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bloossom

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942 commentaires

Le 14/09/2016 à 08h 30

Bien sûr qu’on reste dans la théorie mais j’aime assez l’idée que les gens puissent s’émanciper de l’obligation d’aller travailler qui leur cause tant de malheur dans la vie pour faire ce qui les rend heureux (je pense que beaucoup remettraient cette affirmation en question).



Pourquoi l’inflation est-elle quasi-obligatoire? je ne suis pas économiste mais je ne vois pas en quoi la monnaie perdrait nécessairement en pouvoir d’achat.

Le 14/09/2016 à 08h 01

Très juste pour l’autre idée.



 Ce revenu brise la relation entre travail et revenu. L’idée de certains est que ç’est un pas de plus vers la destruction du lien entre le capital et les profits d’une entreprise. en gros comme les moyens de production ne nécessitent plus de travailleur, alors il faut que ce qu’ils rapportent ne rapportent plus qu’aux seuls actionnaires (c’est une approche presque communiste (je sais pas si on peut le dire) soit par la taxation voir même par une forme d’étatisation de l’actionnariat des société productrices).



Vient ensuite l’idée que la société disposera à court terme des moyens de faire vivre ses membres sans nécessiter d’eux une activité lucrative. philosophiquement, on pourrait se libérer de l’obligation de travailler ce qui serait une évolution considérable de notre société et dans le bonheur de ses membres (sauf si on est passionné par son job <img data-src=" />)

Le 14/09/2016 à 07h 41

C’est vrai que le droit comparé peut être un outil très intéressant pour légiférer.



&nbsp;Je ne peux parler que pour chez moi mais c’est un peu l’avantage pour la Suisse d’être un pays trilingue avec des cultures très différentes. Quand on fait les choses chacun regarde un peu ce qui se fait du côté du voisin avec lequel il communique le mieux et le droit comparé fait partie intégrante des messages explicatifs des projets de loi qui sont finalement votés (en plus avec l’UE on étudie la compatibilité de nos lois même si le débat politique peut les modifier).



Après toute la finesse de la comparaison c’est de comparer ce qui peut être comparé tout en gardant en tête les spécificités de chaque systèmes.

Le 14/09/2016 à 07h 14

en Suisse on a voté contre une initiative pour un revenu de base inconditionnel au début de l’été. Contrairement à ce qu’on aurait pu penser le débat a été assez intéressant même si le rejet a été massif (plus de 75 % alors que 60 c’est déjà un rejet sévère). On s’est par exemple demandé si il était possible de supprimer le travail en tant que corvée, ou si au fonds notre filet social offrait de toute façon un revenu inconditionnel.

Mais l’initiative ne précisait rien quant à la mise en oeuvre et ça modifie quand même profondément la société

Le 14/09/2016 à 07h 34

L’éternel conflit entre le domaine juridique et le domaine technique. Il faut arrêter de penser en absolu. ici on a une décision rendue dans un cas précis et concret. Un autre cas précis et concret peut comporter des particularités qui feraient que dans sa configuration particulière le lien serait considéré comme légal.



Ensuite le droit se veut (en principe) pragmatique, et adopter les termes de la technique du moment a pour effet que lorsque la technologie évolue, on a des lacunes (si on parlait d’une forme de lien précis il suffirait de passer à un autre type de lien). Pour reprendre ton exemple de lien randomisé, on peut appliquer les critère du jugement et se baser sur la bonne foi de l’hébergeur. Concernant l’indirection le juge s’en fiche, tant que le lien mène à un contenu illicite selon ses conditions (critères juridiques et non techniques).



En plus ici il ne s’agit pas du législateur mais du pouvoir judiciaire, le législateur se contentant de dire que c’est illégal de communiquer au public une oeuvre protégée sans l’accord de l’auteur ou de l’ayant droit.



Je sais bien que les deux domaines ont de la peine à communiquer (on dit que la réponse en informatique c’est 1 ou 0 tandis qu’en droit c’est ça dépend) et que tout change très vite en informatique tandis que le droit suit de longs processus législatifs.&nbsp; Mais le droit a aussi des impératifs et des spécificités, tout comme le domaine technique qu’il réglemente (quid du ddroit médical, de la recherche, etc ?).

&nbsp;

Le 13/09/2016 à 18h 04

Vous m’avez eu en abonné avec cet article !



