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707 commentaires

Le 26/12/2018 à 10h 57







Cumbalero a écrit :



Ce qui est important c’est ce qui l’oeuvre qui en résulte, pas de savoir que la mélodie d’origine a été soufflée à Chopin par un serin ou un rossignol.





Ah donc on parle pas de culture, juste de vendre des trucs.



Encore une fois, qu’est-ce qui empêche les “sampleurs” actuels de prendre du libre de droit (genre Beethoven ou des samples vendus comme tels) ou de faire eux même les petits bouts de phrases musicales? Ou, incroyabilité, de demander l’autorisation?


Le 26/12/2018 à 10h 17

“carapates” c cho comme même.

Le 26/12/2018 à 09h 08







Furanku a écrit :



2s de sample sur 4 minutes, même en boucle, on ne peut pas appeler ça du plagiat… Ça aurait 10s, là oui. Mais 2 secondes…

Peut-être que je devrais vite aller déposer un droit d’auteur sur un riff et porter plainte ensuite contre toute personne l’exploitant <img data-src=" />



&nbsp;Mon opinion (qui reste donc discutable même si généralement j’ai raison) c’est que 2s de sample sont:

&nbsp;- soit absolument reconnaissables et “particulières” et donc peu importe que ce soit 2s ou 1h, il y a reproduction,

&nbsp;- soit reproductibles à partir d’un instrument, d’un microphone ou d’un générateur de sons, sans qu’on puisse déterminer l’original et là pas de problème de mon point de vue.



On peut poser la question, pourquoi faire un sample si ce n’est pas pour faire une référence?



&nbsp;



Furanku a écrit :



Et je maintient que pour un groupe comme Kraftwerk ce type de procès reste assez surprenant.





Là par contre je suis d’accord. <img data-src=" />


Le 26/12/2018 à 09h 01







FrDakota a écrit :



Quoi ! On m’aurait menti, c’est pas Amish Paradise l’original ? &nbsp;<img data-src=" />





Haha je connaissais pas la version de Yankovic <img data-src=" />


Le 25/12/2018 à 10h 17







SebGF a écrit :



Donc oui, d’une certaine façon, le droit d’auteur nuit à la culture en bridant les artistes.





Bah ils n’ont qu’à pas le faire jouer, ni s’acoquiner avec des éditeurs/producteurs qui y tiennent <img data-src=" />


Le 24/12/2018 à 17h 07







Exagone313 a écrit :



Encore une fois, le droit d’auteur nuit à la culture …





Il y a des samples et des boucles libres de droits et/ou gratuits. Pourquoi choisir spécifiquement ceux qui sont couverts par le droit d’auteur?



La culture a bon dos. Quand je vois la masse de trentenaires qui connaissent Gangsta Paradise mais pas Stevie Wonder, je me dis que la transmission par la reprise/hommage/forte inspiration c’est du vent. Et pourtant on est dans un cas “officiel” et où le sample est plus que reconnaissable.

&nbsp;

(Le problème c’est surtout que si on rend plus difficile le sampling y’a plein de gens qui vont devoir apprendre à jouer d’un instrument.&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;)


Le 24/12/2018 à 12h 03







Z-os a écrit :



On ira chercher le portable au boulot pour pouvoir bosser de chez soi. <img data-src=" />





Oui ça je me demande comment on fait avec le télétravail de maladie ou de transport bloqué. Soit on revient tous les soirs avec l’ordi, soit l’employeur finance un doublon au domicile, soit on se le fait livrer par deliveroo? <img data-src=" />


Le 19/12/2018 à 14h 02







letter a écrit :



A quel montant commence le communisme? Je vous le demande.





Et donc?

Ça ne gêne que ceux qui ne sont pas communistes ça <img data-src=" />


Le 19/12/2018 à 10h 58

Qu’on soit clair, je suis d’accord sur le fait que les usagers sont redevables du péage.

(je suis contre les concessions au privé, mais c’est un autre débat)



En revanche cette affaire illustre parfaitement le glissement que peut opérer le traitement des données.

