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sr17

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Le 25/03/2016 à 19h 06



Pour infecter son ordinateur, il suffit de lancer la pièce jointe et, même s’il ne se passe rien, c’est déjà trop tard.





Sérieux, il y a encore des gens qui tombent dans ce vieux piège <img data-src=" />

Le 25/03/2016 à 18h 56







OlivierJ a écrit :



Je ne pige pas votre obstination à ce sujet…







Pour être franc, je pense que c’est typiquement le genre de considération dont les gens se foutent totalement en ce moment.



Dans la vraie vie, la perte d’influence économique de la France aboutit au fait que l’anglais s’impose de plus en plus par le monde de l’entreprise.



Au train ou vont les choses, le Français sera bientôt une langue de musée.





Ce n’est pas moi qui décide des usages en français, et de ce qui est considéré comme entièrement correct ou comme discutable.





Alors si tu trouves que mon français est discutable, je n’ose même pas t’imager discuter avec des jeunes de banlieue ou des français de la campagne.



Tu serais choqué de voir ce qu’ils en font de ton “bon français”. <img data-src=" />



Et ce que je tiens de personnes qui ont fait des études littéraires et linguistiques poussées, c’est que le bon usage de la langue n’a jamais été décidé par personne. C’est le peuple qui crée l’usage d’un mot, pas les académiciens.



Mieux, un simple voyage dans différentes régions françaises te convaincra que l’usage des mots varie très sensiblement suivant les régions.





NB : Sondage dans le bureau des architectes techniques (4 personnes) : tout le monde dit résoudre





Que veux tu, ici nous sommes principalement des informaticiens.



Ca fait des décennies qu’on emmerde la commission de terminologie et le système de mesure internationale, on ne va quand même pas se refaire <img data-src=" />


Le 25/03/2016 à 17h 52







OlivierJ a écrit :



Parce que c’est faire comme si on ne pouvait pas s’occuper de PLUSIEURS problèmes en même temps. Le gouvernement n’est pas composé que d’une personne qui s’occupe de tout.







Les mots c’est bien, constater les résultats, c’est mieux.



S’occuper de tout, sauf du principal, c’est un travers bien connu.



Je pense que la classe politique devrait être renouvelée avec des gens qui viennent d’horizons plus divers, notamment de milieux ou la notion d’objectifs, de gestion des priorités et de résultats ont un vrai sens.





Voir des gens à chaque fois débarquer avec leur “mais pourquoi on s’occupe pas de tel problème à la place”, c’est lassant.





Pour beaucoup de Français, le problème c’est de savoir comment ils vont nourrir leurs enfants à la fin du mois.



Nos “élites” ne semblent effectivement pas vivre dans le même monde et ne comprennent visiblement pas pourquoi les français sont mécontents.



La encore, la classe politique doit être renouvelée pour intégrer des gens qui ont été au moins une fois dans leur vie au SMIC ou au RSA.





Oui c’est sûr que rien ne change jamais, aucune loi <img data-src=" /> .





Depuis plus de 30 ans, le chômage augmente de manière continue et la situation économique se dégrade inexorablement.



Au final, c’est avec le recul qu’on peut réaliser le peu de changements réels qui ont été vraiment entrepris pour faire évoluer le système français.



A chaque alternance, les politiques ont vendu du changement, mais au delà de la com, des beaux discours et des mesures poudre-aux-yeux, il n’y a pas eu grand chose de concret.





C’est pas “le monde politique”, c’est “le monde” qui a une grosse inertie. En plus en France c’est presque impossible de réformer en profondeur, il y a toujours des gens pour manifester (manifester ça peut être bien, mais faut voir sur quoi).





En même temps, les français ont t’ils tort de manifester quand les seules mesures que le monde politique propose vont vers toujours plus de précarité et de misère ?



Que vous ayez voté à gauche ou a droite, c’est toujours la même impression que c’est le MEDEF qui est aux commandes.



Le peuple n’est pas idiot, les Français comprennent bien que la classe politique n’a absolument aucun projet d’avenir et qu’elle navigue à vue. Aucun projet politique, aucun projet économique.



Et si on veut parler d’inertie, que dire de l’aboutissement des travaux d’une vie de la classe politique : le super mammouth européen, un véritable chef d’oeuvre d’inertie, de bureaucratie, d’immobilisme ou la moindre décision ambitieuse se heurte éternellement aux divisions insolubles d’une pléthore de pays.





Tu confonds tout, moi je parlais du droit d’auteur, et ce n’est pas une exception que de faire respecter ses droits d’auteur (livre, musique, film, scénario, etc.), et la plupart des auteurs ne sont pas spécialement riches.





Au moins une chose sur laquelle nous sommes d’accord, c’est que la plupart des créateurs ne sont pas riches.



Tout ce système de propriété intellectuel ne sers qu’une petite minorité : quelques star connues, quelques auteurs à succès, une poignée de scénaristes célèbres…. et surtout quelques grandes multinationales.



Pour les autres, la protection de la création intellectuelle est principalement une source de dépense, de perte de temps et de démarches inutiles… sans aucun retour financier.



De plus en plus de jeunes créateurs s’inscrivent maintenant dans une nouvelle tendance qu’on pourrait qualifier de “post-propriété intellectuelle”. Ils vivent uniquement des retours de la célébrité que leur apporte une oeuvre diffusée gratuitement.



Pour ma part, j’ai cessé d’entretenir ce système depuis bien longtemps en plaçant toutes mes créations logicielles dans le libre.





Je suis super convaincu, merci.





Non, tu ne veux pas être convaincu, nuance. Je suis pragmatique, j’économise mon temps.





C’est toléré mais c’est super moche, et quelqu’un qui parle bien français ne le dira jamais.





En général, ceux qui pensent “parler bien français” sont des gens qui ont une vision plutôt conservatrice de la langue.



Rappelons que même si ça fait chier les élites, c’est le peuple qui façonne l’évolution des langues.



Dans la conversation, “il solutionne” se dit beaucoup mieux (et fait plus joli) que “il résout”, ce qui explique pourquoi ce terme est très utilisé.


Le 24/03/2016 à 18h 15







OlivierJ a écrit :







Dans ta dernière phrase, tu recommences avec le propos, je ne vais pas me répéter en quoi c’est une vision étroite… (sans parler des “boutons de portes” ??)







En quoi ce serait une vision étroite de penser qu’il faut d’abord s’occuper de problèmes principaux avant de consacrer du temps au subalterne ?



Peut être manque t’il à beaucoup de nos élus une vraie expériences dans le monde du travail et d’avoir vécu dans les mêmes conditions que les français qu’ils prétendent représenter.





Sinon, si tu as des solutions magiques, vas-y ça intéresse du monde.





Aussi étonnant que cela te paraisse, beaucoup de gens ont travaillé à analyser les causes des problèmes actuels et pour imaginer des solutions.



Mais le monde politique a toujours fonctionné de la même façon : ne rien changer tant que c’est possible.





Je trouve hallucinant que tu n’aies pas été capable de comprendre ce que j’ai indiqué dans mon commentaire précédent, tu répètes tes trucs faux (en rajoutant “qui n’en possèdent pas les droits”, ce qui est tout à fait faux, rien que la veuve de Hergé par exemple…).





Sauf que ta preuve consiste à citer l’exception rare quand moi je te parle de la généralité.



