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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 07/04/2015 à 14h 01







ActionFighter a écrit :



Sauf que les résultats du dit sont en fonction de son activité publicitaire et des données personnelles.





Je n’ai pas cette impression quand j’obtiens un résultat de recherche : les liens proposés sont en rapport avec l’objet demandé, et généralement très précisément.







ActionFighter a écrit :



Quand il y a monopole, il y a toujours un problème, même si lorsque celui-ci n’est pas formalisé par la majorité des clients d’un service.





Comme il n’y a pas de monopole ici (à moins de là aussi dévoyer la définition), pas de problème.







ActionFighter a écrit :



Lorsque la centrale d’achat d’une grande enseigne de distribution fait pression sur les producteurs pour racheter la production une misère et que leurs moyens de se battre contre sont limités par le manque d’alternatives, ça devient un problème.





Et donc une potentielle et providentielle intervention du bulldozer étatique pour ramener tout ce beau monde dans le moule pré-déterminé de la bien-séance et des curseurs économiques gravés dans le marbre idéologique, sur des critères anti-économiques et pseudo-sociétaux sans rapport, à coup de régulations destructives et contre-productives parce qu’on considère le marché comme une entité statique composée d’irresponsables iniques à tous les niveaux et aux motivations fatalement moins nobles que tous ces abrutis corrompus et autres scribouillards technocratiques non élus qui vont l’achever ce faisant, démontrant une fois de plus le total non-sens de leur réflexion pavlovien idéologique, leur absolu manque de discernement économique et leur crasse incompétence finale.

(Pour répondre à ton non-problème existentiel, les intéressés ont réussi à défendre leurs intérêts tout seul comme des grands en s’alliant et s’associant entre eux.)







ActionFighter a écrit :



Si si. Ce n’est pas parce que tu ne donnes aucune valeur à ces données qu’elles n’en ont pas.





La valeur étant un critère subjectif, elles n’en ont évidemment pas pour moi, comme dit plus haut. Elles en ont peut-être pour Google, mais cela ne fait que prouver que la valeur est subjective.


Le 07/04/2015 à 13h 15







js2082 a écrit :



Je ne paye pas d’argent, mais ce n’est pas forcément gratuit.

Et aucun service commercial n’est gratuit



Qui a parlé d’argent ? Pas moi. Payement n’implique pas argent. On parle de valeur ici., cf ma conclusion sur ce sujet dans mon commentaire précédent.


Le 07/04/2015 à 13h 07







ActionFighter a écrit :



Tu ne peux prendre un élément “gratuit” d’un service et généraliser.



Ce que je ne fais pas, donc je ne vois pas où tu veux en venir. Google se finance par la pub, et attire les utilisateurs sur ses sites par l’intermédiaire de son moteur. C’est une technique comme une autre pour rendre son business moins visible pour ses utilisateurs.







ActionFighter a écrit :



Pas assez utilisés. Et c’est plus un problème d’habitude des utilisateurs que de réelle qualité. A moins de considérer que ce que Google proposes soit en tout point en adéquation avec ce qui serait bon de trouver.



Ce n’est pas un problème si ce sont les utilisateurs qui choisissent (à moins de les considérer comme irresponsables). Les résultats proposés par Google sont quand même plus pertinent, ceci expliquant cela.







ActionFighter a écrit :



La définition de monnaie ne se limite pas à celles frappées du sceau de l’état ou d’une banque.



Je crois qu’on a déjà eu cette discussion et la monnaie même sous ta forme distordue, n’a rien à faire ici. Le seul critère pertinent est la valeur de l’information.







ActionFighter a écrit :



Dans ce cas, tu contreviens aux conditions générales du service.



Possible, mais j’aime prendre des risques calculés.



Pour en finir avec ce point, je considère que le service est gratuit : les informations volontairement données ont une valeur subjectivement nulle alors que les informations reçues ont une valeur largement &gt; 0. En fait, c’est même cela qui fait que ce service est vraiment intéressant. <img data-src=" />


Le 07/04/2015 à 12h 51







carbier a écrit :



Par définition l’échange ou le troc n’est pas gratuit…

En fait tu fais une fixation sur l’argent.







Les biens/services échangés le sont parce que les parties estiment que les valeurs sont identiques (sinon ils n’échangeraient pas). Ce qui fait que l’opération est neutre, en valeur, en coût comme en payement, soit la définition même de “gratuit”.


Le 07/04/2015 à 12h 46







carbier a écrit :



J’ai lu l’article mais tu n’as toujours pas répondu à ma question.



“moteurs de recherches” : c’est le sujet.