&nbsp;- On autorise des caméras et l’accès à un fichier relativement sensible pour lutter contre la fraude

&nbsp;- Finalement on s’en sert pour de la facturation (légitime, mais ne découlant pas d’une fraude)

&nbsp;- Demain on s’en sert pour quoi? de la pub? de la propagande politique? la vérification des indemnités kilométriques d’un salarié?)



Si la première barrière est franchie sans débat, la deuxième le sera aussi.

(exemple: la pub permettrait de verser plus à l’état, donc de réduire le déficit public -&gt; intérêt légitime)

Le 19/12/2018 à 08h 56







crocodudule a écrit :



&nbsp; débrailler l’appareil



&nbsp;

<img data-src=" />


Le 18/12/2018 à 15h 53







Iste a écrit :



Quand on veut voir que ce qu’on veut, c’est sûr que ca aide pas… Les rapports sur la vidéosurveillance installée dans les maisons pour réduire les cambriolages démontrent que c’est bien plus efficace qu’une porte blindée. Mais bon, restons sur les exemples qui vont dans ton sens, c’est plus simple.





Donc les études prouvent que dans le cas de la surveillance publique ça marche pas, tu me rétorques que la surveillance privée fonctionne.

Ca tombe bien, moi c’est dans les lieux publics que ça me dérange. On est donc d’accord.


Le 18/12/2018 à 15h 49







Iste a écrit :



J’en conclus donc que ça sert a rien que j’essaye de te répondre… Si t’es incapable de peser le pour et le contre, et est obligé de foncer dans les extrêmes, ça va être compliqué de discuter de ce genre de sujets…





Ben non justement je pèse le pour et le contre, et je suis donc contre la surveillance exagérée. Les “pour” sont quasi-inexistant, ne démontrent pas leur efficacité, sont utilisés par les gouvernement les plus autoritaires. Les “contres” sont nombreux et touchent aux libertés individuelles comme collectives.



Moi non plus j’aime pas me faire cambrioler hein. Je ne vais pas te faire poser une puce dans le bras pour pas que ça recommence <img data-src=" />


Le 18/12/2018 à 15h 22







Iste a écrit :



&nbsp;si tout le monde avait un suivi GPS très précis, ou que tout était filmé, bien des crimes serait impossible à commettre sans se faire prendre





Toute opposition au parti en place ou à des entreprises malveillantes aussi.

Mais bon on se demande qui vit au pays des bisounours.


Le 18/12/2018 à 15h 19







Iste a écrit :



Si pour toi le rapport&nbsp;bénéfice/risque est null, c’est simplement que tu ne vois pas les&nbsp;bénéfices que cela peut apporter… Je me répète donc, demande toi pourquoi certains en vois, si y’en a vraiment aucun… Peut être n’es tu juste pas concerné





Les rapports sur la vidéosurveillance sont catastrophiques par exemple. C’est de l’argent qui part en fumée.

Je mettrais la reconnaissance faciale dans le même genre de proposition technologique qui permet de fuir les problèmes.



“Certains en voient”… Je préfère les méthodes scientifiques et le point de vue de sociologues ou responsables pédagogiques aux pulsions de trois ou quatre personnes. Tu as ce genre de sources?


Le 18/12/2018 à 10h 32

D’ailleurs ça me rappelle ce qui s’est passé quand j’étais au lycée (qui était aussi un collège).



Pour sanctionner plus durement les retards (ou par “sécurité”, je ne sais) l’entrée est devenue interdite en dehors des heures de début/fin de cours. (en gros 5mn autour des heures piles).



Un gamin qui n’avait pas pu rentrer est donc resté devant le lycée en attendant l’heure pile, et il s’est fait agressé. (le responsable est l’agresseur, on est d’accord)



Solution: ne pas revenir sur la fermeture des portes, mais installer une caméra à l’extérieur. (je ne sais même pas si ça serait légal actuellement, elle filmait la voie publique) Caméra cassée à de multiples reprises évidemment. Et qui éloignait les élèves de l’entrée au début et à la fin des cours, pour ne pas être observés durant leurs instants de répit.



Donc on se retrouve avec un cocon protégé, surtout côté chiffres de l’administration, et une éventuelle insécurité/délinquance éparpillée un peu plus loin. Et le respect de l’école ne vient plus d’un lieu moralement “sacré”, mais de portes blindées et de caméra.



