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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 19/09/2016 à 09h 40







zhebulonn a écrit :



Économie capitaliste financée par de l’argent public lui même taxé/imposé/escroqué au privé => la boucle est bouclée



et l’inefficacité du système de subvention démontrée par rapport au système de boucle bien plus courte : économie capitaliste financée par de l’argent privé lui-même issu de l’économie capitaliste financée etc, merci de ta participation.


Le 19/09/2016 à 09h 11







zhebulonn a écrit :



“De son côté, le CNES ne se met pas dans des « situations à risque », car le développement se fait « avec de l’argent public ».”





Citation qui rappelle le fameux, « C’est pas cher, c’est l’État qui paye ! ». L’ironie est assez croustillante. Cf mon commentaire précédent.


Le 19/09/2016 à 09h 08







joma74fr a écrit :



Éonomie capitaliste quand même largement subventionnée par les “bureaucrates” de Washington (NASA) et Paris (ESA/CNES), sans oublier ceux de Pékin (CNSA).  <img data-src=" />







Subventions qui dérivent des profits taxés/imposés antérieurement voire escroqués par la baisse continue du pouvoir d’achat. Quant à l’inefficacité/contre-productivité des subventions, elle n’est plus à démontrer.


Le 19/09/2016 à 08h 05

De nouveau marchés, de nouveaux usages à satisfaire, de nouveaux clients à combler, de nouveaux profits à redistribuer en perspective, etc : l’économie capitaliste (désolée pour la redondance) dans toute son efficacité.



L’approche chez Ariane est intéressante.

Le 19/09/2016 à 09h 34



il revient finalement aux juges du fond de combler cette carence législative



Je préfère personnellement que ce soit la jurisprudence qui définisse les critères d’une « consultation d’habituelle » ou autres. La loi devrait rester générale et laisser les détails à l’application de la justice.



Les incompétents qui rédigent ces textes le sont déjà assez pour négliger et/ou saboter des points bien plus graves.

Le 19/09/2016 à 09h 25







gavroche69 a écrit :



Concernant le point n°9 de ton deuxième lien, je ne vois pas trop le rapport avec la nostalgie…

On peut être nostalgique pour plein de choses sans pour autant être ancré dans des traditions à la con.



Personnellement je n’aime pas les traditions dont la plupart conduisent à faire survivre des comportements plus ou moins barbares, ça ne m’empêche pas d’être parfois nostalgique… <img data-src=" />





Le rapport est que l’illogisme du commentaire de départ réside dans sa trop large portée et sa non-spécificité par rapport au passé : « les années 90 » et « moins bordéliques ». Ce ne sont pas des arguments parce qu’il est impossible de les rattacher à des faits précis qui viendraient les soutenir (cf le sarcasme du commentaire précédent le tien).



La nostalgie et la tradition non-spécifiques tombent dans le même travers : trop vague.


Le 18/09/2016 à 10h 39







vizir67 a écrit :



“encore, un nostalgique” !

(snif, snif) ! <img data-src=" />







Cette considération (“le passé meilleur que le présent”, “les bons vieux jours”, etc ou argumentum ad antiquitatem pour les latinistes) est surtout un sophisme très courrant, mais non moins illogique (n°9).


Le 16/09/2016 à 17h 22







fred42 a écrit :



Je vais faire rapide, ça devient pénible.





Moi je trouve cela amusant.









fred42 a écrit :



Pour répondre à restera-t-il des des vivants, il est inutile de considérer ceux qui seront à peu près sûrement morts dans 50 ans, c’est-à-dire ceux de plus de 47 ans. J’en oublie très peu en faisant cette simplification. La moyenne ne mène à rien.





Je vois ce que tu veux dire.









fred42 a écrit :



Tu es maintenant en train de dire qu’il y aurait plus de vieux (plus de 47 ans) que de jeunes. Si on suit cette hypothèse, comme 47 ans est l’âge moyen, l’âge des plus jeunes s’éloigne forcément de la moyenne de part la définition même de la moyenne.

Plus l’âge des plus jeunes s’éloigne de la moyenne (donc, plus ils sont jeunes), plus leur chance de vie à 50 ans sera élevée et donc cela compense largement le fait qu’ils soient moins nombreux.





C’est vrai, mais comme tu l’indiques toi-même plus haut, tu es obligé de pondérer par l’effectif. Comme l’entrée sur le marché de chauffeur de taxi est excessivement difficile (monopole, coût astronomique de la licence à rentabiliser sur le long terme, etc) le nombre de jeune est comparativement très très faible par rapport aux âgés, et de plus en plus faible de plus en plus jeune.







fred42 a écrit :



Trace la courbe des survivants par âge que je t’ai conseillée, tu comprendras mieux.



Mais fin de la participation pour moi, je vais couper le PC.





Sans les données réelles, c’est impossible.