Pour un auteur isolé qui reussit en conservant ses droits, combien de millions de gens travaillent dans une multinationale ou les droits ne leur appartiennent pas ?



Dans beaucoup de domaines, même l’auteur d’un concept innovant n’a pas d’autre voie que de vendre ses idées à des multinationales qui ont seules l’accès au marché.



Et pour avoir travaillé avec beaucoup de petits inventeurs, je sais de quoi je parle quand je dit que la réussite du petit, c’est statistiquement parlant une belle illusion.





Les logiciels étaient protégés de quoi exactement ?

Et quel a été le changement ?





Je te laisse te renseigner. <img data-src=" />


Le 24/03/2016 à 17h 27







OlivierJ a écrit :



pour commencer <img data-src=" /> <img data-src=" />

“solutionne” -&gt; “résout”

“doit t’on” <img data-src=" /> -&gt; “doit-on” (pourquoi rajouter un “t” ? Et puis « t’ » c’est l’abréviation de « tu » comme dans « t’es »)







Alors le fait de préférer “résout” à “solutionne”, franchement ça se discute. <img data-src=" />



Au passage, dans un débat sur le web, c’est assez maladroit de critiquer la forme.



Ca fait un peu du genre “seul la petite minorité de français qui ne font pas de fautes savent raisonner”…



Ce qui de nos jours est un peu malvenu quand nous voyons le triste résultat de ce postulat et surtout le chemin ou les “élites savantes” ont mené notre pays <img data-src=" />





La diarrhée législative est une réalité (en particulier au pénal et à tout ce qui a trait au système judiciaire, Eolas en parle fort bien), ça n’empêche pas que des lois utiles soit votées régulièrement, ce site s’en fait l’écho d’ailleurs. Mais comme toujours on s’intéresse à ce qui ne fonctionne pas (les trains à l’heure n’intéressent personne).





Des lois utiles tu dit ?



Il y a des millions de chômeurs, de la pauvreté galopante partout, l’industrie du pays périclite.



Ou sont les solutions aux vrais problèmes ?



Ah oui, nos députés sont trop occupés à légiférer sur la taille des boutons de portes entre autres lois polémiques inutiles sur la déchéance de nationalités (pour des terroristes qui en ont strictement rien à foutre).





Tu confonds la propriété intellectuelle et le droit d’auteur, ce dernier ayant été inventé par Beaumarchais et visait justement à ne pas spolier les auteurs au détriment des éditeurs, rien à voir avec un “méchant” capitalisme.





fr.wikipedia.org WikipediaJe cites : “ En droit, le droit d’auteur est l’un des éléments essentiels de la propriété intellectuelle….”



D’ailleurs, comme dans toutes les belles théories, entre le but de départ et la vraie réalité, il y a un monde.



De nos jours, la plupart des produits de grande consommation du marché sont issus de multinationales. Et les individus qui les ont réellement créés n’en possèdent pas les droits.



La propriété intellectuelle est aujourd’hui essentiellement devenu un outil de domination du grand capitalisme.



A ce titre, il est hallucinant de voir des partis “socialistes” défendre ces concepts.





La loi n’a pas changé la propriété intellectuelle, la loi a cherché à limiter et sanctionner la copie illicite par ordinateur. J’ai bien dit “a cherché” car ça n’a pas l’air très efficace dans l’ensemble.





Ah bon, ça n’a pas changé ?



Sais tu seulement qu’a une époque les logiciels n’étaient protégés que pendant 25 ans <img data-src=" />



Oui, ça ne marche pas. On leur avait d’ailleurs prédit pourquoi.


Le 24/03/2016 à 15h 49







OlivierJ a écrit :



….

]Et comprendre qu’il y aura toujours quelques députés pour déposer des projets de lois ineptes (pour faire parler d’eux) et une majorité de député qui fait son boulot sérieusement et sans le crier sur les toits ?







Une minorité de projets de lois ineptes, tu dis ?



Quand on constate que la diarrhée législative française ne solutionne absolument aucun des vrais problèmes quotidiens des français, que doit t’on penser ?





Il arrive à la rédaction de faire du clic-bait. Et ici malheureusement beaucoup ont oublié l’esprit critique pour passer directement au commentaire de comptoir.





Pourtant c’est un fait que de nombreuses lois sont passées ces dernières années en faveur des “ayant droit” de toute sorte et pour renforcer la propriété intellectuelle en général.



D’ailleurs, c’est amusant de constater que la gauche n’est pas en reste alors que la propriété intellectuelle est un concept complètement capitaliste que n’importe quel socialiste devrait logiquement combattre.


Le 23/03/2016 à 13h 23







carbier a écrit :



Tiens cela faisait longtemps un article sur un amendement qui ne passera pas.



Remarque cela permet de voir que la plupart des commentateurs ne comprennent pas grand chose à l’appareil législatif.



Sinon j’adore le titre du dernier chapitre

“Contrefaçon et nucléaire même combat”

Tu te dis: ouaou les députés sont à ce point idiot de faire passer une telle idée ?

En fait non, il s’agissait d’une proposition d’amendement d’un député qui voulait faire parler de lui et qui a justement été retoqué à l’AN, comme 99% des amendements du même type.

Mais bon cela permet de rajouter un chapitre et surtout de faire un joli titre accrocheur.







En même temps, si leur temps est utilisé à 99% en manœuvres de com’ pour se montrer, on comprends mieux pourquoi les vrais problèmes des français ne sont jamais traités.



Faire le vrai travail pour lequel ils sont (grassement) payés, c’est vraiment trop demander ?


Le 23/03/2016 à 12h 22

Marc Rees, comme toujours des articles d’une qualité qu’on apprécie.



C’est amusant de constater comment le terrorisme est exploité de manière commerciale à tous les niveaux. Politiques qui font de la récup, lobbyistes qui ont des opportunités, entreprises qui vendent de la sécurité, collectivités locales qui organisent des actions.



En fait, si on regarde mieux, tout ce cirque n’est que différentes formes de… récupération “commerciale”. Le terrorisme, ça fait tellement bien tourner le moulin de plein de gens.



Sans compter que médiatiquement ça fait une superbe diversion par rapport aux problèmes économiques du pays. Et oui ma bonne dame, estimez vous heureuse avec votre budget que vous n’arrivez pas à boucler parce qu’il y a des victimes du terrorisme qui meurent…



Et si vous y croyez, demandez vous un instant en quoi leurs gesticulations, leurs loi bidon et leurs caméra de sécurité achetés à grand frais sur nos impôts sont de nature à empêcher qu’un type se pointe avec une valise pleine d’explosif dans une gare à une heure de grande affluence…



C’était mon coup de gueule du jour…

Le 24/03/2016 à 23h 19

En tout cas, un grand merci à Microsoft parce que leur IA qui s’est retrouvée “éduquée” par une armée de trolls, ça faisait un moment qu’un truc ne m’avait pas autant fait marrer. <img data-src=" />



Sur le plan technique et social, c’était une belle expérience.

Le 24/03/2016 à 22h 54







-Jack Bauer- a écrit :



Merci de le reconnaitre! <img data-src=" /> Au moins un qui n’a pas des oeillères sur ce qui se passe ici (et ailleurs)







Autant qu’il m’ait été possible d’en juger, on trouve ces “fanboys” partout sur le web. C’est clairement un fléau.