Bref, du flan, du vent, un “progrès” vers la décadence.

Le 18/12/2018 à 10h 24







Iste a écrit :



Les seules libertés que tu perds ici sont celle de commettre des actes contre le règlements ou les lois. Si pour toi, la liberté c’est aussi avoir la liberté d’assassiner ton voisin, alors tu devrais franchement y réfléchir à deux fois au lieu de parapher des bout de citations sur usées….





Yes, filmer et contrôler toute la population pour empêcher les assassinats de voisins, c’est bien ce que je dis:



Inefficacité + fichage, très à la mode en ce moment, mais à part dans les discours ça n’apporte au mieux rien, au pire bigbrother.

Le rapport bénéfice/risque est donc ultra 0, autant ne pas se diriger vers ces solutions idiotes.


Le 17/12/2018 à 16h 34







refuznik a écrit :



Ca sera marrant quant il y aura une coupure d’électricité.





On appellera des retraités pour faire des contrôles manuels. <img data-src=" />


Le 17/12/2018 à 16h 33







Iste a écrit :



Pour changer, plein de commentaires intelligent… Vivement que ce genre de dispositif se généralisent, sans consentement.

&nbsp;Si vous avez jamais eu de souci de sécurité, posez vous la question de pourquoi certain veulent ce genre de dispositif, au lieu de copier/coller les meme idioties au sujet de la biométrie…

&nbsp;

En quoi un ajout de sécurité est un souci ?? D’autant que ce cas est exemplaire coté utilisation de la biométrie…





Ce serait plus simple de relier les résidences correctes aux lycées corrects directement par des tunnels, franchement.

&nbsp;Ok les gamins verraient pas la lumière, mais ça résoudrait aussi la sécurité sur le chemin de l’école, et qui serait-il assez fou pour sacrifier sa sécurité contre sa liberté?


Le 05/12/2018 à 12h 02







js2082 a écrit :



&nbsp;Si l’on en venait à devoir protéger l’ensemble des magistrats, ça signifierait qu’il y a un énorme problème dans la magistrature à résoudre et que la solution d’anonymiser leur nom ne reviendrait qu’à mettre la poussière sous le tapis.

&nbsp;



(...)   





Et oui, c’est au peuple de contrôler le 3e pouvoir, le pouvoir judiciaire.

Comme c’est à lui de contrôler le pouvoir législatif et exécutif.





Mais justement, rendre public des stats sur des personnes identifiées ça multipliera par 1000 les doutes et les plaintes. Ca ne sera pas du contrôle mais juste une exposition à tous les délires.



Si on imagine l’exploitation des données pour arriver à ce genre de tableau:

Jean-Pierre Duchemin 23% de relaxe dans les affaires de coups et blessures.

Mohamed&nbsp; Streetberg 27% de relaxe dans les affaires de coups et blessures.



On ne peut arriver rationnellement à aucune conclusion. Et pourtant… il va falloir protéger les deux <img data-src=" />


Le 05/12/2018 à 10h 40







js2082 a écrit :



Les décisions sont prises au nom du peuple. Mais leur responsabilité personnelle reste engagée et doit rester engagée car c’est eux qui la prenne, cette décision, pas le peuple.

(sinon, ce serait un peu trop facile, tu crois pas?)





Du coup faut qu’ils prennent une assurance individuelle en cas d’erreur?



Ca va faire comme avec les échographiste pour les femmes enceinte, plus personne ne voudra des dossiers compliqués.


Le 04/12/2018 à 22h 22







Soriatane a écrit :



Les médecins ont une obligation de moyens pas de résultat car le corps humain n’est encore totalement compris.





Ok. Donc du coup on le fera pas?


Le 04/12/2018 à 17h 07

Je trouve ça chaud quand même… Je me garde d’avoir une opinion tranchée car les arguments des deux parties sont dignes d’intérêt.



Mais sur la possibilité d’accéder aux données sur une personne… On va vite se retrouver à des chiffres sans contexte (genre lui il condamne à 80% dans tel sens… mais en fait s’il a 80% de dossier qui le justifie…?) exploités par tous ceux que ça arrange.