Le 07/04/2015 à 12h 43







js2082 a écrit :



De même, le libéralisme à outrance n’a jamais conduit qu’au désordre au détriment des individus. On se demande pourquoi en vouloir encore.







Facile : le rapport ordre/désordre étant largement à son avantage, on a été empiriquement contraint de laisser de côté ses autres idéologies anti-humaines mortelles et ruineuses.


Le 07/04/2015 à 12h 36







js2082 a écrit :



Toi, tu ne payes pas mais les autres oui, les publicitaires, les entreprises etc…





“Je ne paye pas, donc ce n’est pas gratuit.”



La cohérence n’est pas ta marque de fabrique.


Le 07/04/2015 à 12h 32







ActionFighter a écrit :



Je dirai que l’amalgame de comptoir, c’est de considérer toute monnaie d’échange comme étant celles officielles. D’ailleurs, cela m’étonne de ta part que tu fasses cette assimilation.







C’est un problème de définition. Soit tu utilises les définitions normalisées, soit plus rien n’a de sens et tout veut tout dire.



Les seules données que Google obtient quand on cherche quelque chose, c’est cette chose et le fait de l’avoir demandée (par définition). Rien n’oblige à être connecté (très facile) et rien n’oblige à ne pas connaitre l’outil et à se prémunir de ses actions (très facile là aussi). Les quelques données impersonnelles nécessairement diffusées ne sont pas plus assimilables à un payement que le fait de rouler en Twingo ne permet de déterminer mon statut social.


Le 07/04/2015 à 12h 19







ActionFighter a écrit :



Le problème est qu’il n’y a pas d’autre.



Alors vouloir forcer quelque chose par la loi, est-ce une bonne idée ? Je ne sais pas. J’aurai tendance à dire que ce sont aux utilisateurs de savoir ce qu’ils veulent : un monopole de la part d’une multinationale qui aura tendance à faire la pluie et le beau temps, ou une concurrence qui permette des rapports sains.



Autre point, Google ne récolte rien gratuitement. Sinon, je me demande bien comment il pourrait en arriver à 2,813 milliards de dollars de bénéfice au troisième trimestre 2014 avec ses services gratuits.





On est d’accord là dessus.





Je n’ai pas dis qu’il fallait le faire de manière législative, reste que cette compagnie est pour moi mauvaise, et que j’aimerai bien voir émerger une réelle concurrence.







1/ Il manque un ou des mots, non ?



2/ Google récolte gratuitement la plupart les contenus puisqu’ils sont en accès libre sur internet. Quelques uns ont été monnayé (cf les relations avec la presse). Les revenus de Google proviennent surtout de la pub sur les sites.



3/ Bing, Yahoo, DuckDuckGo, etc ne sont pas suffisant ou sont trop mauvais ?


Le 07/04/2015 à 11h 37







js2082 a écrit :



Et tu ne sais pas de quoi tu parles.



Google n’est pas gratuit, facebook non plus, et la totalité des services internet non-open source ne sont pas gratuits.



Pub, données personnelles, mouchards, etc… tout ça rapporte de l’argent, et ce n’est pas parce que tu n’en vois pas la couleur que ça n’existe pas.







En boulet tu te poses là. Le service est gratuit puisque on ne paye pas celui qui le propose, ni pour y accéder ni pour l’utiliser. Tout le reste est de l’amalgame de comptoir HS puisque on peut facilement éliminer tous tes soit-disant explications bidons tout en conservant la gratuité.


Le 07/04/2015 à 11h 30







ActionFighter a écrit :



Il n’y a pas de concurrence en la matière mais des pôles hégémoniques.





Ça servirait à rien, la plupart des épiceries de quartier sont maintenant franchisées…





Ça, ce serait pas un mal <img data-src=" />







1/ Comme les créateurs de contenu ne savent pas monétiser leur création, les Google et autres le récoltent gratuitement. Ce service étant très peu différenciant, il est gratuit et seuls les quelques meilleurs subsistent.



2/ Les modes de consommations évoluent avec les services, et vice versa. Rien d’étonnant ou d’alarmant en soi.



3/ Il me semblait que le protectionnisme et le repli sur soi n’ont jamais conduit qu’à des conflits et au désordre au détriment des individus. On se demande pourquoi en vouloir encore.


Le 07/04/2015 à 11h 02







carbier a écrit :



De quel service commercial “gratuit” parles-tu ?







Je suis sure que tu as lu l’article.


Le 07/04/2015 à 10h 43

On y arrive doucement. La prochaine étape sera la transformation du service commercial gratuit en service public d’intérêt général payé par tous, autant dire à la disparition de son utilité.

