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SartMatt

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349 commentaires

Le 05/09/2018 à 13h 35







Aloyse57 a écrit :



Oui enfin bon, quand tu achètes un vélo qui coûte vraisemblablement des centaines ou des milliers d’euros pour une bouchée de pain, tu te doutes bien que son origine est douteuse.





Mais le très gros du vol de vélo, ce n’est pas des vélos haut de gamme, ne serait ce que parce que les vélos haut de gamme sont bien plus difficiles à voler (rarement laissés dans la rue, attachés avec des cadenas super costauds) et parce que les gens qui achètent ce genre de vélos d’occasion sont généralement plus attentif à leur origine.  J’en sais quelque chose, j’ai vraiment galéré à essayer revendre à sa juste valeur un de mes VTT dont j’avais égaré la facture… J’ai fini par le vendre en pièces détachées et récupérer le cadre pour mon vélotaf.



Le gros du “marché”, c’est des vélos “de tous les jours”, revendus à une valeur proche de leur valeur normale sur le marché de l’occasion. Genre des B’twin de quelques années qui seront revendus quelques dizaines d’euros. Le genre de vélo qu’aujourd’hui plein de gens achètent sans se douter un seul instant qu’ils sont volés.


Le 05/09/2018 à 13h 31







skankhunt42 a écrit :



Si demain je roule avec un vélo volé tous les jours pour aller au travail tu pense que je pourrais tenir combien de temps avant de me faire pincer ? Si je me fait pincer tu pense qu’il m’arrivera quoi ? Si tu applique ça à la voiture, tu pense qu’une carte grise est utile ?





Perso ça fait 16 ans que je roule en voiture, je n’ai été contrôlé qu’une fois, et ils étaient tellement dégoutés que je sois négatif à l’alcotest qu’ils m’ont même pas demandé la carte grise. Alors si je raisonnais comme ça, je pourrais me dire que je pourrai sans problème rouler avec une voiture volée. Mais je ne le fait pas pour autant.



Et c’est pareil avec le vélo. Même si je sais que je ne risque strictement rien à le faire, si je sais qu’un vélo est volé, je ne l’achète pas.


Le 05/09/2018 à 13h 27







le podoclaste a écrit :



J’imagine mal la maréchaussée vérifier l’immatriculation d’un vélo en circulation. C’est quand-même moins critique qu’une voiture : moins dangereux, moins cher, généralement pas de contrôle pour les cyclistes à la sortie d’un virage, etc.



Ce que je veux dire, c’est que si tu deviens propriétaire d’un vélo volé en connaissance de cause, au pire tu limes le numéro d’identifiant, pas la peine d’en falsifier un nouveau.





Oui, c’est sûr que si l’acheteur du vélo volé sait que c’est un vélo volé, il n’y a pas besoin de le maquiller. Mais ça réduit sacrément le “marché”, parce qu’aujourd’hui beaucoup de vélo volés sont revendus comme de simples occasions à des acheteurs ne sachant pas que c’est un vélo volé, parfois même via des boutiques d’achat/vente ou de dépôt/vente.


Le 05/09/2018 à 13h 14

Une fois que ça sera rentré dans la tête des gens qu’un vélo est marqué et doit être vendu avec le certificat correspondant et les identifiants pour mettre à jour les coordonnées du propriétaire dans la base de données, un vélo volé ne pourra plus être revendu sans avoir été maquillé et remarqué avec un nouveau numéro… Tout comme personne n’achète une voiture dont le vendeur n’a pas la carte grise…



Aujourd’hui si on me propose un vélo d’occasion avec un Bicycode mais sans les identifiants, je le prends pas…

Le 05/09/2018 à 13h 03







Shadowman_2k3 a écrit :



C’est quoi le rapport ? J’ai bien lu la news …



150K vélos retrouvés, c’est peanuts …





C’est près du tiers des vélos volés… Et à peine 3% qui sont restitués, faute d’identification du propriétaire. Si un marquage généralisé permettait de restituer 80% des vélos retrouvés, les chances de récupérer son vélo volé passeraient d’environ 1% à près de 25%. C’est énorme comme différence… Avec en plus une baisse du risque de vol.


Le 05/09/2018 à 12h 58







Quiproquo a écrit :



Un marquage je veux bien, infalsifiable, pourquoi pas, inamovible, j’ai comme un gros doute. Le marquage obligatoire c’est bien quand tous les véhicules sont marqués, où qu’il y a un moyen simple d’évaluer si un vélo donné doit être marqué ou non. Parce que là, un coup de disqueuse, un coup de filler, un coup de peinture, et roulez jeunesse…





S’il faut passer à la disqueuse, puis maquiller le tout, incluant la nécessité de repeindre le cadre, ça réduit sacrément l’intérêt du vol du vélo… Parce que les vélos volés, ça se revend quand même pas bien cher, donc s’il y a une heure de boulot pour tout maquiller sur chaque vélo volé + le matériel et la peinture, ça rend l’opération sacrément moins rentable…

 





xav2ntes a écrit :



Sous le boitier de pedalier il y a un numéro de serie unique qui est gravé, donc il faut juste noter ce numéro sur la facture, ce que fait mon vendeur de vélo…

Les associations qui proposent un marquage sur le vélo, ça sert juste à faire sauter la garantie du cadre.

Sur un vélo carbone c’est même pas la peine d’y penser.

Encore une mesure pour faire payer un impôt caché





Le numéro de série sur les cadres, ce n’est pas systématique, c’est surtout sur le haut de gamme. Et ce n’est pas standardisé. Et surtout, il n’y a pas de base de données centrale pour identifier le propriétaire à partir du numéro de série. Donc quand la police retrouve un vélo volé, même s’il a un numéro de série, elle ne sait pas qui contacter pour le restituer. Avec Bicycode, elle sait à qui il est (police et gendarmerie ont accès à la base).



Pour ce qui est de la garantie, certaines marques ne font pas sauter la garantie quand il y a un Bicycode. Notamment Décathlon (qui incite même à faire le marquage), qui doit être l’un des plus gros vendeurs de vélo en France. Il y a même certains fabricants qui livrent directement les vélos avec un marquage Bicycode.


Le 05/09/2018 à 12h 51







dvr-x a écrit :



Du beau flanc encore…

Ca va être moche, ca va couter cher, ca vous enregistre dans une BDD supplémentaire, et en plus ca n’empêchera jamais personne de voler un vélo…





Le marquage est quasi invisible. Et les “beaux vélos”, ils ont en fait

déjà quasiment tous un marquage, parce que le constructeur grave un

numéro de série sur le cadre (généralement sous le boîtier de pédalier).

Il suffit de standardiser ce numéro de série et c’est réglé. C’est

d’ailleurs la démarche entreprise par Bicycode, qui propose aux

constructeurs de mettre d’origine sur les vélos un marquage suivant leur

convention de numérotation.

Quand au fait de payer, oui, mais c’est

pas cher du tout… Bicycode, c’est facturé de l’ordre de 5 à 10€ selon

les opérateurs. Certains le font même gratuitement (notamment à l’achat

d’un vélo neuf dans certaines boutiques).







oupsman45 a écrit :



Quid des vélos montés à la main en achetant les pièces ?





Marquage sur le cadre.


Le 31/08/2018 à 14h 46

Si tu veux empêcher l’exploitation de tes données personnelles, il y a une solution : tout chiffrer avant d’envoyer chez eux.