Mais tu peux me croire, ils ne sont pas ici plus spécialement qu’ailleurs.





oui…. mais ce qui n’est pas normal, c’est que des modos fanboys protègent leurs copains et sanctionnent ceux qui vont à leur encontre au lieu de sanctionner les fanboys agressifs qui foutent le bordel! <img data-src=" />





Pour ma part, pourfendre du fanboy, c’est un peu mon sport favori. Et pourtant, je n’ai jamais été sanctionné par les modérateurs, que ce soit sur PCInpact ou ailleurs.



Comme je te l’ai dit plus haut, c’est une question de méthode. Il faut avant tout faire très attention à éviter les propos excessifs. La maîtrise de la bonne mesure est la clé de tout…



Dire que les modérateurs seraient leurs copains ou qu’ils les protégeraient, je ne suis pas d’accord. Beaucoup de gens ici te diront que ce n’est pas le cas.



Pour bien connaitre PCInpact depuis longtemps, les modérateurs ont tendance à laisser les gens s’exprimer et généralement à ne pas modérer trop rapidement. C’est une modération assez mature et globalement bien meilleure que sur beaucoup de sites.



Les fanboys, au début, ils les laissent s’exprimer au même titre que les autres. Mais crois moi, ils ne sont pas idiots, ils finissent toujours par les repérer et sanctionner les pénibles au bout d’un moment.



Je te donne le secret pour ne plus avoir de problème. Ne tient jamais le moindre propos excessif et ne t’énerve jamais face à des fanboys. Même à des insultes, réponds toujours calmement par des arguments.



Suis mon conseil et tu deviendra juste le pire cauchemar de tous les fanboys <img data-src=" />


Le 24/03/2016 à 16h 02







-Jack Bauer- a écrit :



Je dis juste la vérité. Mais bon il y’aura toujours des suiveurs qui pour se faire bien voir du staff d’un site diront amen à tout et feront de la lèche envers les modos et les admins du site…..





C’est quand même étonnant: on m’accuse de troller, par contre les mecs comme Notsly, fanboy MS qui passe son temps à raconter n’importe quoi, troller et être agressif envers tout le monde, curieusement ce mec n’a aucune sanction réelle (c’est tout juste si on supprime ses messages de temps en temps) et ne s’est jamais fait suspendre son compte…. étonnant! <img data-src=" />







Qu’il y ait des hordes de “fanboys” agressifs(et leurs multi) sur bon nombre de news qui touchent à des grandes marques, c’est malheureusement une triste réalité.



Sans avoir lu tes posts, il est probable que si tu t’est fait avoir, c’est que tu est tombé dans leur piège grossier qui consiste invariablement à faire dériver le débat en petites attaques personnelles. Et hop, tu t’énerves, tu dépasse les bornes et c’est toi qui prends.



Reste courtois et réponds toujours de manière mesurée et constructive. Ca les fera rager et la modération n’aura jamais besoin de te sanctionner.


Le 21/03/2016 à 15h 37







David_L a écrit :



Pour le premier point, on propose un paiement via BTC ;) Ce n’est pas totalement “anonyme” stricto sensu, mais tout de même, ça limite l’argument ;)







Il est effectivement probable que cela puisse réponde au problème posé par mon premier point.



Sachant que pour beaucoup, le but n’est pas de dépasser ce qu’on pourrait appeler “l’anonymat relatif” qui est suffisant dans ce cadre.


Le 21/03/2016 à 15h 08







Dedrak a écrit :



J’ai donné un nom bidon pour m’inscrire. Il est donc tout à fait possible de rester anonyme ;)







Sauf que tu n’imagines pas comment certaines API de payement peuvent se révéler parfois bavardes dans ton dos. <img data-src=" />



Le 21/03/2016 à 14h 49

Tiens, petit cadeau des raisons pour lesquelles je ne m’abonne pas :



La première, c’est que je suis de la vieille école, je tient à mon anonymat. Et le simple fait de payer casse l’anonymat…



La seconde, c’est qu’a part les articles de Marc Rees, le contenu de PCInpact ne correspond globalement pas à ce que j’attends d’une source payante. Le gratuit et le payant, ce n’est peut être pas le même métier.

Le 24/03/2016 à 22h 16







Gundar a écrit :



C’est du boulot de faire une distrib noob proof qui tienne la route <img data-src=" />







Il n’y a pas que ça.



Dans le libre, il y a un modèle complètement dépassé qui fait que les logiciels mettent souvent des mois à passer du producteur au consommateur. D’un côté, tu as des gens qui produisent des soft et de l’autre d’autres gens qui les intègrent dans des distro.





Le 24/03/2016 à 17h 42







odoc a écrit :



Pas besoin de trouver la loupe : touche windows, puis je tape mon calcul et j’ai le résultat ^^



Donc c’est plus rapide <img data-src=" />



<img data-src=" />







Surtout pas, maleureux, appuyer sur la touche Windows, ça porte malheur <img data-src=" />


Le 24/03/2016 à 15h 21







levieuxtoby a écrit :



Bien d’accord avec ton dernier point, l’austérité des bouzins n’aide pas, mais qu’on aime ou pas, Gnome 3 c’est pas hideux non plus, et pas dépassé, enfin il me semble pas. Unity pareil, KDE pareil, etc.







Après, la question, c’est de savoir ce que veux dire “dépassé”.



Est ce que parce qu’on a une nouvelle mode que ce serait forcément toujours plus joli ou plus ergonomique qu’avant ?



Pour ma part, dans ce qui est nouveau, il y a des choses que j’aime et d’autres moins.



Et avec le temps, je trouve que la nouveauté est aussi parfois porteuse de régressions.


Le 24/03/2016 à 15h 17







levieuxtoby a écrit :



Si, un peu :



mais c’est pas le sujet, je vois très bien où il veut en venir, et je suis pas loin d’être d’accord :)







Bah, c’est un fait pour lui. Mais il est évident que chacun à le droit de penser et de dire le contraire.



De toute façon, il est des sujets ou l’on ne mettra jamais tout le monde d’accord. Et c’est tant mieux…


Le 24/03/2016 à 15h 11







levieuxtoby a écrit :



C’est pas l’impression que j’aie eu. Tu professes tes goûts comme s’ils étaient l’étalon. Mais j’ai un scoop pour toi, c’est ton avis, pas une vérité générale. Surtout que les DE gagnent de plus en plus en cohérence graphique, je trouve que c’est plutôt à la limite de la mauvaise foi…







En même temps, il donne juste son avis. Il a pas dit qu’on devait absolument le partager.



Après, les goûts et les couleurs, c’est vraiment une question de préférence personnelle.



Pour ma part, je trouve que le problème en matière de design, c’est l’obsession de “ne pas faire moche” qui aboutit juste à ce que tout finisse par coller à la même mode.


Le 24/03/2016 à 15h 02







odoc a écrit :



Le truc avec Gnome, c’est que c’est un peu trop simplifié (contrairement à KDE qui est (était ?) pour moi trop complexe). Genre Totem c’est limite si on peut lire des vides hébergées à distance par exemple.



Bref simplifier pour que les nouveaux ne soient pas effrayés, ok, mais aller jusqu’à supprimer de fonctionnalité (nautilus en est également un exemple), c’est un peu trop à mon gout. Mais bon chacun les siens :) perso je reste sur unity et ça me va très bien.







Et oui. La différence entre simplicité et simplisme repose sur un fragile équilibre. Et comme on dit, le mieux est parfois l’ennemi du bien.