Ce n’est qu’un exercice statistique intéressant qui démontre qu’on peut conclure ce que l’on veut tant que le futur n’est pas écrit.


Le 16/09/2016 à 16h 33







fred42 a écrit :



Non, quand on ne connaît pas la distribution et que l’on pense qu’elle a une importance, on dit qu’il nous manque une information et que l’on ne sait pas résoudre le problème. La moyenne dans ce cas n’a que peu de chance de donner la bonne réponse.





Quand on veut répondre à une question binaire sur une population (restera-t-il des chauffeur de taxi vivants dans 50 ans, oui/non), une moyenne est bien suffisante parce qu’on s’intéresse à la population globale, pas à une de ses composantes. Elle est statistiquement appropriée dans ce cas.









fred42 a écrit :



J’ignorais les plus vieux parce qu’ils ont une espérance de vie quasi nulle à + 50 ans en supposant juste une équi-répartition, mais je divise par 2 le résultat puisque certains des seuls les plus jeunes survivent à + 50 ans.





La supposition de l’équi-répartition est juste de la pensée magique et est probablement fausse (cf plus bas). La division par 2 tombe du ciel avec 0 justification mathématique.









fred42 a écrit :



Sauf que dans 50 ans, quelqu’un de 36 ans aura 86 ans, pas 98 ans et ça change beaucoup le taux de survie qui est alors de 35.88 % !

Côté truanderie comme tu dis, tu te poses là !





Exact. Cependant, comme tu ne disposes pas de la pyramides de répartition des âges, ton beau château de cartes théorique n’est que du vent. Si la courbe de répartition est fortement négativement asymétrique (décalée vers la droite, ce qui est probable vu le prix élevé des licences à rembourser), la moyenne sera encore une fois un indicateur biaisé conservativement : la médiane voire le mode serait plus approprié, mais comme là aussi on ne les connaît pas, …


Le 16/09/2016 à 16h 14







atomusk a écrit :



je suis loin d’être un expert sur la question





Tu suis ? <img data-src=" />


Le 16/09/2016 à 16h 11

Tes 2 erreurs sont de croire :

1/ que le taux de mortalité de la sous-population moins âgée de cette profession est vastement supérieur à celui de la population plus âgée ;

2/ que le taux de mortalité de la sous-population moins âgée de cette profession est vastement différent de celui de la population générale de même classe d’âge.



L’avantage de l’espérance de vie est qu’elle prend déjà en compte ces taux du fait qu’elle est basée sur la population globale : elle est égale à tous les taux de mortalité par classe d’âge pondéré par leur effectif respectif.



Donc la moyenne inclue déjà ce que tu demandes !

Le 16/09/2016 à 15h 52







fred42 a écrit :



Je réagissais initialement à :

qui répondait à :



Tout d’abord, je ne retrouve pas tes 0 à 9 % mais 2,75 à 5,5 % pour les hommes et 8,36 à 14,7 % pour les femmes.

Si on moyenne, on arrive à entre : 5,55 % et 10,1.





J’ai pris homme au 1er janvier 1968 (donc 47 ans), avec survie à 50 ans = 97 ans, soit 96 ans et 98 ans car 97 ans n’est pas disponible :

source avec plus faible résultat à 98 ans : 0%

source avec plus fort résultat à 96 ans : 9.06%



Donc entre 0 et 9%. Il est complètement et statistiquement absurde de faire une moyenne sur ces %.









fred42 a écrit :



Dans ce qui suit, je n’ai pris que chiffres pour hommes, ce qui m’est défavorable.





Les taxis sont en très grande majorité des hommes (91%), donc choisir homme est conforme à la réalité de la population observée.









fred42 a écrit :



Je dis juste que tous les chauffeurs de taxi qui ont un âge inférieur à la moyenne ont des chances de survie à 50 ans supérieures (et même nettement supérieures à la moyenne que tu présentes : trace la courbe avec quelques points, ça ne décroît pas si vite (pour 42 ans, on a encore 15,5 % de survivants dans 50 ans)) et donc augmentent la quantité de chauffeurs vivants.





Et a contrario tous les chauffeurs de taxi qui ont un âge supérieur à la moyenne ont des chances de survie à 50 ans inférieures (et même nettement inférieures à la moyenne. D’où l’utilisation de la moyenne quand on ne connaît pas la pyramide des âges.









fred42 a écrit :



Je veux bien négliger les chauffeurs âgés de plus de 47 ans, leur chance de survie à 50 ans est faible.





Pourquoi ne pas négliger ceux âgés de moins de 47 ans, ils sont encore moins nombreux puisque le rachat à prix fort de la licence les oblige mécaniquement à travailler plus tardivement. Cela ne changerait de toute manière rien, les tables donneraient le même résultat.









fred42 a écrit :



Donc, même en divisant par 2 la chance de survie pondérée par l’âge pour obtenir une moyenne sur toute la population, on est supérieur à une espérance de vie de l’âge moyen. Cela se voit assez bien sur un graphique avec le % de survie à + 50 ans en ordonnée et l’âge en abscisse.





