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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 25/09/2016 à 11h 43



extraction du sable bitumeux



Si abattre des arbres ou consommer de l’eau est « néfaste pour l’environnement », alors tout est néfaste pour l’environnement. Cette posture éminemment stupide en soi l’est encore plus dans le cas des sables canadiens puisque le bitume est présent à l’air libre depuis des millénaires (les natifs s’en servaient pour calfeutrer leurs canoës entre autres). Le reportage date aussi car les techniques d’extraction sont maintenant beaucoup moins invasives, et les surfaces sont rendues à la Nature restaurées. De plus l’utilisation d’eau dans cette industrie est infime comparée aux quantités requises pour faire pousser du maïs bioéthanol dont le rendement énergétique au km parcouru est 13 plus faible. Enfin, selon le gouvernement canadien cette industrie fournira annuellement à terme 11 millions d’emplois pérennes tout en fonctionnant avec 0 subventions (ie pas comme les pseudo-énergies moyenâgeuses dites vertes).







Océans, le mystère plastique



1/ Le mythe du continent ou de l’océan de plastique a été réfuté par les scientifiques eux-mêmes.

2/ Si le plastique disparaît rapidement, ce n’est pas un hasard : il est consommé par des micro-organismes et recyclé par la Nature.







Les Secrets de la ruche



Abeilles et pesticides : un autre exemple de pseudo-science escrologiste (les choses n’ont pas besoin d’être vraies, du moment qu’elles en ont l’air) où la mafia verte ne recule devant aucun mensonge et bidonnage pour avancer son idéologie régressive.





Conclusions : alarmisme et propagande chimiquement purs.

Le 24/09/2016 à 14h 19







gavroche69 a écrit :









Blabla.


Le 24/09/2016 à 09h 15







Borny a écrit :



Je n’ai pas le sentiment qu’il y ait une réelle bataille entre les constructeurs pour polluer ou consommer moins.





Les constructeurs suivent les indications du marché, càd de leurs clients…<img data-src=" />









Borny a écrit :



Depuis 25 ans, les consommations ont bien peu diminuées…





C’est normal vu que tu ne renouvelles pas tes voitures… <img data-src=" />


Le 24/09/2016 à 09h 04







gavroche69 a écrit :



Et bien sûr le fait que les études de ce monsieur soient financées essentiellement par les fabricants de ces produits n’a strictement aucune influence sur ses conclusions…

Mais bien sûr il faut vraiment être “enviros irresponsables, dogmatiques et ignares” pour oser se poser la question… <img data-src=" />





Diffamation inutile et risible : avec ta posture (de ne systématiquement pas discuter les arguments), ses positions sur le climat qui sont aussi physiquement erronées que celles des autres réchauffistes aveuglés par leur consensus politique, doivent donc être le résultat du financement par des ONG escrologistes. Cette posture débile, qui se contredit elle-même, est celle des complotistes.











gavroche69 a écrit :



Être à ce point systématiquement dans le déni de tout (à part ton sacro-saint ultra-libéralisme) et traiter systématiquement “d’imbéciles ignards” tous ceux qui ne partagent pas tes convictions sectaires c’est carrément pathologique, tu devrais songer à consulter peut-être… <img data-src=" />





Le mot « ultra-libéralisme » ne fait pas partie de mon vocabulaire, il ne veut rien dire. Encore une fois ta posture est de ne systématiquement pas discuter les arguments mais de factoïdes HS.









gavroche69 a écrit :



Pratiquement chacun de tes messages ne fait que confirmer ton esprit sectaire…





La constance dans l’argutie fallacieuse n’est pas une qualité : ter repetita placent. <img data-src=" />



Ceux qui s’attaquent à la personne n’ont rien à dire.


Le 24/09/2016 à 08h 50







Borny a écrit :



D’ailleurs, tu dis “toute contrainte inutile sur un marché provoque une incitation à la contourner, et ici, je lui donne entièrement raison.” Je te l’accorde, cette contrainte, liée à la qualité de notre air, est réellement inutile… Que l’on parle de particules fines ou de C02, ce sont bien les états qui légifèrent pour contraindre les constructeurs à diminuer les taux.





On attend toujours les études qui prouvent que les régulations environnementales ont eu une quelconque influence positive. Par contre on démontre facilement les gains absolus en terme de niveau de vie, d’environnement et d’amélioration de la condition humaine de marchés qui fonctionnent normalement.



Le CO² est la brique de la vie, seuls des criminels, des ignares pathologiques ou des éco-bigots idolâtres voudraient ralentir les émissions de ce gaz écologique, économiquement bénéfique et physiquement inoffensif.


Le 24/09/2016 à 08h 43







Borny a écrit :



Oui, plein de généralisation. Il n’empêche que tous ces cas sont bien issus du marché. C’est bien ce le marché qui a créé ces cas.