Pour un usage type “drive”, ça peut se faire avec Boxcryptor, de façon totalement transparent sur desktop (tu déposes tes fichiers dans le répertoire Boxcryptor exactement comme tu le ferais dans le répertoire de One Drive) et via une application dédiée sur mobile. Par contre, tu perds la possibilité de consulter/télécharger directement tes fichiers avec un navigateur web et bien entendu ça ne marche pas avec des services de stockage spécialisés dans un certain type de fichiers (donc exit Prime Photo). C’est gratuit pour 2 postes et 1 service de stockage, payant (par abonnement annuel) au delà.



Pour un usage type “sauvegarde”, il y a Arq Backup qui fait ça très bien. Logiciel payant, mais c’est une licence “à vie” et la licence est par utilisateur, sans limite du nombre de postes. À noter que tu peux tout a fait le configurer pour envoyer les données vers 6 comptes One Drive, en créant 6 jobs de sauvegarde différents.





Perso j’utilise les deux :

* BoxCryptor pour mettre mes documents dans Google Drive et y accéder facilement de n’importe où,

* ArqBackup pour faire de la sauvegarde vers One Drive et vers mon NAS.

Le 31/08/2018 à 11h 04

Et tu peux même l’avoir pour beaucoup moins cher que ça. Faut juste pas acheter directement chez Microsoft.



Amazon le vend 75€ en temps normal, et fait régulièrement des promos autour de 50€ (notamment lors du Prime Day).

Le 22/08/2018 à 13h 37

Étant client des deux premières, je peux t’assurer que ça n’a vraiment rien à voir niveau qualité de service…



La seconde, c’est ma banque principale depuis des années. Pas le moindre problème sérieux, une offre complète et cohérente. Le support rapide et efficace. Il m’a pas fallu six mois chez eux avant d’être convaincu d’en faire ma banque principale. J’ai même été à deux doigts d’y mettre mon crédit immobilier, mais une autre banque c’est alignée à la dernière minute sur leur offre.



Orange Bank, au bout de six mois, je n’envisage même pas de la

garder comme banque secondaire, je vais sans doute en prendre une

autre…

 

Et quand il y a un problème, le support est quasi inexistant. Outre mon accès aux comptes impossible depuis le passage à Android 9, ça fait depuis le début que la carte ne marche pas en sans contact dans les cinéma Pathé. Et quand on leur signale le problème, “on y travaille”… Quand ING a lancé sa nouvelle carte avec paiement sans contact et a constaté un dysfonctionnement dans certains péage, il n’a fallu que quelques semaines avant qu’ils proposent un échange gratuit de la carte pour corriger le problème.



Bref, avec ING j’ai l’impression d’avoir une vraie banque (en même temps, c’en est une, ING n’est pas présent en France avec des banques physiques, mais c’est quand même un groupe dont la banque est le cœur de métier), alors qu’avec Orange Bank j’ai l’impression de voir une bande d’amateurs qui se sont dit “tiens, y a du fric à gagner dans ce secteur, on va voir si on y arrive”.

Le 22/08/2018 à 10h 12

Perso, je vois bien un truc qui sort du lot, mais pas dans le bon sens par rapport aux banques en ligne “historiques”. Orange Bank ne peut pas fonctionner sans l’application mobile, même pour l’accès à l’interface web, il faut valider dans l’appli mobile.



Résultat, depuis que je suis passé à Android 9 et que leur application crash systématiquement au lancement, je n’ai plus accès ni à mes comptes, ni au support (qui passe via l’appli…). Et sur leur forum, ils sont incapables de me donner le moindre délai de résolution ou la moindre solution alternative en attendant… Et du coup, c’est pareil pour ceux qui perdent leur téléphone ou dont le téléphone est en panne. Plus d’accès aux comptes…



Bref, ça fait vraiment pas sérieux, et je pense que je vais rapidement fermer mon compte…



À noter que c’est pas beaucoup mieux chez Orange tout court, depuis le passage à Android 9 le site orange.fr ne fonctionne plus, ni avec Chrome, ni avec Firefox (“Votre téléphone mobile n’est plus compatible avec le portail Orange”)… Doivent avoir un truc basé sur le user-agent qui rejette tout ce qui n’a pas exactement une version connue, alors qu’une version supérieure à une version compatible devrait par défaut être considérée comme compatible (et en plus la compatibilité d’un site web est bien plus une question de version du navigateur que de version de l’OS sous-jacent)…

Le 03/07/2018 à 20h 02

C’est bien pour ça que le SATA n’a pas besoin d’augmenter en débit pour l’instant.



Pour les SSD, il est totalement dépassé par rapport au NVMe et ça n’a aucun intérêt d’essayer de faire une norme concurrente au NVMe.



 Donc pourquoi pousser le débit, avec une hausse de coût à la clé, alors que ça ne sert plus que pour des disques durs et lecteurs optiques qui sont encore très loin d’atteindre les limites de débit du SATA ?

Le 30/03/2018 à 18h 22

Non, même pas besoin d’une adresse britannique :https://www.nominet.uk/domains/about-domain-names/



Il y a une validation automatisée qui s’appuie sur l’annuaire postal britannique (ainsi que les listes électorales) si le demandeur est un résident du Royaume-Uni, mais sinon ils utilisent les annuaires du pays du demandeur. Et si la validation automatique échoue, ils demandent des documents prouvant l’identité du demandeur (par exemple, carte d’identité

Le 30/03/2018 à 09h 48

Non, il n’y a pas de restriction territoriale sur le .uk, n’importe qui peut en ouvrir un, sans avoir le moindre lien avec le Royaume-Uni.



Donc à moins qu’ils fassent évoluer les règles pour exclure les ressortissants de l’UE (ce qui serait quand même tordu…), tu n’as rien à craindre.



Les anglais qui ont des .fr pourraient par contre être emmerdés, parce que pour le .fr il faut être ressortissant de l’UE, de l’Islande, de la Norvège ou de la Suisse. Mais on peut supposer que comme il y a déjà exception pour ces trois pays proches de l’UE, le RU sera également ajouté aux exceptions.

Le 21/03/2018 à 15h 56



Sans doute une erreur OpenOfficebien malencontreuse, vierge de tout lien incestueux entre ministère et bénéficiaires de la ponction.

C’est parce qu’ils ont mal configuré le firewall d’OpenOffice <img data-src=" />

Le 10/03/2018 à 18h 21

Carbier s’est mal exprimé, mais il a raison, le crédit est bien sans surcoût.



Si on remet dans le bon ordre, ce qu’il aurait du dire, c’est que Sosh propose “un crédit sur une partie de la somme sans surcoût”. Car le crédit est bien gratuit, mais il faut un apport initial pour couvrir une partie de la somme.



Par exemple, si je regarde le Honor 9, c’est 369€ en une fois, 4x92.25€ en 4 fois, 171€ + 11x18€ en 12 fois ou 185€ + 23x8€ en 24 mois.



Dans tous les cas, on paye donc exactement 369€, et il n’y a donc aucun surcoût. Par contre, sur les paiements en 12 et 24 fois, le crédit n’est proposé grosso modo que sur la moitié de la somme, avec un apport initial pour l’autre moitié.



Free faisait aussi ça avant de passer à la location il me semble. Et B&You également à l’époque ou la marque était un peu plus séparée de la maison mère.

