Bonjour, alors non Google ne fait pas appel de la décision de la CNIL puisque c’est impossible (décision administrative) mais fait un recours juridique auprès du Conseil d’État de cette décision. Ce qui n’est pas du tout pareil :
Jugement en droit pas sur le fond
Pas d’effet suspensif
Pas d’impossibilité de sanctions pénales ou de recours civils en dommages-intérêts.
Il faut déroulé le CV de Marie Laure Denis jusqu’au bout et pas que celui de son mari. C’est aussi une ancienne de l’ARCEP. Ou notamment elle avait travaillé sur l’arrêt de l’accord d’itinérance entre Orange et Free. Donc moins orienté gouvernance du numérique peut-être mais pas forcément moins technique.
Vu le contenu de la décision de la CNIL c’est d’ailleurs directement adressé à tout le monde :
“Or le consentement n’est « univoque », comme l’exige le RGPD, qu’à la
condition que l’utilisateur effectue un acte positif (cocher une case
non précochée par exemple). ” Je voudrais que nombre de sites encadrent
et affichent partout cette phrase pour comprendre le problème.
Le
22/01/2019 à
14h
35
Aucun appel c’est une décision d’une Autorité Administrative Indépendante pas une décision de justice. Ce qui est expliqué dans l’article c’est que Google peut contester cette décision devant le Conseil d’État.
Les faits vu la date relève du règne de l’ancienne loi donc les sanctions sont celles de l’ancienne loi. Mais effectivement le chiffre d’affaire de la société était d’environ 800 000 euros en 2016. La sanction du RGPD pourrait atteindre je pense 30000 euros, 4% du chiffre d’affaires.
10 commentaires
Cyberhaine : le Sénat poursuit son forcing face à la proposition de loi Avia
03/02/2020
Le 03/02/2020 à 17h 47
Plus simple c’est l’Assemblée Nationale qui a le dernier mot.
NASA : durant 10 mois, des pirates ont dérobé 500 Mo de données via un Raspberry Pi
24/06/2019
Le 24/06/2019 à 11h 42
Attaque très classique et au final très efficace. On oublie souvent la sécurité physique pour contrer les attaques cyber et c’est une grave erreur.
Facebook négocierait une « amende de plusieurs milliards de dollars » avec la FTC
15/02/2019
Le 15/02/2019 à 10h 28
22,5 était l’amende pour Google, celle de Facebook avoisinerait plusieurs milliards.
VFemail piraté : l’infrastructure et toutes les données ont été effacées
13/02/2019
Le 13/02/2019 à 10h 24
Vu le temps de détection des attaques sans supervision c’est plus que possible. On avoisine facilement plusieurs heures.
Google va attaquer sa sanction de 50 millions d’euros infligée par la CNIL
24/01/2019
Le 24/01/2019 à 12h 57
Bonjour, alors non Google ne fait pas appel de la décision de la CNIL puisque c’est impossible (décision administrative) mais fait un recours juridique auprès du Conseil d’État de cette décision. Ce qui n’est pas du tout pareil :
L’Élysée veut nommer Marie-Laure Denis à la CNIL et Roch-Olivier Maistre au CSA
21/01/2019
Le 22/01/2019 à 14h 47
Il faut déroulé le CV de Marie Laure Denis jusqu’au bout et pas que celui de son mari. C’est aussi une ancienne de l’ARCEP. Ou notamment elle avait travaillé sur l’arrêt de l’accord d’itinérance entre Orange et Free. Donc moins orienté gouvernance du numérique peut-être mais pas forcément moins technique.
RGPD : pourquoi la CNIL a infligé 50 millions d’euros de sanction à Google
22/01/2019
Le 22/01/2019 à 14h 38
Vu le contenu de la décision de la CNIL c’est d’ailleurs directement adressé à tout le monde :
“Or le consentement n’est « univoque », comme l’exige le RGPD, qu’à la
condition que l’utilisateur effectue un acte positif (cocher une case
non précochée par exemple). ” Je voudrais que nombre de sites encadrent
et affichent partout cette phrase pour comprendre le problème.
Le 22/01/2019 à 14h 35
Aucun appel c’est une décision d’une Autorité Administrative Indépendante pas une décision de justice. Ce qui est expliqué dans l’article c’est que Google peut contester cette décision devant le Conseil d’État.
Trend Micro : la régie Adverline (La Poste) a été utilisée pour attaquer 277 sites d’ecommerce français
18/01/2019
Le 18/01/2019 à 12h 09
On ne fait que masquer les choses. Le code malveillant est toujours présent.
Dans une sanction, la Cnil rappelle la sensibilité de la biométrie au travail
21/09/2018
Le 21/09/2018 à 13h 47
Les faits vu la date relève du règne de l’ancienne loi donc les sanctions sont celles de l’ancienne loi. Mais effectivement le chiffre d’affaire de la société était d’environ 800 000 euros en 2016. La sanction du RGPD pourrait atteindre je pense 30000 euros, 4% du chiffre d’affaires.