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fdorin

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2425 commentaires

Le 06/08/2019 à 11h 25

Pour information, L’équipe de Qwant s’explique suite aux articles de NextINpact.


Le 05/08/2019 à 20h 09







brazomyna a écrit :



j’ai été modo chez eux , on m’a dit la même chose ;

avec du recul (et plus de connaissances financières), le fait est que le delaware ne s’impose pas pour des raisons juridiques. Et l’opacité totale des comptes ainsi que les stats de visites a fini de me convaincre que quelques membres du board se partagent un gros gâteau en prenant la masse de bénévoles pour des jambons.





J’ai aussi de sérieux doutes. Mais bon, je n’ai aucune preuve, et je n’ai pas envie d’investiguer là-dessus.



Pour ma part, j’ai rendu mon tablier de responsable de rubrique et responsable magazine pour de profond désaccord avec la politique de modération, l’opacité omniprésente et “quelques tensions sérieuses” (pour rester poli) avec le responsable du site.



Le 05/08/2019 à 19h 37







empty a écrit :



HS: Comment font ZDnet, developpez,… pour tenir le rythme en gratuit ?





Je peux parler pour Developpez.com, ayant été responsable de rubrique jusqu’à récemment. Le contenu est fait par des bénévoles. Uniquement des bénévoles.



Les revenus sont tirés de la publicité (ça, j’en suis sur) et très certainement des partenariats (là-dessus, je ne peux être catégorique, n’ayant pas la teneur des-dits partenariats).



Et de mémoire, la société DEVELOPPEZ LLC, est située aux Etats-Unis pour des raisons judiciaires (ou plutôt pour se protéger des actions judiciaires). C’est en tout cas ce qui m’a été dit quand j’ai été nommé responsable.



Le 19/07/2019 à 06h 34

NextINpact connait Cookie Clicker !

Une autre manière de consommer des cookies :)


Le 25/06/2019 à 06h 39

Sans me prononcer sur le fond de l’affaire, j’imagine bien une réponse possible du Musée Rodin qui devrait communiquer le scan3D. Une réponse à la Free face à la Hadopi : un livret imprimé de 400 pages reprenant l’ensemble des points du scan, avec des nombres décimaux d’une précision de 10 chiffres après la virgule <img data-src=" />


Le 28/11/2018 à 17h 31

Il faudrait que l’April modifie le document et publie ce document modifié, pour montrer l’absurdité de cette décision. A décision absurde, réaction absurde.


Le 20/07/2018 à 12h 40

Il faut bien prendre en compte que la CNIL considère les deux sociétés comme étant Responsable de Traitement (RT). De ce fait, elles ont des obligations qu’elles ne peuvent déléguer simplement en rajoutant une clause dans un contrat sans mettre en place de contrôles derrières.&nbsp;



En gros, ces deux sociétés sont RT car le SDK n’est qu’un moyen de collecte de données. Les deux sociétés sont maître de la finalité des traitements. Elles recoupent les données issus de leurs différents clients pour produire un profil qu’elles transmettent ensuite à leurs clients (en lus de traiter les informations pour leur propre compte !).



Il n’y aurait pas le recoupage des données entre leurs différents clients (et donc le profil remonté pour un client ne serait issu que des informations récoltées par ce client), ni le traitement pour leur propre compte, la situation serait sûrement différente et ces sociétés pourraient être considérées uniquement comme prestataires et non comme RT.


Le 03/06/2018 à 18h 24

Apple se permet de faire des choses un peu border line parfois.



&nbsp;Exemple : j’ai récemment acquis un mac. Un jour, je reçois une notification sur l’application Message, alors que je ne l’ai jamais configuré. C’est un de mes contacts qui m’a envoyé un message via SMS. Il l’a fait depuis un iPhone, Apple s’est donc permis d’intercepter le SMS et de ne me le transmettre que sur l’application iMessage.