Le 07/03/2018 à 22h 21

Techniquement, chaque distribution a son propre bash, compilée avec les options de compilation choisies par les mainteneurs de la distribution, et intégrant éventuellement des patchs spécifiques.



Après, en pratique, c’est clair qu’il ne diffère sans doute pas énormément d’une distrib à l’autre :-) (dans le cas de bash, à priori Ubuntu embarque les mêmes patchs que Debian, une grosse vingtaine de patchs, dont la moitié concerne les manpage).

Le 07/03/2018 à 21h 48

Ce n’est pas du tout comparable à Cygwin, la philosophie est complètement différente.



Cygwin, c’est une implémentation de l’API POSIX par dessus l’API Win32. Les binaires qui tournent dedans sont des exécutables Windows tout ce qu’il y a de plus standard, avec une dépendance sur les DLL de cygwin. Ce qui implique donc qu’il faut que chaque binaire ait été compilé spécifiquement pour l’environnement Cygwin, et parfois, ça nécessite d’adapter le code.



WSL, c’est une implémentation de l’API du noyau Linux par dessus l’API Win32, pour faire tourner directement un userland Linux. Les binaires qui tournent dedans sont des binaires ELF standard. Ça ne nécessite aucune recompilation. Si tu as un binaire qui tourne sur Ubuntu 16.04, tu peux le copier sur une machine Windows et l’exécuter directement avec WSL. Aucune adaptation de code n’est nécessaire, tant que l’application ne dépend pas de fonctionnalités du noyau qui n’ont pas encore été implémentées dans WSL. Et si tu as du code à compiler, tu peux le compiler dans WSL, le binaire résultant pourra tourner sous Linux.



Du coup, dire que WSL a fait 50% du boulot par rapport à Cygwin, c’est faux. C’est vrai que dans certaines domaines WSL offre moins de possibilité que Cygwin (même si c’est pas l’esprit du truc, une application Cygwin peut faire appel à n’importe quel API Windows, donc on peut imaginer des applications faisant des choses spécifiques à Windows, comme des accès à la base de registre, tout en tournant dans l’environnement Cygwin), mais à l’inverse, le fait d’avoir un userland Linux “complet” dans WSL offre des possibilités bien plus intéressante que ce que propose Cygwin pour le développement (on peut tester directement sur un poste Windows des scripts ou des binaires qui vont tourner à l’identique sur une cible Linux), bénéficie d’une offre logicielle bien plus vaste (pas besoin de compilation spécifique), y compris des logiciels propriétaires (qui ne sont donc pas compilés pour Cygwin…).

Le 13/02/2018 à 13h 04

“pitch” n’est pas une orthographe inventée par le franglais pour dire “speech”, c’est bien un mot anglais, qui s’écrit comme ça en anglais, et dont le sens n’est pas le même que “speech” :en.wikipedia.org Wikipedia

Le 07/02/2018 à 23h 05

Decimal est bien dans l’implémentation de référence de Python (CPython), mais ne fait pas partie du langage lui même, donc il n’y a aucune obligation de l’intégrer dans toutes les implémentations.



Typiquement, dans MicroPython il n’y est pas, la plupart des modules de la bibliothèque de référence ont été dégagés pour gagner de la place (MicroPython tient dans 256 Ko).



Et vues les caractéristiques matérielles de la Numworks, sont implémentation de Python est sans doute plus proche de MicroPython que de CPython.



Accessoirement, à la base le problème de précision lié au float sur la Numworks était dans son appli Calculatrice, donc ça n’a strictement rien à voir avec Python : l’application Calculatrice est écrite en C++, pas en Python.

Le 31/01/2018 à 13h 13

+1 !



Je l’ai adopté depuis la fin de Google Reader, c’est ce que j’avais trouvé de mieux à l’époque comme remplacement (car à peu de choses près la même ergonomie et les mêmes fonctionnalités), je ne l’ai plus quitté depuis :-)



Et comme c’est auto-hebergeable, aucun risque de fermeture :-)

Le 29/01/2018 à 19h 33

Assez d’accord sur le fond, et c’est d’ailleurs un peu comme ça que je gère ma connexion, je considère au maximum ma box comme un simple fournisseur de connexion Internet. Même le routeur de la box, je ne l’utilise pas.



Par contre pour la TV, l’OTT a quand même un inconvénient majeur par rapport à une offre FAI : ça encombre beaucoup plus le réseau.



Quand 10000 clients d’un FAI regardent la même chaîne via l’offre TV du FAI, si l’opérateur gère ça correctement, c’est 1 flux de cette chaîne qui entre dans le réseau du FAI, 1 flux de cette chaîne qui va vers chaque nœud de son réseau derrière lequel il y a au moins un abonné qui regarde, etc… Et ce n’est finalement qu’entre l’abonné et son nœud de raccordement qu’on a un flux distinct pour chaque abonné.



En passant par des flux non gérés par le FAI par contre, on se retrouve avec un flux de bout en bout par abonné. Du coup, si 10000 clients regardent la même chaîne, ce sont 10000 flux de cette chaîne qui doivent entrer dans le réseau de l’opérateur. Puis vers chaque nœud, autant de flux qu’il y a d’abonnés regardant la chaîne derrière le nœud.



C’est pour ça que souvent, quand tout ce qui est replay, MyCanal, Molotov et cie rame en heure de pointe, la TV en direct via les flux du FAI passe sans problème.



Ce serait bien par contre que les FAI ouvrent leurs flux pour qu’on puisse les utiliser sans passer obligatoirement par leur box… C’est le cas en partie chez Free (pas besoin du boîtier TV, mais le boîtier modem doit être branché pour chopper les flux), mais pas chez les autres opérateurs il me semble (chez Orange, j’ai bien une appli TV d’Orange… mais c’est pas les mêmes flux que sur la box, qualité nettement moindre, et à priori niveau réseau c’est comme de l’OTT… d’ailleurs, ça marche aussi quand on n’est pas connecté via Orange…).

Le 29/01/2018 à 18h 28

J’aurais tendance à pensé que ça ne doit pas être considéré comme un réseau public.



&nbsp;Ce réseau “invité” est aussi privé que ton réseau classique, seuls les gens à qui tu as donné l’accès peuvent s’y connecter. La seule différence avec ton réseau classique, c’est qu’ils sont sur un sous-réseau isolé du reste, pour ne pas pouvoir accéder aux machines du reste du réseau.



Par contre, tu es du coup responsable légalement de tout ce que font tes invités avec ta connexion. Pas question de dire aux autorités “mais c’était pas moi, c’était mon invité” en cas de problème…

Le 16/12/2017 à 16h 34

Oui. J’ai des comptes chez Boursorama et Fortuneo, qui voient pas passer plus de 100€ par mois en moyenne, et ils ne m’ont jamais redemandé de justificatifs de revenus. Ça m’a été demandé seulement au moment de l’ouverture.

Le 16/12/2017 à 00h 08







tpeg5stan a écrit :



Et pour le plan épargne logement par exemple, je crois que c’est plus compliqué chez ING direct





C’est même plus que compliqué, il font tout simplement pas :) En même temps, vu les conditions actuelles des PEL, c’est pas une grosse perte.

&nbsp;





tpeg5stan a écrit :



J’aime bien avoir deux banques, parce que pour les virements internationaux tu en as toujours une sur les deux qui a un problème <img data-src=" />





Pour les virements internationaux, mon expérience sur différentes banques (CE, ING, LBP, Fortuneo, Crédit Mutuel, Boursorama) tend à montrer que c’est Fortuneo qui s’en sort le mieux, je n’ai jamais eu à faire intervenir le service client pour ajouter un compte destinataire.