Évidemment avec la truande précédente, on peut arriver à tout faire dire à des données torturées. Ton raisonnement est faux, car le convertisseur donne logiquement pour un homme de 36 ans sa survie à 98 et 96 ans entre 0% et 8.92%, soit très proche des 0-9% trouvé pour la moyenne à 47 ans. Cela est tout à fait normal. Les tables actuarielles te le garantissent.









fred42 a écrit :



Quant à tes suppositions d’écart par rapport à la population générale, elles sont sans justification sourcées et de toute façon, ne vont pas changer énormément les résultats.





La sécu ne communique pas (ou je ne les ai pas trouvé) de chiffres sur la mortalité par profession, mais il est évident que cette profession fait partie des plus risquées. C’était un point secondaire de toute manière, seulement abordé pour indiquer un biais conservateur de mon estimation initiale.


Le 16/09/2016 à 13h 04







fred42 a écrit :



Je maintiens que tu n’apportes pas les bons arguments.



Il faudrait intégrer les résultats de chaque age en pondérant par le nombre et les chances de survie (et non pas l’espérance de vie) dans 50 ans pour avoir une information intéressante. Utiliser l’espérance de vie moyenne et l’âge moyen d’une population pour espérer arriver à un résultat est bien une escroquerie intellectuelle.



Juste un exemple quelqu’un de 36 ans a une chance de survie dans 50 ans de 37,93 % suivant le simulateur dont tu as donné le lien.





Il n’y a aucune logique à intégrer les résultats de chaque âge, parce qu’on ne possède pas ces informations et qu’on ne connaît pas non plus la répartition des âges dans la population étudiée. La pondération est donc impossible. La seule possibilité restante est d’utiliser l’âge moyen. De plus vu l’enjeu, une moyenne est bien suffisante pour l’exercice.



En outre, ton affirmation présuppose que mon résultat serait biaisé par l’utilisation d’une moyenne à la place d’une somme de moyennes : pour cela il faudrait que tu démontres que les variables utilisées sont hétéroscédastiques, càd que l’ensemble de tes sous-populations présentent des variances différentes de la population totale. Comme tu n’as pas ces données, bonne chance.



Les « chances de survie » sont déjà intégrées dans les espérances de vie de chaque âge qui sont données dans les tables de mortalité/survie (le domaine qui les chapeaute s’appelle d’ailleurs « analyse de survie »).



Ergo, les tables actuarielles de survie sont construites d’après des modèles paramétriques basés sur des données empiriques de survie des populations à chaque âge, et ces tables sont réglementées en France et construites par l’INSEE (TH et TF 00-02 pour respectivement Homme et Femme).



De plus, on ne s’intéresse pas aux chance de survie (qui n’ont d’intérêt qu’individuellement), mais à l’espérance résiduelle de survie d’un groupe (puisque c’était la question), càd la probabilité d’être encore en vie dans t+n années quand la population a l’âge t.



Pour finir le résultat 0-9% est donné pour une population générale, alors que celle des chauffeurs de taxi présente des risques non nuls de décéder prématurément (accident, risques sédentarité, etc). Il faudrait donc corriger à la baisse cette fourchette.


Le 16/09/2016 à 11h 00







atomusk a écrit :



je suis loin d’être un expert sur la question, mais la définition de l’espérance de vie étant :



l’espérance de vie à la naissance est égale à la durée de vie moyenne d’une population fictive qui vivrait toute son existence dans les conditions de mortalité de l’année considérée.



Comment est calculé la “correction” ? <img data-src=" />





La définition me semble correcte pour une espérance à t=0, mais l’INSEE calcule aussi des espérances par tranches d’âge avec une méthode non accessible. Le convertisseur donné plus haut ne spécifie pas la méthode utilisée non plus. À vue de nez et logiquement, la correction devrait prendre en compte la dernière tendance, mais je ne connais pas la méthode réelle employée.



Correction : « Le résultat (du convertisseur) est donc une estimation statistique à l’aide de techniques actuarielles utilisées en assurance-vie. »


Le 16/09/2016 à 10h 55







fred42 a écrit :



C’est une escroquerie intellectuelle de parler d’âge moyen pour savoir si les chauffeurs de taxi actuels seront vivants dans 50 ans.

Il faudrait plutôt étudier l’age des plus jeunes.

Supposons qu’il soit de 25 ans, ce qui me semble plausible. Dans 50 ans, ceux-ci auront 75 ans et en fonction de l’espérance de vie dont tu parlais plus haut, ils seront statistiquement tous en vie.





Pas du tout, c’est statistiquement pertinent de prendre en compte la population totale, parce que la question est de savoir combien il en restera à la fin sur ce nombre.



