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Kaher

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9 commentaires

Les VTC manifestent contre un nouveau boulet à leur parechoc

Le 21/07/2014 à 09h 38






mononokehime a écrit :

La licence est gratuite, mais le nombre de plaque est limitée et le temps d’attente assez long pour avoir une plaque, du coup les plaques s’échange sur le net a un prix de folie, une petite recherche google suffit ;)

http://www.taxis-de-france.com/annonces/iledefrance.htm



Et une petite recherche sur Google t’apprendrait que:




  1. le nombre de licence a été limité en 1935 à la demande des taxis (trop de taxis, pris de la course en baisse, revenu trop faible).


  2. l’autorisation de revente de la licence gratuite a été autorisée en 1995 à la demande des taxis.

    Il s’agit avant tout d’un problème créé par les taxis, ainsi que de lâcheté politique.

    Mais en aucun cas les VTC, ni les clients ou le contribuable n’ont à payer pour cela.



Au profit des taxis, les députés s'attaquent au « Far West » des VTC

Le 11/07/2014 à 15h 14






RuMaRoCO a écrit :

Les véhicules de transport publiques avec chauffeurs équipés de taximètre (Les TAXIs) sont une porfession reglementée :




  1. Les tarifs sont fixées par la Loi.

  2. Les zones d’achalandises (de prise en chage d’un client) aussi.

  3. C’est la licence de “Taxi” qui autorise le stationnement et le maraudage mais interdit aussi le racolage.

  4. Une police spéciale existe (les Boers) ansi qu’une commission de discipline (et qui est très séveres.).

    Et c’est l’avarice de l’état qui a fait que les licences ont un prix maintenant ainsi que le fait qu’un ‘taxi” prefere resté en station plutot que d’être en maraude (ce qui devrait être ça fonction premiere)*

    Après l’amabilité d’un chauffeur … C’est comme partout ailleurs. Si dans une population importante il y a une proportion de c<img data-src=" /> pourquoi voulez vous que sur un échantillon on en retrouve pas une même proportion…<img data-src=" />


    * je peux développé ces points si vous souhaitez.



    Pour rappel (énième que je fais sur ce forum):

    C’est en 1935 que le nombre de licence a été limitée à la demande des taxis car la forte concurrence entraînait une baisse de revenus, donc une baisse du niveau de vie des chauffeurs de taxi. Depuis les taxis se sont toujours battus contre une augmentation de ce nombre.

    C’est en 1995 que les taxis ont eu, à leur demande, l’autorisation de vendre cette licence, au départ gratuite.

    Aucune de ces décisions n’est à l’origine une volonté de l’Etat mais bien des taxis.

    Certains ajoutent que les taxis ont le droit de revendre cette licence car elle est comme une clientèle que ce dernier revendrait. Sauf qu’à dernière nouvelle, comme les taxis font une majorité (la totalité ?) de leur business via la maraude, l’idée même de revendre cette licence car équivaut à une clientèle est fausse.



Comment la loi Thévenoud va crever les roues des VTC au profit des taxis

Le 20/06/2014 à 12h 49

Un petit rappel qui ne fera de mal à personne :

Le nombre de licence a été limité en 1935 sous la pression des taxis, car plus il y a de taxis, plus le prix de la course baisse (effet de concurrence), donc revenu en baisse. L’Etat a consentit à instaurer cette limitation pour que les taxis puissent obtenir un revenu minimum.

La revente des licences a été autorisé en 1995 sous Charles Pasqua sous la pression des taxis car ils considéraient leur licence (délivrée gratuitement) comme une “clientèle”, au même titre qu’une boutique par exemple.


Le rapport Thévenoud veut transformer les taxis en VTC et les VTC en taxis

Le 25/04/2014 à 14h 53

Petit rappel :

réservation /?e.z??.va.sj?~/ féminin

“Action par laquelle on réserve.”

Lorsque vous réservez un VTC via une application, vous vous engagez à effectuer votre course, donc à la payer. Si vous l’annulez, vous payez un montant (10€ de souvenir) du au fait que le VTC n’a pas pu prendre d’autres clients. Ce n’est donc pas de la maraude mais de la réservation.

Autre points :




  1. C’est en 1935 que les taxis ont demandé à ce qu’il y ait un nb limité de licence distribué par an car le nb de taxis était trop elevé, entrainant une baisse du prix de la course donc des revenues trop faibles pour vivre.