Le 15/12/2017 à 23h 58







gathor a écrit :



ING passe directement de la carte débit immédiat à la MasterCard Gold (avec débit différé donc) à partir de 1 200 euros de ressources, comme indiqué dans le tableau :)

La précision pour les 5 000 € d’épargne a été ajoutée, merci ;)





Le débit immédiat/différé, ce n’est pas lié au fait d’avoir la MasterCard Gold (la carte débit immédiat, c’est aussi une Gold), et le passage du débit immédiat au débit différé n’est pas “direct”, ça se fait uniquement à la demande de l’utilisateur (par contre, quand j’étais en débit immédiat j’avais un bouton pour basculer en débit différé, mais maintenant que je suis en différé j’ai pas de bouton pour basculer en immédiat, donc dans l’autre sens ça doit sans doute passer par le service client…).



Et le tableau dont je parlais, ce n’est pas la capture d’écran dans le

paragraphe ING, qui effectivement mentionne bien l’option débit différé, mais le tableau récapitulatif global comparant toutes

les banques, qui indique qu’ING ne propose pas le débit différé (mais je comprends, comme le dit David plus haut, que maintenir à jour et sans erreur un tel tableau n’est pas simple…).



Tiens maintenant que j’y pense, ça pourrait aussi être bien d’avoir une ligne dans le tableau pour préciser quelle banque propose une offre bancaire complète (compte courant, livret A/LDD, titres, assurance-vie, éventuellement aussi prêt immo…), pouvant donc remplacer complètement les banques traditionnelles (manque généralement quand même les PEL/CEL), et quelle banque se limite à une offre plus orienté “vie quotidienne”, avec juste un compte courant et une CB (genre Revolut, N26, C-Zam, et dans une moindre mesure Orange Bank qui propose quand même un livret, mais non réglementé).


Le 15/12/2017 à 18h 36

Petite erreur dans le tableau, qui indique qu’il n’y a pas de débit différé chez ING, alors que c’est possible, comme indiqué dans le texte.



Et chez Revolut, la CB n’est pas complètement gratuite. Seule la première est offerte, mais ensuite il y a des frais d’envoi (6€ pour la France) lors du renouvellement. C’est pas énorme par rapport au tarif mensuel de certaines banques, mais c’est à prendre en compte quand même.



Un point qui manque aussi dans le comparatif, c’est de savoir si la banque propose ou non un service de numéro de CB à usage unique pour les paiements par Internet. Je sais que c’est le cas chez Fortuneo et pas le cas chez ING et Orange, à voir pour les autres.

&nbsp;







Patch a écrit :



Petite précision à rajouter pour ING : les 1200€ mensuels à rentrer sur le compte pour ne pas avoir de frais sont sur une moyenne trimestrielle, on peut très bien avoir 1000€ un mois et 1400 le suivant.





Ou encore en plaçant 5000€ au total chez eux (Livret A, assurance-vie, PEA, compte-titre), il n’y a plus de minimum mensuel à verser (et ça fait aussi augmenter les plafonds de paiement/retrait).


Le 13/12/2017 à 16h 01







Faith a écrit :



&nbsp; Repartons de la base: vendre à découvert quelque chose permet de se protéger contre les fluctuations de son cours tout en conservant cet objet.





Vu que vendre à découvert consiste à vendre quelque chose qu’on a pas encore acheté, je vois pas trop en quoi ça permet de se protéger des fluctuations tout en conservant l’objet… C’est tout l’inverse, c’est un pari sur les fluctuations : il va falloir acheter l’objet entre le moment où on l’a vendu et le moment où on doit le livrer, et si sur cette période on n’arrive pas à le trouver à un prix inférieur à celui auquel on l’a vendu, on perd la différence. Donc il faut une fluctuation à la baisse pour que le pari soit intéressant.



C’est la vente à terme qui permet de se protéger des fluctuations tout en conservant l’objet.


Le 17/11/2017 à 18h 11

Yep, c’est un classique. On trouve ça dans quasiment tous les langages, parce que les calculs en flottant sont traités directement via la FPU. À ma connaissance, il n’y a pas de FPU produisant des résultats exacts en décimal, elles fonctionnent toutes en binaire (généralement, au standard IEEE 754), avec donc des résultats approximatifs du fait des conversions décimal-&gt;binaire et binaire-&gt;décimal.



Pour avoir des résultats exacts en décimal, il faut faire les opérations de façon logicielle. C’est plus lent, mais plus précis. Dans Python, tu as le type Decimal qui permet des calculs en précision infinie :

&gt;&gt;&gt; Decimal(“1”) - Decimal(“0.8”) - Decimal(“0.2”)

Decimal(‘0.0’)



Attention, il faut bien lui passer les nombres sous formes de str, si tu lui passes des float il produira la même approximation, au moment de la conversion de ces float en Decimal :

&gt;&gt;&gt; Decimal(0.8),Decimal(“0.8”)

&nbsp;Decimal(‘0.8000000000000000444089209850062616169452667236328125’), Decimal(‘0.8’))



Ce genre d’imprécision est tout a fait acceptable dans un langage de programmation générique. Pour une calculatrice scientifique par contre, c’est quand même très limite d’avoir ce comportement.

Le 10/11/2017 à 16h 38

Ah oui, pas con ^^



Donc au final, la seule différence en pratique (j’exclue le problème de fausse déclaration, vu que de toute façon ça risque rien, ils vont pas s’amuser à vérifier que tu as vraiment perdu ton permis, surtout que c’est de toute façon invérifiable), c’est que dans un cas, tu payes et tu le reçoit chez toi, alors que dans l’autre cas, tu payes pas mais tu dois aller le chercher.

Le 10/11/2017 à 16h 08

J’ai fait une demande de renouvellement pour permis dégradé il y a deux semaines, je n’ai rien eu à payer.



Sinon, même si il fallait payer, l’avantage par rapport à la perte, c’est que ça évite de devoir faire une fausse déclaration… Et je suppose en plus qu’une fois le permis déclaré perdu, c’est enregistré quelque part et ça peut ressortir lors d’un éventuel contrôle routier pendant la période où tu n’as pas encore reçu le nouveau permis…

Le 10/11/2017 à 15h 03

Non, pas besoin de le déclarer perdu. Tu le déchires juste de façon à ce qu’une des partie soit presque détachée des deux autres (presque, pour qu’il reste valable en cas de contrôle) et tu fais la procédure de renouvellement en déclarant que ton permis est dégradé, ce qui nécessite juste de fournir un scan de ton permis, pas besoin de faire une déclaration de perte. Par contre faudra aller chercher ton nouveau permis en préfecture, en échange de l’ancien.

Le 10/11/2017 à 15h 00

Ça dépend des cas.



Pour un premier permis ou pour un renouvellement suite à perte ou vol, c’est envoyé chez toi.



Pour un renouvellement de permis dégradé, il est remis en préfecture, en échange de l’ancien permis.

Le 06/10/2017 à 14h 31

Mais ça va devenir de plus en plus fréquent les catégorie 5… Les ouragans sont alimentés par la chaleur de l’océan.



La raison pour laquelle les régions souvent dévastées reconstruisent à chaque fois plutôt que de faire du résistant, c’est surtout une question de moyens à court terme et de vitesse de construction.



