce sont des licences qui ne devraient être vendues qu’avec les machines et non séparément. Une licence OEM ne concerne qu’une machine, c’est dans les conditions Microsoft.
En revanche dire que 130€ pour une licence Windows, non lié au matériel, serait “très onéreux”… Bon d’accord, c’est pas à portée de tous, c’est plus cher que Linux. Mais il s’agit tout de même d’un prix très convenables pour un logiciel. Un jeu neuf se vend 60€. Un an de Photoshop, c’est déjà quasiment le double. Antidote est au même prix…
Le gouvernement juge « injuste » de conditionner la redevance à la seule détention d’une TV
20/08/2015
Le 20/08/2015 à 15h 55