Et puis après on va étendre ça aux médecins (études financées avec nos impôts, risque vital blabla), avec un classement de la mortalité des patients de chaque praticien.

Et puis en fait on va pouvoir calculer des taux de réussite (avec tout ce que ça a de relatif) sur le reste de la population, pourquoi pas? Le taux de réussite au bac des anciens élèves d’un&nbsp; instituteur etc.



Pour revenir aux juges, ça serait flippant de constater un jour que les magistrats consultent leurs taux et modèrent leurs jugements pour viser le 50% <img data-src=" />

&nbsp;

Ouais. La transparence c’est bien, mais en fait ça peut mener à plein de choses.

Le 29/11/2018 à 14h 21







RuMaRoCO a écrit :



Le sculpteur vend bien son oeuvre …

Et le journaliste est rémunéré pour le travail fourni ….



Et c’est bien dommage non ? pour les tournées….





Mais de ce soit matériel (CD) ou non (Itunes) dans ces cas la diffusion ce fait toujours par unités donc ce n’est pas en contradictions avec ce que je dis….&nbsp;



Si un artiste sort un album il est libre ou non de le diffusés comme il le semble.&nbsp;

La seul chose que je dis c’est qu’une fois qu’une oeuvre a été diffusé de manière universelle (Radio ou TV ou youtube -VEVO officiel) donc c’est à dire sans conditions de restriction autres de de posséder un appareil de reception =&gt; Televiseur ; poste de radio ; PC + connexion internet l’œuvre concerné rentre dans le domaine publique….Il en reste bien entendu le créateur mais ne peut plus d’opposé à sa réutilisation….&nbsp;

&nbsp;&nbsp;





Bon, visiblement on ne s’entendra jamais.



Séparer vente par unité et diffusion, comment dire… Les seuls musiciens à gagner leur vie seraient ceux qui choisiraient de ne pas passer à la radio??? En plus ça voudrait dire qu’il faut une autorisation de diffuser une oeuvre, si un artiste peut choisir de ne pas être diffusé, tu fais ça comment?

&nbsp;Les tournées c’est possible pour certains cas, pas pour d’autres, et ça voudrait dire que moi qui vais peu en concert car le son est pourri je fais financer la gratuité de ma musique par ceux qui y vont, ça ressemble à une taxe injuste <img data-src=" />

&nbsp;&nbsp;

Les comparaisons ne fonctionnent pas, et cette insistance à vouloir que quelque chose de publié devienne libre, c’est totalement absurde, ça ne risque que d’entraîner la culture du secret et du propriétaire, notamment dans l’informatique.


Le 29/11/2018 à 09h 57







RuMaRoCO a écrit :



Et l’artiste quand il se produit sur scène aussi.

&nbsp;





Dommage, j’ai plein d’album qui n’ont pas fait l’objet d’une tournée.

Et j’attends encore les concerts de journalistes ou de sculpteurs.

&nbsp;





RuMaRoCO a écrit :



Et oui les éditeurs vendent bien leur produits pour 100% du prix de leurs fabrications.&nbsp;



(Cout de fabrications + marges)/nombres de ventes espérés ….





Non.

&nbsp;

(prends le prix d’une chanson sur iTunes: tu crois vraiment que tous les artistes du monde entier dans tous les styles de tous les niveaux espèrent vendre le même nombre? <img data-src=" /> Même chose avec les livres de poche, les places de ciné etc.)


Le 28/11/2018 à 23h 03







RuMaRoCO a écrit :



Ce que j’ai en tête c’est les cas comme “Born to be Alive” ….

Pour rester dans les exemples matériels, un menuisier qui a construit un banc publique ne reçoit pas un centimes pas personnes qui s’assoit dessus&nbsp; et encore moins ses héritiers 70 ans après sa mort…

&nbsp;





Le menuisier est payé pour 100% de la fabrication du banc.

Personne ne paye une chanson ou un livre pour 100% du prix de sa fabrication. (on aurait que des oeuvres de mécènes sinon, mais c’est pas très XXIe siècle)

Les mécanismes pour gérer cela sont en grande partie mauvais ou exagérément exploités, mais il en faut.