Le 07/04/2015 à 12h 09







brazomyna a écrit :



Je ne parle même pas des non investissements qui ont été faits pendant toutes les années précédentes







Mes contre-arguments n’appellent donc aucun autre commentaire de ta part que l’absurdité de ta réponse ci-dessus qui est à la mesure de ta confusion.



La conclusion du rapport est sans appel :

Compte tenu de profils d’usages très différents d’un utilisateur à l’autre, il pourrait être envisagé, au-delà d’un forfait de base, de faire payer à la consommation réelle et d’appliquer ainsi au service fixe des modalités tarifaires largement répandues dans le service mobile. Cette solution aurait le mérite de permettre de mieux réguler la consommation, sans faire payer à tous les excès de quelques-uns.





La segmentation des prix suivant les usages et la fin de l’illimité sont déjà en route en Allemagne.


Le 07/04/2015 à 10h 37







brazomyna a écrit :



Qu’il est beau ton gentil lien qui traite des problématiques de peering, qui n’ont qu’un rapport mineur avec ce dont on parlait ici (la structure de coût des opérateurs).







Où comment imaginer le contenu d’un article à partir du titre du journal. <img data-src=" />



Le 1er article donné en lien discute des différentes approches de coûts pour un FAI parce que la question à laquelle il répond est précisément : How do ISPs cost their network?. Et les coûts sont donnés en $/capacité comme je l’indiquais plus haut. Rien à voir avec le peering.



Le 2nd lien traite de l’évolution des coûts de transit Internet Transit Prices - Historical and Projected et montre que la baisse des coûts n’a pas été répercutée au niveau du consommateur, ce qui est le point central de ma position : le modèle de forfait cache le coût réel de la consommation comme le montre le tableau principal de la page.



Soit tu es de mauvaise foi soit tu ne sais pas lire l’anglais. Les 2 probablement.





Quant au modèle de l’ARCEP, qui n’a rien de définitif selon l’ARCEP elle-même, le test page 24 montre explicitement que le coût final d’appel dépend de la capacité qui dépend elle-même de la part de marché de l’opérateur : “lorsque l’opérateur … a une part de marché plus faible, toutes choses égales par ailleurs, le trafic sur son réseau et donc ses besoins en capacité sont moindres. Dans une logique de coût incrémental, le coût de la prestation de terminaison d’appel est donc plus faible quand la part de marché est moins importante.” Le coût final d’appel dépend donc de la capacité. QED



Ce que les tests de sensibilité à une variation modeste (les prévisions tablent sur ~60%) de l’usage montrent est que le business ‘opérateur mobile’ est relativement un peu plus élastique que le business ‘FAI pur player’ (parce que différents types de réseaux/fréquences/voix et données contre un seul type, ie IP). Ils n’informent en rien sur les modalités de structuration des coûts des FAI, ce qui est le sujet ici, et qui est démontré explicitement dans les liens que j’ai donné plus haut. De plus, au vu des évolutions très rapides du secteur, ce modèle qui date de 2009 est déjà obsolète.



Plutôt que rire bêtement en une parodie d’absurdité, pose-toi les bonnes question et approfondis le sujet, ça te/nous changera.


Le 06/04/2015 à 16h 30

Ton lien décrit un modèle de coût pour un opérateur mobile et des tests de sensibilité, soit rien de différent du modèle des coûts en téléphonie fixe (COSITU) et encore moins différent de ce que j’avance, à part que les calculs sont rapportés aux critères pertinents pour le secteur. Les coûts de l’opérateur mobile sont d’ailleurs discutés sur les pages précédentes du rapport, si tu l’avais lu.



A propos des FAI, ce qui est le sujet, j’ai aussi de la documentation pour toi. Note les calculs pour établir un prix à partir des coûts et les rapports coût/capacité, exactement comme décrit dans mes commentaires plus haut.



Il vaut donc mieux que tu t’enfuies la queue entre les jambes plutôt que de reconsidérer tes erreurs.

Le 06/04/2015 à 15h 37







brazomyna a écrit :



Ne tente pas de renverser les rôles: le rigolo qui prétendait tout savoir et en conclure que “faire payer ses utilisateurs (le client final) suivant leur consommation réelle est la solution la plus équitable pour tout le monde”, c’était toi, pas moi.




Au final, quand on gratte un peu, on ne peut que constater que celui qui affirmait au passage subir "l'outrance" de ses congénères sur NXI (pauv' titi) ne peut finalement démontrer que sa méconnaissance du sujet, et sa capacité à tirer des conclusions hâtives basés sur des postulats erronés. Pas plus.