Avant, je recevais le message normalement par SMS. Là, je n’ai rien reçu (je suis sous Android). Je n’ai jamais donné mon consentement à ce comportement. Quand on m’envoie un SMS, j’ai envie qu’il atterrisse sur mon téléphone comme n’importe quel SMS, pas sur mon ordi. Si je veux le contraire, c’est à moi de prendre la décision, pas à Apple de le faire dans mon dos.


Le 20/04/2018 à 06h 26

Je suis étonné qu’on parle des recommandations de la CNIL, sans donner ce lien qui récapitule tout :&nbsphttps://www.cnil.fr/fr/authentification-par-mot-de-passe-les-mesures-de-securite…



À noter que dans le lien ci-dessus, la CNIL est plus précise concernant le stockage des mots de passe :

Le mot de passe ne doit jamais être stocké en clair. Lorsque l’authentification a lieu sur un serveur distant, et dans les autres cas si cela est techniquement faisable,&nbsp; le mot de passe doit être transformé au moyen d’une fonction cryptographique non réversible et sûre, intégrant l’utilisation d’un sel ou d’une clé.



On note donc une différence substantielle avec la délibération citée dans l’article. Dans sa délibération, elle recommande une fonction cryptographique non réversible et sûre, sans en faire un impératif. Dans le lien sur les mesures de sécurité élémentaires, elle indique que cela ne relève plus d’une recommandation, mais d’une obligation (usage du verbe devoir) dans le cas où l’identification se fait sur un serveur distant (donc tout formulaire de login/mot de passe sur le web)


Le 22/02/2018 à 18h 23

J’ai été client hubic pendant quelques années (10To pour 5€ par mois, prix imabattable !) pour stocker mes nombreuses photos notamment (photographe amateur, 20-30Mo / photo, ça monte vite).



Les reproches que je fais qui font que j’ai arrêté le service :




  • vitesse lente (bon, je laissais tourner l’upload la nuit) ;

  • téléchargement d’archives : attention ! Passé une certaine taille, le téléchargement d’archives ne fonctionne plus ! L’archive est à chaque fois corrompue. Il suffit d’aller voir sur les forums d’OVH pour s’en rendre compte. Donc si on se sert de cette solution en tant que backup, il faut être prêt à récupérer tous les fichiers un à un…

    &nbsp;- l’inactivité d’OVH vis-à-vis de Hubic. Le problème d’archives corrompues pour les grosses archives dure depuis des années.



    OVH fait de bon produits en général, mais sur le coup, c’est un raté. J’ai eu l’occasion de rencontrer des gens d’OVH lors d’un salon en octobre 2017. J’ai fait part du problème, ils ont pris note et on m’a annoncé qu’on allait me recontacter. J’attends toujours.



    C’est dommage, car cela pourrait être un produit intéressant…



    &nbsp;


Le 26/01/2018 à 13h 43

Une demande de précision sur un aspect juridique par rapport aux comptes bancaires. En tant que client, nos identifiant/mdp sont une donnée personnelle que l’on doit garder secrète en tout circonstance.



A défaut, il me semble que la banque peut ne pas être tenue de nous rembourser en cas d’utilisation frauduleuse de notre compte. N’y a-t-il pas un risque de confier ces identifiants, surtout avec une solution non autohébergée ?



Surtout qu’à une époque où j’avais testé weboob (2 ou 3 ans), login et mot de passe étaient en clair dans un fichier librement accessible…

&nbsp;


Le 25/01/2018 à 16h 23

Le web scraping en lui même n’a rien d’illégal. Il est mal vu quand, par exemple, un site l’utilise pour récolter des données qui ne lui appartiennent pas et les exploite pour son compte. C’est souvent assimilé à du plagiat.



Ici, on a un utilisateur, qui utilise du web scraping via CozyCloud pour récupérer ses propres données. Rien d’illégal, ni d’immoral.


Le 16/01/2018 à 22h 38

Je réagissais sur la taxe d’aménagement qui n’est à payer qu’une seule fois.



Je n’ai jamais dit que la taxe foncière ou taxe d’habitation n’allait pas augmenter…


Le 16/01/2018 à 18h 35

La position d’un satellite par rapport à un véhicule ne permet pas de voir la plaque d’immatriculation. La résolution est peut-être suffisante pour le faire en théorie, mais pas l’angle de vue.