Super analyse, j’avais pas pensé au problème pour le droit d’auteur avec l’approche non objective de la notion de communication au public. après la présomption de connaissance ça va provoquer pas mal d’auto-censure j’ai l’impression.



et les tableaux sont vraiment un plus pour se faire une idée de ce panier de crabes.



&nbsp;

Le 13/09/2016 à 09h 43

Au fonds c’est parfaitement normal



Il n’est pas critiqué le fait qu’apple localise ses profits en Irlande (ce qui est parfaitement légal à l’heure actuelle si je ne m’abuse),&nbsp;mais le fait que le ruling fiscal entre apple et l’Irlande n’est pas fondé sur des éléments de fait, provoquant une forme d’aide d’Etat en baissant artificiellement les impôts payés par apple en Europe.



En gros, c’est pas parce qu’ils ont payés 0.05% d’impôts qu’ils sont méchants mais parce que l’Irlande aurait dû faire payer le même montant aux autres entreprises dans une situation similaire. La branche irlandaise d’apple a généré des revenus commerciaux plus importants que ce qui avait été convenu.



On est encore loin d’une taxation en fonction du lieu du paiement du consommateur final en Europe. Il ne faut pas confondre droit et politique, surtout lorsqu’il s’agit de récupération de la part de certains. Cependant, ça ne veut pas dire que la question en elle-même ne mérite pas d’être débattue

Le 08/09/2016 à 14h 12

Selon la situation actuelle non google n’a pas l’obligation de savoir tout ce qu’il publie. En matière de retrait de contenu, qui utilise le même terme (savait ou ne pouvait pas ne pas savoir), google n’a pas de responsabilité sur le contenu illicite auquel ses liens mènent, à moins que l’ayant droit ait notifié à Google l’illicéité d’un tel lien (ou qu’il soit manifestement illicite mais c’est déjà plus rare).



A priori rien ne devrait changer pour google et les autres moteurs de recherche. C’est plus les questions d’incrustation (le site de streaming qui te dit qu’il n’héberge pas les vidéo que tu consulte) et ce genre de choses qui voient leur situation clarifiée (ou pas, le but lucratif peut s’interpréter très largement).

Le 08/09/2016 à 14h 03

Est-ce qu’il ne connaissait pas ou ne pouvait pas ne pas connaitre l’illicéité du lien en question? actuellement ce genre de question ne demande pas de surveiller activement son site mais de supprimer les contenus qu’on découvre comme étant illicites (une demande de l’ayant droit souvent lance cette situation)

Le 08/09/2016 à 09h 47

Après la porte s’ouvre un peu plus sur a responsabilité de celui qui utilise des bots sans en contrôler l’activité. On en est pas encore là mais cet arrêt nous en rapproche.

Le 08/09/2016 à 09h 39

Dur dur… si on se place du côté juridique et donc avec des normes techniquement neutres, c’est vrai qu’une incrustation ou un lien donnent facilement accès à un contenu donc je peux comprendre la logique du raisonnement. Par contre j’ai le sentiment que ça va à l’encontre du fonctionnement même du concept de lien et du fonctionnement d’internet en général.



Les sites qui proposent des incrustations peuvent se faire du souci si la notion de lucratif est très large.



Plus qu’à attendre que ma cour suprême rende un jugement identique (si notre législatif ne règle pas la question dans sa nouvelle loi)…

Le 07/09/2016 à 09h 55

perso mon plus grand faible c’était les lance bombe atomique dans le premier opus! que de très bons souvenirs

Le 06/09/2016 à 21h 39

how do you turn this one c’était essentiel

Le 07/09/2016 à 05h 47

actuellement ça dépend des biens que possèderait skype en France. Si une décision française vient leur demander de faire des interceptions et qu’ils disent non, la France peut faire pression sur les biens qui sont sous sa juridiction.



Si Skype n’a rien de matériel en France, alors la France devra utiliser la justice US pour faire exéquaturer sa décision et les juges américains sont plutôt contre ce genre de pratiques.



Maintenant la question est plus pour Skype de savoir si ils sont prêts à assumer la publicité “négative” que le fait de ne pas “respecter” la décision leur fera.



Donc chaque pays est “souverain” et ses institutions peuvent juger et mettre des amendes, mais ensuite l’efficacité dépend des moyens de coercition à disposition de l’Etat en question



Mais ça c’est la partie juridique après difficile de dire ce qu’il pourrait en être du point de vue technique.