Je ne renverse pas plus que l’ignare que tu es ne démontre qu’il connait le monde de l’entreprise et en particulier comment on établit un prix de vente à partir des coûts et du produit que l’on vend. Economics 101 <img data-src=" />



Il ne suffit pas de battre des bras pour savoir voler, un minimum de physique est requis.


Le 06/04/2015 à 13h 35

Ton blabla hors sujet (critères non pertinents) n’a toujours pas montré selon quelles modalités les opérateurs déterminaient le coût de revient de leur infrastructure, et encore moins démontré comment leur modèle de commercialisation au forfait pouvait être basé sur autre chose qu’un coût moyen dérivé de leur capacité moyenne à soutenir un débit moyen pour un client moyen.



Le lien de causalité doit être trop évident pour le voir.

Le 06/04/2015 à 11h 49







joma74fr a écrit :



Le débit est de toutes façons bridé par l’opérateur (même si le marketing parle d’illimite) : par ex. 20 Mb/s en ADSL



Donc la consommation de chaque abonné ne peut pas dépasser un plafond de consommation de bande passante. A chaque seconde, chaque usager du réseau est bridé dans son utilisation du réseau.



En d’autres termes, c’est négligeable pour un opérateur, que, à un instant donné, un abonné soit un gros consommateur ou qu’il consomme peu (d’autant que la consommation des uns à un instant est facilement compensée par l’absence de conso des autres au même moment).



Mais c’est vrai, pour le consommateur, il serait appréciable d’avoir une tarification qui lui permette de réguler lui-même, individuellement, sa propre conso de bande passante (un peu sur le modèle des tarifs modulo de Prix tel, par ex.).







1/ Tout à fait, c’est une manière de gérer la capacité.



2/ Je raisonne globalement : un opérateur doit forcément connaitre ses coûts totaux de même que ses capacités totales pour calculer le cout de revient unitaire de son réseau afin déterminer le seuil de commercialisation. Il n’a pas d’autres moyens pour proposer un forfait universel.



3/ Cela permettrait surtout aux opérateurs de gérer leur réseau de manière différentiée suivant les besoins réels (télémédecine par ex.) et d’optimiser la consommation de la ressource limitée qu’est la capacité.


Le 06/04/2015 à 11h 37







brazomyna a écrit :



La capacité n’a pas un coût fixe, mai très variable d’une zone à une autre.







Les coûts totaux et les capacités totales sont connus par les opérateurs pour mener à bien leur business à tout instant (et gérer leurs compte comme toute entreprise). Ils doivent nécessairement aussi connaitre leur coût unitaire en capacité/€ ou en €/unité de capacité afin d’établir un modèle de commercialisation unique (forfait) facilement compréhensible par le consommateur.



Avec ces montants unitaires, ils peuvent aussi se projeter dans le futur pour déterminer leurs investissements, quelque soit la variabilité sous-jacente supposée par zone (et qui est connue d’eux seuls).



Qu’ils choisissent de cacher les coûts unitaires dans leur modèle de commercialisation ne les fait pas disparaitre pour autant, surtout en situation de sous-capacité. Les usages se développant rapidement, on en arrive à un point où le modèle pseudo-illimité n’est plus adapté et des (tentatives de) bridages apparaissent (Free-Youtube, neutralité, etc).



Pour un opérateur avec un réseau national, raisonner à l’antenne ou à la zone est idiot quand leurs coûts sont nécessairement mutualisés. Il faut regarder un peu plus loin que le bout de son nez.


Le 05/04/2015 à 07h 04







brazomyna a écrit :



les coûts d’infra ne sont pas proportionnels à la quantité de data consommée.







A première vue, oui, mais c’est parce que les coûts réels sont masqués par le modèle économique : une minorité consomme beaucoup pour un coût modique, ce qui est compensé par la grande majorité des internautes qui paie une surprime par rapport à leur utilisation réelle moindre. Ton argument est en fait circulaire et peut être réfuté en regardant en amont.



Les infrastructures sont financées (investissement de départ + maintenance) pour leur capacité, par définition : ce sont les 2 seules constantes utiles à l’opérateur de réseau. Il est donc naturel pour lui de les rapprocher, et donc de rapporter le coût total supporté à la capacité totale. Le coût est donc proportionnel.



Les clients finaux étant les seuls à utiliser cette capacité par leur consommation, on peut donc ramener cette consommation au coût de financement, et donc affirmer que les 2 sont proportionnels (en €/unité de capacité ou en capacité/€.