C’est d’ailleurs parce que cette mode de la simplification devient vraiment réductrice et absurde que le passage à gnome 3 a abouti a un fork.



Le 23/03/2016 à 12h 58







bobdu87 a écrit :



Toi tu t’es laissé manger la tête par les politiques. Le terroriste, ça lui fera une belle jambe la déchéance…







C’est clair.



D’ailleurs vu la façon dont les terroristes semblent estimer la France, ça pourrait même leur faire une motivation supplémentaire.



En fait, la vraie réalité, c’est que les politiques savaient qu’avec la déchéance de nationalité, ils amuseraient la galerie pendant des semaines… pendant lesquels on ne parlerait pas des vrais problèmes du pays.


Le 23/03/2016 à 11h 57

Il y a des millions d’exclus, de chômeurs, de travailleurs pauvres et personne dans ces “élites” pour se demander pourquoi les gens ont du mal à payer un billet.

Le 22/03/2016 à 23h 31







artragis a écrit :



Il faudrait que je revérifie puisque ce cas là, je l’avais traité en cours avec une prof juriste mais il me semble que “le souvenir de comment j’ai codé” c’est apparenté à une idée donc pas protégé.

Ensuite, une nouvelle fois, j’ai bien dit “il est rare que tu recodes la même chose à nom de variable près” donc je prenais déjà en compte le cas du simple renommage de variable/redécoupage en sous fonction.







L’idée n’est effectivement pas protégée, mais le droit d’auteur protège la forme. Donc au final, s’il y a des similitudes importantes dans le code et la réalisation, tu enfreint bien le droit d’auteur de la même façon que si tu copie l’enchaînement des notes d’un morceau de musique.



Même si en réécrivant, tu cherche à changer des choses pour échapper au problème, bien malin sera celui qui peut prédire à partir de quel niveau cela paraîtra acceptable devant un tribunal.



Evidemment, quand il s’agit de pondre de l’application de base au kilomètre, ce n’est pas la même chose que de travailler dans des domaines très pointus ou l’on pousse des portions de code à la perfection. Une fois atteint une quasi perfection, ils est quasiment impossible de faire des changements importants sans dégrader significativement la qualité.

 

Au final, le libre nous débarrasse de beaucoup de soucis d’ordre juridiques.





Tout dépend de ce qui a de la valeur.

Prenons l’exemple d’un outil qui joue avec le big data :

 

Si c’est la méthode pour traiter les données qui a de la valeur, la mettre au libre t’enlève tout avantage concurrentiel face aux firmes qui pourront avoir plus de données ou des données plus qualitative. C’est ce que fait splunk par exemple.





Oui, il est évident qu’il y a des cas de figure ou le libre n’est pas l’idéal. C’est souvent le cas aussi des outils métiers dans des secteurs de niche car ils doivent être rentabilisés sur peu de clients.



Cela dit, j’ai aussi vu des entreprises qui ont trouvé des business models intéressants sur les outils métiers libres en faisant participer leurs clients au développement sous forme de droit de vote proportionnel à l’argent versé.





A l’opposé, si ta valeur est dans la quantité ou la pertinence des flux qui sont gérés, libérer ton projet te permet d’obtenir rapidement une amélioration de ton image voir d’espérer des améliorations de ton logiciel. En plus vue la philosophie du libre, tu auras sûrement une sorte d’audit de sécurité sur ton logiciel pour pas un rond. C’est ce que fait Microsoft avec ses connecter pour Hadoop et son portage de transactsql pour hadoop.





Le problème de Microsoft, c’est que la plupart de leurs productions entrent en compétition avec des équivalents libres dont la qualité s’améliore de jour en jour.

S’ils libèrent, ils gardent des chances de garder la main sur quelque chose. Mais s’ils attendent de trop, ils seront dépassés et évincés.



Par exemple, Visual Studio, il y a quelques années, c’était vraiment mon IDE préféré. Mais aujourd’hui, je préfère largement éclipse…





Faut pas oublier que dans le libre, un projet peut aussi être abandonné





En pratique beaucoup plus rarement que dans le monde propriétaire. Et tant qu’un projet possède un peu d’intérêt, on trouve toujours quelqu’un pour le reprendre.



Dans tous les cas, comme on possède le code, on peut toujours continuer de l’adapter à minima pour le faire tourner aussi longtemps qu’on le voudra.





voir que ça soit un fork qui soit préféré à un autre (libre office tout ça…)





J’ai déjà connu des fork sur mes propres projets.



Un fork sur un projet actif, ça fonctionne rarement. Les auteurs d’un soft connaissent toujours mieux leur bébé que leur challengers. Et comme ça fonctionne dans les deux sens et que tu peux aussi leur repiquer leurs amélioration, ils finiront toujours par se fatiguer ou se rallier à ton projet.



La plupart des fork qui réussissent, c’est quand le projet pars en sucette ou n’est plus réellement maintenu.



D’ailleurs, un projet dont tu ne veut plus t’occuper et qui est forké, c’est tout bénef pour tout le monde y compris pour toi puisque d’autres vont continuer à faire vivre et connaitre un projet qui restera dans tes références.


Le 22/03/2016 à 17h 50







artragis a écrit :



non.

Le droit d’auteur ne protège pas les idées. Et il est rare que pour résoudre un même problème, en deux jour, on ait une implémentation 100% identique ou à simple changement de variable près. Quand on prend de l’expérience, on prévoit certaines choses ce qui génère une meilleure organisation à chaque nouvel essai.







C’est malheureusement beaucoup plus compliqué que ça.



Un code qui n’est pas identique à 100% n’est pas pour autant considéré comme différent.



Pour qu’un code soit considéré comme différent, il ne suffit pas de changer le nom de quelques variables. Il faut également qu’il diffère sensiblement dans sa structure, son architecture et ses fonctionnalités.



A moins de perdre vraiment beaucoup de temps, il est difficile pour un informaticien d’être certain de réécrire son projet de manière suffisamment différente pour avoir la certitude absolue d’éviter tout problème.



Ce qu’il ne faut jamais perdre de vue, c’est que la justice c’est toujours un peu la loterie. La suspicion qui découle du simple fait d’avoir travaillé pour quelqu’un représente en soi déjà une présomption. Et dans ce cadre, quelques similarités peuvent suffire à faire le reste…



Le problème, c’est que quand tu recodera quelque chose, tu ne saura jamais avec certitude quel niveau de différence est suffisant pour te mettre à l’abri des poursuites. Au final, le temps de codage augmentera d’une manière très importante à chaque nouvelle réécriture. Ce n’est pas un modèle viable.





C’est aussi pour ça que je parle de valorisation. Si ton bout de code n’est qu’une partie de quelques centaines/milliers de lignes d’un projet qui en fait 100 à 1000 fois plus cela n’a pas a priori de valeur crucial, c’est le gros projet qui a une valeur, pas le petit.

C’est d’ailleurs pour ça que la GPL n’est pas viable dans ce genre de libération du code.





Je vois très bien ce que tu veux dire.



C’est l’idée qui consiste à mettre ses bibliothèques de base de son projet dans le libre pour les faire améliorer gratos par la communauté.



En faisant cela, les entreprises ne savent pas qu’elles tombent la tête la première dans le piège n°1.



En fait, les libristes ont imaginé des parades depuis l’origine du mouvement. Par exemple, des contributeurs vont publier leurs améliorations (ou publier le projet modifié) sous licence libre non permissive de type GPL.