Le 05/09/2016 à 21h 58

A mon avis c’est un des effets pervers de l’augmentation du nombre d’intermédiaires entre le contenu et le consommateur. Le créateur n’a plus aucun contact avec celui qui le finance (le fabriquant de pub) parce que Youtube vient se placer au milieu et peut presser sur l’un comme sur l’autre. On a aussi le fabriquant de produits qui passe par une régie afin de placer stratégiquement ses pubs.



C’est légitime de la part d’un publicitaire de ne pas vouloir associer son produit à un certain contenu et c’est légitime de se faire financer par de la pub , mais c’est pas légitime de décider arbitrairement de qu’est-ce qui mérite ou non d’être financé par la pub.



Une petite question qui me passe par la tête: Est-ce qu’on a demandé aux créateurs de contenu ce qu’ils pensaient des publicité à faire fondre le cerveau avant leur vidéo? Ont-ils pu choisir de refuser telle ou telle marque?



Enfin c’est toujours embêtant de voir une grosse boite décider à notre place des contenus qui sont biens ou non. mais ça s’éloigne un peu de la news.

Le 01/09/2016 à 20h 51

C’est effectivement le problème de base. Afin d’éviter une double taxation d’un même gain par plusieurs états (chacun considère que là ou c’est produit et là ou c’est payé il faut taxer) il est nécessaire de déterminer une répartition du bénéfice (quel pourcentage du revenu provenant des ventes la filiale apple EU qui ne fait que vendre des produits développés par apple US doit être considéré comme taxable par l’Etat membre en question?) Souvent d’ailleurs les filiales payent à la maison mère un prix pour les biens qu’elle vend (alors que la mère contrôle la fille et décide librement du prix) afin de limiter les bénéfices localement et les accroitre ailleurs. Il faut donc se mettre d’accord avec l’Etat en question afin de savoir quel prix est considéré comme légitime.



Ensuite il y a encore toute une série de règles destinées à promouvoir l’innovation et donc à ne pas trop taxer les brevets.



Pour moi peu importe que les profits soient rappatriés aux US ou ailleurs tant qu’une juste part est payée en Europe. Concernant le résultat de la R&D c’est discutable mais au fonds c’est bien la recherche et l’innovation qui donne au produit sa valeur et pas forcément sa commercialisation surtout à notre époque dématérialisée. mais il faut une répartition correcte.

Le 26/08/2016 à 11h 34

+1 pour les sources.



Il serait très intéressant de comparer quelle est la situation dans différents pays.



Je sais qu’en Suisse il est permis de photographier une oeuvre accessible au public sur le domaine public et qu’il y a une exception d’usage pour les oeuvres à des fins d’éducation, même si elle est soumise à redevance.



Par contre, le cas particulier de la lumière sur la Tour Eiffel, dans un cas analogue en Suisse il est difficile à déterminer même si je soupçonne qu’il s’agit d’une simple façon de rallonger artificiellement un monopole.

Le 24/08/2016 à 12h 55

Au fonds c’est triste, mais Netflix semble admettre qu’un service tel que le sien n’aurait pas pu naître en France à cause d’une réglementation trop protectionniste.



Après bien ou pas bien, la question est de savoir si la politique culturelle telle qu’elle existe en vaut la peine.

Le 24/08/2016 à 12h 39

Je trouve assez juste ton commentaire. Quand la réglementation qui s’impose à une entreprise est élevée il est normal d’un point de vue économique qu’elle envisage de se déplacer ou de trouver une solution pour fonctionner au mieux avec cette réglementation afin d’être plus “efficace”. Ici il semblerait que quitter la France permette de s’affranchir de contraintes (pas seulement fiscales) très fortes pour continuer à proposer ses services en Europe et à répondre au mieux aux attentes des clients. &nbsp;



Peut-être que le but de la politique culturelle en France est légitime et mérite d’être protégé (quelle immense culture!), mais alors il ne faut pas monter sur ses grands chevaux lorsqu’une entreprise s’expatrie afin de ne plus avoir à subir de telles contraintes. C’est en quelque sorte la face négative de la médaille.

Le 19/08/2016 à 13h 22

dans la mesure où l’acheteur comprend que le jeu qu’il achète n’est pas fini pourquoi critiquer son achat?



&nbsp;Le développeur est financé avant la release ce qui peut être très utile, ça peut avoir un effet bénéfique sur le piratage éventuellement et il obtient un retour critique sur son jeu avant de le lancer définitivement. De l’autre côté, le joueur a moins besoin d’attendre (c’est peut-être futile mais c’est un point) et peut profiter de cet early access pour donner son avis et communiquer avec le développeur afin de rendre le jeu meilleur. Cerise sur le gâteau il disposera du jeu à sa release.