  2. c’est en 1995 sous Pasqua (suite à une grève des taxis) et à la demande des taxis que la vente de licence gratuite a été autorisée.

    La faute revient à 100% aux taxis. En aucun cas les consommateurs (et donc l’Etat) n’ont à payer pour un marché qui s’est lui même mis dans cette situation.


Vente de livres sur Internet : le Sénat adopte la loi « Anti-Amazon »

Le 09/01/2014 à 12h 43

Plusieurs points sont soulevés dans les commentaires et méritent d’être approfondis :

La mort des petites librairies
Depuis l’arrivée des grandes surfaces et centres culturelles, les petits commerces ferment, c’est un fait assez logique (produit plus cher car pas d’effet de commande de masse, peu de négociation ac le fournisseur). Crier à la mort des libraires en 2014, c’est oublier le rôle que la Fnac, Virgin et autres ont joué bien avant. Amazon n’est ni plus ni moins qu’une Fnac 2.0, arrêtons de faire croire que le problème est nouveau.

Amazon et les frais des port

Comme certains l’ont déjà indiqué, la loi est flou, et rien n’empêche Amazon de ne vendre que des livres numériques, avec le livre physique offert et livraison gratuite. Un exemple parmi tant d’autres qui déjà montre l’incapacité de cette loi.

L’évasion fiscale

C’est LE problème réel, pas les FDP. Mettre sur le dos d’Amazon le fait que les librairies meurent, c’est un mensonge. Le prix de vente d’Amazon ne serait pas le même si la société était obligée de payer ses impôts en France. Tant que les politiques n’agiront pas sur ce point, Amazon aura tjrs une longueur d’avance.

Les emplois en France

Amazon qui ouvre un centre, c’est 2500 nvx emplois. Existe encore 2500 libraires en France ? Cb de sociétés peuvent se targuer d’embaucher encore autant de monde d’un coup ? Les conditions de travail y sont ce qu’elles sont (et à priori pas belles à voir) mais ça c’est un problème des syndicats/politiques. De plus, dire que la France ne s’industrialise pas à cause du prix du coût du travail, c’est vrai et faux. La Suisse a un niveau de vie élevé, un coût du travail élevé et que 3% de chômage (sans avoir de ressources naturelles particulières). Tant qu’il n’y aura pas une stratégie de développement pour le pays, ac une remise en question du salaire minimum (à augmenter), une imposition différente (assiette plus large, plus de monde ac emploi donc plus de cotisants), une réglementation du travail plus souple (pour débaucher et employer), RIEN n’avancera.


[MàJ] Le Conseil d’État suspend l'attente de 15 minutes pour les VTC

Le 30/12/2013 à 14h 37






Chloroplaste a écrit :

Merci pour ces infos !
Donc si je récapitule.
Dans ma ville je me mets sur la liste d’attente des obtentions de licence à la mairie. N’ayant nullement envie de faire carrière là-dedans, je me lance dans autre chose.
20 ans plus tard, courrier de la mairie qui me précise qu’une licence taxi m’est affectée que je revends alors plusieurs dizaines de milliers d’€.

ça fait un bon placement, non ?
A moins qu’une réglementation n’existe pour empêcher cela.



Je crois que cela est un peu plus compliqué, en l’occurrence pour être taxi vous devez passer un certain nombres d’examens à faire valider, de plus j’imagine qu’il vous faut forcément une société/compte en tant qu’indépendant pour déclarer vos revenus, donc des frais à s’acquitter.

Mais sur le principe, oui cela me parait faisable.

Petit détail : si les taxis revendent leur licence, c’est, au même titre qu’une boutique ou dentiste, qu’ils considèrent posséder une clientèle, donc un revenu régulier.

La question à se poser est celle-ci : pourquoi une profession indiquant ne pas gagner bien sa vie, avec une entrée sur le marché aussi élevée, attire autant de monde à priori (d’où la licence si chère) ? Une fois que vous avez la réponse, vous comprendrez pourquoi ils s’opposent autant à l’arrivée des VTCs.



Le 30/12/2013 à 14h 27






Faith a écrit :

C’est très hypocrite: dans 90% des cas, les utilisateurs de VTC “à la minute” sont juste des gens qui ont besoin d’aller d’un point à un autre le plus vite possible.