Il est certes évident que les plus jeunes seront les moins concernés par le décès, mais leur nombre étant très inférieur au nombre total, le différentiel avec la méthode en population globale sera au final de 𝜺, soit 0 pratiquement.



Tu peux faire le calcul sur le convertisseur en ligne (lien donné plus haut) le résultat est le même : entre 0 et 9% de survie selon les sources.


Le 16/09/2016 à 10h 13







Gormador a écrit :



<img data-src=" />



Pour contribuer au débat : la robotisation de nos sociétés a déjà largement commencé. Son augmentation est plus que souhaitable : elle est nécessaire. Elle forcera nos sociétés à changer et à accepter que le travail contraint n’a plus lieu d’en être un pilier.

Le plus tôt sera le mieux.





Ce n’est pas moi qu’il faut convaincre, mais tous les dépendants (salariés, fonctionnaires, etc) : s’ils pouvaient innover et produire au lieu de simplement exécuter, on serait bien plus riche et sans chômeur (ou presque).



Mais au pays de la rente payée par les autres, le statu quo est difficilement surmontable sans froisser les diverses paroisses qui profitent cyniquement de ce système.


Le 16/09/2016 à 09h 50







atomusk a écrit :



tu as considéré dans ton calcul l’augmentation de l’espérance de vie ? <img data-src=" />



Bon on encule un peu des mouches là <img data-src=" />





Pas de sens, le calcul de l’espérance de vie contient déjà une estimation de cette augmentation (par définition). Autrement dit, la population qui nous intéresse est celle de maintenant, pas celle dans 20 ans.


Le 16/09/2016 à 09h 44







atomusk a écrit :



Dans 50 ans il y en aura encore quelques un en vie quand même <img data-src=" />





Les chances de survie d’un homme français de 47 ans à 96-98 ans sont entre 0 et 9 %, selon les sources.


Le 16/09/2016 à 09h 32







atomusk a écrit :



non, mais c’est bon, ne change rien, les voitures dans 50 ans auront toujours besoin de 2 employés de Uber + un employé Google dans le coffre au cas où <img data-src=" />





Le mieux, économiquement, c’est 0.







atomusk a écrit :



Tu veux tuer les chauffeurs de taxi ? <img data-src=" />



Dans 50 ans il y en aura encore quelques un en vie quand même <img data-src=" />





L’âge moyen d’un chauffeur de taxi est d’environ 47 ans. Plus 50 cela fait 97. Une très grande majorité d’hommes, avec une espérance de vie actuelle de ~80 ans. En supposant une distribution normale, oui, statistiquement, il en restera bien quelques uns, mais vraiment pas beaucoup (j’ai la flemme de faire le calcul exact).


Le 16/09/2016 à 09h 12







atomusk a écrit :



dans 5 ans ? 10 ans ? 50 ans ? on verra …





Dans 50 ans, tous ces chauffeurs de taxi seront morts, et nos petits-descendants se demanderont avec une condescendance non feinte comment dans le temps (maintenant donc) on pouvait perdre autant de temps et d’humains dans une activité si vile (joke inside) et frustre que le transport. Tourner un volant, c’était vraiment pour des arriérés !


Le 16/09/2016 à 09h 08







atomusk a écrit :



quand quelqu’un parle de future, tmtisfree regarde les années 1930 <img data-src=" />





Je n’ai pas trouvé plus ancien, désolée. <img data-src=" />



Le point était pour illustrer le // entre les 2 situations. Mais j’aurais pu donner un exemple avec la révolution verte des années 50-60 qui a finalement, en si peu de temps, « déplacé » le monde rural vers la ville. Qui s’en plaindra (à part quelque hippies) ?



Dans ce genre de problématique à long terme, il y a un avantage certain : en parlant du futur, tout le monde peut affirmer ce qu’il veut et il ne prend pas beaucoup de risque à être réfuté puisque quand ce futur sera là, lui ne le sera plus.


Le 16/09/2016 à 08h 16







Ph11 a écrit :



En plus, un emploi de technicien est plus coûteux que celui de chauffeur.





Je n’ai pas voulu faire trop compliqué non plus, une partie du lectorat aurait vite décroché.


Le 15/09/2016 à 14h 16







SebGF a écrit :



Dans le cas où le ptit vieux met une main au cul au robot, peut-il porter plainte pour harcèlement sexuel ?



(bien que cet aspect fasse partie du métier d’aide soignant… Ma belle soeur n’y fait même plus attention)





J’ai lu quelque part que nos amis polytocards envisageaient déjà d’attribuer une personnalité juridique aux robots. Tout est possible au pays de la pensée magique.


Le 15/09/2016 à 13h 22







coucou_lo_coucou_paloma a écrit :



Et avec la diminution du nombre d’accidents, moins de travail pour les services des urgences, les pompes funèbre, les carrossiers, mécano et constructeurs automobile, les experts d’assurance et employés d’assurance.



