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2520 commentaires

Le 24/08/2018 à 09h 45

Moi, le prestataire interphone de ma résidence m’a supprimé de la liste des résidents dans l’interphone. Et c’est pas plus mal. De toute manière, interphone ou pas, on entre comme dans un moulin, c’est pas un interphone qui empêche les malotrus d’entrer.

Le 23/08/2018 à 06h 02

ça, c’est ce que pourraient dire les avocats de Fnac-Darty pour ne pas respecter les engagements donnés. Pour rappel, l’objectif d’une fusion d’entreprises, c’est de devenir plus fort sur un marché. Et l’objectif des règles de la concurrence, c’est d’éviter (théoriquement) que le marché soit contrôlé par un seul acteur.




    Je vais me faire l'avocat général contre Fnac-Darty : qu'est-ce qu'il se passe si Fnac-Darty ne remplit pas ses engagements pris ? Fnac-Darty paie une amende (c'est ce qu'il s'est passé) et renégocie ses engagements auprès de l'ADLC ou auprès de la justice.  Le mot "engagement" a un sens. Si Fnac-Darty dit une chose à un moment, et que ça ne se réalise pas, c'est pas comme en politique et les promesses électorales, la société fusionnée se prend une sanction (méritée ou pas, c'est à la justice de décider).           






    Extrait du communiqué du 27 juillet 2018 de l'ADLC (en lien dans l'article) :          



“Le respect par l’entreprise de l’ensemble des engagements pris est important. Les engagements sont un tout, permettant de répondre à l’intégralité des problèmes de concurrence identifiés. En ne respectant pas la moitié des engagements, Fnac Darty a porté atteinte à l’équilibre général de la décision et empêché la restauration de l’animation concurrentielle dans plusieurs zones de chalandise, privant les consommateurs d’alternative.




    Pour déterminer le montant de la sanction infligée, l'Autorité a tenu  compte de l'ensemble des circonstances de l'espèce et relevé les efforts qui avaient été mis en œuvre par Fnac Darty au début de la période  d'engagement pour céder les 3 premiers magasins. Elle a considéré en  revanche que, confrontée à des difficultés pour trouver un repreneur  pour les 3 autres magasins, il appartenait à Fnac Darty de prendre  toutes les mesures appropriées pour pouvoir satisfaire à ses  engagements, notamment en sollicitant l'Autorité pour substituer  d'autres magasins à ceux qu'elle n'arrivait pas à céder."

Le 22/08/2018 à 11h 10

D’une certaine façon, ça compense le chiffre d’affaire indûment réalisé grâce au non-respect de l’engagement de cession des magasins visés par l’accord avec l’ADLC. 



Parce que, bon, chaque fois qu’il est question de fusion, tout le monde parle de coûts pour l’entreprise comme si les prix de vente dépendaient uniquement du coût de revient. Et l’augmentation de la marge commerciale, c’est comme si ça n’existait pas (coucou Stéphane Richard qui veut faire croire que le retour à 3 opérateurs de réseaux en France est inévitable pour supporter les coûts de la fibre FTTH).

Le 22/08/2018 à 09h 28

Boulanger va tout racheter : après Saturn en France, bientôt Fnac-Darty ?&nbsp;<img data-src=" />



NB: en lisant ADLC, j’ai compris LDLC et je me suis demandé si LDLC allait racheter Fnac-Darty (soyons fou, l’expansion n’attend pas!).

Le 23/08/2018 à 05h 13

“expérimentations”, ça veut dire quelque chose aussi.

Le 22/08/2018 à 18h 08

Personnellement, j’ai testé quelques temps Liquid Sky, j’en étais satisfait au point de passer de plus en plus de temps dessus (c’est vrai que le prix finissait par être certainement beaucoup moins intéressant qu’un abonnement mensuel), mais j’ai été stoppé par un paiement refusé : j’ai fait l’erreur d’utiliser 2 numéros de CB et le système de paiement n’a pas aimé ça. Impossible par la suite de faire accepter un code envoyé par SMS/mail et le SAV du service était différent du SAV du prestataire de paiement (et tout en anglais). Donc je suis retourné jouer avec mon PC personnel pas assez puissant qui ralenti le jeu (et mes périodes de jeu sont plus courtes qu’avec Liquid Sky).