Le 27/11/2018 à 09h 36







RuMaRoCO a écrit :



Pour moi à partir du moment qu’une oeuvre à été publié publiquement PAR SON AUTEUR un droit supplémentaire à) la rémunération n’est plus possible. Uen musique passe à la radio ou à la télé publique voir sur internet et bien l’oeuvre ne devrait plus être protégé en contrefaçon.



&nbsp;&nbsp;



Donc un album de musique ne devrait se vendre qu’une fois? Ca va être chaud de trouver les moyens de l’enregistrer.

Est-ce qu’un article publié tomberait dans le même cas? Les autres sites ou journaux pourraient le reprendre sans même une référence?

Il va falloir vendre les bouquins à hauteur de 1 ou 2 ans de revenu le premier exemplaire aussi.



Ce n’est pas parce que les ayants droits et les gouvernements proposent des solutions débiles qu’il faut marcher sur la tête. C’est nous qu’on aura mal au crâne en premier.


Le 28/11/2018 à 23h 13

Merci encore de faire avancer ce sujet. Il peut paraitre à certains comme mineur, mais la transparence est un outil nécessaire à d’autres avancées!

&nbsp;







Cqoicebordel a écrit :



Mais du coup, pour faire chier le monde, est-ce que l’April pourrait demander au ministère des Armés de lui rembourser les frais d’hébergement ?





En fait elle pourrait utiliser l’avis comme une preuve qu’elle est chargée d’une mission ministérielle, d’un service public? Demander à un avocat de rédiger un contrat peut-être?

Ou ne fournir le document qu’avec des notes ajoutées, signalant leur avis sur les différents points <img data-src=" />



C’est carrément absurde.


Le 27/11/2018 à 17h 20

Il ne reste plus qu’à demander massivement les communications, jusqu’à ce que la CADA se dise que serait bien que ce soit publié une fois la première communication faite?



Sur quel sujet on pourrait faire ça? <img data-src=" />

Le 21/11/2018 à 09h 30







dematbreizh a écrit :



“Le crime&nbsp;à&nbsp;l’origine de cette procédure ? Des coups de parapluie assénés



à des gendarmes par ce mécontent lors d’une manifestation"     



ça reste un comportement clairement condamnable.





Oh oui.

Mais du coup la loi devrait tout simplement énoncer “tout comportement condamnable donnera lieu à une inscription dans le fichier”.



En notant que le “comportement condamnable” est très large, puisqu’il ne nécessite pas de condamnation par un tribunal.


Le 20/11/2018 à 10h 17







Mihashi a écrit :



Entendez-vous le bruit des bottes ?





Actuellement c’est plus le bruit des bots <img data-src=" />


Le 19/11/2018 à 22h 11







Z-os a écrit :



&nbsp;la nase de données





C’est pas mal ça, je réutiliserai.

Avec avec la version “nazie de données” dans les cas de nécessité de Godwin&nbsp;<img data-src=" />


Le 19/11/2018 à 17h 22

Merci pour l’article.



C’est bien flippant par contre <img data-src=" />

Le 18/11/2018 à 17h 34

Merci!Pas sûr qu’un employeur soit prêt à payer un salaire +



&nbsp;&nbsp;” des frais d’atelier (frais engagés au domicile&nbsp;: loyer, chauffage, éclairage du local de travail, etc.) et des frais accessoires.“pour un employé malade <img data-src=" />

&nbsp;(votons une loi pour exonérer les entreprises de loyer en cas de télétravail!)



&nbsp;Dans le cas de télétravail régulier et organisé, pourquoi pas, mais en cas de télétravail partiel l’entreprise doit financer deux postes. (ou organiser une rotation des arrêts maladie)



&nbsp;Je peux paraître très réticent mais en fait plus j’en parle plus je comprends pourquoi je n’ai pas envie de télétravailler. (alors que j’ai 1h30 de trajet par jour et que mon boulot serait partiellement délocalisable) Exemple tout bête: les fauteuils au boulot sont très confortables pour bosser toute la journée devant un ordi, étant sujet au mal de dos j’en suis bien content. Faut-il doubler la vente de chaises, (en plus elles ne sont pas données) ?

&nbsp;C’est con mais ça se pose comme question non?