Bien sûr, il y a des exceptions et il y a eu (aura) des cas problématiques lorsque les développeurs cessent le développement, ou lorsqu’ils dévient trop de ce qu’ils pensaient proposer mais ce risque fait partie du principe de l’early access. Plus on arrive au début du développement plus on aura de l’influence mais plus on prend de risque avec notre paiement. C’est juste un peu plus risqué que d’acheter un jeu “fini” (souvent patché dans la semaine de son lacement).



Chacun définit l’allocation de ses revenus, on peut le faire en prenant un petit risque pour aider un développeur qui propose quelque chose de nouveau plutôt que de mettre ses billes sur un jeu produit par un éditeur qui dispose des fonds nécessaires pour faire à l’interne tout le peaufinage et la beta ou tout simplement parce qu’on ne veut pas attendre la sortie définitive mais à ce moment là il faut se souvenir qu’on n’a pas acheté une version définitive.

Le 19/08/2016 à 07h 50

haha amusant que microsoft choisisse la voie non coercitive pour essayer de faire venir le consommateur sur son service en proposant plus. Après concernant les early access je trouve que nous, joueurs sommes un peu de mauvaise foi. Il y a surement des abus mais accès anticipé veut dire que le jeu est encore en développement, donc probablement buggé ou/et pas complet. Il y a encore plein d’aléas avant d’avoir un jeu fini et c’est quelque chose que l’acheteur doit prendre en compte en achetant.



D’habitude j’ai le sentiment que microsoft préfère choisir de forcer (exclusivité windows store ou paramètres de vie privée) le client captif.



Dans l’absolu un store propre ça permet plus de concurrence. Dommage que personne à part GOG ne se distingue par son respect de la vie privée de ses utilisateurs. Pour moi ça serait un argument important pour choisir chez qui j’achète.

Le 18/07/2016 à 09h 22

Je crois que tout est dit lorsqu’on lit le dernier paragraphe sur le rapport parlementaire… Il n’y a aucune proportionnalité entre l’atteinte à la vie privée et le but de sécurité. Est-ce qu’une cour aura enfin&nbsp; le courage de constater que l’autorité viole les droits fondamentaux de ses citoyens?

Le 18/07/2016 à 09h 13

Je pense que son raisonnement n’est pas hors de propos. Tu le dis toi même économiquement et humainement, peu importe les coûts astronomiques engendrés pour une efficacité douteuse, il est impossible de mettre un agent derrière chaque citoyen, ainsi qu’à chaque carrefour et dans chaque lieu. Pire, l’augmentation dans la “violence” qu’implique le recours à l’armée, à des armes plus lourdes ou l’augmentation des pouvoirs de l’autorité (gardes à vue étendues et perquisitions) donne au citoyen un sentiment d’insécurité, ce qui peut le pousser à adopter un comportement plus violent.



Un dénominateur commun aux auteurs de ces affreux attentats est qu’ils proviennent d’une délinquance sans panache et sans gloire dont les foyers sont souvent les quartiers plutôt défavorisés. C’est comme ça qu’ils se distancient de la société au point de vouloir la terroriser, et parce qu’ils n’ont rien réussi à faire de leur vie de A à Z. D’ailleurs le terrorisme existe depuis des lustres, avant c’était les brigades rouges ou les fascistes, encore avant les royalistes… le terrorisme islamiste n’en est que la dernière mode.



Comme en médecine: on peut choisir d’essayer de soigner les symptomes ou alors de découvrir et traiter la cause.

Le 18/07/2016 à 08h 56

A ce titre la notion de vidéo-“protection” est absolument hilarante…

Le 01/07/2016 à 06h 59

Je crois qu’il faut se rendre à l’évidence, l’anglais est un outil de travail, et je pense que son utilisation ne vient pas du fait que 2 membres ont l’anglais comme langue nationale mais bien qu’elle est la deuxième ou troisième langue d’une (très?) grosse partie de la population européenne.



Je trouve un peu puéril de la part des politiciens français de sauter sur l’occasion du Brexit (même pas encore digéré ni commencé) pour essayer d’imposer la langue de Molière.