Le 22/08/2018 à 11h 37

Orange Bank et ING Bank, ou Hello Bank, ou C-zam …, c’est comme Pepsi Cola et Coca-Cola : du soda sucré et acide de couleur marron avec une jolie étiquette rouge ou bleue pour faire la différence.

Le 21/08/2018 à 13h 08

Je crois que le problème d’EDF est beaucoup plus complexe que ça. Je ne vais pas en parler ici parce que je sens que la polémique n’est pas loin (plus de 200 commentaires en un jour sous cet article, Linky est vraiment un sujet sensible en France).

Le 21/08/2018 à 13h 06

Merci champion. J’étais passé à côté de l’info.&nbsp;

Le 21/08/2018 à 12h 58

L’erreur d’Enedis (et de l’Etat), c’est de faire croire que son activité de service public répondra à une obligation légale envers les consommateurs (selon la loi de 2015 relative à “la transition énergétique pour la croissance verte”), alors que l’intérêt économique (d’EDF et de l’Etat, représenté par le gouvernement et la CRE) est certes de développer des smartgrid, des outils de smartcity, smartmobility, etc (à fournir aux collectivités locales), mais surtout en dépit des consommateurs et des contribuables (car ce sont eux qui financent ces systèmes même si on considère qu’il y aura des économies qui seront réalisées). L’abandon de l’afficheur déporté est l’illustration flagrante de l’abandon de l’utilité du Linky pour le consommateur.&nbsp;



Et tout ceci dans un contexte où les individus prennent de plus en plus conscience que EDF producteur d’électricité est menacé de faillite et ne survie dans notre monde libéral uniquement par une recapitalisation régulière de la part de l’Etat. Qu’Enedis obéisse à la loi déjà, et rende des services véritables aux consommateurs, ensuite peut-être que l’opinion publique commencera à adhérer aux projets de l’énergéticien et de sa filiale de distribution.

Le 21/08/2018 à 10h 14







alex.d. a écrit :



&nbsp;Le fournisseur peut simplement changer le contrat unilatéralement. Et si le client n’aime pas les nouvelles clauses, il a 2 mois pour résilier.






  Dans ce cas, j'approuverais qu'Enedis supprime ceci :&nbsp;https://espace-client-particuliers.enedis.fr et toutes ses campagnes publicitaires à destination des consommateurs.

Le 21/08/2018 à 09h 05

Ah non! je n’ai pas dit qu’il fallait contractualiser quoi que ce soit. Je disais seulement que lorsque une chose n’est pas dans le contrat, l’usage habituel de la relation commerciale fait foi.




 &nbsp;Dans le cas du mode de comptage de l'électricité : Si un consommateur voit son compteur fonctionner différemment que l'ancien, il doit être mis au courant et accepter de nouvelles règles (si ce n'est pas écrit dans le contrat, c'est un droit d'usage dont le consommateur peut se prévaloir).        






 &nbsp;Les radars automatiques de vitesse répondent à la même problématique juridique des tickets restaurants : la règle (écrite) existe, et tout le monde la connait. Ne pas obéir à la règle depuis des années ne permet pas de l'annuler.&nbsp;C'est tout ce que je dis.

Le 21/08/2018 à 04h 43

C’est ça, et on a toujours eu le droit de frauder, alors les radars automatiques de vitesse sont aussi illégaux… Arrêtez de dire des bêtises sur le web 2.0, ce serait mieux, il y a d’ailleurs peut-être des façons plus réalistes de contester des procédures automatisées (ça me fait penser à un proche qui a publié hier sur facebook un article d’un obscure écrivain public qui raconte qu’un décret de 2017 ne tiendrait pas compte de la séparation des pouvoirs de Montesquieu, donc la Constitution française en deviendrait caduque). Réveillez-vous, vous êtes dans une Société avec des règles, on ne négocie pas les règles parce que ça n’arrange pas ses petites affaires.

Le 20/08/2018 à 18h 50

Désolé de m’immiscer dans cette conversation, mais si c’est écrit dans le contrat, évidemment que le contrat s’applique en dépit de l’usage : ce qui est le cas des tickets restaurant, la règle était écrite, les commerçants et les détenteurs de tickets restaurant n’obéissaient pas à la règle (écrite) mais doivent le faire contractuellement.



&nbsp;Dans le cas du fonctionnement des compteurs électriques, sauf erreur de ma part, le fonctionnement technique de ces appareils n’a jamais été établi contractuellement. La transparence d’EDF (et d’Enedis) n’est jamais allée aussi loin (on peut en dire autant des “box” des FAI) : donc l’usage prévaut si l’un des contractants s’en réclame lors d’un procès.