Mais si le marché était si parfait,





Manifestement tu n’as pas lu ce que je viens juste d’écrire :

Personne n’a affirmé que le « marché » était parfait, seulement qu’il fonctionnait de manière optimale et s’auto-régulait naturellement.











Borny a écrit :



Tiens, j’ajoute aussi le cas de Lehman Brothers





C’est un bon exemple d’auto-régulation : les entreprises qui ne sont plus adaptées disparaissent. Il y en a des centaines d’autres, heureusement, qui disparaissent de même. Il y en a aussi qui ne disparaissent pas : l’auto-régulation en fonctionnement. QED.









Borny a écrit :



la crise des Subprimes que nous payons tous cas à un marché qui s’auto-régule.





La cause de cette crise est principalement due aux interférences des États dans le marché immobilier un peu partout dans le monde, et ici en particulier celui du gouvernement US et de ses institutions para-étatiques à forcer les banques US à financer les emprunts de prétendants au logement sans le sou pour des motifs purement politiques (un prétendu racisme bancaire). Évidemment le résultat est que les banques US ont vu au cours du temps leurs actifs se pourrir à mesure que les emprunts qu’ils étaient légalement forcés d’accorder n’ont pas été remboursés : ils les ont simplement refourgué sur le marché mondial (titrisé) pour limiter leurs pertes, comme toute bonne entreprise responsable. Voir ici pour une couverture exhaustive en français ou ce livre ou cet autre. Comme l’a si bien écrit un des 10 membres de la commission d’enquête sur la crise financière de 2008 appointée par le Congrès,

“I believe that the sine qua non of the financial crisis was U.S. government housing policy, which led to the creation of 27 million subprime and other risky loans — half of all mortgages in the United States — which were ready to default as soon as the massive 1997-2007 housing bubble began to deflate. If the U.S. government had not chosen this policy path — fostering the growth of a bubble of unprecedented size and an equally unprecedented number of weak and high-risk residential mortgages — the great financial crisis of 2008 would never have occurred. … The financial crisis of 2008 was caused by government housing policies…. If we don’t learn that important lesson, we will make the same mistake again, and then we really will have another financial crisis.”




  • Peter Wallison, 2011.


Le 23/09/2016 à 14h 01







Borny a écrit :



Tiens, je regarde un vidéo qui parle notamment de la fusion Monsanto-Bayer et le Round Up / Glyphosate fortement suspecté d’être dangereux pour la santé.

Ben oui, mais le “marché” en achète (“Efficace et pas cher, c’est le [Round Up] que je préfère”).



Il est beau ton sacro-saint marché…





Suspecté seulement par des enviros irresponsables, dogmatiques et ignares. Utilisé par le reste du monde sans problème.


Le 23/09/2016 à 13h 56







fred42 a écrit :



C’est pourtant ce que font les marchands de tabac depuis toujours. Le truc, c’est de tuer lentement pour amortir suffisamment les coûts d’acquisition du client.





De la belle hypocrisie.



Dans la plupart des pays, ces « marchands de tabac » étaient pendant longtemps les États eux-mêmes. En France, maintenant que l’État s’est désengagé mais continue à percevoir, si le problème de la mort lente était à ce point sérieux et pris en compte (principe de précaution et autre fumisterie du même acabit), le tabac serait interdit purement et simplement,de même que l’alcool et l’eau bue en trop grand quantité (l’hyponatrémie est mortelle pour la santé). Or il n’en est rien. Hypocrisie n°1.



Avant que les marchands modernes de tabac ne commoditisent leurs produits, l’Homme fumait déjà depuis des dizaines de millénaires pour la bonne raison que la valeur du plaisir retiré de fumer excède la diminution incrémentielle du temps de vie. Alors peut-être est-ce un biais humain, mais si les fumeurs achètent encore du tabac volontairement tout en connaissant maintenant et pertinemment les risques, je ne vois pas en quoi les marchands sont responsables de quoi que ce soit. Hypocrisie n°2.


Le 23/09/2016 à 13h 42







Borny a écrit :



Va dire ça a ma mère qui a un problème de cœur grâce à Servier.





Ce n’est pas de chance pour elle, mais on ne peut pas faire de statistique avec 1 point, surtout si la relation de cause à effet n’a pas été démontrée (très difficile puisque les problèmes de cœur sont très répandus).









Borny a écrit :



Durant plus de 10 années après avoir découvert qu’il y avait potentiellement un risque leur médicament a continué à être vendu.





Il existe potentiellement de risques avec TOUS les médicaments. Je n’ai pas suivi cette affaire en particulier, mais ce n’est pas la première fois qu’on découvre un effet secondaire négatif à long terme. Qui peut prétendre évaluer les bénéfices qui n’auraient pas été acquis et les morts qui n’auraient pas été évitées face à un problème potentiel toujours difficile à évaluer si ce médicament avait été retiré du marché plus tôt ? Personne, même pas le fabricant.