Il faut reconstruire vite pour retrouver rapidement une vie “normale”. Mais construire des réseaux enterrés, c’est beaucoup plus lent.



Et même si c’est plus économique à long terme, les réseaux enterrés sont beaucoup plus coûteux au départ, donc il faut une capacité d’investissement, qui fait souvent défaut.

Le 03/10/2017 à 21h 18







HunterZer0 a écrit :



Après je suis désolé mais ce n’est pas parce qu’on est assuré pour les dommages causés aux tiers qu’on doit être moins vigilant/responsable.



Il y a peut-être d’autres voies à creuser plutôt que de toujours interdire… par exemple ne pourrait-on pas avoir un téléphone qui bascule automatiquement sur un “Mode conduite” dès qu’il repère qu’il se déplace à une vitesse supérieure à une limite donnée ?





Point 1 : j’ai pas dit ça. Mais encore une fois, je le répète : on ne s’assure pas pour soi, on s’assure pour ceux à qui on pourrait causer des dommages (soi étant inclus dans le groupe dans le cas d’une assurance tous risques). C’est pour ça que l’assurance est obligatoire, ça garanti l’indemnisation des victimes d’un accident quelque soit la solvabilité du responsable.



Point 2 : je suis bien d’accord que ça serait mieux de faire autrement que toujours interdire… Mais comme les gens ne sont pas capables de se responsabiliser eux mêmes, il n’y a malheureusement pas toujours le choix (bon par contre les brouilleurs, ça reste complètement con comme idée ^^)… Y a qu’à voir le nombre de gens qui gueulent contre les radars, alors qu’il suffit de respecter les limites pour ne pas être embêté…

Quand au mode conduite sur les téléphones, ça me semble inutile. Soit le mode conduite n’est pas débrayable, et c’est con parce que ça interdit aussi d’utiliser le téléphone quand on est passager, quand on est dans un bus, dans un train, etc…

Soit il est débrayable, et dans ce cas les gens qui sont pas assez responsables pour se retenir d’utiliser leur téléphone au volant, ils auront vite fait de débrayer le mode conduite… Pire, la manip’ pour débrayer le mode conduite va encore plus les détourner de la route…


Le 03/10/2017 à 20h 07







HunterZer0 a écrit :



Ici je dis que si tu es en tord l’assurance paye que dalle tu paye tout. De plus si tu avais lu correctement j’avais écrit “Accident alors qu’ils ne respectaient pas le code de la route” donc un accident responsable, où les gens sont en tord ; ce qui ne rends pas l’assurance inutile car tu as des accidents non responsables pour lesquels tu serais couvert.





Techniquement, si tu as un accident non responsable, c’est quasiment toujours qu’il y a un tiers responsable. Donc si on suit ton raisonnement, ce tiers responsable doit tout payer, donc pas besoin d’assurance…



Pour rappel, l’obligation d’assurance, ce n’est pas pour se protéger soi même (tu n’es pas obligé de prendre une assurance qui te couvre toi !), c’est pour protéger les tiers à qui tu peux éventuellement infliger des dommages, alors que tu n’as pas forcément moyen de payer pour réparer les dégâts (si tu rates un stop et flingue la Ferrari qui arrivait sur l’axe prioritaire, t’auras pas les moyens de payer…). L’assurance est là pour garantir aux victimes qu’elles seront indemnisées. Donc exclure tous les accidents responsables de l’assurance, ça rend l’assurance quasiment inutile, puisqu’elle n’interviendrai que dans les cas où tu n’es pas responsable, mais sans tiers responsable identifié… (remarque, ces cas se multiplieraient, parce que si les gens devaient tout payer de leur poche dès qu’ils sont responsables, tu auras une multiplication des délits de fuite…)


Le 03/10/2017 à 18h 53







HunterZer0 a écrit :



Ensuite assurance obligatoire AVANT de prendre possession d’un véhicule

[…]



Cerise sur le gâteau : ceux qui ont un accident alors qu’ils ne respectaient pas le code de la route auront tout à payer de leur poche.&nbsp;





Pour le premier point, c’est déjà le cas. Tu n’as pas le droit de circuler sans assurance, donc ça implique forcément que tu dois assurer ton véhicule avant d’en prendre possession. Un concessionnaire n’est pas censé te laisser partir avec une voiture non assurée. Mais certains sont peut-être moins consciencieux que d’autres à ce niveau…



Pour le deuxième cas, c’est une proposition dangereuse, car l’erreur est humaine. Ça peut arriver à tout le monde de faire un accident parce qu’on a pas vu un feu ou un stop, condamner quelqu’un à payer à vie pour ça c’est du grand n’importe quoi. En fait, une telle règle pourrait même être totalement contreproductive : on serait beaucoup plus stressés au volant (la peur de l’erreur…), et le stress est justement un facteur de risque d’accident. Il y a par contre le système du malus qui permet déjà de faire payer en partie de leur poche les responsables d’accidents (la responsabilité étant généralement liée au fait qu’il n’a pas respecté le code de la route).



Et dans le cas de certaines violations du code de la route qui peuvent difficilement être mises sur le compte d’une petite inattention, cette mesure que tu proposes existe déjà : les contrats d’assurance auto contiennent des cas d’exclusion de garantie. En cas d’accident responsable correspondant à une exclusion de garantie, c’est bien le conducteur responsable qui devra indemniser de sa poche les victimes. Dans mon contrat d’assurance auto, j’ai par exemple ces exclusions : la participation à des runs, rodéos et courses sauvages, refus de test d’alcoolémie/stupéfiants, dépassement tu taux d’alcoolémie, consommation de stupéfiant, délit de fuite, refus d’obtempérer. Par contre y a pas le téléphone dans les exclusions, mais ça me choquerait pas qu’ils décident un jour de l’ajouter.


Le 03/10/2017 à 10h 18







Nozalys a écrit :



Ouai, allez, interdisons aux conducteurs de parler à leurs passagers. C’étaut du grand n’importe quoi ces études, je me souviens avoir lu des articles détaillant pourquoi le protocole expérimental était bidon de toutes façons.



Par expérience personnelle répétée maintes fois, discuter avec ma passagère me maintiens en éveil et en alerte beaucoup plus longtemps que lorsqu’elle roupille à mes côtés. Surtout le soir.





Si tu avais lu correctement mon message, tu aurais compris que justement, je disais que les études ont montré que les conversations avec un passager ne sont pas problématiques, j’ai pas dit qu’il faut les interdire…



Après, si tu as besoin de discuter avec quelqu’un pour te tenir éveiller, c’est que tu n’aurais sans doute pas dû prendre le volant dans cet état de fatigue.


Le 02/10/2017 à 17h 03

Il s’agit d’une interdiction aux employeurs pour faire respecter le droit des salariés.

Le 02/10/2017 à 12h 25







Ekouyoja a écrit :



J’ai du mal à comprendre, parler au téléphone et parler au passager selon eux n’engendre pas tous les deux la même inattention. Pour moi parler au passager c’est pire parce que tu regardes le passager de temps en temps.

Après c’est mon avis et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.





Il y a eu des études sur le sujet, et c’est bel et bien pas du tout la même chose.



L’une des principales raisons avancées, c’est que le déficit d’attention dans le cas où on discute avec un passager est en partie compensé par le fait que le passager peut lui aussi repérer des dangers potentiels et les signaler si le conducteur ne les a pas remarqués. Et il est aussi en mesure de détecter quand il doit se taire, par exemple à l’approche d’un carrefour réputé dangereux.