Le 16/01/2018 à 18h 32

De ce que j’ai compris, la taxe d’aménagement est une taxe à la construction, pas une taxe récurrente comme la taxe foncière ou la taxe d’habitation. Ce n’est donc pas chaque année, mais une fois.


Le 09/01/2018 à 20h 31

Je suis tout à fait d’accord. J’ai fait un peu volontairement le candide dans mon commentaire afin de soulever un soucis : comment, quand on n’est pas un expert, s’assurer que la prestation / logiciel fourni&nbsp; par un prestataire est conforme aux règlements et lois en vigueur ?



Pour la compta, on prend un expert comptable. Très bien. Mais si lui fait des erreurs ? Je l’ai déjà vu, un expert comptable qui a réussi à déceler un problème de TVA lors de la facturation d’une prestation récurrente pour un client particulier.&nbsp;Et il a essayé de revenir 2 ans en arrière, sur des comptes… qu’il avait déjà lui-même validés !

Au final, qui est responsable en cas de redressement fiscal suite à un contrôle ? Le comptable, pour qui il n’y avait pas de soucis ? L’expert comptable, qui a réussi à valider à plusieurs reprises l’opération litigieuse ? La société, qui fait appel à un prestataire pour gérer sa compta et être conseillée ? Réponse : la société.



Ca me fait penser un peu à la Hadopi et le délit de “défaut de sécurisation”. On attend toujours la marche à suivre pour sécuriser sa connexion, mais on peut malgré tout être condamné.



L’aspect important, et je suis surpris que cela n’ait pas déjà été abordé, c’est la distinction entre “responsable” et “coupable”. Oui, dans le cas qui nous occupe, Darty est responsable, dans la mesure où c’est le donneur d’ordre. Mais il est aussi traité comme le coupable, et là, je trouve que c’est hautement plus discutable.



&nbsp;Qu’en tant que responsable on paie les conséquences d’une erreur&nbsp; ne me choque pas (par exemple, je n’ai pas payé ce que j’aurais dû aux impôts et on me demande la différence). Par contre, que le responsable soit condamné à la place du coupable (le responsable paie les pénalités ou pour Darty, est condamné à une amende), oui, là, ça me gêne.&nbsp;


Le 09/01/2018 à 17h 02

Surtout qu’il y avait une solution très simple ! Darty n’ayant jamais demandé cela, il suffisait de fermer la page ! Plus de page, plus de fuite…


Le 09/01/2018 à 15h 01

Tout à fait d’accord. Car dans ce cas, pourquoi se limiter à la responsabilité des sous-traitants informatiques ? Quand on fait appel à un sous-traitant, sa responsabilité devrait être engagé. Ici, on a l’impression que Darty paie tous les pots cassés.



De plus, je note une partie de la réponse de la CNIL :&nbsp;

si la société EPTICA a mis à disposition le formulaire accessible via l’URLhttp://darty.epticahosting.com/selfdarty/register.do sans que [Darty] n’en ait connaissance, la circonstance qu’elle aurait décidé seule d’ajouter ce moyen de traitement - en plus des autres moyens déterminés dans le cadre du contrat de prestations conclu entre les deux sociétés - ne saurait suffire à la considérer comme responsable de traitement&nbsp;».&nbsp;



Dit autrement, si mon comptable, à qui je transmets mes justificatifs, décide d’outrepasser ses droits et de ne pas simplement tenir ma comptabilité, mais qu’il fait de la fraude fiscale ou que sais-je encore, je suis responsable de ce qu’il fait, mais pas lui ?



Ou encore, si je fais appel à un juriste pour un licenciement et qu’il se plante dans la procédure, c’est aussi moi le responsable ?&nbsp;&nbsp;



Alors oui, je serais responsable d’avoir choisi des prestataires. Mais si je fais appel à des prestataires, c’est pour avoir des personnes qualifiées pour faire leur boulot. Si je dois vérifier en détails si le travail fourni est bon, je ne ferais pas appel à des prestataires et je ferais le travail moi-même !