Le modèle actuel fonctionne parce que la majorité de surprime compense la surconsommation d’une minorité. Un modèle plus égalitaire et équitable, donc quelque chose d’attrayant pour un collectiviste, serait d’établir un paiement à la consommation : la gestion de la capacité en tant que ressource limitée en serait automatiquement réglée par la loi de l’offre et la demande, comme partout ailleurs où le marché fonctionne.



L’idéal économique serait de faire payer à la consommation réelle avec un débit garanti minimal et des options de QoS différentiées suivant les besoins : l’inverse de ce qui est fait. Stéphane Richard a raison de parler d’attrape-couillon.


Le 04/04/2015 à 17h 00







brazomyna a écrit :



Faudra que tu comprennes que ce n’est pas parce que toi tu ne vois qu’une solution qu’il n’en existe qu’une.



MAis bon j’arrête là, je dois sûrement encore être dans “l’outrance”.  <img data-src=" />







Dans l’erreur ou l’aveuglement seulement.


Le 04/04/2015 à 14h 26







brazomyna a écrit :



@tmtisfree: tu as retenu l’outrance là où certains t’avaient pourtant expliqué les choses.

A noiveau, vouloir faire payer en fonction de la consommation est encore moins juste que de faire des firfaites à prix fixe sans limite de consommation, car les coûts d’infra ne sont pas proportionnels à la quantité de data consommée.







Et cela ne m’avait pas du tout convaincue. L’enjeu est le financement des infrastructures pour au mieux précéder l’évolution des usages, ou pire les suivre : le seul qui paiera in fine, est le consommateur. Comme pour toute ressource rare, il n’y a pas 36 méthodes économiques pour la gérer et répartir l’addition pour en trouver d’autre : la seule viable et équitable est de faire payer à la consommation.



C’est une analyse économique de base qui est toujours valable, et ce cas n’y déroge pas.


Le 03/04/2015 à 13h 40







A-D a écrit :



Je ne suis pas d’accord avec lui sur ce sujet.



 Il y a 2 points dans ses propos:



 1. il/orange ne veut pas être cantonner au fait de n’être qu’un simple fournisseur de tuyau. Il ne faut pas oublier qu’Orange possède une part de dailymotion. Le fait de faire payer les utilisateurs de Youtube pourrait faire monter les parts de marché de dailymotion entre autre.

De plus en France on a la chance de ne pas être limité en terme de quantité de données sur le fixe. Forcement ça pousse à consommer. Si la quantité de données transportées est tellement énorme que ça pose problème peut être qu’un  moyen de financement serait de limiter à une quantité supportable que la large majorité des gens n’atteignent pas et faire payer pour ceux qui en veulent plus. Simple idée.

 

 2. à propos des américains ce n’est pas parceque certains ne joue pas le jeu que tout les autres doivent faire pareil. Si on retire les contraintes de la loi pour les policiers ils pourraient jouer dans la même cour que ceux qui l’enfreignent au dépend de la population.







1/ Orange veut surtout avoir la main sur l’utilisation de ses propres tuyaux, ce qui est bien compréhensible puisqu’ils les financent et lui appartiennent. Et faire payer ses utilisateurs (le client final) suivant leur consommation réelle est la solution la plus équitable pour tout le monde (et simple à mettre en œuvre).



J’avais émis cette idée dans le passé sur un article de PCi et la seule réaction obtenue a été l’outrance de devoir payer suivant sa consommation (comme l’eau, EDF, gaz, etc) : personne ne veut renoncer à l’illimité qui va s’apparenter de plus en plus à une tragédie des biens communs, ce que le PDG d’Orange a bien traduit par “le jour où le consommateur n’aura plus d’opérateur pour acheter du spectre, construire la 4G et la fibre, il sera bien avancé. Ce n’est pas du débit bridé qu’il aura, c’est plus de débit du tout”.



2/ Tu ne lui donnes donc pas tort sur ce point (ta comparaison est mal venue puisqu’elle suppose que les stores sont régulés publiquement par l’État comme les policiers, alors que leur seule régulation est privée et contractuelle.), mais je pense pour ma part que son point est discutable.


Le 03/04/2015 à 11h 04







A-D a écrit :



En quoi la neutralité du net est-elle un attrape nigaud?







Je n’aime pas particulièrement Stéphane Richard, mais sur ce point-là il a raison.


Le 03/04/2015 à 10h 18



les investissements risquant encore de baisser si la régulation ne devient pas plus favorable aux opérateurs



Une des conséquences prévisibles et prévues de l’attrape-nigaud nommé “neutralité du net”.