De façon plus secondaire, l’effort nécessaire pour écouter au téléphone n’est pas la même

que pour écouter une personne qu’on a à côté de soi, en raison de la

différence de qualité du son.


Le 03/10/2017 à 17h 46







stnt06 a écrit :



D’ailleurs a ce propos , j’ai un Raspberry Pi avec une cle USB DVB-T qui me sert de serveur TV que je peut&nbsp; regarder sur tout ce qui a un ecran chez moi avec Kodi.. redevance ou pas ? (C’est pas ca qui va m’empecher de dormir)





Je dirai non. C’est un ordinateur avec une carte tuner, donc officiellement exempté (toujours pas compris pourquoi ^^).


Le 02/10/2017 à 19h 11







choukky a écrit :



L’état se fout que tu soit éligible ou que tu n’ais pas d’antenne, si appareil avec tuner relié avec un moniteur, alors il y a redevance.






Ce serait trop simple si c'était ça ^^ La définition "tuner + écran" est en trop large, puisqu'un PC équipé d'une carte tuner n'est pas taxable (va comprendre pourquoi...).     





“les micro-ordinateurs munis d’une carte télévision permettant la réception de la télévision ne sont pas taxables.” (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F88 )



Et si on va dans les détails, c’est du grand n’importe quoi. Par exemple, un magnétoscope doté d’un tuner, ça rend taxable une installation constituée de ce magnétoscope + un écran plat sans tuner. Mais ce même magnétoscope, si on l’utilise via un PC doté d’un tuner et d’une entrée vidéo, pour utiliser l’écran du PC, ça n’est pas taxable :http://bofip.impots.gouv.fr/bofip/2117-PGP.html


Le 02/10/2017 à 21h 05

J’ai un lecteur qui ressemble beaucoup à celui là, mais d’une autre marque. Je serai pas surpris que ça soit le même OEM derrière.



Mon constat à l’usage, c’est que ça marche vraiment très bien, il est vraiment très réactif, beaucoup plus que celui de mon portable Dell (modèle 2017).



Pour le stockage de la signature de l’empreinte, je n’ai rien vu dans la doc qui dise qu’elle est stockée dans la clé. Donc par défaut je suppose qu’elle ne l’est pas.



&nbsp;&nbsp;







fred42 a écrit :



Ce que je ne comprends pas c’est comment un Personal Identification Number peut ne pas être numérique.





En jouant sur les mots, un code alphanumérique, ce n’est rien d’autre qu’un nombre représenté en base 62 <img data-src=" /> (ou autre selon le jeu de caractères utilisé ;-) )


Le 02/10/2017 à 12h 16







cyrano2 a écrit :



Cela ne suffit pas, les écarts au premier tour sont de qq pourcents, largement dans des taux d’erreurs “possible”. Si il y a systématiquement des erreurs, il faudrait tout recompter.&nbsp; Dans ce cas, il feront à un “nombre d’erreur acceptable” &nbsp;et le tour est joué.






Justement, non, quelques pourcent c'est largement au dessus du taux de fraude qui pourrait passer inaperçu avec un décompte partiel. Cf mon message du 30/09 à 20h18 où j'ai fait les calculs précis.     





Une fraude sur 1% des bulletins (donc qui au maximum donne +1 point à un candidat, à supposer qu’il soit le seul bénéficiaire de cette fraude, et retire un point à la somme des autres candidats), sur un bureau, en vérifiant 100 bulletins (quelque soit la taille du bureau) tu as déjà moins de 36.6% de chances qu’elle passe inaperçu (si le bureau a plus de 100 votants bien sûr, sinon c’est 0% ^^). Bien sûr, à l’échelle d’un bureau, 36.6% de chances de rater une fraude, c’est énorme. Mais à l’échelle de 70 000 bureaux, c’est une autre affaire.



Avec 36.6% de chances de rater une fraude de 1% sur un bureau, tu n’as plus que 13.4% de chances de la rater sur deux bureaux, 4.9% de la rater sur trois bureaux, etc… Dès 5 bureaux tu as moins de 1% de chances de la rater. À 10 bureaux, tu tombes à 0.004% de chances… Alors avec 70 000 bureaux, on peut bel et bien considérer qu’il n’y a aucune chance qu’une fraude sur 1% des votes passe inaperçu en vérifiant 100 bulletins par bureau.



En fait, grâce au très grand nombre de bureau, même en ne vérifiant que dix bulletins par bureau, la probabilité qu’une fraude de 1% passe inaperçu est déjà nulle en pratique. On a 90% de chances qu’elle passe inaperçu sur un bureau, mais dès 44 bureaux on a moins de 1% de chances , à 100 bureaux moins de 0.0027%, etc…



Les probabilités baissent très vite quand on multiplie le nombre de cas indépendants testés.


Le 30/09/2017 à 20h 58







Z-os a écrit :



L’accès à la liste d’émargement est autorisée à tout électeur pendant les dix jours qui suivent une élection.



&nbsp;

Oui, donc pas d’effet réel sur le futur de l’électeur : passé dix jours, il n’y a plus de trace accessible de son vote, sauf pour le Conseil Constitutionnel. Donc un service municipal ne pourra pas traiter ses demandes différemment selon qu’il a voté ou non.

&nbsp;





Z-os a écrit :



Et tu ouvres la porte à des possibilités d’intimidation… Autant supprimer l’isoloir.&nbsp;





Effectivement, mauvaise idée.


Le 30/09/2017 à 20h 23

Tiens d’ailleurs, maintenant que j’y pense, avec ce système on pourrait même envisager un niveau de “vérifiabilité” par l’électeur sans commune mesure avec ce que permet le vote papier…



En effet, aujourd’hui, un électeur ne peut pas avoir la certitude absolue que son bulletin a été pris en compte. Il peut arriver qu’un bulletin soit perdu lors du décompte, abîmé en le sortant de l’enveloppe (ce qui le rend nul si personne ne se rend compte qu’il était intact dans l’enveloppe), etc… Je peux affirmer que ça m’est arrivé au moins une fois : j’ai un jour voté pour un candidat du Partie Pirate, mais dans le décompte final il avait 0 voix sur mon bureau…



Avec le système d’id unique, les préfectures pourraient mettre en ligne les listings des votes enregistrés par les machines, et chaque électeur pourrait donc s’il le souhaite relever l’identifiant de son vote lors du scrutin et aller ensuite vérifier en ligne ce qui a été enregistré pour son vote.

Le 30/09/2017 à 20h 00







Patch a écrit :



Il a choisi de ne pas voter, nuance. Donc non, ca ne revient toujours pas au même.



&nbsp;

Puisque tu commences à devenir désagréable, je vais faire de même : allume tes neurones et relis ce que j’ai dit. J’ai dit que ça revient au même parce que l’impact sur le résultat est strictement le même. Désolé si ça te défrise, mais ton vote blanc a strictement le même effet sur le résultat final qu’une abstentions ou un vote nul. Strictement le même. Certes, tu n’es pas comptabilisé de la même façon parmi les trois compteurs qui ne servent à rien. Mais l’impact sur le résultat final est le même. Allez, je te propose un petit jeu rigolo : prends les résultats d’une élection quelconque et amuses toi à changer la répartition des blancs/nuls/abstentions sans toucher au total. Et regarde ce que ça change sur le résultat. Ah ben oui. Rien.