Borny a écrit :



L’amiante a été interdite en France au premier janvier 1997, dans tout l’union européenne en 2005. On savait depuis bien longtemps que l’amiante était dangereuse pour la santé, depuis le début du 20ème siècle. Et seulement une cinquantaine de pays l’ont interdit à ce jour…





Une belle bouffonnerie politique et escroquerie scientifique. L’amiante n’est dangereuse que par exposition à long terme. On gaspille actuellement des millions tous les ans pour remplacer à peu près tout ce qui en contient alors que l’impact en terme de risque sanitaire est ~nul. Par contre, les nouveaux produits sans amiante comme les plaques fibrociment sont maintenant d’une qualité si médiocre que leur durée de vie à diminué drastiquement, sans parler du problème de dangerosité pour ceux qui sont obligés de travailler avec (bris, chute et paralysie à vie voire mort).









Borny a écrit :



La vérité c’est bien que le marché n’a que faire de notre vie, il n’en a que pour l’argent.





Si c’était vrai, tu serais déjà mort.









Borny a écrit :



Le “marché” vend des détecteurs de fumée inopérant.





Généralisation abusive : rares acteurs sur le marché et suite à une obligation réglementaire injustifiée : les acheteurs en ont donc eu pour leur argent.









Borny a écrit :



Le “marché” nous vend du cheval ou du porc à la place de bœuf.





Généralisation abusive : un seul acteur sur le marché. Personne n’a affirmé que le « marché » était parfait, seulement qu’il fonctionnait de manière optimale et s’auto-régulait naturellement. Cette affaire n’est absolument pas représentative du fonctionnement général d’un marché, mais la tromperie d’un seul fournisseur à son encontre. La loi est là pour sanctionner ce genre de comportement inacceptable.









Borny a écrit :



Le “marché” bidouille les résultats de test de pollution pour passer les certifications.





Généralisation abusive : un acteur sur le marché. Même problème, même solution : toute contrainte inutile sur un marché provoque une incitation à la contourner, et ici, je lui donne entièrement raison.









Borny a écrit :



Le “marché” achète nos dirigeants pour avoir des lois qui lui conviennent…





Les seuls responsables ici sont ceux qui se laissent acheter et les idiots qui ont élus ces pourris.









Borny a écrit :



L’autorégulation du marché c’est une belle utopie.





Et pourtant ça fonctionne en permanence sur des milliers de places avec des millions d’individus sans contrôle ou organe centralisé pour superviser. Quand on compare avec la lourdeur administrative, il n’y a pas photo comme on dit.


Le 23/09/2016 à 12h 33







Borny a écrit :



“La coordination est justement ce que le marché fait le mieux, au meilleur coût.”



Oui, enfin le “marché” n’hésite pas à te vendre la mort si ça peut lui faire gagner de l’argent.





Une entreprise qui tue volontairement ses clients, ça relève du fantasme.


Le 23/09/2016 à 06h 14







eliumnick a écrit :



Je n’ai rien esquivé, ou alors tu considères comme esquive de ne pas prendre part à votre débat sur l’économie. J’ai fait une constatation sur tes interventions, sur ce sujet, ainsi que sur d’autre news.



Après libre à toi d’être comme ça, mais ne te sens pas agressé quand on te le fait remarquer.





Je ne me sens pas agressée, je ne suis simplement pas concernée par tes attaques sur ma personne. Quand on s’attaque à une personne, c’est qu’on n’a rien à dire.


Le 22/09/2016 à 17h 29







eliumnick a écrit :



Et tu cherches encore à me donner raison…. <img data-src=" />



Et sinon à quel moment j’ai parlé du sujet ? Je n’ai fait que souligner ton comportement, qui, sur NXI, montre à quel point tu méprises les autres.





L’état d’ignorance n’est pas en lui-même blâmable, le rester oui.

Ce que je méprises, exactement, est l’esquive systématique quand confronté à un argument, la non remise en cause quand son idéologie est questionnée, l’absence de volonté pour évoluer et apprendre de ses erreurs, le manque généralisé de réflexion, la soumission déconcertante à la propagande, la facilité du raisonnement simpliste sans en évaluer les conséquences à toutes les échelles, etc.



Oui tu n’as pas abordé le sujet et c’est bien le problème ici exposé, tu préfères l’esquiver et tenter l’argumentum ad hominem : si classique, si grossièrement prévisible quand on n’a rien à dire. <img data-src=" />


Le 22/09/2016 à 15h 18







Fredegar a écrit :



Tu crois réellement à ce que tu dis?