Par contre je te rejoins pour la traduction. Si j’imagine bien que l’accord a été négocié en anglais, et que c’est certainement la version anglaise qui fera foi lors des discussions, avec le service de traduction qu’ils ont (c’est super efficace), ils auraient au moins pu mettre à disposition des traductions, surtout au vu des délais

Le 30/06/2016 à 21h 13

<img data-src=" />haha arrêtes tu vas me faire rire jaune!

Le 30/06/2016 à 21h 12

Dire que l’avantage de l’UE c’est sa taille en population et la taille de son marché…



Après elle a aussi bon dos! C’est un merveilleux prétexte lorsqu’on gouverne un pays et qu’il s’agit de prendre la responsabilité de ses actes politiques que de rejeter la faute sur l’UE . Le coup du “c’est pas moi c’est Bruxelles” est un super joker.

Le 30/06/2016 à 17h 13

Espérons que le Brexit leur mettra un peu de plomb dans la cervelle… Un refus très majoritaire ou un simple refus d’entrer en matière de la part des Etats membre serait splendide parce que c’est quand même du foutage de gueule tant pour la transparence que pour la légitimité du traité.



C’est dommage parce que l’avantage de l’Europe c’était d’avoir une taille critique suffisante pour ne pas se faire bouffer individuellement mais il semblerait que ça n’est pas le cas.

Le 19/06/2016 à 18h 26

il s’agit par exemple de téléphonie IP et pour le reste je ne vois pas bien l’intérêt de se battre sur un mot qui a le malheur d’être d’origine anglaise mais cependant listé par ces assassins de la langue française que sont l’équipe du Larousse.



Je me rend cependant compte que je trahis ma parole de ne pas revenir sur ce débat stérile.



Si tu veux discuter de collection de donnée ainsi que de la pratique défavorable au consommateur lorsqu’il s’agit de les collecter, ou d’économie des données personnelles, ça sera un plaisir, sinon je te souhaite une bonne fin de week end.

Le 18/06/2016 à 10h 07

Dans ce cas tu ferais bien de l’expliquer également à mon opérateur téléphonique qui lui ne se contente pas de le répéter mais de le propose voir même de l’impose…



Mais on peut continuer longtemps à affirmer l’un l’autre que oui ou que non.



Pour le mot encrypté je te laisse le soin de jouer avec tous les préfixes ou même les suffixes que tu veux.



Passé ça il est inutile que nous continuions ce débat qui de toute façon sort du propos de la news.

Le 17/06/2016 à 21h 40

Oui c’est prévu pour ne pas être supprimé par le commun des mortels.



Je me suis mal exprimé. Les données d’une conversation téléphonique classique peuvent transiter via internet, et dans ma région on ne remplace plus les lignes traditionnelles, préférant faire transiter les contenus des communications via internet et certainement encrypté mais c’est un autre débat. Dès lors, quelle différence y a-t-il entre un appel fixe et un appel via whatsapp?



Concernant les téléphones portables, en effet le canal est dissocié de la connexion à internet, bien que ça ne soit pas pour autant qu’aucune surveillance ne puisse être effectuée, et c’est bien plus une obligation légale qui pèse sur le fournisseur de services de téléphonie qui garantit au client une vie privée. Restent les métadonnées qui peuvent devenir vite très intrusives et pour lesquelles c’est la fête du slip en open bar.



Un autre exemple est l’e-mail, pourtant pas considéré comme un gadget inutile à la Facebook. Il est cependant commun qu’un fournisseur de service mail se permette d’en scruter le contenu.



Après je ne suis pas le plus grand technicien, mais ce dont je suis sûr c’est qu’il est illusoire de croire que seulement les réseaux sociaux et google portent atteinte à nos vie privées.

Le 17/06/2016 à 19h 10







Jarodd a écrit :



Quand tu passe un appel via ton téléphone, Facebook est au courant ?



Dans ce cas là effectivement c’est flippant <img data-src=" />









Patch a écrit :



A la différence que ton téléphone ou ton sms ne passera pas par Internet. Contrairement à whatsapp. Et ca peut tout changer.





La technologie “cuivre” de la ligne téléphonique est en train de disparaître pour passer effectivement par internet et ainsi elle ne se différenciera techniquement plus d’un appel whatsapp. Pour les téléphones portables, c’est en effet plus les métadonnées de l’appel qui sont en question (qui à qui, où où et quand) bien que seule la loi empêche les entreprises ayant un statut d’opérateur de trop fouiner dans les transmissions si je ne m’abuse.