Heureusement que toutes les vies épargnées feront davantage de vieux totalement séniles, et qu’il y faudra davantage d’aide-soin, d’infirmiers…





Il y aura des robots pour cela…


Le 15/09/2016 à 13h 19







knos a écrit :



Jusqu’au moment ou n’y aura plus besoin d’intervention humaine du tout. Et là ce sera la merde.





Dans un système statique et fermé, très certainement. L’économie n’est ni statique ni fermée.


Le 15/09/2016 à 12h 55

Résultat actuel de l’opération :



-1 chauffeur de taxi

+2 techniciens

= 1 emploi supplémentaire visible plus la tripotée de managers, techniciens et autres intervenants pour développer/piloter/maintenir le système.



Schumpeter en action. QED

Le 16/09/2016 à 10h 42







durthu a écrit :



Bizarre…



Avec LGPI, j’ai l’impression que nous n’avons pas ce problème.





C’est pareil avec le LGPI : impression feuille de soin, numérisation, et envoi en dématérialisé.


Le 16/09/2016 à 10h 37







Ingénieur informaticien a écrit :



Résignation complice ?





Les paroisses sont bien ancrées dans le paysage socio-économico-politique. Quand on sait que les 23 des élus sont des fonctionnaires (ou assimilés), on se doute que le système n’est pas près d’évoluer : qui aura le courage de se tirer une balle dans le pied ?



Les fonctionnaires devraient être inéligibles, comme aux USA, en Suisse et en Grande-Bretagne. Actuellement, pour un fonctionnaire, se présenter à une élection revient pour lui à pile je gagne et face je ne perds pas.


Le 16/09/2016 à 10h 20







Ingénieur informaticien a écrit :



Et le passage de 50 lignes à 4 lignes inscrites, c’est pour quand ?





Tu penses bien que cela ferait diviser le nombre de ponctionnaires par à peu près autant : la France tient à son prestige de nation civilisée et taxatrice, Mossieu !


Le 16/09/2016 à 09h 18



les employeurs devront respecter de nouvelles règles … réaliser des économies aux entreprises.



Warning trigger, does not compute.



Les moments de dissonance cognitive des polytocards sont toujours une délectation pour l’esprit.

Le 16/09/2016 à 08h 13







levieuxtoby a écrit :



J’avais dé-filtré pour suivre la “conversation”, grosse erreur, je re-filtre.





Je vais donc pouvoir te répondre sans possibilité pour toi de te défendre.



C’est magnifique l’auto-censure. <img data-src=" />


Le 15/09/2016 à 19h 11







ActionFighter a écrit :



FTFY <img data-src=" />





Je ne comprend pas ton acronyme barbare, mais je vois que tu maîtrises les salades.


Le 15/09/2016 à 16h 22







Cartmaninpact a écrit :



(Sinon d’après mes sources, rien que Sanofi vaut 25% de Facebook, donc il doit y avoir une couille dans ton calcul)





L’auteur de l’article parle en fait des entreprises technologiques du secteur IT. Donc pas Sanofi.


Le 15/09/2016 à 15h 48







blbird a écrit :



Tu devrais citer la totalité des phrases, ce serait plus compréhensible : “En préférant le succès de l’industrie nationale à celui de l’industrie étrangère, il ne pense qu’à se donner personnellement une plus grande sûreté ; et en dirigeant cette industrie de manière à ce que son produit ait le plus de valeur possible, il ne pense qu’à son propre gain ; en cela, comme dans beaucoup d’autres cas, il est conduit par une main invisible à remplir une fin qui n’entre nullement dans ses intentions”.

 

La conclusion est simple : la main invisible fait son office lorsque tu as des préférences nationalistes <img data-src=" />. Cette histoire de main invisible, c’est juste n’importe quoi : il n’y a aucune preuve de l’existence d’une régulation divine quand tout est laissé libre, à part cette citation d’un PHILOSOPHE.

 

Se baser là-dessus décrédibilise tout le reste des propos.





Ta traduction est nulle et ton contre-sens patent : le § entier est :

But the annual revenue of every society is always precisely equal to the exchangeable value of the whole annual produce of its industry, or rather is precisely the same thing with that exchangeable value. As every individual, therefore, endeavours as much as he can both to employ his capital in the support of domestic industry, and so to direct that industry that its produce may be of the greatest value; every individual necessarily labours to render the annual revenue of the society as great as he can. He generally, indeed, neither intends to promote the public interest, nor knows how much he is promoting it. By preferring the support of domestic to that of foreign industry, he intends only his own security; and by directing that industry in such a manner as its produce may be of the greatest value, he intends only his own gain, and he is in this, as in many other cases, led by an invisible hand to promote an end which was no part of his intention. Nor is it always the worse for the society that it was no part of it. By pursuing his own interest he frequently promotes that of the society more effectually than when he really intends to promote it.