Personnellement, je me vois mal dire à mes clients, “si vous êtes condamnés pour une chose que j’ai faite, c’est que vous n’aviez qu’à choisir un autre prestataire !”



Pour en revenir à l’article, la sanction me parait bien lourde. Darty a, semble-t-il, agit comme il faut et à tout de suite coopérer avec la CNIL et a fait appel à son sous-traitant pour des mesures correctives. Qu’il y ait une certaine responsabilité de Darty d’engagée, je veux bien le concevoir, mais de là à passer directement à une sanction financière, alors que bien souvent, les sanctions consistent à un devoir de communication…


Le 24/12/2017 à 13h 47







recoding a écrit :



Bonjour,

Dans vos arguments je ne vois rien de spécifique au libre ou au propriétaire.



&nbsp;Justement, c’est fait pour ;) C’est pour répondre à un commentaire disant que le libre c’est super et le proprio, c’est pas bien.



Si maintenant tu veux des arguments, il y en a. Pour le consommateur, j’en ai déjà donné un (cf clause “AS IS”). Pour les développeurs, il est plus facile d’avoir un business model viable avec du proprio qu’avec du libre (Attention : je ne dis pas que c’est impossible, juste que c’est plus difficile).



Maintenant, un avantage/inconvénient du libre (puisqu’il faut pointer les différences). Le libre permet la diversité (c’est bien), mais poussé un peu et cela fragmente et c’est le b. Il suffit de voire la pléthore de distribution linux, ou le problème d’Android.









recoding a écrit :



En quoi, fondamentalement, le fait que ces logiciels soient libres diminuerait leur qualité?

Par contre je vois tout de suite en quoi ça ouvrirait des perspectives pour l’évolution technique et pédagogique du secteur…



Je n’ai jamais dit cela. Mais le libre ne garanti pas non plus une meilleure qualité. La qualité du logiciel ne dépend pas du caractère libre/pas libre, et c’est ce que j’ai déjà indiqué précédemment (mais cela n’a pas été compris visiblement).



&nbsp;



jackjack2 a écrit :



+1

Moi j’ai abandonné ce genre de débats, c’est se faire du mal pour rien

Quoi que tu dises tu seras taxé de libriste extrémiste

https://xkcd.com/386/



Défendre une position est tout à fait louable. Je me fais un chouille l’avocat du diable car je suis aussi pour le libre ;) Par contre, quand je vois une position extrême comme celle de Watom disant clairement que le proprio c’est de la m*, qui ne sait pas ce que c’est qu’un logiciel libre (puisque le côté libre dépend, selon lui, de l’environnement d’exécution), oui, là, c’est de l’extrémisme libriste ;) Et ce genre de position fait plus de mal au libre qu’autre chose…



Le 23/12/2017 à 16h 31







Watom! a écrit :



j’aurais pu dire privateur. Car c’est la réalité.&nbsp; Et non le logiciel privateur n’a aucun avantage sur le libre. Ce n’est pas une question de participé d’utilisation ni de pragmatisme. C’est une question politique.&nbsp;





Il y a une chose que j’ai toujours trouvée contradictoire : les plus fervents partisans du libre sont souvent ceux qui ont l’esprit le plus fermé ! Et votre message le démontre parfaitement.



Le logiciel privateur propriétaire a des avantages sur le libre. Vous pouvez le nier, c’est votre droit, mais cela ne change pas la réalité. Par exemple, la très très grande majorité des licences libres (c’est pour ne pas dire toutes) ont une clause “AS IS”, c’est à dire que le logiciel est fourni tel quel sans garanti de fonctionnement. Et si le logiciel détruit votre matériel ? Vous n’avez que vos yeux pour pleurer. Et c’est déjà arrivé. Je pense à certaines cartes mère dont l’UEFI a été flingué. Je me souviens aussi de matos endommagé irrémédiablement à cause d’un driver libre bogué, et Linus avait alors tiré à boulets rouges sur les constructeurs (mais impossible de remettre la main dessus).