&nbsp;

Ton application facebook peut savoir qui tu appelle et quand et où depuis ton portable au vu des permissions qu’elle requiert. Permissions difficile à gérer et application difficile à supprimer.

&nbsp;


Le 17/06/2016 à 12h 36

Pourtant la téléphonie “classique” ressemble comme deux gouttes d’eau à un appel Whatsapp. les lignes de téléphone sont en train de disparaitre au profit d’une téléphonie via internet que ton opérateur peut analyser comme whatsapp le ferait pour une conversation. Le SMS c’est pareil, à une conversation Whatsapp dans son fonctionnement&nbsp; à l’exception que les opérateurs ont quelques obligations légales supplémentaires mais je te rassure le rapace est bien là.

Petite question du coup. Un e-mail à un amis est il pour toi considéré comme un contact Facebook? parce que bon nombre de fournisseurs se permettent de scruter le contenu de ces e-mails. On est quand même loin du réseau social et du partage d’informations non?

Le 17/06/2016 à 11h 50

Navré mais FB Google et autres saloperies c’est juste les portes étendards en matière d’aspirateurs à données.

Ton opérateur téléphone, ton FAI ton fournisseur de télévision, ton portable (tant ordinateur que téléphone), l’OS qu’il embarque, inutile de parler des navigateurs et du pistage intensif qu’on t’assène, google ou non lorsque tu surf sur internet, Une bonne partie des logiciels que tu utilise font, à petite ou grande échelle de la télémétrie aussi.



Et ça c’est juste pour le côté informatique mais ton assurance, ta banque, etc récupèrent tes données personnelles. Et je ne parle même pas de ceux qui les achètent à ceux qui les collectent pour les rassembler en profils.



Cela fait beaucoup de saloperie à fermer.



Reprendre le contrôle n’est pas facile au vu de l’asymétrie entre le consommateur et le fournisseur. C’est pour ça qu’on a établi des règles pas si strictes que ça afin d’offrir un minimum de protection au consommateur qui n’a même pas la possibilité de choisir d’être moins con la plupart du temps.



D’autant que souvent fermer, voir mieux ne pas créer de compte ne sert à rien, vu les profils fantômes que font ces entreprises sur des données personnelles te concernant mais que tu n’a pas transmis personnellement.

Le 17/06/2016 à 10h 21

&nbsp;<img data-src=" />

&nbsp;c’est radical mais ça a effectivement le mérite d’offrir une maitrise totale de ses données!

Le 17/06/2016 à 10h 09

J’ai un peu le même problème.



Quand tout le cercle d’amis est sur facebook et whatsapp c’est vraiment difficile de les faire respecter mon éthique en matière de vie privée, que ça soit pour comprendre que je ne veux pas être “taggé” ou pour passer à des alternatives plus éthiques..



Le problème étant que si l’autre ne fait pas d’effort il est impossible de protéger sa vie privée…

Le 17/06/2016 à 08h 55

Permettez moi de rire (jaune?).



En quoi est-ce que le fait pour l’Europe de ne pas brader la vie privée et les données personnelles de ses utilisateurs engendre une perte de confiance du consommateur?



Peut-être que le consommateur n’a plus confiance parce qu’il sait que ses donnée peuvent être à tout moment scrutées, compilées et décortiquées par les Etats ainsi que par les entreprises qui les collectent.



Peut-être que le consommateur n’a pas confiance parce qu’il n’a d’autre choix que d’accepter (souvent tacitement), des conditions générales qui le dépouillent de toute contrôle sur ses données (aah la confiance des clauses standard formulées par la partie incontournable du contrat)?



D’ailleurs le safe harbour se contentait de considérer que “per se” les transfers en direction des Etats-Unis répondaient aux règles de la protection des données. Maintenant chacun doit simplement faire attention afin de savoir si son transfert est fait dans des règles de l’art…



Je comprend parfaitement que la circulation de données personnelles est importante, économiquement mais aussi pratiquement. Actuellement c’est un casse tête pour une boite bossant en et hors Europe de gérer ses données mais il existe aussi des moyens comme le cryptage ou demander l’accord du sujet des données pour s’extraire de la réglementation sur la protection des données.



Bref, je ne crois pas qu’une boite avec une éthique en matière de données personnelles ait aussi beaucoup de contraintes si elle fait les choses dans les règles de l’art.

Le 19/06/2016 à 18h 15

Je suis tout à fait d’accord, une information ôtée par l’hébergeur, si c’est fait proprement et définitivement c’est techniquement plus sûr. Petite précision la procédure n’est pas pénale mais civile.