Traduction

Mais le revenu annuel de toute société est toujours précisément égal à la valeur échangeable de tout le produit annuel de son industrie, ou plutôt c’est précisément la même chose que cette valeur échangeable. Par conséquent, puisque chaque individu tâche, le plus qu’il peut, primo, d’employer son capital à faire valoir l’industrie nationale, et secundo, de diriger cette industrie de manière à lui faire produire la plus grande valeur possible, chaque individu travaille nécessairement à rendre aussi grand que possible le revenu annuel de la société. A la vérité, son intention, en général, n’est pas en cela de servir l’intérêt public, et il ne sait même pas jusqu’à quel point il peut être utile à la société. En préférant le succès de l’industrie nationale à celui de l’industrie étrangère, il ne pense qu’à se donner personnellement une plus grande sûreté ; et en dirigeant cette industrie de manière à ce que son produit ait le plus de valeur possible, il ne pense qu’à son propre gain ; en cela, comme dans beaucoup d’autres cas, il est conduit par une main invisible à remplir une fin qui n’entre nullement dans ses intentions ; et ce n’est pas toujours ce qu’il y a de plus mal pour la société que cette fin n’entre pour rien dans ses intentions. Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d’une manière bien plus efficace pour l’intérêt de la société que s’il avait réellement pour but d’y travailler.



Quand il parle d’« industrie nationale », A. Smith parle d’économie nationale et de la société en général à l’opposé de l’intérêt particulier. Il n’y à rien de « nationaliste » au sens politique actuel et dévoyé du terme, surtout quand la globalisation actuelle des échanges représente moins de 10% de l’activité économique US, et bien moins ailleurs (et 𝜺 à l’époque de A. Smith).

La main invisible est sa traduction d’un phénomène qu’il préssent mais ne parvient pas à expliciter : ce qui est compréhensible, la science de l’émergence, de l’ordre à partir du désordre, est récente. Il n’y a aucune utilité à étaler ton ignorance publiquement et ton interprétation est donc 100% à côté de la plaque. Lire (et tenter de comprendre) The theory of Spontaneous Order and Cultural Evolution in the Social Theory of F. A. Hayek pour une mise en perspective et une discussion élargie sur le sujet de l’ordre spontané.


Le 15/09/2016 à 14h 45







Cartmaninpact a écrit :



Mais ce n’est pas du tout dû à une bulle spéculative sur les publicitaires (Facebook/Google), alimentée par la planche à billet américaine en roue libre depuis 10ans? La main invisible va venir avec ses petits doigts boudinée mettre un coup cutter dans cette bulle, et tout reprendra gentiment son chemin sur la belle route de la concentration du capital <img data-src=" />



Planche à billets dont le fonctionnement et la vitesse d’impression dépendent exclusivement du mandat des polytocards US vis à vis de la Fed pour :

1/ inonder la finance qui le rendra bien en achetant les obligations de l’État US et creuser un peu plus son déficit ;

2/ tenter d’éponger les crises causées par ces mêmes planche à billets utilisées quelques années avant (2000).



Tout cela fleure bon l’amateurisme et les conflits d’intérêts. La « main invisible » n’a pas besoin de polytocards pour faire son office, surtout quand on prétend perpétuer ce système, pour le bien commun assurément, en revotant à chaque sainte élection.







Cartmaninpact a écrit :



(Sinon d’après mes sources, rien que Sanofi vaut 25% de Facebook, donc il doit y avoir une couille dans ton calcul)



La source est le Financial Time (payant) :

But EU legislators should be wondering why Europe’s eight most valuable companies are only worth about 10 percent of Facebook or 6 percent of Google.



Le terme « capitalisation » est peut-être mal choisi mais l’auteur n’est pas très clair non plus.


Le 15/09/2016 à 14h 29







blbird a écrit :



Non mais sérieusement tmtisfree, mais d’où tu sors? Que fais-tu dans la vie? Il faut faire une étude poussée sur un cas comme toi. <img data-src=" />



Allez, pour ta fameuse “main invisible”, c’est une erreur de journaliste à l’origine.



Le journaliste avait traduit : “chaque personne, recherchant son intérêt individuel, est conduit comme par une “main invisible” à promouvoir le bien commun.” Alors qu’il fallait traduire :



“Lorsque les entrepreneurs préfèrent investir dans leur pays plutôt qu’à l’étranger - par peur du risque - cela bénéficie à l’économie nationale alors que ce n’est pas dans leurs intentions, eux qui ne recherchent que le profit.”



L’inverse quoi en gros. Et ensuite tu te sources sur une personne qui a fait une thèse sur une mauvaise traduction, ou l’original est l’inverse de ce qui a été traduit? Épique! <img data-src=" />





C’est quoi ce charabia et cette source ridicule ? Autant demander au pape une encyclique sur les positions amoureuses en apesanteur. Ma source est le texte original d’A. Smith :



and by directing that industry in such a manner as its produce may be of the greatest value, he intends only his own gain, and he is in this, as in many other cases, led by an invisible hand to promote an end which was no part of his intention



où on comprend facilement que A. Smith fait référence à ce qu’on appelle aujourd’hui un ordre spontané ou émergent ou auto-organisé.