&nbsp;Je suis assez à cheval sur ces questions aussi car ma compagne bosse/a pas mal bossé en indépendante, et il y a un intérêt à facturer vraiment bien au dessus d’un salaire pour ne pas y perdre, un bureau à domicile ça reste assez lourd. (en plus des charges sociales de base à compenser)

Le 17/11/2018 à 10h 04







Patch a écrit :



Tip : on n’est pas obligé de faire 100% de télétravail. D’ailleurs dans 90% des cas c’est 1 à 3 jours par semaine, et le reste au bureau.





Mais voilà pourquoi j’aimerais vraiment avoir le potentiel national de télétravail. Il y a un truc à faire pour l’encourager ok, mais soyons lucide si c’est 30% de volontaires x 5% des postes x 20% des jours de la semaine ça ne sera pas un truc boulversifiant, juste une petite évolution bienvenue.


Le 17/11/2018 à 09h 17







Patch a écrit :



Même dans ce cas, ca ne change rien : les juristes & équivalents s’appuient sur des documents généralement facilement trouvables en numérique et leur cerveau. Tous ceux qui ne recoivent pas de public dans leur bureau peuvent fonctionner en télétravail



&nbsp;

Il ne faut pas non plus vouloir voir ses collaborateurs…

Je le répète, je suis favorable au télétravail, mais est-ce que par exempl un&nbsp; bureau avec 3 personnes qui travaillent ensemble (deux avocats associés et leur secrétaire, ou un développeur, le product manager et un stagaire, etc.) est transposable en trois personnes chacune chez soi?



Et “peuvent fonctionner en télétravail” ça suppose aussi une forte politique sur le logement. Moi ça va mais j’ai plein de collègues dev qui habitent dans 25-30m2, ils n’ont peut être pas envie d’en consacrer une partie au taf. Avant c’était pire, je bossais en pièces traités acoustiquement <img data-src=" />



Mais bon, je reste pour le développement du télétravail, ici on parle du travail malade, c’est un autre sujet, qui à mon avis concerne moins des choix personnels que des choix de société.


Le 16/11/2018 à 20h 29







Patch a écrit :



Dans la Justice il n’y a pas que des magistrats et des surveillants (et il y a 0 avocat : ils ne sont pas fonctionnaires, ni rémunérés par la Justice hors missions comme les commissions d’office). Les magistrats et surveillants, c’est juste la partie émergée de l’iceberg. Il y a aussi beaucoup de petites mains (dont je fais partie justement) qui travaillent dans l’ombre.





J’ai dit justice pour droit/justice/paralégal/professions juridiques… je parlais pas particulièrement du ministère…


Le 16/11/2018 à 20h 26

Pour être moins trollesque, tu as une idée par exemple du % de postes qui est envisageable en télétravail?



50% à plein temps? ou plutôt 25% à 2j/semaine? Ou 10% dont la moitié qui veulent pas car ils n’ont pas la place chez eux?



A ce propos qui paye la taxe d’habitation quand on a son bureau chez soi?

Le 16/11/2018 à 20h 18







Patch a écrit :



<img data-src=" />

J’avais loupé que tu avais mis la Justice dans le lot. Mais là aussi c’est loupé, on a justement du télétravail chez nous aussi (le personnel de direction peut avoir à bosser de chez eux, et plus rarement on a aussi du personnel administratif justement principalement sur justification médicale, ce qui diminue le risque d’arrêt maladie pour les concernés) <img data-src=" />





Je pensais aux tribunaux, aux avocats qui préfèrent voir leurs clients en face à face, aux gardiens de prisons. Mais bon, si tu me dis que la plupart des professions juridiques peuvent bosser chez elles , une main dans le plâtre enceinte de 8 mois avec 40° de fièvre, c’est que c’est vraiment pas contraignant comme job&nbsp;<img data-src=" />


Le 16/11/2018 à 19h 13







Patch a écrit :



Il y a des techniciens qui peuvent quand même bosser en télétravail (surtout les SIC) <img data-src=" />





Oui, bon, tous les techniciens sauf informatique quoi. Et pas ceux qui doivent toucher au hardware, ou recevoir des prestas. Ou qui interviennent sur du matos non connecté.