Le 17/08/2018 à 18h 00





  • Regarder L’Afrique, terre promise du numérique



    Découverte intéressante, Geraldine de Bastion : « Geraldine is a bilingual political scientist with an intercultural background and international work experience ranging from net political human rights work to management consultancy on a ministerial level in Germany and abroad. »&nbsp;https://konnektiv.de/person/geraldine - « net politics, open technologies, digital media and ICT4D consultant and activist based in Berlin, Germany when not traveling in Africa »&nbsp;twitter.com Twitter

Le 17/08/2018 à 11h 56







Drepanocytose a écrit :



Compliqué a comprendre, non. Par contre a croire, beaucoup plus.

&nbsp;…





Même en croyant la bonne foi du 1er Ministre, la bonne foi n’a jamais été une excuse au respect de la règle pénale : comme dit la doctrine, “nul n’est sensé ignoré la loi”.


Le 17/08/2018 à 11h 50

Je veux qu’elle a du sens : être de bonne foi ne rend pas innocent et la justice seule permet le pardon (référence à votre utilisation du mot “véniel”).

Le 17/08/2018 à 11h 36

“responsable mais pas coupable”, oui moi avoir compris.

Le 17/08/2018 à 09h 50

« Non parce que je crois p… je crois pas que l’information… heu… qui est récoltée… heuuu… soit utilisée à des fins qui ne soient pas autre chose que celles dont on a besoin pour faire notre métier.




  • …&nbsp; Que fait la CNIL ! … Pour nous répondre : Mme la présidente, Isabelle Falque-Pierrotin. … »

  • source -

Le 17/08/2018 à 09h 35







Jarodd a écrit :



La bonne foi, je veux bien, les ministres ont souvent du mal à différencier l’usage de leurs deniers persos des publics (c’est tellement compliqué, quand on dit “servir” l’Etat on peut entendre “se servir”).

Mais l’erreur humaine ? Genre, le mail s’est écrit tout seul, et Schiappa a appuyé sur Envoyer avec son coude, sans faire attention ? Elle croyait que “.gouv.fr” c’était un alias de son gmail ?





“désolé, je m’ai trompé de fichier.”


Le 17/08/2018 à 07h 16







Sirodo a écrit :



Quand on rentre dans l’engrenage de lutte contre les propos “haineux”, on contrevient à la liberté d’expression.

Mais bon, la France, contrairement à des Etats plus respectueux de cette notion fondamentale, est loin d’être un exemple à ce sujet.





Dans la mesure où le web 2.0 donne la parole à ceux qui cherchent à dicter aux autres ce qu’ils doivent exprimer ou pas, l’ennemi de la liberté d’expression est toujours celui qui ne pense pas comme soi.


Le 16/08/2018 à 14h 38







jb18v a écrit :



bah rien que Crimson Tide (USS Alabama), Training Day, Malcom X, Philadelphia <img data-src=" />

et dans une moindre mesure le Livre d’Eli <img data-src=" />



Cette semaine j’irai voir donc Equalizer 2, Papillon mais je réviserai avec l’original avant.

Il y a aussi Sur la plage de Chesil avec Saoirse Ronan mais peu de salles <img data-src=" />





J’avais oublié Uss Alabama (avec Gene Hackman également), c’est du lourd.

Training Day n’est pas mal (le bleu hyper motivé qui s’en prend plein la tête). Un peu dans le même genre de jeune recrue qui cherche à faire ses preuves, il y a Safe House (mais là, le personnage de Denzel Washington est un homme à abattre).

Par contre, le Livre d’Eli, c’est trop biblique pour moi (ça me fait trop penser aux adventistes, millénaristes).


Le 15/08/2018 à 10h 22

Denzel Washington ou le méchant devenu gentil, qui redevient méchant pour être gentil. Voilà résumée la filmographie de cet acteur prestigieux. Personnellement, je ne retiens qu’un seul film avec DW : Man on Fire (mais je suis loin d’avoir vu tous les films avec cet acteur).

Le 14/08/2018 à 08h 59







Lesgalapagos a écrit :



… mais vous ne pouvez malgré tout pas copier ce qui serait illégal. Une magnifique escroquerie légale.