Au contraire, dans le monde propriétaire, beaucoup assure une garantie. Par exemple, Apple remplace le matériel lorsqu’il a été endommagé ou est inutilisable suite à un bogue logiciel (je pense à l’erreur 53 qu’on subit certains après la mise à jour de leur iPhone, erreur lié à un TouchID défectueux).





Watom! a écrit :



En montage vidéo aussi, les logiciels privateur offrent une meilleure productivité.&nbsp;&nbsp;



C’est ce que j’appelle un avantage, et pas des moindres. Pourtant, deux lignes plus haut vous proclamez que le logiciel propriétaire n’a aucun avantage sur le libre… Belle contradiction.

&nbsp;



Watom! a écrit :



Ce n’est pas une raison valable pour moi de les utiliser. Et encore plus pour un compilateur car vous ne pouvez plus garantir qu’il compile uniquement votre code.&nbsp;



&nbsp;C’est votre choix. Maintenant, ce que vous dites est également vrai pour les compilateurs libres. A moins que vous n’ayez vous même compilé votre compilateur à partir de sources que vous avez intégralement inspectées, vous ne pouvez pas le garantir. Et je ne parle même pas de l’inspection de la chaîne de compilation pour compiler le compilateur…



&nbsp;



Watom! a écrit :



Donc non, aucun amalgame de ma part, soit tout est libre, soit rien ne l’est. La fiabilité est celle du maillon le plus faible !



Oh que si, et vous persistez même ! Le caractère libre (ou non) n’induit rien quant à la fiabilité.&nbsp; On peut avoir un logiciel non libre très fiable et un logiciel libre pourri. La seule garantie donnée par le libre est la possibilité de vérifier&nbsp;soit même la fiabilité, mais cela ne le rend pas plus fiable pour autant.&nbsp;



Et puis, à la tenue de votre discours, j’ose espérer que vous utilisez un ordinateur libre (dont tous les composants, même matériels sont open-source). Car si vous avez ne serais-ce qu’un BIOS (ou UEFI) non libre, ou un driver propriétaire, et que vous n’avez pas le contrôle du firmware de votre clavier, je suis désolé, mais vous ne faite pas du libre.



Bon, honnêtement, ça m’amuse toujours un peu de pousser les gens qui sont des “ayatollah du libre” dans leurs contradictions. Mais le monde n’est pas binaire, ce n’est pas où tout blanc, où tout noir.



Le 22/12/2017 à 22h 09







Watom! a écrit :



Oh rage oh désespoir ! L’idée est bonne. Seulement pourquoi montrer ça avec des logiciels propriétaires ?

&nbsp; On sait que quand on commence avec un outil, c’est difficile d’en changer. Autant commencer avec du libre. Et puis impossible de créer un logiciel libre avec.. Net puisqu’il est impossible de savoir ce que font réellement les libs.&nbsp;&nbsp;



Il y a un amalgame entre l’environnement d’exécution et la nature libre (ou pas) du logiciel. Un logiciel, s’il est libre, le sera toujours, qu’importe son environnement d’exécution. En reprenant le même argument que le votre, il est impossible de développer des logiciels libres en Java, car la JVM d’Oracle est propriétaire…



De plus, je rajouterai qu’avec ce qui se passe dans l’environnement .Net ces derniers temps (au hasard, .Net Standard et l’implémentation libre .Net Core, le compilateur Open Source Roslyn)&nbsp;&nbsp;vos arguments ne tiennent pas du tout !



Enfin, il y a un aspect que je trouve dérangeant, c’est cette supposé supériorité du libre sur le propriétaire. Déjà, merci d’avoir utilisé le terme “propriétaire” et non le terme “privateur”. Beaucoup utilise ce terme qui est largement plus péjoratif et participe grandement à cette dichotomie infondée bien/mal.



Le libre a des avantages. Le propriétaire aussi. Le libre a des inconvénients, le propriétaire également. Il y a des applications libres qui sont, et de loin, supérieures à des applications propriétaires tout comme il y a des applications propriétaires qui sont supérieures à leur équivalents libres.