&nbsp;

D’ailleurs, les “blancs qui ont choisi de ne pas voter”, il étaient jusqu’à peu comptabilisés exactement comme les “cons qui ont rajouté un cœur sur leur bulletin parce qu’ils aiment beaucoup le candidat et qu’ils ne savaient pas que ça le rendait nul”. Hé oui. C’est dire l’importance du truc hein… Et aujourd’hui, celui qui glisse un bulletin Tartempion annoté de la liste des affaires dans lesquelles Tartempion est incriminé, croyant faire un geste militant, pareil, il est comptabilisé comme celui qui a accidentellement écorné son bulletin en le glissant dans l’enveloppe. Il n’y a que lui qui croit que son geste a eu du sens et un quelconque effet.

&nbsp;





Patch a écrit :



Et si tu avais utilisé 2 secondes ce qui te sert de cerveau, tu aurais compris le but de la manoeuvre, au lieu de chercher la débilité en faisant du faux complètement con sur des dates d’une carte d’électeur qui n’est même pas obligatoire… <img data-src=" />&nbsp;





J’ai bien compris le but de la manœuvre : tu veux garder une trace prouvant que tu as voté. L’accès à la liste d’émargement étant extrêmement restreint (Conseil constitutionnel), c’est pas plus une trace que le tampon sur ta carte.





Patch a écrit :



Le but premier de la machine électronique, c’est d’économiser. Donc, sans imprimer. Et toi tu proposes d’imprimer, donc éliminer toute économie possible…&nbsp;





Non. Le but premier de la machine électronique, c’est d’avoir les résultats plus rapidement. Pas les économies sur les bulletins (j’ai donné les chiffres plus haut, sur les élections présidentielles et législatives de 2012, les bulletins représentent moins de 2% du coût global des élections contre plus de 50% pour la propagande électorale, donc le premier poste sur lequel il faudrait travailler pour faire des économies, c’est cette propagande).



Après, dans l’absolu, même sur les bulletins, ce système fait quand même une économie : un bulletin par votant, contre plus d’un bulletin par votant et par choix possible actuellement.



Quand au fait que le système que je propose (enfin pas “je”, comme je l’ai dit plus haut, il est déjà en vigueur à certains endroits, je ne revendique pas la paternité de cette idée, je l’approuve simplement) complexifie le compte, je suis d’accord que ça prend plus de temps pour comptabiliser un bulletin avec ce système qu’avec le système classique. Sauf que comme on n’a besoin de comptabiliser qu’une petite portion des bulletins pour avoir un résultat statistiquement valable (ie être sûr que, si fraude il y a eu, elle est d’une ampleur insuffisante pour influencer le résultat de l’élection), au final on gagne du temps quand même. Et on peut annoncer dès le départ un résultat qui a de très fortes chances d’être définitif. En gros, au lieu d’annoncer des résultats issus de sondages et de quelques bureaux tests, on pourrait immédiatement annoncer le résultat final, accompagné d’un indice de confiance qui augmenterait au fil des décomptes partiels.



Et surtout, le vote électronique est un prérequis indispensable à une vraie évolution du mode de scrutin. Ça fait plusieurs années qu’on expérimente en France des modes de scrutins alternatifs, qui visent notamment à éviter&nbsp; les stratégies de “vote utile”, où des gens qui ont une préférence pour le candidat A votent pour B parce que les sondages prévoient un second tour avec B ou C contre D et qu’ils ne veulent surtout pas de C ou D (toute ressemblance avec une présidentielle ayant eu lieu récemment est purement fortuite). Je pense notamment à des systèmes de votes à point (l’électeur dispose de n points qu’il peut répartir comme il le veut entre les différents candidats, et celui qui a le plus de points l’emporte), par classement (électeur classe l’ensemble des candidats par ordre de préférence), par approbation (l’électeur indique pour chaque candidat s’il l’approuve ou le désapprouve), par note (l’électeur donne à chaque candidat la note -1, 0 ou 2, celui qui a le plus de points gagne). Mais ces modes de scrutin alternatifs, plus “robustes” face aux sondages, ils sont beaucoup plus longs et compliqués à comptabiliser. Un système électronique qui permettrait de diviser par 10 le volume de bulletins à comptabiliser tout en gardant un résultat statistiquement très fiable est donc un préalable indispensable.


Le 30/09/2017 à 19h 20







Patch a écrit :



S’abstenir, c’est ne pas voter. Voter blanc ou nul, c’est faire le choix du non-choix.

Si c’était la même chose, ca serait compté avec. Ca ne l’est pas, ce n’est donc pas la même chose. CQFD. &nbsp;&nbsp;



&nbsp;

Je n’ai pas dit que c’est la même chose. J’ai dit que ça REVIENT au même. Parce que ça a beau être compté séparément, l’impact sur le résultat est STRICTEMENT le même : inexistant.&nbsp; Tout ce qu’on retient, c’est le score de chacun en % des suffrages exprimés. Et éventuellement leur score en % des inscrits quand on veut minorer un résultat et prétendre qu’il est pas légitime… C’est tout.



Et je ne vois pas en quoi voter blanc ou nul c’est plus “faire le choix du non-choix” que s’abstenir. Celui qui s’abstient, il a aussi fait le choix du non-choix, puisqu’il a choisi de s’abstenir. Sauf qu’il s’est pas cassé le cul à se déplacer pour rien. C’est tout.

&nbsp;





Patch a écrit :



Un timbre à date me fait signer sur les listes des votants? Tu es vraiment sûr de ta connerie là?





Avant de m’accuser de dire des conneries, je t’invite à te remémorer tes propres propos. Tu avais dit “Sans compter ceux comme moi qui y vont juste pour voir leur carte d’électeur tamponnée, pour des raisons parfaitement personnelles”. Donc je persiste. Si tu y vas juste pour ça (c’est pas moi qui le dit, c’est toi !), un timbre à date te donnera strictement le même résultat.

Quand à la liste, que tu l’ai signée ou non, ça ne peut pas changer grand chose à ton futur : les listes ne sont pas conservées pas les municipalités. Elles sont transmises aux préfectures en même temps que les bulletins et les PV de scrutin, et moins de deux semaines après le scrutin elles sont archivées aux archives du département et seul le Conseil constitutionnel peut demander à y accéder. Donc à moins que tu ais souvent affaire au CC et qu’ils aient l’idée saugrenue de vérifier si tu votes avant de répondre à tes demandes, avoir signé ou non la liste d’émargement n’a aucun impact…

&nbsp;





Patch a écrit :



il n’y a aucun moyen de vérifier qu’il n’y a eu fraude sans faire perdre le secret du vote (et encore, même en le perdant il y aura toujours des risques)





Avec l’impression d’un bulletin doté d’un identifiant unique aléatoire, il est possible de vérifier à postériori l’intégralité des votes si besoin. Il suffit de compter les bulletins, comme si ça avait été un vote papier. Et il n’y pas de perte du secret du vote, un identifiant aléatoire ne pouvant être rattaché à un électeur.


Le 30/09/2017 à 18h 18







fred42 a écrit :



Tu n’avais pas dit qu’il était aléatoire.