Le 06/04/2015 à 12h 11







Z-os a écrit :



Techniquement tout finit dans les caisses de l’Etat qu’il soit vertueux ou pas (ou quitte l’économie du pays).

Il y a prélèvements au niveau de l’employeur, de l’employé, du produit acheté, de l’entreprise qui a créé le produit acheté, de l’employé de cette entreprise, des produits qu’il achète… <img data-src=" />







En fait tout finit redistribué dans la poche des électeurs-clients ou sous de gaspillage, parce que les caisses sont négatives.









Z-os a écrit :



On devrait parler de vitesse de confiscation des valeurs. :harou: :harou: :harou:







C’est effectivement une très bonne métrique pour mesurer la fraction des richesses créées et laissées aux travailleurs-producteurs. Aux USA par ex., depuis 1900, la richesse créée a augmenté de plus de 9000% alors que dans le même temps la valeur du $ diminuait de ~95%, ce qui explique que les américains sont beaucoup plus riches maintenant alors que leur monnaie ne vaut quasiment plus rien.


Le 04/04/2015 à 16h 32







Nikodym a écrit :



Il me semble que capitaliser signifie s’accaparer la richesse. Donc même combat.







Le mot a plusieurs sens mais tous sont ~opposés à “dilapider”. Donc non.


Le 04/04/2015 à 15h 54







burroz a écrit :



Je me pose la question combien l’état nous prélève en pourcentage depuis notre salaire jusqu’à l’achat final d’un produit ?







Il ne vaut mieux pas que tu le saches, tu n’as de toute façon pas les moyens de partir pour y échapper.


Le 04/04/2015 à 15h 53







Drepanocytose a écrit :



Là c’est mieux : “les pauvres”, pas “le peuple”.







On a encore des pauvres en France ? Depuis le temps ? Avec tout ce qu’on y consacre ?



On doit bien les aimer pour les cultiver comme cela.


Le 04/04/2015 à 14h 36







Ph11 a écrit :



Je savais pas qu’on pouvait copier de la musique avec des imprimantes 3D…

ils devraient aussi taxer le papier…







Il l’est déjà à 20%. Sans parler du papier monnaie où la taxe est plus pernicieuse mais pas moins réelle.


Le 04/04/2015 à 14h 32

Les choses sont pourtant simples : les capitalistes crée de la richesse, les politiques la dilapident.



La logique est implacable : le capitalisme est mauvais.

Le 05/04/2015 à 07h 36







jamesdu75 a écrit :



Et bon appetit bien sur …. du sperme sur des fraises.







Encore une étude épidémiologique bidon : établir une corrélation sur 5 ans avec à peine plus de 100 sujets et 2 échantillons par sujet, c’est de la pseudo-science. Les auteurs reconnaissent au moins que les limites de leur méthode et de leurs données ne permettent pas de conclure.



Pour l’article des ‘journalistes’, c’est encore pire ; bien que mentionnant que l’étude ne distingue pas entre bio et conventionnel, la conclusion est bien sûr partisane. Mais à quoi s’attendre des pages écobobos d’un torchon comme le Monde.


Le 03/04/2015 à 16h 18

Article bien équilibré by the way.

Le 03/04/2015 à 16h 17







Drepanocytose a écrit :



Oui mais tmtisfree dit que tout va bien, alors ca va <img data-src=" />







Pas du tout. J’étais la première à dire que l’influence de la Maison Blanche, si elle est confirmée dans ce cas comme dans celui de neutralité, devrait être étudiée pour rendre à cette commission sa véritable indépendance (si ce terme veut encore dire quelque chose).



Mais tu parlais peut-être d’autre chose <img data-src=" />


Le 03/04/2015 à 12h 50







WereWindle a écrit :



“je veux un monde de liberté parce que sinon ça sera va nous péter à la gueule comme chez les Arabes et de toute façon [on n’a pas encore vu] de société humaine sans consommation de toxiques”

si on veut être juste avec le propos… et encore j’ai modifié parce que lui entend que c’est tout simplement impossible.



Dit autrement, il dénonce le discours morbide et anxiogène infligé à la jeunesse en fondant largement son argumentaire sur la peur et l’ignorance…



Pas sûr non qu’on puisse balancer une bonne idée au milieu d’un tas de merde sans l’altérer quelque peu <img data-src=" />



Ma conclusion : peut mieux faire







Sans doute que l’approche est un peu caricaturale (et politicienne par définition), mais le fond du propos nous change un peu des tentatives quotidiennes de culpabilisation dont nous sommes victimes.