J’ai testé de nombreux IDE libres et non libres. De mon point de vue (donc là, c’est un avis strictement personnel) Visual Studio est le meilleur de ceux que j’ai pu utiliser. Et donc, sous prétexte qu’il n’est pas libre il faudrait s’en passer ? Même s’il fait gagner du temps et qu’ils disposent d’outils très puissants, tant en développement, qu’en débogage ou encore en déploiement d’application, et qu’il est disponible gratuitement pour un usage personnel&nbsp; ?



C’est bien de défendre le libre (que j’apprécie, et je suis pour), mais il faut rester pragmatique. Le néophyte, comme la plupart des gens, le libre, il s’en fiche. On a ici une part plus importante qui ne s’en fiche pas dans la mesure où le lectorat est plutôt orienté technique, mais ce n’est pas le critère de choix principal. N’en déplaise aux libristes convaincus…



Le 22/12/2017 à 20h 51







David_L a écrit :



ça fait des lignes de code en trop, c’est moche et ça fait bosser le compilateur pour rien, ensemble sauvons la planète !&nbsp;



Pour sauver la planète, arrêtons le Bitcoin. Ce sera sacrément plus efficace&nbsp;<img data-src=" />



&nbsp;



David_L a écrit :



Je pense que c’est le vrai manque, parce que pour faire de l’application avec interface en multiplateforme, ça reste pas mal la plaie sauf à passer par des solutions de bourrin (surtout pour de petits besoins) genre Electron…&nbsp;

&nbsp;





&nbsp;L’usage de solutions à base de HTML/CSS/JS pour réaliser des applications lourdes m’a toujours hérissé le poil. Cela complique grandement le code (4 langages au lieu de 1 !), est généralement lourde, et n’est souvent portable que d’apparence (il y a toujours des subtilités qui font que ça marche bien dans un cas, mais pas dans un autre). Après, j’admet ne pas avoir testé Electron, mais j’ai été largement refroidi par Apache Cordova.

&nbsp;



&nbsp;&nbsp;

Oui VSCode pour du HTML/JS/CSS ça reste simple, dès qu’on veut attaquer du plus lourd ce n’est pas forcément simple à prendre en main. Le pire c’est quand on veut se lancer dans le “voici un tuto pour faire du C# en .Net Core depuis VSCode sous Linux”… y’a de quoi s’arracher les cheveux&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;

&nbsp;Exactement !



Merci pour la remontée et la proposition en tous cas ;)&nbsp;

Mais de rien ;)

&nbsp;&nbsp;



fred42 a écrit :



Je vais paraphraser sur un sujet voisin :



Le choix du moteur de recherche Google, critiqué par certains, me parait infondé. Google reste le moteur de recherche majoritairement présent, très loin devant Bing (lui-même 2x plus utilisé que tous les autres moteurs de recherche confondus !). Google est un très bon moteur de recherche, et il serait dommage de passer à côté, surtout qu’il est gratuit.



(J’ai quasiment tout gardé, y compris le fait que dans l’idée, c’est la critique qui est infondée et pas le choix)



Et rien de personnel, mais le texte s’y prêtait bien pour faire le parallèle avec un sujet qui chatouille David.

&nbsp;



Je n’y prend rien de personnel, soit rassuré. J’aime débattre tant que cela reste constructif, pertinent et étayé ;)&nbsp;

Je me permets de rentrer un peu dans ton jeu. Pour un article sur l’art d’écrire des requêtes optimisées, se baser sur Google, qui a une part de marché de 90% en Europe me parait tout à fait justifié pour un premier article à destination des néophytes.









127.0.0.1 a écrit :



Si on va par là, Javascript+éditeur de texte sont nettement plus utilisés que tout ce que tu cites.&nbsp;



Et c’est largement suffisant pour faire un HelloWorld ou un StockChecker. En plus, c’est cross-platform, c’est tendance, y a des IDE online/offline… et ca permet d’enchainer sur les frameworks, les technos web…





L’éditeur de texte est valable pour tous les langages. L’avantage de l’IDE est d’apporter une aide au développement via de multiple service (coloration syntaxique, compilation, notions de solutions et de projets, gestion des erreurs en temps réel, autocomplétion, etc.)