Et la, si tu veux profiter de leurs améliorations, soit tu les payes individuellement, soit tu passes tout ton projet en libre. <img data-src=" />



Et au final, si tu maintiens la logique propriétaire, tu finira juste par payer des gens pour que d’autres puissent en profiter gratos <img data-src=" />





Je code assez sur des projets libres ou open-source pour comprendre l’intérêt du libre, le laïus qui suit ne me sert donc pas. Mais dans une entreprise, le produit fini a souvent une valeur suffisante pour être vendu.





Sauf que ce n’est pas si simple.



Si tu met juste une partie infime de ton projet dans le libre, tu ne gagnera pas grand chose en retour et ton concurrent qui mettra plus de code dans le libre gagnera beaucoup plus d’améliorations “gratuites”, plus de buzz, plus de contributeurs, plus d’utilisateurs. Et ton produit sera rapidement oublié…



Au contraire, si tu met une partie importante de ton projet dans le libre, la communauté finira inéluctablement par recorder l’ensemble de ton application. Auquel cas, tu sera bien obligé un jour ou l’autre de passer l’ensemble dans le libre si tu ne veux pas t’en faire déposséder.



Pourquoi penses tu que Steve Ballmer avait parlé de “cancer” <img data-src=" />


Le 21/03/2016 à 23h 40







artragis a écrit :



J’ai bien dit “la philosophie de ms c’est que…” quand on cite une phrase, on la cite en entier please.







Tu as parfaitement raison, toutes mes excuses.





ensuite, quand on veut s’acheter une image, on passe volontier les parties non cruciales ou peu valorisée en “libre” car la communauté leur donnera elle même de la valeur.





A ce stade, on ne peut pas l’affirmer, mais ce que tu dit est de l’ordre du possible.



Mais il faut savoir que des sociétés qui ont essayé de jouer un jeu à mi chemin entre le libre et le propriétaire, il y en a eu plus d’une.



S’ils essaient de jouer ce jeu, ils s’apercevront comme les autres a quel point c’est un jeu difficile en pratique et surtout à quel point le logiciel libre tends à s’avérer inéluctablement contaminant sur le long terme <img data-src=" />



Mais je pense que tout cela, les dirigeants de Microsoft le savent déjà. S’ils ne peuvent pas changer de logique du jour au lendemain, ils s’orientent quand même inéluctablement vers les services.





Je sais et c’est logique.





Oui et non.



Imagine un programmeur qui travaille pour une société A et qui écrit du code pour résoudre un problème.



Si l’année d’après il monte sa propre société et qu’il doit résoudre le même problème, non seulement il ne peut pas récupérer son code, mais en plus il faut qu’il trouve moyen de le réécrire de manière différente, ce qui n’est ni évident, ni optimal.

D’une certaine manière, la logique propriétaire bride la puissance de l’informatique en empêchant de profiter à plein de la puissance de la réutilisation du code.



Dans le propriétaire, de multiples sociétés réécrivent sans cesse le même code, dans le libre, on ne l’écrit qu’une fois et on continue de bâtir sur ce qu’on a déjà construit. C’est la puissance de ce paradigme qui ne laisse aucun doute sur le fait que le propriétaire représente une logique obsolète.


Le 21/03/2016 à 14h 30







artragis a écrit :



Comme ça par exemple?

Pour le reste, en effet, sortant d’une école d’ingé, on a eu des cours qui présentent au moins les bases de ce qu’il se passe avec les licences.

Mais pour moi là n’est pas le sujet. Ce que dit sr17 c’est que l’article n’a pas bien hiérarchisé l’info et qu’il a volontairement utilisé un mot équivoque.

Sauf que pour moi l’info est bien hiérarchisée. La philosoghie de MS c’est qu’aujourd’hui l’open source c’est ce que veut le client alors ils font de l’open source. Point de détail, ils mettent sous licence MIT, donc libre. La hiérarchie est bonne. Elle est conforme à l’information donnée d’ailleurs.







Il y a une énorme erreur de logique dans ton raisonnement.



Si l’Open Source était vraiment ce que veux le marché, alors les éditeurs se contenteraient de l’Open Source. Pour eux, c’est bien moins contraignant que le libre.



Si les éditeurs s’amusent aujourd’hui a passer leurs produits dans le libre malgré les contraintes, c’est logiquement parce que la demande du marché est bien sur le libre. CQFD.



Cet article ainsi que les commentaires montrent que beaucoup de gens (y compris des journalistes) ont encore une vision très cliché “grand public” de ce qu’est le logiciel libre. Genre le barbu en sandales bien qui sors de son garage en récitant son catéchisme.



L’usage du mot “Open Source” à la place du terme juste de Logiciel libre est typiquement causé par l’idée reçue que ce terme véhiculerait une image plus sérieuse.



En réalité, le logiciel libre fut inventé par des programmeurs qui ont compris que leur intérêt personnel était bien plus proche de celui des clients que celui des entreprises qui les employaient. (Pour info, les entreprises prennent les droits de propriété intellectuelle des programmeurs qu’ils emploient…).



Et contrairement à l’image populaire, le logiciel libre est un mouvement poussé essentiellement par de gros acteurs de l’industrie qui y voient une excellent moyen de prendre la place des autres.


Le 21/03/2016 à 13h 58







SebGF a écrit :



Tu n’es pas obligé de tout savoir sur les licences, mais tu peux déjà avoir une idée de ce qu’elles permettent ou pas.

Moi-même je ne serais pas capable de dire les subtilités qui différencient la GPL, la MIT, la Apache, la BSD, la Creative Commons, etc etc etc. Mais je fais comme tout bon informaticien : je vais chercher l’info.



Il faut aussi définir ce que tu considères être un “jeune développeur”.

Un étudiant en cours de formation ? J’ose espérer que ce genre de chose est vu dans les cursus des écoles d’ingés, parce que même moi avec mon titre AFPA de bouseux j’ai vu durant les cours de droit les licences libres. Accessoirement, on demandera toujours à un quelqu’un travaillant dans l’informatique d’apprendre à trouver l’info qu’il cherche.

Un autodidacte ? Il saura se renseigner par lui-même.

Un jeune diplômé ? Même combat que pour l’étudiant.

Une reconversion professionnelle ? Même combat.



Pour moi, ce n’est pas à un article simple de ce genre de rajouter des couches sur “c’est quoi la licence MIT ?”, surtout que ce n’est pas le premier du genre comme il est parfaitement indiqué dedans.



Ce genre de chose pourrait, au contraire, faire l’objet d’un dossier analysant l’évolution de Microsoft depuis ces dernières années où l’entreprise est clairement en pleine mutation de mentalité, et pourquoi le choix de telle ou telle licence. L’époque Balmer où l’on argumentait que “Linux est le cancer de l’informatique” est bien révolue chez eux visiblement.







Tu dit plus haut que tu n’est pas développeur, ni de formation, ni de profession. Mais pour ma part, je le suis.



Aussi étonnant que cela puisse te paraitre, dans le millieu des développeurs, il y a des gens qui sont incapables de dire de tête que la licence MIT est une licence libre…



Mais le fait est que certains ne comprendront probablement pas pourquoi il est utile de leur rappeller ni pourquoi l’usage du mot libre est si important pour la compréhension.



Pour comprendre, il faut connaitre l’histoire du logiciel et le fait que le mouvement du Logiciel Libre et celui de l’Open Source sont deux mouvances totalement différentes et qui s’opposent depuis longtemps.