Au final:&nbsp; professions possibles en télétravail en arrêt maladie - pathologies empêchant de travailler = ?


Le 16/11/2018 à 14h 17







n05f3ra1U a écrit :



Et si on développait le télétravail comme une obligation légale sauf contrainte opérationnelle avant de débattre sur l’assurance maladie.

Un télétravail par défaut serait bien plus efficace que tout ce brouhaha politique stérile.





Ca serait prendre un peu le truc à l’envers non? Encore une fois, combien de postes éligibles au télétravail?



“Ho bah tout le monde, sauf les ouvriers en usine ou en chantier, l’hotellerie restauration, agriculteurs et éleveurs, les commerces et la grande distribution, la logistique et transports, les personnels des hopitaux et des écoles, chercheurs, les artisans, le maintien de l’ordre, l’accueil dans les lieux publics, la justice, les artistes, techniciens…” <img data-src=" />


Le 16/11/2018 à 10h 09







fabliv a écrit :



Croyez-moi, j’ai affaire à des personnes épanouies dans leur job. Ce qui ne semble pas être votre cas à l’évidence. <img data-src=" />



&nbsp;Le problème c’est que la société a besoin de plein de jobs pas épanouissants <img data-src=" />


Le 16/11/2018 à 09h 45







fabliv a écrit :



C’est incroyable de voir combien d’entre nous sont conservateurs dans certains cas.

Tout le monde est pour une évolution technologique mais beaucoup ne veulent pas évoluer avec celle-ci.



Pourquoi ne prenez-vous pas la possibilité de travailler de chez vous comme une amélioration des conditions de travail (pourquoi pas un futur acquis social) pour les postes et métiers le permettant ?

&nbsp;



On parle pas de télétravail là, on parle de travail en étant malade ou blessé.



Je suis à fond pour le télétravail (même si à titre perso je me vois mal le faire plus d’une ou deux journées par semaine) mais pas comme moyen de jamais lâcher le taf, même malade.

D’ailleurs ceux qui viennent bosser avec une énorme crève, toussent toute la journée dans les bureaux et sont efficaces à 50% m’énervent plus que ceux qui prennent une journée pour se reposer.



Si le progrès c’est d’être connecté 2424 avec son entreprise, effectivement je vais adhérer à un mouvement réactionnaire d’interdiction des télécommunications.


Le 15/11/2018 à 16h 50







yvan a écrit :



Si tu peux, en délaissant l’enfant ou en prenant des produits chimiques pour tenir.





Voilà, faut baisser les taxes sur la cocaïne. Mettez tous votre gilet fushia.


Le 15/11/2018 à 16h 29







fabliv a écrit :



Pour l’une d’elles par exemple, en effet.

C’est une régie de marketing dont la plupart des employés sont des commerciaux(ales) sédentaires et gérant chacun(e) un portefeuille client spécifique. Remplacer un(e) commercial(e) lors d’une absence plus ou moins longue n’est pas souhaitable (formation, gestion client etc…), de plus et comme beaucoup ils/elles sont commissionné(e)s .

Cette société vend de l’espace pub sur différents médias (papier, TV, Radio et numérique), l’obligation d’un travail au bureau n’est donc pas indispensable, mais souhaitée et fixée une à deux fois par mois sous forme de réunion afin de garder une relation humaine suivie.

Même la standardiste peut gérer les appels de chez elle avec la solution WebRTC en place, c’est dire. ;)





Donc en fait les arrêts pour la grippe ou le congé maternité c’est inutile?

On peut répondre au téléphone avec une grippe ou en allaitant? On peut remplir un tableau excel en changeant une couche ou avec 40 de fièvre?



Comprends pas…



Edit: en fait c’est extrêmement dévalorisant pour ces métiers. Perso en grippe ou avec un bébé je peux pas bosser, chez moi ou pas.


Le 15/11/2018 à 14h 15

Et si on fait une rechute ou qu’on a une aggravation de la maladie pendant le télétravail, ça fait un accident du travail? Les employeurs vont prendre ce risque? <img data-src=" />



Dans les boîtes où l’ambiance et le management sont bons, ça se fait déjà un peu, de toute façon.