Si : “Autre solution, chaque vote enregistré sur la machine est associé à un numéro unique aléatoire” (23/09/2017, 16h19)



fred42 a écrit :



Mais dans ce cas à quoi il sert ?&nbsp;





&nbsp;À contrôler la cohérence du résultat du vote électronique. À la fin du vote, la machine sort un listing avec pour chaque choix la liste des identifiants aléatoires. On tire ensuite au hasard x % des bulletins qui sont dans l’urne, et on contrôle sur le listing de la machine que le numéro de chaque bulletin tiré est bien dans la liste correspondant au choix imprimé sur le bulletin.





Je ne sais pas si tu as fait des statistiques en math, mais ce n’est pas linéaire. Autant on peut se contenter de tirer au sort un millier de personne pour estimer avec 1 ou 2 % le vote de 20-30 millions de personnes (et encore, ils se servent de la méthode des quotas pour sécuriser), autant quand ça descend à quelques centaines ou un millier de votant (par bureau de vote), utiliser 10 % ne suffit pas.



Mais il ne s’agit pas d’utiliser seulement 10% des bulletins pour estimer le résultat du vote, mais seulement de vérifier la validité de 10% des bulletins. On ne fait donc pas une comparaison entre les résultats sur 10% des bulletins et le résultat global de la machine, mais une comparaison entre les résultats sur 10% des bulletins et le résultat donné par la machine pour ces mêmes 10% de vote (d’où l’identifiant unique marqué sur chaque bulletin, qui permet de vérifier le choix pris en compte par la machine pour le même vote)



Tu prends 10% des bulletins, et tu compares ce qu’il y a dessus avec ce qu’il y a sur le listing de la machine. Si tu n’as aucun écart sur 10% des bulletins, la probabilité que le listing de la machine soit truqué par rapport à ce qu’il y a sur les bulletins est très faible.



Par contre effectivement, mon calcul était faux (correct uniquement dans le cas où il y a 100 bulletins)…



Si je me trompe pas cette fois, la probabilité de ne tirer aucun bulletin correspondant à un vote truqué par la machine si 1% des votes sont truqués, avec n bulletins au total, c’est (n-1%)!/n!*(n-p)!/(n-1%-p)! : c’est le produit des nombres de (n-1% à n-1% - p + 1) divisé par le produit des nombres de (n à n - p + 1). En “haut”, les nombres successifs de bulletins correspondant à des votes non fraudés dans les bulletins pas encore tirés, en “bas” les nombres successifs de bulletins non tirés.



Pour simplifier le calcul, on peut partir du principe que cette probabilité est inférieure à ((n-1%)/n)^p (ça c’est la probabilité si à chaque tirage on remet tous les bulletins en jeu, ce qui fait que la probabilité de tirer un bulletin truqué à un tirage est constante, alors qu’elle croit quand on enlève au fur et à mesure les bulletins déjà tirés).



((n-1%)/n)^p, ça fait donc 0.99^p.



Ce qui donne en fonction du nombre de bulletins tirés :




  • moins de 90.4% de chances qu’une fraude à 1% passe inaperçu sur 10 bulletins,

  • moins de 36.6% de chances qu’une fraude à 1% passe inaperçu sur 100 bulletins,

  • moins de 13.4% de chances qu’une fraude à 1% passe inaperçu sur 200 bulletins,

  • moins de 4.9% de chances qu’une fraude à 1% passe inaperçu sur 300 bulletins.



    On voit donc que sur un bureau avec 1000 votants, en tirant 10% des bulletins on a quasiment 2 chances sur 3 de détecter une fraude à 1% sur ce bureau.





    OlivierJ a écrit :



    Tu as des compétences en probabilités et statistiques ?





    J’en ai fait pendant mes études. Suffisamment pour être sûr de mon coup pour dire que si la probabilité de ne pas détecter une fraude sur 1 bureau est de 0.1, alors celle de ne pas détecter une fraude sur n bureaux est de 0.1^n. Il s’agit d’évènements indépendants, donc la probabilité qu’ils arrivent tous en même temps est le produit des probabilités unitaires (un peu moins sûr de mon coup pour les autres probas au dessus, mais assez confiant quand même).



    Bien entendu, cela est valable uniquement dans l’hypothèse d’une fraude généralisée, sur l’ensemble des bureaux. Si la fraude est ciblée sur certains bureaux, c’est clair que ce n’est plus valable. Mais pour qu’une fraude ciblée sur certains bureau ait un effet significatif sur le résultat du vote, il faut que le taux de votes frauduleux sur ces bureaux soit largement au dessus de 1%… 1% sur l’ensemble des bureaux, ça permet d’augmenter d’un point le résultat d’un candidat (et de diminuer d’autant le total des autres), mais si la fraude ne se fait que sur des bureaux représentants 10% des votes, pour avoir un impact de 1 point sur le résultat final il faut truquer 10% des votes de ces bureaux… Et du coup, la probabilité que la fraude ne soit pas détectée sur les bureaux contrôlés devient beaucoup plus réduite… S’il y a 10% des fraude sur un bureau ayant 1000 votants, en comptant 10% des bulletins la probabilité de ne pas détecter la fraude tombe à moins de 0.002%.





    OlivierJ a écrit :



    (par timbre, tu as voulu dire tampon, je suppose)





    C’est synonyme dans ce cas. Un “timbre à date”, c’est un tampon servant à tamponner la date :-)


Le 30/09/2017 à 12h 47







Patch a écrit :



Justement, si.

Ne pas vouloir faire de choix, c’est aussi un choix.





Voter blanc, nul ou s’abstenir, ça revient strictement au même à ce niveau : c’est ne pas faire de choix.



Et même si désormais les blancs et nuls sont comptabilisés séparément, en pratique, abstention, blanc ou nul c’est strictement la même chose, dans les trois cas ça n’aura absolument AUCUNE incidence sur le résultat de l’élection, puisque seuls comptent les suffrages exprimés. Si tu as 80 voix pour A, 120 pour B, 300 nuls, 500 blancs et 1000 abstentions, B sera déclaré vainqueur avec un score de 60%. Exactement comme s’il y avait eu 80 vois pour A, 120 pour B et 1800 abstentions ou 80 voix pour A, 120 pour B, 1000 nuls, 700 blancs, 100 abstentions, ou encore 800 voix pour A et 1200 pour B sans aucune abstention, blanc ou nul…



Celui qui vote blanc ou nul plutôt que de s’abstenir, il ne fait rien d’autre que perdre son temps et faire perdre du temps à ceux qui comptent, mais aussi aux autres votants…



Et si c’est juste pour avoir ton tampon sur ta carte d’électeur, tu ferrais mieux de t’acheter un timbre à date. Ça coûte 5€ et ça fera aucune différence, vu que c’est uniquement ça qu’ils tamponnent sur la carte, c’est pas un tampon officiel impossible à reproduire, et ça n’a de toute façon strictement aucune valeur légale, c’est purement informatif, mais avec une information de faible valeur, puisque tu peux avoir un tampon sans avoir voté, tu peux avoir voté sans avoir reçu de tampon (vu que la carte d’électeur n’est pas obligatoire pour voter), et à priori tu peux même voter alors que ta carte est déjà tamponnée (c’est la liste d’émargement qui fait foi, même si ta carte est déjà tamponnée, on ne devrait pas te refuser de voter si tu n’as pas encore émargé).



Après, si tu tiens à pouvoir voter blanc, je vois pas en quoi le vote électronique poserait problème. Il suffit que la machine propose un choix “blanc”. Et si ça en amuse certains, un clavier pour taper le texte que tu veux et pouvoir faire un bulletin num <img data-src=" />