«&nbsp;Une ponction qui frappe les supports vierges (CD, DVD, téléphones, box, tablettes, disques durs, etc.) en contrepartie de la possibilité pour les particuliers de réaliser des copies d’œuvres protégées en se passant de l’autorisation des ayants droit.&nbsp;»     





Il s’agit bien d’une exception au droit d’auteur qui permet de copier des oeuvres achetées pour son propre usage. Ceci-dit, on peut regretter que les montants collectés soient démentiels et remis en cause par si peu de personnes ou institutions.


Le 13/08/2018 à 17h 25

Ce serait une idée de porter plainte contre Facebook ou Twitter pour recel de contrefaçon <img data-src=" />

Le 13/08/2018 à 17h 15

En même temps, un artiste a toujours plaisir de voir ses oeuvres partagées par le grand public (hors cadre commercial). Ce sont les syndicats d’auteurs, les éditeurs, les producteurs qui n’aiment pas le partage et qui ne s’interdisent pas le plagiat et la contrefaçon tant que ça rapporte financièrement.

Le 13/08/2018 à 12h 33

Je suis en train de visionner une vidéo Facebook artisanale qui fait la promotion d’une cause et ça me fait penser à toutes ses images, vidéos plus ou moins militantes qui se réapproprient dans le pire des cas des images ou des vidéos entières. Avec parfois une “source” indiquée qui est un lien vers la plateforme de partage d’où a été pompée la photo ou la vidéo.&nbsp; Autant ne rien indiquer du tout dans ce cas et assumer sa contrefaçon…

Le 13/08/2018 à 12h 10

A priori, si j’ai bien compris, l’exception pédagogique n’exonère pas de rémunérer l’auteur (en France). Il faut apparemment se contenter de l’exception de courte citationsi on souhaite user “gratuitement” d’une oeuvre (de manière partielle et en citant l’origine de l’oeuvre).

Le 12/08/2018 à 13h 29

Merci de l’information.

Le 11/08/2018 à 17h 28

A titre d’exemple, je préfère l’interface de paramétrage de la SFRbox ou de la Bbox Miami à celle de la Freebox (il fallait se connecter à son espace abonné pour paramétrer wifi et routeur, j’imagine que c’est toujours le cas actuellement) et surtout, à celle de la Livebox (le Orange omniprésent me déprime). Mais j’ai bien compris votre avis sur la question de la “technophilie” et si vous avez bien lu mon commentaire précédent, je ne suis pas loin d’en faire la même définition que vous.

Le 09/08/2018 à 19h 28

Effectivement, il y a sûrement plusieurs sortes de technophiles et j’imagine bien que des technophiles sont très attachés aux spécificités et à l’ergonomie de la Freebox. Mais ce que je voulais dire dans mon précédent commentaire, c’est que la Freebox est faite pour le grand public, certes en mettant à disposition des services de technophiles, mais surtout en mettant à disposition de l’ensemble de la famille des services multiples sans besoin d’installations supplémentaires (le “plug&play” comme on dit chez Apple et Microsoft).



De mon expérience personnelle, depuis 2007, je ne crois plus à l’idée très marketée que la freebox serait un outil pour technophiles (chose que je croyais car sur les forums du web, on entendait beaucoup cette idée là avec des internautes qui encensaient la fameuse Freebox), car j’ai rencontré autant de technophiles avec une ligne Orange ou SFR que d’abonnés Freebox qui choisissaient la Freebox car c’était simple et pas cher. AOL, WorldOnLine, Club-Internet et d’autres ont eu intéressé des technophiles, comme Free, et comme Orange avec la fibre aujourd’hui.



D’ailleurs, tous les FAI des années 2000 draguaient les “technophiles” pour deux raisons : 1- à cette époque le quidam n’avait pas besoin d’internet, les premiers clients étaient forcément des gens qui connaissaient internet et ce qu’ils pourraient en faire, 2- les primo-utilisateurs étaient prescripteurs auprès de leur entourage pour leur dire comme c’était bien d’avoir un accès à internet.

Le 08/08/2018 à 19h 55

Ce n’est pas parce que la Freebox offre des services avancés dans le tarif de base, que ça en fait un FAI pour technophiles. Certainement que la Freebox a le mérite de proposer au grand public des services avancés, mais un technophile se contente d’une Fiat 500 pour en faire une Fiat Abarth 595 par lui-même (pardon pour l’analogie bagnolesque pourrie mais indispensable).