Par contre, agir contre l’hébergeur peut assez vite poser un nombre important de problèmes, ce qui en diminue l’efficacité. s’il est hors UE les choses se compliquent fortement par exemple. Ou si les données en question sont reprises de site en site et disséminées, ce qui arrive fréquemment avec les données de solvabilité. Ou encore si le lien renvoie à une page vide mais est présent quand même.

&nbsp;

&nbsp;Un autre point est que le droit à la vie privée s’oppose à la liberté d’expression dans les demandes de suppression ou de déréférencement. Il faut faire la balance entre les deux dans chaque cas, et des fois l’intérêt du site à présenter la donnée peut l’emporter. Par contre l’intérêt de google à montrer la donnée en premier résultat peut, lui être moins important que le droit à la vie privée ne question. Donc c’est plus respectueux pour la liberté d’expression de déréférencer plutôt que d’ordonner la suppression.



Google lui est en Europe, et répond au droit européen. ça facilite les choses. C’est souvent plus facile d’entrer en contact avec google qu’avec l’hébergeur, et, déréférencer est souvent suffisant pour protéger sa vie privée puisque le quidam moyen ne se verra plus asséner l’information.



Maintenant rien n’empêche d’agir contre chacun dans un soucis d’efficacité. Je précise encore qu’on peut tout à fait agir contre les différents moteurs de recherche, Google n’étant pas le seul astreint.



Donc techniquement effacer c’est mieux que déréférencer (du point de vue du sujet des données) mais matériellement et surtout juridiquement, c’est&nbsp; plus efficace et moins coûteux de demander le déréférencement à Google pour une différence au final minime par rapport à une suppression dans ses effets.

Le 18/06/2016 à 13h 53

Aïe…



Difficile de faire valoir ton droit à la vie privée dans ce cas, surtout avec l’entreprise hors UE. Après tu peux toujours saisir la justice contre Google, mais avec les risques et les coûts que ça implique le calcul risque d’être difficile. Pourtant juridiquement traiter une donnée personnelle obtenue illicitement est illicite également.



C’est clair, une entreprise, surtout de cette taille est amorale. Le seul truc qui l’influence c’est le calcul perte/profits à accepter où non une requête, et ça peut des fois marché lorsqu’ils s’attendent à subir une publicité négative.



Mais le concept de droit à l’autodétermination en matière de données personnelles fait lentement son chemin. La nouvelle réglementation qui va entrer en vigueur ne réglera pas tout, loin de là mais il y a déjà une évolution.

Le 18/06/2016 à 11h 24

Ton problème est épineux mais ce genre de situation arrive malheureusement souvent.



&nbsp;As-tu envoyé le formulaire que Google met à disposition? voici son lien le cas échéantAprès en effet c’est google qui, en premier décide s’ils trouvent légitime ta demande de déréférencement, mais encas de refus de leur part difficile de faire autre chose que d’emprunter la voie judiciaire avec les coûts et risques qui y sont associés.



De ma propre expérience ils sont assez réglo avec le traitement mais il faut un motif personnel plus important que l’intérêt public à accéder à l’information, et des fois ça peut coincer mais ils n’ont pas l’air de tout refuser à tout va.



&nbsp;En tout cas j’espère que tu réussira à obtenir satisfaction.

Le 18/06/2016 à 10h 29

Très juste, afficher une liste de liens d’après le nom de la personne et héberger ou publier des informations sur cette même personne sont deux choses différentes.



C’est plus simple de demander le déréférencement à google et certainement plus efficace.

Le 17/06/2016 à 19h 25

Je regrette avoir utilisé le mot incontournable, qui m’a valu plusieurs interventions contradictoires sur ce point précis. J’aurais pu dire incontournable dans la mesure où une énorme partie des jeux vendus tant en physique qu’en dématérialisé se font via steam ou requièrent un accès à steam. Ou alors dans la mesure où une grande partie des jeux requièrent l’utilisation de Windows (mais je l’admet les choses semblent passablement bouger sur ce point.)



Mais je conçois bien qu’on puisse jouer en ayant recours à d’autres plateformes et d’autres OS sur ordinateur. Moi même j’ai attendu relativement longtemps avant de créer un compte steam.



J’aurais plutôt dû dire que Steam en tant que plateforme et windows en tant qu’OS sont très voir extrêmement majoritaires chez les joueurs PC dans leurs domaines respectifs.