Le 03/04/2015 à 12h 46







FunnyD a écrit :



Il veut surtout fumer tranquillou sans se faire emmerder <img data-src=" />







Comme tous les adeptes des plaisirs personnels, non ?


Le 03/04/2015 à 12h 13







FunnyD a écrit :



lefigaro.fr Le Figaro<img data-src=" />



Sont quand même cons à l’UMP







Tu ne t’es arrêté qu’au titre, qui est trompeur et réducteur. On comprend mieux son cri du cœur si on lit le reste l’article : “Je veux un monde de liberté”. Tout à fait dans le sujet en fait.


Le 03/04/2015 à 11h 48







ActionFighter a écrit :



90% des anti-étatistes utilisant des litotes ont déjà lus des livres. J’ajoute la destruction des bibliothèques à mon projet de décret.







J’ai comme un sentiment de déjà vu. Les HLPSDNH peut-être ?


Le 03/04/2015 à 11h 30







ActionFighter a écrit :



Je propose un délit d’apologie de la pathologie anti-étatiste.







Je ne suis pas “anti-étatiste”, je ne suis que pour sa convergence vers une limite asymptotiquement égale à 0. Grande différence.


Le 03/04/2015 à 11h 17







ActionFighter a écrit :



C’est sûr que le raisonnement est simpliste.



A contrario, on pourrait arguer que certaines personnes peuvent être influencées et ne pas pour autant en parler parce qu’elle prennent le message au pied de la lettre et ne perçoivent pas le problème.



En tout cas, ce qui est sûr c’est que l’amendement ne résoudra absolument pas le problème.





Oui, c’est plus facile que de s’attaquer à l’industrie de la mode, de la presse, etc… donc taper sur les victimes permet de se donner le sentiment de faire quelque chose.



Mais c’est tout un phénomène de société qui est à déconstruire, lié à la place de la politique, qui n’est malheureusement pas près de s’arrêter…







J’ai corrigé ta petite erreur en conclusion. <img data-src=" />


Le 03/04/2015 à 11h 14







IhazHedont a écrit :



Lagerfeld a surtout eu le bon sens de redirigé le débat en disant “parlez moi des ~15% d’obèses, on parlera des 2% d’anorexiques”.



Des gras du bide qui parlent d’incitation à la maigreur. Bah voyons.







Ils ont réglé ce problème récemment.


Le 02/04/2015 à 19h 20







David_L a écrit :



De mon expérience, la réponse dépend aussi pas mal de ton conseiller et des rapports que tu entretiens avec. Mais depuis que le délire ambiant est d’en changer tous les ans… autant dire que c’est compliqué <img data-src=" /> Mais une fois de plus, s’il était aussi simple de changer de banque que de téléphonie mobile, certains y regarderaient sans doute à deux fois (même si de toutes façons nombreux sont ceux qui comptent t’enfermer avec un crédit immo ou autre en complément).







Effectivement, comme tout relationnel, des fois cela ne passe pas. Cependant il existe des banques dont le personnel n’est pas rémunéré à l’objectif (Crédit Agricole par ex.), et la relation dans ce cas n’est pas du tout la même : la fidélité ça paye réellement, ne serait-ce que pour les conseils avisés dont tu ne profiterais probablement pas avec un simple commercial, comme tu le dis plus haut, voire sur les conditions de prêts/placements bien plus favorables.



Bref tout cela pour dire que, pour l’avoir aussi testée, la politique de l’abeille n’est pas forcément la meilleure pour son intérêt à long terme.


Le 02/04/2015 à 19h 02







David_L a écrit :



Ce comportement me vient surtout d’une époque où l’on disposait de réels conseillers, et quand ma banque avait tendance à me remplacer un bon par un nouveau tout naze, je changeais. Je n’ai jamais été fidèle à une banque, pas plus qu’à un autre service. J’ai un besoin, il y a des offres, je cherche là où je me sens le mieux. Tout l’avantage/le problème (selon le point de vue) dans le monde bancaire, c’est que le service a tout le pouvoir, avec une grosse difficulté de bouger / fermer. C’est d’ailleurs un gros souci pour ce qui est de “tester” les offres de ce secteur.



D’où l’intérêt des évolutions sur la mobilité bancaire qui pourra (espérons-le) favoriser un peu la recherche de fidélisation, l’émergence de services innovants, la concurrence, etc.







L’expérience est complétement à l’opposé dans le monde pro. Tu as un conseiller attitré dont tu ne changes que quand il part en retraite, décède ou est muté. La fidélité fait que les gains en temps et en résultats (pro et personnels) sont à ton avantage, surtout si le courant passe bien.