Le 06/08/2018 à 21h 01

Je crois que, concernant les chiffres de septembre, c’est tout vu. La seule information intéressante pour les investisseurs, c’est quelle sera cette fameuse nouvelle stratégie commerciale de Free qui permettra de redresser la barre ?

Le 06/08/2018 à 20h 53

Exact, ce n’est pas fortuit : je dirais que c’est le coeur du message que veut faire passer ce communiqué de presse aux actionnaires. Ce communiqué de presse sert à rassurer les investisseurs suite à une baisse importante du cours de l’action Free en bourse et suite à un article de presse financière assez démoralisant, en leur rappelant que la messe n’est pas dite (l’appellation “forfait 4G” rappelle les nouvelles offres Free mobile déjà annoncées, méthode Coué, on croise les doigts, haut les coeurs, restez à l’écoute, … en bref: ne vendez pas!!).

Le 06/08/2018 à 10h 46

il faut dire que Free mobile a basé toute sa stratégie commerciale sur le prix modique (notamment en couplage d’offre quadplay). Depuis quelques mois, les prix (Freebox et Free mobile) montent. Depuis quelques années, l’accès à la fibre est plus facile par Orange que par Free. Donc les clients s’échappent. Ajouté à cela, comme vous dites, une stratégie de convergence fixe+mobile de la part d’Orange depuis près d’un an, et le sort en est jeté.

Le 09/08/2018 à 15h 56

Ce que je comprends de cette phrase, c’est qu’à chaque film Marvel les “vilains”, “anti-héros” deviennent plus puissants à chaque film, et que cette citation de la production du film, incluse dans la phrase de l’article, est un élément de langage superlatif sensé crédibiliser la force démentielle du personnage principal du nouveau film de super-héros encore plus-mieux-bien-plus fort que les précédents. En bref, j’imagine que c’est du cynisme vis-à-vis du marketing du film.

Le 07/08/2018 à 15h 48

Cette semaine, John Malkovitch est le boss d’Hollywood, même si Mark Wahlberg se la joue aussi un peu.

Le 07/08/2018 à 12h 26

Tu vas avoir des problèmes toi” (hommage à Omar Sy et Fred Testot, “SAV des émissions”)

Le 03/08/2018 à 05h 00

C’est pas la question qui m’intéresse. Qui que ce soit qui paie, une plaque nominative digne de ce nom est relativement chère, que je sois propriétaire-occupant ou locataire ou même bailleur ne change pas la donne.

Le 01/08/2018 à 18h 11

Personnellement, mon véhicule était en stationnement gênant, et la Police nationale est venu me chercher à mon domicile (ma voiture était garée à proximité). J’imagine qu’en cas de délit de fuite ou si la police souhaite interroger (ou surveiller, mettre en garde à vue,…) le propriétaire d’un véhicule, c’est plus facile de le trouver en connaissant son domicile.

Le 01/08/2018 à 15h 39

En complément de ce qui est dit dans l’article de Next inpact : La Poste fait du big data avec les données personnelles grâce notamment à sa filiale Mediapostet le terminal du facteur (Facteo).

Le 01/08/2018 à 15h 36

Dans mon cas, le facteur avait décollé la plaque nominative de la boîte aux lettres de mon ancienne adresse. Il a été sympa, il l’avait déposée dans la boîte aux lettres (ça coûte relativement cher à refaire ce genre de plaque), mais j’aurais préféré laisser mon nom sur la BAL pour le syndic.

Le 02/08/2018 à 08h 22

LE RGPD est entré en vigueur en 2018, il faut compter encore quelques mois au minimum pour avoir les premières condamnations (une loi s’applique pour le futur, et il faut enquêter, suivre une procédure avant de condamner). En sachant que seules les infractions les plus graves et les comportements les moins collaboratifs seront sanctionnés au début.

Le 02/08/2018 à 07h 51







Radithor a écrit :



… Et Yahoo! Mail, Laposte.net qui me demandent à chaque inscription de “sécuriser” mon compte …





erreur de ma part: il faut lire “à chaque connexion”, qu’on le demande à l’inscription est plutôt légitime.


Le 02/08/2018 à 07h 49

Depuis quelques mois, régulièrement (3 fois jusqu’à présent), lorsque je me connecte à mon espace client Linky d’Enedis, j’obtiens une page de CGU avec en bas de page un joli bouton couleur anthracite “ACCEPTER”. Aucun bouton&nbsp; “refuser” et il faut accepter les CGU pour avoir l’occasion de pouvoir résilier son compte.