Dans les boîtes où c’est pas le cas, ça se fera dans la pression, donc c’est pas la peine.



Et encore une fois on a l’impression que c’est une mesure de grande envergure, mais combien de salariés sont réellement éligibles au télétravail? (on est surreprésentés ici je pense)

Le 15/11/2018 à 15h 42

Ca m’embête un peu d’être filmé 2424 parce que quelqu’un s’est fait piqué ses enjoliveurs en 2016.



Mais bon, libre à chacun de vouloir troquer 90% de ses libertés pour gagner 2% de sécurité.

Le 05/11/2018 à 10h 28







yvan a écrit :



Ben moi je suis plutôt contre.





Chacun son truc.

Je vais à pieds faire le marché, chez mon libraire, mon boulanger, mon marchand de chaussures, à la supérette quand y’a plus de PQ ou de bières.



Si d’autres préfèrent essayer 4 paires de pompes en les renvoyant à chaque fois, commander leur pain sur Amazon, se passer de PQ 3 jours le temps que la commande arrive ou encore ne découvrir des bouquins que par les algos de recommandation…

Au lieu de causer avec mon ordi, je blague avec le charcutier (et il me donne ses recettes, je lui dis quand son cochon était bon ou moins bon), j’explore les rayons de bouquin avec mon fils, bref… le partage de la connaissance et l’interaction sociale, ce que promet le web mais qui n’est pas toujours au rendez-vous.



Je n’aime pas me balader dans les coins uniquement résidentiels, où les portes à digicode ou les portails attention au chien s’enchaînent.

&nbsp;

C’est une question de goût, on est d’accord. Mais socialement ça se défend. (C’est même une vision de société, peut-être un peu old school, mais qui cherche un équilibre quand on en voit certains qui n’envisagent plus de rencontrer l’âme soeur autrement que par un site de rencontre)



(et ça ne m’empêche pas d’utiliser exclusivement le e-commerce et/ou la livraison pour certains domaines)


Le 02/11/2018 à 16h 23







fanf73 a écrit :



Mais pourquoi garder la taxer pour ceux livrer en “consigne”, type Amazon Locker ? ça sent un peu la taxe ciblée vu comme ça.





Bah de toute façon je vois pas comment ce genre de taxe ne pourrait pas être foireuse, comme toutes celles qui sont trop spécifiques et/ou répondent à un truc valable à un instant T.



Faudrait prévoir une exonération si on peut prouver que le charcutier du bled ne vend pas d’Arduino <img data-src=" />


Le 02/11/2018 à 14h 53







tazvld a écrit :



Du coup, personnellement, je me demande pourquoi la désertification des centres-villes pose problème ? Quel est l’intérêt ?





Comme ça j’en vois certains, pas applicables partout/pour tout le monde:

&nbsp;- quand tu te balades dans une petite ville ou un village avec la moitié des trucs fermés, c’est glauque, touristiquement c’est pas bon, bref, la commune perd de son attrait, la qualité de vie baisse, il y a des endroits ou l’activité génère de la sécurité aussi,

&nbsp;- c’est un cercle vicieux: certains commerces utiles ferment car tout ferme autour et la fréquentation baisse, et même si les riverains en ont besoin, ils ne suffisent pas à la rentabilité,

&nbsp;- le lien social se désagrège, y’en a que ça dérange pas, y’en a que ça dérange,

&nbsp;- les communes avec des habitants perdent les revenus de l’activité, quand certaines ramassent tout avec les centres commerciaux. Il y a une guerre éco entre communes, c’est débile, et ça ne tient pas la route.



Mais maintenir artificiellement en vie les centres ville ça ne semble pas raisonnable non plus, surtout en s’attaquant à des faux problèmes…


Le 02/11/2018 à 10h 44







darkweizer a écrit :



Donc la désertification des centres-ville n’a rien à voir avec le commerce en ligne mais avec les grandes surfaces ! C’est donc taxer quelque chose qui n’a rien avoir avec la cause du problème





La plupart des papiers que j’ai lu vont dans ce sens oui.

Après, Amazon a fait du mal aux librairies, Thomann du mal aux magasins de musique, mais ça reste anecdotique par rapport aux autres commerçants à mon avis.