Bonjour, alors non Google ne fait pas appel de la décision de la CNIL puisque c’est impossible (décision administrative) mais fait un recours juridique auprès du Conseil d’État de cette décision. Ce qui n’est pas du tout pareil :
Jugement en droit pas sur le fond
Pas d’effet suspensif
Pas d’impossibilité de sanctions pénales ou de recours civils en dommages-intérêts.
Il faut déroulé le CV de Marie Laure Denis jusqu’au bout et pas que celui de son mari. C’est aussi une ancienne de l’ARCEP. Ou notamment elle avait travaillé sur l’arrêt de l’accord d’itinérance entre Orange et Free. Donc moins orienté gouvernance du numérique peut-être mais pas forcément moins technique.
Aucun appel c’est une décision d’une Autorité Administrative Indépendante pas une décision de justice. Ce qui est expliqué dans l’article c’est que Google peut contester cette décision devant le Conseil d’État.
Les faits vu la date relève du règne de l’ancienne loi donc les sanctions sont celles de l’ancienne loi. Mais effectivement le chiffre d’affaire de la société était d’environ 800 000 euros en 2016. La sanction du RGPD pourrait atteindre je pense 30000 euros, 4% du chiffre d’affaires.
10 commentaires
Le 03/02/2020 à 17h47
Plus simple c’est l’Assemblée Nationale qui a le dernier mot.
Le 24/06/2019 à 11h42
Attaque très classique et au final très efficace. On oublie souvent la sécurité physique pour contrer les attaques cyber et c’est une grave erreur.
Le 15/02/2019 à 10h28
22,5 était l’amende pour Google, celle de Facebook avoisinerait plusieurs milliards.
Le 13/02/2019 à 10h24
Vu le temps de détection des attaques sans supervision c’est plus que possible. On avoisine facilement plusieurs heures.
Le 24/01/2019 à 12h57
Bonjour, alors non Google ne fait pas appel de la décision de la CNIL puisque c’est impossible (décision administrative) mais fait un recours juridique auprès du Conseil d’État de cette décision. Ce qui n’est pas du tout pareil :
Le 22/01/2019 à 14h47
Il faut déroulé le CV de Marie Laure Denis jusqu’au bout et pas que celui de son mari. C’est aussi une ancienne de l’ARCEP. Ou notamment elle avait travaillé sur l’arrêt de l’accord d’itinérance entre Orange et Free. Donc moins orienté gouvernance du numérique peut-être mais pas forcément moins technique.
Le 22/01/2019 à 14h38
Vu le contenu de la décision de la CNIL c’est d’ailleurs directement adressé à tout le monde :
“Or le consentement n’est « univoque », comme l’exige le RGPD, qu’à la
condition que l’utilisateur effectue un acte positif (cocher une case
non précochée par exemple). ” Je voudrais que nombre de sites encadrent
et affichent partout cette phrase pour comprendre le problème.
Le 22/01/2019 à 14h35
Aucun appel c’est une décision d’une Autorité Administrative Indépendante pas une décision de justice. Ce qui est expliqué dans l’article c’est que Google peut contester cette décision devant le Conseil d’État.
Le 18/01/2019 à 12h09
On ne fait que masquer les choses. Le code malveillant est toujours présent.
Le 21/09/2018 à 13h47
Les faits vu la date relève du règne de l’ancienne loi donc les sanctions sont celles de l’ancienne loi. Mais effectivement le chiffre d’affaire de la société était d’environ 800 000 euros en 2016. La sanction du RGPD pourrait atteindre je pense 30000 euros, 4% du chiffre d’affaires.