Et demander à Enedis le pourquoi du comment, s’il s’agit de nouvelles CGU ou non, etc, est peine perdue (on sait seulement répondre que Linky répond aux exigences du RGPD et de la loi de 2015 sur “la transition énergétique pour la croissance verte”).

Le 02/08/2018 à 07h 39







Jarodd a écrit :



Tout est fait pour qu’on clique sur “J’accepte tout” rapidement, sinon on n’accède jamais au contenu. C’est une véritable plaie de refuser, ça prend des plombes. Je vais essayer l’extension, tout initiative est bonne à prendre (mais si j’ai bien compris, cela ne fonctionnera pas avec un site n’utilisant pas Quantcast).





Moi, c’est le popup-in qui invite à s’inscrire à la newsletter du site web qui m’énerve le plus. Le site quechoisir.org en est l’illustration, le pire étant la fenêtre popup-in invitant à s’inscrire quand on consulte une page facebook.com. Et Yahoo! Mail, Laposte.net qui me demandent à chaque inscription de “sécuriser” mon compte en offrant mon numéro de téléphone, c’est hallucinant comme on prend l’utilisateur pour un mouton qu’il faut diriger dans le bon sens de la marche.


Le 01/08/2018 à 21h 29

Oui, l’assurance maladie est privatisée et mise en concurrence entre mutuelles/assurances santé (d’ailleurs, maintenant, à chaque acte médical, il faut payer 1€ ou 0,50€ à la CPAM: on paie la Sécurité Sociale alors qu’elle est sensée mutualiser nos frais de santé). Demain, ce sera le tour des régimes retraite puisqu’ils commencent à être en déficit chronique : retraite par capitalisation pour tout le monde (ceux qui ne peuvent/veulent pas payer se contenteront du minimum retraite octroyé par ce qu’il restera de l’assurance retraite de la Sécurité Sociale).

Le 01/08/2018 à 09h 28







Nenesse45 a écrit :



couleur orange, tête de lion, banque ING Direct ?





<img data-src=" />


Le 01/08/2018 à 09h 16

Je viens d’installer Brave sur Windows 10 et ça me fait vraiment penser à Opera sans l’apparence de Chromium. Concernant la rémunération des sites visités, il faut acheter des crypto-monnaies avec des dollars US (si j’ai bien compris) et le fait que le système de rémunération soit en béta test ne m’engage pas à aller plus loin dans l’expérience.

Le 31/07/2018 à 08h 27







Vincent_H a écrit :



Pour placer un contexte et expliquer pourquoi il n’est resté que très peu de temps à la tête de Mozilla, ce n’est clairement pas le sujet de l’article.









Jarodd a écrit :



Et alors ? Ca resitue le personnage, certains ne sont pas familiers avec son nom. Est-ce que cette phrase a pour but de débattre du mariage homo ? Cette anecdote (car ç’en est une ici, pour plus de détail il y a un lien vers l’actu d’origine), c’est 100 signes sur un papier qui en compte plus de 22 500. Pourtant dans les commentaires c’est 50% du sujet, et ça continue à dériver. De temps en temps un message perdu qui parle du navigateur…&nbsp;



Je sais que c’est l’été, qu’on n’a pas beaucoup d’actu informatique à se mettre sur la dent, mais franchement les avis de truc ou machin sur le mariage homo, ON S’EN TAPE. Pour discuter de ça, il y a le forum, ou les commentaires de Libé. Moi je viens ici pour avoir des avis sur ce navigateur, car l’actu m’a donné envie de l’essayer ce soir, donc je suis preneur de retours (je lis même les avis sur l’installation sous Windows alors que je ne l’utilise pas !), et avant que le #6 dérive, c’était très intéressant.





Désolé, j’ai un peu exagéré. J’ai vu dans cette introduction une allusion à un éventuel débat politique en Californie qui opposerait 2 visions philosophiques : grosso modo, les démocrates/libertariens (Google/Apple/Mozilla) VS les républicains et une conception plus hiérarchisée des rapports sociaux-économiques et communautaires (le mariage entre personnes de même sexe pouvant être considéré comme un épiphénomène d’une divergence politique). Cela-dit, après réflexion, j’imagine que dans l’Ouest américain, les discussions au sujet du mariage sont probablement aussi tranchées et binaires qu’en France (et que ce n’est certainement pas le sujet de l’article).