Le 17/06/2016 à 19h 12

Parfaitement d’accord sur ce point, j’ai plus confiance en une situation de concurrence la plus pure possible qu’en une situation de monopole.

Le 17/06/2016 à 12h 29

En effet on peut jouer sur d’autres plateformes bien sûr, et d’ailleurs c’est un peu grâce à Steam que de nombreux jeux sont aussi jouables sur les autres OS. Si je ne m’abuse, le SteamOS est basé sur linux d’ailleurs non?

Mais bien que ça soit possible, je ne crois pas trop m’avancer en disant que la majorité des jeux et des joueurs restent liés à Windows.

Mais qui sait? peut-être que ça va changer et si c’est le cas, Steam se sera débarrassé d’une belle épine

Le 17/06/2016 à 12h 13

La bataille doit être dure entre Valve et Microsoft.



D’un côté Steam est incontournable en matière de vente de jeu PC. De l’autre, Windows est incontournable en matière d’OS pour jouer sur PC.

Pour l’instant, chaque attaque s’est traduite par un échec entre le steam OS, voir les steamboxes et les jeux Xbox sur le windows store uniquement.

Mais j’ai le sentiment que Microsoft ont beaucoup à perdre (ou beaucoup à gagner de perdu) s’ils n’arrivent pas à imposer leur store chez les utilisateurs de windows. Tandis que les joueurs utilisent volontiers Steam mais se sentent&nbsp; “contraints” à utiliser Windows alors que les deux sont incontournables.

Le 17/06/2016 à 12h 03

Je l’admets Steam est vraiment bien foutu au niveau social, fort agréable et pratique. Mais même s’il se distingue des autres cette distinction est sans commune mesure avec la différence de crédit que les joueurs portent à Steam par rapport aux autres clients. Après je suis très satisfais de ma bibliothèque et de mon compte chez Steam c’est sûr.



Je prend bonne note sur les resynchronisations. j’ai bien quelque jeux téléchargés hors client mais je n’ai pas encore été voir mes sauvegardes une vois synchronisés.

Le 17/06/2016 à 11h 03

Il ne faut pas oublier non plus que le client n’est pas indispensable afin de jouer au jeu en question.



Mais je m’inquiète un peu pour cette perte de synchronisation en cas de mise à jour. Ca ne m’est pas encore arrivé… je croise les doigts!

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Le 17/06/2016 à 11h 00

+1 pour GOG c’est les plus propres pour acheter des jeux lorsqu’ils sont sur le store.



Par contre je trouve que l’existence de nombreuses plateformes est en soi une bonne chose parce que ça pousse théoriquement à la concurrence, même si je te rejoins sur le fait que c’est souvent utilisé afin de ne limiter la concurrence Forçant l’adoption de la plateforme pour l’utilisateur du jeu.



Ce que je ne comprend pas, c’est que Steam, au delà du fait que la plateforme soit “user friendly” et complète est fondamentalement semblable aux autres (DRM etc), est cependant bien appréciée du public. Battle.net me fait aussi le même effet, ça ne m’énerve pas de passer par ce client pour jouer.



le pire restant lorsque j’achète un jeu sur Steam et qu’il me faut en plus lancer le client de l’éditeur du jeu en question afin d’y jouer…

Le 17/06/2016 à 10h 19

Je salue l’effort, c’est vraiment une bonne nouvelle pour les joueurs PC qui peuvent ainsi avoir un certain “choix”.



Par contre c’est vraiment difficile de suivre microsoft depuis quelques temps. Ils forcent, ils reculent, changent de direction, etc.



Un pas de plus vers l’abolition des exclusivités console, et ça ferait vraiment du bien au jeu vidéo.



Est-ce que c’est parce qu’ils ont peur de l’avancée de la PS4 et du fait que les développeurs&nbsp; aient peur de se couper d’un parc de consoles gigantesque s’ils signent l’exclusivité avec Xbox? Un parc de Xbox plus un accès pour une bonne partie du monde du jeu sur PC permettrait de renoncer au parc playstation?

Le 16/06/2016 à 20h 59

Aucune idée mais ça me poserait un bon dilemme si c’était le cas. South park est une série où l’habituel “woah la traduction c’est nul la VO c’est bien mieux” n’a pas sa place.



une VF serait un gros plus mais j’imagine qu’elle nécessiterait beaucoup de travail pour être aussi parfaite que le dessin animé.