Le 15/09/2016 à 12h 48







ActionFighter a écrit :



En fait, la main invisible, ce sont les gifles que tu prends quand t’as pas de capital <img data-src=" />





Seulement le pied très visible de ton incompétence.


Le 15/09/2016 à 12h 47







Paladin_Fr a écrit :



j’adore la “main invisible” ou magique. C’est un juste une expression pour dire qu’on maitrise rien et qu’on ne comprend pas.

La “main invisible” du marché :) J’image bien la même chose dans la physique :)





Il se trouve que ce phénomène existe en science mais qu’on le nomme ordre spontané, ou auto-organisation. P. Krugman a écrit un livre sur le sujet en économie, et il y a toute une littérature dessus. Certains aiment étaler leur ignorance.



On peut reconnaître à A. Smith une finesse d’observation et d’analyse à l’époque que beaucoup devrait lui envier maintenant.


Le 15/09/2016 à 12h 41







levieuxtoby a écrit :



La “main invisible du marché”, on parle de la même main qui disait en 2007 avec une assurance folle que le système était résilient et qu’il allait absorber les crises en un tournemain sans aucun effet sur les populations ou les économies ? <img data-src=" />





Non, je parle de celle d’origine. Le système financier/bancaire n’a rien de résilient tellement il est corseté par des normes, règlements et accords en tout genre (one size fits all comme disent nos amis anglo-saxons) et à la merci des politiques (un coup je t’utilise pour me renflouer, un coup tu m’utilises pour te renflouer). États-finance même combat : siphonner l’économie productive.



Quand l’aléa moral a été sacrifié sur l’autel des intérêts particuliers et mutuellement avantageux (sur le dos des travailleurs-producteurs) de la caste politique et des barons de la finance couchants ensemble, et qu’il se trouve encore des ahuris pour cautionner ce système en votant, tout est possible, même le ridicule.


Le 15/09/2016 à 12h 32







ActionFighter a écrit :



J’en conclut donc que les Somaliens n’ont pas de main invisible et qu’il n’y a rien de naturel là-dedans <img data-src=" />





Tu t’es remis à fumer. Cela se voit. <img data-src=" />


Le 15/09/2016 à 12h 13







ActionFighter a écrit :



Ouais, comme en Somalie :vapoter:



Si tu ne vois pas ta contradiction là, je peux rien pour toi…





Je vois surtout une belle tentative d’« argumentation » circulaire… <img data-src=" />


Le 15/09/2016 à 12h 12







Grocell a écrit :



On ne parle pas de la disparition des allumeurs de réverbères au profit de la naissance du métier d’électricien, ni de la disparition des copistes au profit des imprimeurs  … On parle de métiers qui restent exactement les mêmes mais qui sont opérés par des machines …



Tes 2 premiers ex. sont qualitativement identiques aux « métiers qui restent exactement les mêmes mais qui sont opérés par des machines » : les allumeurs de réverbères ont été remplacés par les réverbères eux-mêmes et les copistes par les imprimantes.

D’autres métiers ont été créés en // (électriciens et imprimeurs), et il n’y a aucune raison valable pour que d’autres métiers ne soient pas créés pendant la disparition de celui de conducteur de taxi (une activité monopolistique artificielle à faible rentabilité).







Grocell a écrit :



… Il n’y a plus eu de créations de grandes industries qui aient créent des milliers d’emploi recement, et SURTOUT, pas d’emploi peu qualifiés qui sont les premiers à disparaître … pourtant il restera toujours des gens peu qualifiés.



Surtout en Europe, je te laisse deviner pourquoi : les 8 plus grosses capitalisations européennes ne valent pas plus que 10% de Facebook. Surtout en France où notre performance en matière éducation/formation (cf PISA) fait de nous les cancres européens.



Si vous préférez écouter les élucubrations prophétiques (dans 70 ans !) et alarmistes (millions de chômeurs qui sont déjà là !) des abrutis et parasites qui vous ont conduit et laissé dans l’ornière économique et du chômage de masse depuis 50 ans, soit, mais ne venez pas vous plaindre des conséquences dont vous chérissez les causes.


Le 15/09/2016 à 11h 57







ActionFighter a écrit :



Pour atteindre le haut du panier dans un système coercitif qui n’y contribue pas, il faut un autre système coercitif pour faire la transition. Ouvre les yeux :vapoter:





Cette obsession démente avec les « systèmes coercitifs », comme si on n’en avait pas vu les résultats saignants par le passé !



Raisonne sans « système coercitif » et tu verra que la « transition » « pour atteindre le haut du panier » se réalisera comme par magie (ie naturellement). La « main invisible » te le garantit.