Dans tous les cas, le niveau de tes revenus détermine toujours une réponse différentiée de la part de la banque (pas de neutralité bancaire !).


Le 02/04/2015 à 18h 50

Ces nouveaux systèmes d’approche sont bons pour hameçonner le quidam avec des besoins basiques, mais sérieusement, quand il va falloir discuter le taux d’intérêt d’un emprunt, de ses modalités particulières ou de placements, la communication avec un humain est irremplaçable.

Le 02/04/2015 à 15h 50

Tout ce formatage bas niveau va nous faire remonter dans le classement PISA. C’est l’essentiel.

Le 02/04/2015 à 14h 51







Gemogof a écrit :



on s’éloigne du sujet … quoi que … J’ai beaucoup de mal avec ce genre de discours caricatural.

une majorité de pique-assiette pour une minorité de travailleur ?

C’est sûr que tous les gens au chômage sont ravis de l’être !

Et puis on peut travailler et avoir droit à des aides. En ce moment je bosse 45h/sem payées 35h, je viens d’avoir un minot et j’ai droit à la PAJE. Je n’ai pas l’impression d’être un pique-assiette.

Quand j’étais étudiant, je n’avais pas l’impression d’être un pique-assiette en touchant les APL.

Quand ma femme a été en congé maternité dire qu’elle était un pique-assiette je considère ça comme une insulte.

Faire le choix d’arrêter de travailler pour élever son enfant et être en congé parental n’est pas être pique assiette.



 Je pourrais continuer longtemps comme ça … mais je vais arrêter là avant d’être grossier







1/ Les chômeurs ne sont pas à blâmer (du moins pas tous), mais les promoteurs officiels du chômage de masse.

2/ Je pense avoir largement différencié pique-assiette et travailleur dans mon commentaire. Ceci étant posé, tes faux-“droits” ne sont que des compensations mineures et risibles de ce que l’on te vole par ailleurs. Tu ne sembles pas t’en rendre compte, mais les intermédiaires gestionnaires et redistributeurs de tes faux-“droits” sont les parasites qui vivent à tes dépends.

3/ L’argent de ton APL aurait pu servir de meilleure façon ailleurs, càd par celui qui a été légalement mais illégitimement dépouillé du fruit de son travail.

4/ C’est ton droit, comme c’est le mien de penser que les couples qui choisissent d’avoir un/des enfant/s parce qu’on leur promet une tirelire récurrente pour ce faire ne sont pas dignes d’être parents.

5/ J’ai toujours refusé les faux-droits” : je préfère aimer mes gamins pour ce qu’ils sont plutôt que pour l’argent qu’il représente. Ce n’est apparemment pas le cas de tout le monde.



Le parasite n’est pas capable d’apprécier son hôte, seulement son prochain repas.


Le 02/04/2015 à 13h 42







DetunizedGravity a écrit :



“Le dernier objectif d’OpenFisca est encore plus ambitieux, mais terriblement d’actualité : rationnaliser l’inflation législative, c’est-à-dire l’empilement croissant de nouvelles réglementations. « Si on a de meilleurs outils de simulation des règles et des impacts des réformes, il y a une chance que ça permette de mieux légiférer » pense ainsi Henri Verdier.”



Donc, un, il faut lire ce qu’on critique. Et, deux, en ce qui me concerne, je préfère une démarche rationnelle de simplification plutôt qu’une stratégie énervée de la table rase au mépris des imprévisibles mais inévitables conséquences.



[EDIT] Mise en page







1/ C’est louable, mais si l’Histoire récente sert de guide, alors il y a nettement plus d’“une chance” que l’initiative se termine comme cela.



2/ J’aime l’ironie : la situation actuelle où une majorité de piques-assiette vit au dépend d’une minorité de travailleurs ne dérive en rien des empilements démagogiques de 50 ans de politique court-termiste, où l’analyse prospective, la faisabilité et l’application sur le terrain des trains de propositions ne sont jamais suivi d’évaluation critique des impacts et des conséquences rigolotes et systématiquement inattendues qui expliquent a posteriori l’existence de tous ces manèges à gerbille. Bien sûr.


Le 02/04/2015 à 09h 55







ZeHiro a écrit :



github.com GitHubIls attendent tes commits pour l’UI.

Pour le reste, je te ressers un verre?







Je préfère investir mon temps dans des actions plus productives et à la finalité plus vaste et certainement plus bénéfique, sociétalement parlant. Creuser au fond du trou n’en est pas une.


Le 02/04/2015 à 13h 48



La prochaine étape, j’espère, ce sera une « pull request » d’un politique.



Et celle d’après c’est from scratch.