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Risigh

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9 commentaires

Le 28/01/2021 à 17h 27

Merci du feedback; j’avais initialement écrit “L’action GameStop était en effet quasi-essentiellement achetée par des fonds d’investissements (hedge funds) pariant à la baisse”, et les joies du circuit copie (à savoir la correction par la rédaction) a débouché sur un impropre “L’action GameStop était en effet essentiellement achetée par des fonds d’investissements pariant à la baisse (hedge funds)”.



J’ai corrigé, pareil pour la vente à découvert; cela dit, il y a un bien eu un “plan”, pas de GameSpot, mais de DeepFuckingValue, qu’il chronique sur YouTube et WallStreetBets depuis 2019, et dont témoigne l’enquête fouillée de Bloomberg.

Il y a bien eu un plan, mais qui n’explique pas du tout pourquoi le cours de l’action a monté. Pour apporter des pistes d’explication, consulte par exemple cet article de la newsletter de Matt Levine : “Money Stuff: The Game Never Stops” :
https://www.bloomberg.com/news/newsletters/2021-01-25/money-stuff-the-game-never-stops



(Au passage, cette newsletter gratuite est une mine d’or pour trouver des belles informations de qualité sur la finance, pour ceux que ça intéresse)



J’entend aussi ta remarque : on ne peut effectivement pas tout dire dans le nombre de caractères / mots qui te sont impartis, mais je maintien que l’article est maladroit. Cela n’enlève rien au reste de ton travail - Carry On !

Le 28/01/2021 à 10h 41

Votre article est confus et en partie faux.




  • Les “hedge funds” ne sont pas des fonds d’investissement pariant à la baisse, mais seulement des fonds d’investissement. Certains parient à la hausse, d’autres à la baisse.

  • C’est absolument faux de prétendre que cette montée du cours est un “plan” monté en 2019. Toutes les entreprises ont des “plans” pour faire croitre leur valeur, tous les investisseurs ont des “plans” selon lesquels la valeur de leur portefeuille boursier va croitre. Pour autant, ce n’est pas parce que ces plans existent que la valeur de GameSpot a tant augmenté en 2020 - ou alors, il va falloir m’expliquer ce que les “plans” de GameSpot avaient en plus des “plans” des autres entreprises et investisseurs.

  • Votre explication de la vente à découvert est confuse à souhait. Vendre à découvert, ou “selling short” en anglais, consiste à : emprunter une action, la vendre au prix de marché (par exemple 10€), puis attendre. Lorsque l’on souhaite arrêter le paris, alors on doit racheter l’action à son nouveau prix (par exemple 15€ auquel cas on perd 5€, ou bien 5€ auquel cas on gagne 5€). Ainsi, les fonds vendant à découvert n’achètent pas d’actions pour constituer leur position : ils en vendent. Ils ne doivent acheter que lorsqu’ils doivent ou souhaitent arrêter leur paris. Contrairement à ce que vous impliquez à la fin de la news, on ne peut pas “parier à la baisse ou à la hausse” en faisant de la vente à découvert.



S’il vous plait, consultez un expert à l’avenir si vous voulez vous exprimer sur un sujet technique que vous ne maîtrisez pas.

Le 01/10/2020 à 09h 41

Pas sûr du tout !



Pour l’emprunteur, le risque est considérablement plus grand. Tes fonds à la banque sont garantis dans la limite de 100k€. Par contre, quand tu prête via October…. Tu peux tout perdre, ou “seulement” 60% de ton prêt sur un projet Italien garanti par l’Etat par exemple.



Pour les entreprises, les taux sont considérablement plus élevés : October prélève 3% du montant total en frais de dossiers, puis 0.04% du montant total par mois. Et les taux pratiqués sont eux aussi très élevés, de l’ordre de 3 à 5 fois ce qu’on peut obtenir à la banque (voir https://www.meilleurtauxpro.com/credit-professionnel/taux-pret-professionnel.html et https://www.banque-france.fr/statistiques/credit/credit/taux-des-credits-aux-entreprises). Pour mettre ces taux en perspective, les taux october sont eux entre 2.5% et 9.9% annuel.



Loin d’être une affaire tranchée, que ce soit pour les entreprises ou les épargnants ;)

Le 29/10/2018 à 10h 16

Valorisation estimée à 15 millards par le WSJ 

Le 04/07/2018 à 13h 51

Des petits férus de statistiques sont également sceptique :&nbsphttps://meanderful.blogspot.com/2018/07/satoshi-claims-duality-and-scammer.html

Le 01/03/2018 à 14h 22

A noter que Spotify ne va pas lever d’argent, mais uniquement créer un marché pour ses actions afin d’offrir de la liquidité à ses actionnaires (c’est un direct listing et pas une IPO à proprement parler)



Qaund à savoir si c’est bon ou pas… On peut penser (ou pas) que les personnes qui ont financé Spotify ne l’auraient pas fait si une IPO/Direct listing avait été impossible, car ils n’auraient jamais pu réaliser leur plus-value. L’impact immédiat sur les utilisateurs sera vraissemblablement nul.

Le 21/02/2018 à 15h 36

Faut reconnaitre que c’est beau !  Mais tout ça pour faire tourner Bloomberg… :x

Le 24/06/2017 à 11h 27

la plupart des investisseurs sont peu intéressés par les droits de vote. Ainsi, la plupart des fonds d’investissements (OPCVM ou UCITS) n’ont pas le droit d’exercer un contrôle sur les entreprises qu’ils détiennent.



Si on prend l’exemple du Luxembourg, (qui accueille le plus de fonds d’investissements en Europe), la loi régissant les OPCVM stipule que: “Une société d’investissement (…) ne peut acquérir d’actions assorties du droit de vote et lui permettant d’exercer une influence notable sur la gestion d’un émetteur.” (Loi du 12 décembre 2010, art. 48)



Outre les OPCVM, les investisseurs privés sont généralement plus intéressés par les dividendes et gains de capital que par le contrôle, surtout lorsqu’il s’agit de grandes entreprises, qui ont une capitalisation boursière très élevée (ie. il serait couteux d’acquérir un controle significatif).



Au final, même les investisseurs qui passent pour les plus aggressifs en termes de controles, les “investisseurs activistes”, ne prennent généralement que des participations très minoritaires, de l’ordre de 1-5%. Cela leur permet de s’exprimer, et ils se reposent sur les autres actionnaires pour arriver à leurs fins.

Le 10/12/2015 à 15h 29

Pour être plus rigoureux, disons plutôt que Yahoo est valorisé à : la valeur de sa participation dans Alibaba, moins les taxes qui découleraient d’un engrangement de la plus-value, plus le reste. Du coup, le coeur de métier de yahoo et yahoo Japan ne sont pas non plus valorizes à zero.



Mais ils sont quand meme bien au fond du trou !