Vous comprendrez donc pourquoi je suis choqué de voir l’usage du mot Open Source sur une info qui démontre plutôt une victoire de la mouvance libre….


Le 20/03/2016 à 21h 10







SebGF a écrit :



On parle quand même d’un outil pour développeurs, donc le public cible de l’article est déjà à minima informé.



Même moi qui ne suis pas développeur ni de formation, ni de profession, connaît la différence entre logiciel à source ouverte et logiciel libre, ainsi que dans les grandes lignes ce qu’une licence permet.



C’est un article qui a pour but de relayer une information, pas d’étaler du Wikipédia qui finira par se solder par un tl;dr.







Je t’accorde que les développeurs ont généralement un minimum de connaissances en matière de licence parce que ce genre de considération fait partie de leur métier.



Mais il ne faut pas non plus en faire une généralité. Par exemple, les jeunes développeurs sont loin de tous savoir ce qu’est une licence GPL, MIT ou Apache.


Le 20/03/2016 à 18h 56







v6relou a écrit :



Elles permettent de “faire plus” dans un cadre idéologique précis, celui du logiciel libre. Dans la réalité, c’est le code open source permet dans beaucoup de cas de faire beaucoup plus… de business. Je comprends tout à fait que certaines sociétés peuvent vouloir conserver le monopole de commercialisation sur leur code et ne le fournir à des tiers qu’à des fins précises et limitées (recherche par exemple).







Sauf qu’en matière de business, tous les intérêts ne vont pas dans le même sens.



L’idéologie du propriétaire sers les intérêts du vendeur, celle du libre sers l’intérêt du client.



Mais comme c’est d’abord le client qui décide ce qu’il achète, cela explique l’essor des logiciels libres et le fait que des acteurs comme Microsoft n’ont pas d’autre choix que de s’adapter à la demande s’ils ne veulent pas mourir.


Le 20/03/2016 à 18h 09







artragis a écrit :



culture et configure quoi.

Ici l’article dit open source et licence MIT. Donc il n’y a aucun motif de confusion: le code est open source et libre au sens de la FSF (puisqu’elle inclut MIT dans la liste des licences du logiciel libre).







Bah, c’est simple, dans un bon article, les informations doivent être impérativement hiérarchisées. Les informations primordiales doivent se trouver dans les titres et les chapeaux et non pas noyées au fin fond d’un pavé de texte.



Un article mal hiérarchisé fait perdre un temps précieux au lecteur car s’il ne veut pas passer à côté d’une info primordiale, il est obligé d’éplucher systématiquement la moindre phrase d’un article pour ensuite faire le tri entre les info importantes et les info subalternes. Un bon article délivre le principal au plus vite et laisse le choix au lecteur qui veut approfondir les détails de le faire.



Enfin, les licences, c’est une véritable jungle. C’est pourquoi il ne faut pas présupposer que tous les lecteurs savent forcément que la licence MIT est une licence libre. “Logiciel Libre”, ça parle plus a un maximum de gens que licence MIT.



Pour ma part, j’aurais plutôt titré l’article “Visual Studio : Microsoft passe les Power Tools sous licence libre MIT”.



Non seulement, ça claque plus, mais en prime, c’est du français.


Le 20/03/2016 à 17h 02







v6relou a écrit :



“Logiciel aux sources disponibles” lewl



Edit : aussi ridicule que soit votre chipotage, il n’y a effectivement en français pas d’équivalent, la commission générale de terminologie et de néologie ne reconnaît que le logiciel libre. Source.

 

Ceci dit le logiciel libre est un cas particulier de l’Open Source, les deux ne sont pas identiques et l’un ne vaut pas moins que l’autre, quoiqu’en pense certains ayatollah.







L’un ne vaut pas moins que l’autre ?



A part qu’une licence libre permet “juste” de faire beaucoup plus de choses qu’une licence propriétaire “open source”.



Et les conséquences de cette différence dans la pratique ne sont pas négligeables.



Penses tu sincèrement que Microsoft s’amuserait à passer des produits sous licence libre juste pour contenter quelques ayatollah du libre ?



La vraie réalité, c’est que c’est une demande des entreprises qui comprennent de mieux en mieux les avantages concrets des logiciels sous licence libre.


Le 20/03/2016 à 04h 17







Wawet76 a écrit :



“Open Source” est un terme tout à fait correct pour moi.







Pourquoi ce terme est malvenu ?



Pour la raison qu’il ne permet même pas de faire la différence entre un logiciel libre et un logiciel propriétaire dont le code serait consultable.



Et oui, rien que ça…



Et les polémiques sur ce terme ne datent pas d’hier.



Je cite wikipedia :fr.wikipedia.org Wikipedia“si un logiciel libre est toujours open source, un logiciel peut parfaitement être open source sans être libre. C’était par exemple le cas du BIOS des PC dès 1981.”



En plus, le terme “Open Source” n’est même pas Français. Et c’est un comble de l’utiliser quand on sait qu’en Français, nous avons la chance par rapport aux anglo saxons d’avoir le terme “logiciel libre” qui est beaucoup plus précis que leurs termes “Free software” (qui peut désigner aussi un logiciel gratuit) et “Open Source” (qui peut aussi bien désigner un logiciel propriétaire). Ne parlons pas de l’acronyme “FLOSS” qui fait penser à un Borborygme.



Dans le cas présent, le logiciel est sous une licence MIT, donc le terme “logiciel libre” aurait été beaucoup plus approprié.


Le 19/03/2016 à 18h 00

Messieurs les journalistes, lisez vous les commentaires ? Toujours l’usage du mot “Open Source” qui fait qu’on se demande a chacune de vos news si l’on parle de logiciel libre ou propriétaire.



Rappelons qu’historiquement, ce terme fut popularisé par un lobby propriétaire pour contrer le logiciel libre en semant la confusion.



Utiliser des termes précis fait gagner du temps au lecteur.

Le 18/03/2016 à 20h 37







Ingénieur informaticien a écrit :



Je pense que beaucoup dépendra de ces adaptations, justement.

Par ailleurs, ce n’est pas parce qu’il y’aurait potentiellement beaucoup de contenu (et encore tout dépend de quoi on parle) que ce contenu est forcément très intéressant pour le grand public.

 

En fait, la “bulle de la 3D” me rappelle un peu la “bulle internet” de la fin des années 1990.

Pourtant, malgré son éclatement, internet s’est bien imposé pour rester …

Et si la 3D était destinée à rester cette-fois-ci, mais pas de la façon dont les industriels l’avaient prévu ?



Et si la VR suivait le même chemin ?

Spéculations, certes …







Oui, on peut dire qu’il y a des modes.



Certaines ne sont que des modes. D’autres sont plus durables.



Ce qui les différencie, c’est effectivement le fait d’apporter quelque chose de tangible pour une part de marché suffisante.



Pour ma part, je pense qu’il y a quelques points qui militent pour le fait que la VR soit durable :



(1) Cela apporte vraiment une nouvelle dimension au jeu.



(2) Même si du contenu spécialisé est le top, le contenu actuel peut être exploité avec des adaptations mineures.



(3) Cela solutionne un problème majeur pour les jeunes qui n’ont pas toujours de place dans leur chambre pour avoir chacun leur écran. C’est particulièrement vrai quand ils ont des frères et sœurs.