(et je parle bien uniquement du sujet de cette actualité: les VTC pris au plus vite et non pas ceux qui sont réservé pour une course dans 1 heure, 12 heures ou le lendemain)



C’est peut-être hypocrite à vos yeux, mais c’est la vérité. Il faut différencier le fait que la plupart des besoins des consommateurs sont les mêmes (peu importe le modèle du véhicule, le nombre de places, etc.) et le fait que les taxis n’aient pas pris le pas sur la possibilité de toucher le client via le digital.

Dernier point qui confirme que les app de VTC ne permettent QUE des réservations : en cas d’annulation de la course avant que le VTC ne soit arrivé, vous payez une somme (10€ de souvenir, à vérifier). Il y a donc bien l’idée d’une réservation et d’un service qui va s’effectuer entre le VTC et le client.



Le 30/12/2013 à 14h 07






Faith a écrit :

“Réserver”, ce n’est pas dire “j’ai besoin d’un véhicule maintenant” et juste attendre le temps qu’il arrive.

Les VTC existaient avant les smartphones et avaient le droit à des règles allégées parce qu’ils fonctionnent sur le mode de la réservation. Mais quand la technologie transforme une réservation en un appel instantané, alors c’est la loi sur les taxis qui doit s’appliquer.

En fait, je m’interroge sur la cohérence de ceux qui trouvent normal que les VTC puissent faire le job des taxis sans leur contraintes: êtes-vous en faveur des travailleurs étrangers qui travaillent en France avec les conditions de travail de leur pays d’origine ?



Réserver, c’est dire j’ai besoin d’un véhicule X ou Y, avec un certain nombre de places, à un instant T. Donc oui, Uber, SnapCar et autres permettent uniquement la réservation via un certain nombre de paramètres correspondant aux besoins du consommateur.

Heller un taxi, c’est prendre le 1er qui vient, quelque soit le type de véhicule, le nombre de places, etc.

Donc oui il y a une différence.

Et votre exemple des travailleurs étrangers ne tient pas pour une raisons simple : chaque course via une app de VTC entraîne une transaction financière de compte à compte, ce qui n’est pas le cas avec les taxis. C’est d’ailleurs pour cela que les taxis ne veulent pas de CB : pouvoir faire de l’argent au noir.

Pour finir, Uber a proposé aux taxis de les intégrer, ce qui n’a pas duré bien longtemps. La raison : trop de retour négatif de la part des clients.



Le 30/12/2013 à 13h 46

Je pense qu’un petit rappel s’impose :

Le système de VTC a toujours existé, en parallèle des taxis. Les réservations s’effectuaient par différents moyens (téléphone, email, fax, etc.)

Quant aux taxis, il serait intéressant de faire un point sur la situation : La licence des taxis est GRATUITE. Chaque mairie (il me semble) attribue un nombre limité de licences chaque année, et la plupart des demandeurs se retrouve sur liste d’attente, pouvant aller jusqu’à 10 ans. Si une personne souhaite acquérir une licence plus rapidement, cette dernière en achète une à un autre taxi. C’est la loi de l’offre et la demande. A l’heure actuelle à Paris, une licence peut se vendre jusqu’à 250 000 euros. Rappelons quand même que ce marché de la licence n’est en rien géré par l’Etat Français, elle n’est que le résultat de la gestion par les taxis eux mêmes.

Dire que pouvoir réserver un VTC via son mobile revient à arrêter un taxi dans la rue, c’est faux. Car toute réservation via l’application bloque la course, vous donne le temps d’attente avant d’être pris en charge, les coordonnées du chauffeur et les références du véhicule, etc. Bref, rien à voir.

De plus, pour être un utilisateur régulier d’Uber (pour ne pas le nommer), j’ai voulu tenter l’application G7 ou Taxis Bleus, et clairement c’est incomparable ! La 2eme application est mal faite ergonomiquement, il faut payer pour pouvoir réserver un taxis (système de crédit, qui n’est pas déduit de la course).

Dernière infos et pas des moindres : lorsque vous réservez un taxi, vous payez la course entre là où se trouve le taxi et là où vous êtes, alors que le service pour lequel vous ne devez payer n’est que votre point de départ à votre point d’arrivée !

Que les taxis commencent par prendre les mesures nécessaires (CB dans chacun, système de “réservation” comme Uber, système de notation, payement uniquement pour aller du point A au point B, etc.) et on verra à ce moment là. Depuis que j’utilise Uber, je n’ai jamais repris un taxis et cela ne produira plus, peu importe les 15m d’attente ou le prix plus élevé. Les taxis ont créé ce problème, pas l’état ni le consommateur.