&nbsp;Le choix du langage, je le laisse au rédacteur de l’article ;)

&nbsp;

Enfin, c’est tendance ne veut rien dire. Et il faut s’en méfier ! BitCoin, c’est tendance, pourtant, je n’y mettrais jamais les pieds ! NoSQL a eu sa période tendance, et tout le monde se jetait dessus, même lorsqu’il fallait une base de données relationnelle classique !

&nbsp;



Le 22/12/2017 à 18h 52

Très bon article. Qui arrive à résumer simplement le classique “Hello World” sans noyer le néophyte d’explication plus ou moins longue sur chaque aspect du langage. Au niveau des critiques, je pourrais simplement dire que la partie sur le nettoyage des instructions using est en trop. On ne comprend pas pourquoi on peut le faire. Mais c’est du chipotage ;)



Juste quelques précisions par rapport à ce que j’ai pu lire dans les commentaires.

&nbsp;

La dernière version de Visual Studio n’est pas basée sur .Net Core. Elle intègre le développement d’application .Net Core mais ne repose elle-même pas sur .Net Core. Il n’est, à l’heure actuelle, pas possible de faire des applications graphiques en .Net Standard dans la mesure où cet aspect n’est pas standardisé (il y a bien XAML Standard qui est une première pierre à cette édifice, mais on n’y est pas encore).



Pour le choix du langage, je trouve que c’est un bon choix. Je ne dit pas ça parce que je l’utilise tous les jours dans mon métier, mais parce que je suis passé par de nombreux langages et que c’est un langage simple et clair à appréhender.



Un aspect que j’aime beaucoup et qui n’a pas encore été abordé ici, c’est la pérennité de ce langage et de l’environnement. Avoir un programme écrit il y a 10 ans qui tourne comme si il avait été écrit hier est quand même un énorme plus. Microsoft a réussi à faire évoluer l’environnement .Net et les langages C# et VB.Net tout en gardant la compatibilité. On ne peut malheureusement pas dire la même chose pour Python entre les version 2 et 3.



Maintenant, C# est un langage qui s’exporte bien au dela de l’environnement Windows, et on ne peut que saluer l’initiative .Net Standard qui permet enfin d’avoir du code C# portable entre les environnements.



Le choix de Visual Studio, critiqué par certains, me parait infondé. Windows reste le système d’exploitation majoritairement présent, très loin devant MacOS (lui-même 2x plus utilisé que toutes les distributions Linux confondues !). Visual Studio est un très bon éditeur, et il serait dommage de passer à côté, surtout que la version Community est gratuite.



&nbsp;On aurait éventuellement pu parler de Visual Studio Code, qui&nbsp; à l’avantage d’être disponible sur tous les environnements (Windows, Mac, Linux). Mais la création d’un projet n’est pas aussi guidé que sous Visual Studio et pour un “Hello World” à destination des néophytes, cela ne me semble pas judicieux.



En tout cas, si vous avez besoin d’aide pour la relecture de ce genre d’articles sur le C#, n’hésitez pas ;) Je suis rédacteur sur le site Développez.com&nbsp;pour la rubrique .Net. Pour ceux qui ne connaîtraient pas, Développez.com est un site qui contient de nombreuses ressources sur la programmation, tous langages confondues :)


Le 22/09/2017 à 11h 08

De ce que je sais, à court terme, non.&nbsp;



Par contre, il y a une initiative qui est une première brique dans ce sens : XAML Standard 1.0. Il s’agit notamment de spécifier les composants de base (bouton, label, etc…) utilisable avec XAML.



L’idée est de permettre une certaine portabilité des interfaces utilisateurs en les réutilisant, qu’importe le type d’application (tout comme .Net Standard permet de définir des bibliothèques utilisables quel que soit le type de projet).


Le 22/09/2017 à 10h 09

Bibliothèques, applications web et console. Les applications avec interface graphique (Desktop, Mobile) ne sont pas prises en charge.&nbsp;

&nbsp;