(4) Un écran de petite taille coûte moins cher à produire que des grande dalles. Le prix des casques VR va baisser rapidement car les composants ne sont pas très coûteux. Les plus simples seront composés d’un écran, deux lentilles, quelques capteurs et circuits.


Le 16/03/2016 à 08h 31







tazvld a écrit :



A priori, vu le nombre de pièces qui casse chez toi, ouai, je veux bien comprendre que tu ne souhaites pas partager tes outils, t’es un peu bourrin avec tes affaires. Et c’est de la part d’un mec qui n’est pas réputé pour être fin ni doué de ses 10 doigts.



Pour le casque VR, l’avenir nous le dira.







Je suis au contraire extrêmement soigneux. Bien plus que la moyenne des gens.



Mais quand on est très actif et qu’on a beaucoup de matériel, il y a toujours quelque chose à réparer ou améliorer.



Et une machine c’est comme une femme, ça ne se prête pas.





Le 15/03/2016 à 18h 10







Ingénieur informaticien a écrit :



La VR connaîtra le même sort que la 3D si personne ne se met à réfléchir sérieusement au contenu.

On avait déjà vu ça avec la guerre VHS/Bétamax/V2000 il y’a 30 ans …







Le contenu existe déjà même s’il peut nécessiter quelques adaptations.


Le 16/03/2016 à 19h 53







white_tentacle a écrit :



Le minimum vieillesse aujourd’hui c’est 800€ / mois. Ça correspond grosso-modo aux chiffres que certains évoquent. D’autres évoquent des chiffres plus bas, plus proches du RSA, donc un peu plus de 500€. Dans tous les cas, le système de retraite par répartition cohabite très bien avec le revenu de base, et on peut envisager un minimum vieillesse un peu plus élevé que le revenu de base (au moins dans un premier temps).







Non, le revenu citoyen ne doit pas être trop bas. Il doit permettre de vivre.



Et ne me dites pas qu’il faut éviter de désinciter au travail. C’est justement ce qu’il faut.



Ceux qui pensent qu’on aurait atteint la fin des suppressions d’emplois ne réalisent pas bien de quoi nous parlons. Attendez de voir les emplois que l’informatique va encore détruire dans quelques années.



Certains n’ont même pas idée de tous les emplois qui vont encore être supprimés. Je pourrais vous donner une liste assez effrayante.



A mon avis, les politiques qui sont contre le revenu citoyen vont regretter certaines déclarations dans quelques années.





À noter que 800€/mois pour chaque adulte, ça représente toute de même pas loin de 400 milliards d’euros par an, ce qui est supérieur au budget de l’état, et représente un peu moins de 25% du PIB.



Ce qui n’a strictement rien d’impossible, mais nécessite des réformes très profondes à tous les niveaux dans la société.





Des réformes, c’est certain.



Mais en tout cas, ce n’est pas un problème. A partir du moment ou les machines produisent, le reste n’est qu’affaire de répartition de la valeur ajoutée produite.



C’est même une nécéssité pour l’économie.



Parce que si on ne fait rien, on va se retrouver avec des millions de gens qui ne consomment plus rien faute d’argent. Et de l’autre, des usines qui verront la demande baisser inexorablement. Et le tout finira par un grand crash économique et probablement une guerre civile.


Le 16/03/2016 à 19h 40







Vaelt a écrit :



Ils ont, pour la plupart, une situation bien au-dessus des 750€ de notre hypothèse. Et même si certains serait prêts à quitter leur job pour avoir plus de temps pour autre chose, je doute sincèrement que la majorité accepte de troquer leurs avantages pour plus de temps libre (…) et moins de revenus.







Disons que c’est difficile à prédire. Mais ce “filet de sécurité” aurait certainement un effet apaisant sur la peur de perdre leur job, ce qui pourrait donner à certains l’envie de monter leur boite ou de tenter un emploi dans le privé.

La peur de perdre son job est la source de beaucoup de rigidités sociétales.





Si le calcul est simple (financement du RdB par remplacement des allocations actuelles et simplification/suppression des structures), c’est justement la transition de ces structures qui sera un gros enjeu, avec toutes les problématiques que ça implique (non remplacement des départs en retraite ? suppressions de poste etc.).





Non, parce qu’entre la simplification et l’informatisation, on pourrait réellement se passer d’une grande partie des fonctionnaires qui font de l’administratif. On pourrait avoir (au choix) moins de fonctionnaires, ou plus de fonctionnaires utiles.





Je comprends qu’ils éludent la question rapidement sans réel contre-argument ^^





Disons qu’un politique ne fait de grands changements que lorsqu’il ne peut plus faire autrement.



Mais je crois que dans le petit confort de leur bon salaires, ils ne réalisent pas très bien ce que les mots “millions de chômeurs” veulent dire en terme d’amplification dans le temps du mécontentement social…


Le 16/03/2016 à 12h 59







Faith a écrit :



Je suis bien d’accord, mais je commentais juste les propos de Patch affirmant que le revenu global serait en hausse avec un RU ou un RdB.







Ok



De toute façon, le but du revenu citoyen, c’est d’éviter les trop bas salaires.



Le salaire médian ne peut pas augmenter, sauf si on veut justement créer de l’inflation pour résoudre certains problèmes.


Le 16/03/2016 à 12h 58







Vaelt a écrit :



On pourrait même aller plus loin. Etant donné que le revenu de base est inconditionnel, on peut supposer les frais de structures de l’institution qui la gérerait quasi nuls.



Mais surtout, c’est la disparition des coûts de structures astronomiques des autres aides actuellement en place qui permettrait de financer le revenu de base. De plus, je pense qu’en termes de budget l’état serait bien gagnant.



Ce qui pose problème, ce sont les fonctionnaires en place dont on n’aurait plus besoin pour faire tourner un bousin beaucoup plus simple. Et en plein pic de popularité du gouvernement en ce moment, je ne pense pas qu’il puisse se permettre d’avoir en plus cette frange-là sur le dos en vue de 2017 =)







Justement, le revenu citoyen pourrait inciter un certain nombre de fonctionnaires à quitter leur job.


Le 16/03/2016 à 12h 54







Faith a écrit :



Ces frais sont en immense majorité… des salaires versés à des fonctionnaires…  

Donc économiser sur ces frais, c’est réduire le revenu.







Moi je pense qu’il serait préférable de payer ces fonctionnaires à rester chez et de supprimer toutes ces complexités administratives inutiles qui nous pourrissent la vie.



Le monde public invente sans cesse des complexités, des organismes, des comités Théodule. Et la vérité, c’est que la raison profonde de l’existence de tout cela, c’est que certains doivent justifier de leur job.



Cette obsession d’avoir un job et surtout de le garder aboutit à faire pire que de l’emploi inutile : de l’emploi qui produit des choses nuisibles.


Le 16/03/2016 à 12h 46







Faith a écrit :



Tout à fait. 

Il risque cependant d’être difficile de trouver des travailleurs pour certains emploi particulièrement difficiles/ingrats, même un salaire élevé pourrait ne pas suffire.

Mais ça, ce serait à voir au cas par cas, impossible pour le moment à évaluer.







Tu sous estime la cupidité de l’homme.



D’ailleurs, il existe des boulots qui sont pire que les boulots pénible, ce sont les boulots dangereux.



Et les entreprises parviennent néanmoins à trouver du monde et de manière très simple : en proposant le salaire qui convient.