Le 15/09/2016 à 10h 33







ActionFighter a écrit :



C’est surtout qu’aucune de tes lectures ne pourra justifier le résultat réel de ta conception économique théorique.



Le résultat de ma conception économique théorique dérive réellement de mes lectures (entre autres), donc tes présuppositions loufoques sont au mieux incohérentes (sensation de déjà-vécu ici). Mon schéma de pensée (économique entre autres) s’accorde raisonnablement et positivement avec mon environnement immédiat et à l’ensemble des informations non biaisées qui me parviennent du reste du monde ou que je récupère lors de mes déplacements.



Le principal, c’est d’accorder ses idées à ses paroles et à ses actes. M’est avis que l’hypocrisie est une attitude assez bien partagée chez le collectiviste.









ActionFighter a écrit :



Ah bon. Tu penses que les gens sont plus libres aux USA ou en Chine qu’en Somalie ? Mais pourtant il n’y a plus d’état pour assurer la coercition et réguler l’économie, tous les agents économiques y sont parfaitement libres.



Le haut du panier m’intéresse, les barbares sans morale non et les solutions de compromission actuelles encore moins. Change de disque.


Le 15/09/2016 à 15h 16







Ced-le-pingouin a écrit :



Qu’est-ce qui est fallacieux ?



Ce qui est fallacieux est de faire appel à l’émotion et l’exagération quand les données disent le contraire :

France :

https://www.notre-planete.info/environnement/pollution_air/medias/pollution-air-…

http://www.air-rhonealpes.fr/sites/ra/files/thumbnails/image/bilan2014_evolution…



Europe :

http://www.eea.europa.eu/data-and-maps/daviz/emission-trends-for-the-main#tab-ch…



USA :

https://gispub.epa.gov/air/trendsreport/2016/



Monde :

https://waqi.info/



Indiquer les améliorations n’est pas nier les problèmes existants, c’est juste informer objectivement (tu sais, la mission d’origine des sévices publiques, ceux qui nous taxent pour nous informer).


Le 15/09/2016 à 14h 58







OlivierJ a écrit :



6 000 oiseaux par an, la belle affaire… C’est rien. Sérieusement.



C’est vrai tout environnementaliste amoureux de la nature te le dira. En plus du carnage à oiseaux, j’ai oublié de préciser que ce four solaire tourne aussi au gaz naturel pour chauffer ses chaudières la journée, la nuit… <img data-src=" />



Le pinacle de la bouffonnerie escrologique.







OlivierJ a écrit :



Quant à ton lien, ça fait pas un peu Godwin ? (parcouru en diagonale celui avec “mal”)

Je suis assez grand pour critiquer le discours des écologistes disons officiels.



Je préfère toujours retourner aux sources : la vérité s’y étale toute transparente.


Le 15/09/2016 à 12h 15







Paladin_Fr a écrit :



a ben 8 ans en 2014 (peut être plus, 2006 le bluray ?), 10 ans maintenant clair que c’est pas du jour au lendemain….



tellement pas que l’uhd arrive (sans doute pour remplacer le bluray) et que le dvd reste.



oui c’est clair le bluray n’est pas destiné à supplanter le dvd du jour au lendemain….





L’objectif d’un relai de croissance est d’accompagner en margeant plus pour (peut-être) au final remplacer. La durée de l’opération n’est généralement pas prévisible (cf les OS).



Visuellement parlant pour un individu lambda, le saut qualitatif a été bien plus important de la cassette VHS à la galette DVD que du DVD au BRD sans parler du BRD au UHD. On dirait la loi des rendements marginaux décroissant appliquée à la technologie.


Le 15/09/2016 à 11h 57







Paladin_Fr a écrit :



chiffre de 2014 (en france)

CA du dvd 150 millions

CA du bluray 50 millions



et en nombre d’exemplaire :

20 millions de dvd

4 millions de bluray (j’ai arrondi)



Quel succès écrasant du bluray…





edit : c’est en à un point où j’ai vu des bluray “offert” avec le dvd… tu achètes le dvd et sur la boite c’est marqué “offre découverte bluray offert”





Le BRD n’est pas destiné à supplanter du jour au lendemain le DVD mais sert de relais de croissance (son CA est 60% supérieur au DVD, la marge ne doit pas être bien loin de 60% supérieure aussi).



Cela dit, la politique de Sony en matière de UHD physique est difficilement compréhensible.


Le 15/09/2016 à 10h 50







ActionFighter a écrit :



Quel doux rêveur… C’est la seule.



J’ai été vicieusement trompée par ton discours (apparemment) sérieux d’où étaient absentes ces petites icônes rigolotes qui font habituellement toute ta crédibilité. Mes plus humbles excuses pour ce manque de discernement.


Le 15/09/2016 à 09h 47







ActionFighter a écrit :



Moi qui pensais que c’était mon aptitude à manier le sarcasme… <img data-src=" />



Deux auto-déceptions dans la matinée, c’est rare.