Le 16/03/2016 à 12h 28







CyDream a écrit :



Pourquoi vouloir inciter a l’activité,  alors qu’il y a de moins en moins d’activité !







Qu’on le veuille ou non, l’inactivité d’une partie très importante de la population est aujourd’hui une réalité.



La gauche et la droite “qui fustigent l’assistanat” n’ont jamais tenu la moindre de leurs promesses de réduire le chômage malgré toutes les mesures que l’on peut qualifier de harcèlement qui ont été mises en place.



D’ailleurs au passage, le nombre de chômeurs réels est bien plus élevé que les statistiques le font croire. Entre ceux qui ne sont plus inscrits, ceux qui sont en formation, ceux qui ont été poussé à la création d’entreprise (mais ne bouclent pas leur fin de mois), ceux qui prolongent leurs études, etc…


Le 16/03/2016 à 12h 19







Faith a écrit :



Il n’y aura pas de bénévoles pour faire des boulots chiants et non-valorisants, c’est une évidence.

C’est tout l’intérêt du système: faire en sorte que les métiers soient payés à leur juste valeur.

Les métiers intéressants ou valorisants par eux-même, eux, recevront des candidats bénévoles (ou presque) en masse.







Il est totalement anormal que les métiers les plus pénibles soient les moins bien payés.



Et c’est aussi vrai pour les cotisations sociales alors que ces métiers coûtent plus cher à l’assurance maladie.



En laissant les prix des métiers pénibles augmenter, on encouragera des logiques vertueuses :



-Le fait de s’en passer : Certains métiers pénibles ne sont pas indispensables.

-La possibilité pour ceux qui les pratiquent de travailler moins et donc de préserver leur santé.

-L’investissement dans l’automatisation de ces tâches. Plus l’humain sera cher, plus vite elles seront automatisées.

-La fin de l’immigration “pour arranger les copains industriels”.


Le 16/03/2016 à 10h 49



Le locataire de Bercy estime que verser une aide sans condition reviendrait à envoyer un mauvais signe, synonyme d’assistanat.





Je suis choqué de voir ces mots dans la bouche d’un membre d’un gouvernement qui se prétends de gauche.



On devrait réaliser que le mot “assistanat” est un mot péjoratif créé par des communiquant des partis de droite uniquement dans le but de stigmatiser les exclus dans un but politique.



Inventer ce genre de mot, c’est de la pure technique de com de haut niveau. Un mot bien moche dont le but est de provoquer le dégoût sans aucun argument, sans aucune justification, sans aucun débat d’idée.



C’est un peu comme une étoile jaune.


Le 16/03/2016 à 10h 30







Elwyns a écrit :



faudrait citer la source , car le pompage du travail de l’autre ça doit te connaître , y a des droits de paternité même si c’est pas déposé  , là pour le coup aucune valeur ajoutée, juste du vol !.







Sérieusement, je n’ai jamais prétendu avoir inventé l’idée.



Ce que j’ai cité, je l’ai lu a de nombreuses reprises dans des forums et pour être franc, j’ignore quelle est la source originale.



Réalisez que sur toutes les idées politiques et économiques évoquées sur le web (et dans ce topic), 0% ont été inventés par ceux qui les citent.



Mais ou sont les citations et les mentions ©™® qu’on devrait trouver à chaque post ?



Ta réaction montre à quel point les multinationales ont réussi non seulement à vous vendre l’idée de la propriété intellectuelles (une idée bien capitaliste et de droite) mais en plus à en faire une obsession.



Connaissez vous l’expression “nous sommes des nains sur des épaules d’un géant” ?


Le 16/03/2016 à 01h 34







Dedrak a écrit :



Un ministre PS qui parle comme ça, ça fait vraiment peur. On croirait entendre Laurent Wauquiez là.







Pour moi, il est évident que tout au long de ce quinquennat, le PS a mené essentiellement une politique de droite qui s’est peu démarquée de celle de son prédécesseur.



D’ailleurs, certains projets comme la déchéance de nationalité vont même plus loin que les idées de droite.



On note d’ailleurs que sur d’autres sujets comme la défense de la propriété intellectuelle, ils ont également montré clairement une vision de droite(défense du capital) plus que des idées de gauche (collectivisation du capital).



Et les quelques mesures de gauche qu’on pourrait leur attribuer semblent flotter de manière assez symbolique sur l’océan d’une politique clairement à droite.



Donc peut être devrions nous revoir nos idées reçues sur le fait que le PS serait encore un parti de gauche.


Le 16/03/2016 à 01h 07







sinbad21 a écrit :



Qu’est-ce qu’il y a à comprendre au revenu de base, si ce n’est qu’on paie les gens à rien foutre ? C’est donc à ça qu’on va finir à arriver, quand les machines se seront accaparées tout le travail humain. Un revenu minimal pour vivoter, dans l’inutilité la plus complète. Flippant.







Sauf qu’il y a une idée reçue, c’est de penser qu’en dehors du travail ce serait forcément l’inactivité.



Or, cela n’est pas vrai. Même un retraité fait quantité de choses utiles pour lui et les autres.



Mais cette idée que seul le travail serait créateur de valeur ajoutée et d’activité est le fruit d’une société marchande qui est parvenue à faire croire qu’elle était seule créatrice de valeur.



Regardez simplement comment une même création de valeur peut être considérée de façon différente :



Un employé d’une entreprise privée qui tonds une pelouse, c’est un bon travailleur.



Un employé de la mairie qui tonds une pelouse, c’est un fonctionnaire qui plombe l’économie.



Un RMIste qui tonds une pelouse, c’est un fainéant assisté.



Pourtant, dans les 3 cas, la création de valeur ajoutée est exactement la même.


Le 16/03/2016 à 00h 53







benihamaru a écrit :



Il est amusant de noter que les défenseurs de “la valeur travail” qu’on voit dans les médias, sont des personnes qui n’ont jamais véritablement travaillées (élus, grands patrons, héritiers, etc).







C’est assez logique puisque ces gens vivent grassement sur le dos du travail des autres.



Donc ils ont tout intérêt à vendre leur idées sur le travail au plus grand nombre…


Le 16/03/2016 à 19h 38







Flykz a écrit :



Je ne vois pas en quoi le WebAssembly résoudrait un “problème” du JS. Le fait que le JS soit compilé à la volée n’est pas un “problème”, c’est juste un choix qui a été fait pour ce langage, avec son lot d’avantages et d’inconvénients.



D’ailleurs, dire que le JS n’est pas performant c’est soit faire preuve de mauvaise foi (comme les gens qui ne prennent pas la peine de s’y intéresser le font bien souvent),  ou ne rien comprendre au langage (enfin vu le nombre de gens qui confondent l’API du DOM avec le JS…).



Peu importe l’avis que l’on a sur le WebAssembly, dire que c’est une solution aux problèmes du JS n’est pas vrai. Le JS a des problèmes réels qui n’ont rien à voir avec sa compilation en temps réel (puisqu’il est principalement question de ça, outre le fait que ce ne soit pas un langage de bas niveau) comme les variables globales, ou l’eval, pour les plus connus.



Donc non, le WebAssembly n’est pas là pour faire ce que fait déjà  l’ecmascript.







Désolé de vous décevoir, mais non, le javascript, ce n’est pas ce qui se fait de mieux au niveau performances.



Plusieurs caractéristiques pénalisent ce langage en terme de vitesse d’exécution.