Apparemment tu as l’air de croire que dans ce cas bien précis, les sociétés vont se mettre à réparer les routes quand il y a besoin. Alors il va falloir m’expliquer comment des entreprises qui sont à quelques mètres les unes des autres, qui ne se parlent jamais, vont arriver à se mettre d’accord pour savoir qui va financer les réparations de routes. Sans rire, ça doit être super drôle à voir <img data-src=" />





Le point soulevé est intéressant parce que d’un autre côté, toutes ces sociétés et des milliards d’individus de part et d’autre de la planète parviennent quand même à s’entendre quand il s’agit de « bâtir » des milliers de marchés à toutes les échelles de l’humainement réalisables (du gadget à l’avion, du micro-local au mondial).



Alors je ne doute pas un seul instant que quelques unes d’entre ou quelques individus opportunistes pourraient s’organiser afin de s’occuper de reboucher quelques trous, étaler du macadam ou réparer des barrières de sécurité (un peu comme les autoroutes le font de manière privée), voire même innover pour ne plus avoir à le faire du tout.







Fredegar a écrit :



Et puis, faire des travaux sans coordination ça risque de donner des trucs vraiment aberrants.





La coordination est justement ce que le marché fait le mieux, au meilleur coût. Il suffit d’observer en ville le nombre d’ouvertures successives du même trottoir, des fois la même année, pour se convaincre que l’approche centralisée est une erreur permanente de jugement.


Le 22/09/2016 à 15h 01







Borny a écrit :



Bien sûr,mais l’on sait très bien que les entreprises sont frileuses lorsqu’il s’agit de payer des taxes et impôts, elles ce seront bien les premières à dire que c’est à l’état de gérer le réseau routier (et je suis d’accord).





On parle d’infrastructures spécifiques, pas de route (il vaudrait mieux éviter ce sujet vu l’état pitoyable du réseau routier en pas mal d’endroits).



 





Borny a écrit :



Tout comme RTE et ERDF (Enedis) gèrent les réseau de transport et distribution d’électricité, indépendamment des fournisseurs.





Les 2 sont des filiales d’EDF, alors l’indépendance n’est que de façade pour satisfaire les exigences minimales imposées par Bruxelles.

 







Borny a écrit :



Quoi ? Il n’y a aucun rapport entre être imposé (impôts locaux : TH + TF) et utiliser les transport en commun…





Comment crois-tu qu’est payé le différentiel entre le prix demandé et le coût réel du service de transport sinon par l’impôt/taxe.


Le 22/09/2016 à 12h 13







picatrix a écrit :



Oui mais le pétrole est utile : on fait tourner des usines au gaz naturel.

Donc à moins d’introduire un tube dans le fondement des mangeurs de fayots pour récupérer le gaz c’est de la pollution gratuite. Maintenant effectivement c’est une idée de relancer les voitures à gazogène où le conducteur produirait son propre gaz carburant. Celui qui irait le plus vite étant celui qui en produit le plus.

 

Sans compter que dans le métro ou dans l’ascenseur personne n’est incommodé par les odeurs de pétrole.





C’est une idée, mais je doute que le bilan énergétique soit positif.


Le 22/09/2016 à 12h 08







eliumnick a écrit :



Je ne parlais pas du cas présent, mais du cas général. Tu donnes souvent l’impression que les gens qui ont un avis différent du tient sont forcément des gens qui n’ont rien compris.





L’ignorance suffit souvent à expliquer pourquoi et (tenter de) la combler n’est-elle pas la devise de ce site ?









eliumnick a écrit :



Tu veux dire que pour avoir le privilège de s’adresser à toi, on ne peut que répondre à tes questions ?



Encore une fois, tu nous montres ta magnifique ouverture d’esprit <img data-src=" />





Je n’ai posé aucune question, tu élucubres.

Ce que je veux dire, et que tu feins d’ignorer, est que répondre sur le sujet et non pas à côté ou en faisant semblant de l’ignorer ou en donnant du sophisme ou en accusant le/la contradicteur/rice de tout les vices (les siens souvent puisqu’on se connaît mieux que personne) ou d’utiliser tous les artifices possibles afin d’échapper à l’argument présenté reflète seulement une attitude petite ou ignorante du b.a.-ba économique.



J’ai toujours été étonnée de la puissance de la posture du miracle.


Le 22/09/2016 à 10h 24







Tidus93 a écrit :



Je suis perdu.

C’est quoi que tu dénonces ? Privilégier la voiture plutôt que les transports ou carrément la voiture en général ?

 

J’habite en région parisienne, j’ai une voiture mais clairement jamais je ne l’utilise dans Paris c’est juste un gâchis d’argent voir de temps.

Ma voiture me sert pour mes week-ends et vacances puisque je préfère la liberté qu’elle m’offre plutôt que le train (sans parler du confort).





Il te dit le Monsieur que tu es un méchant individualiste qui privilégie son confort personnel et récréatif au sacrifice de la cause corrompue de l’écologisme politique mais soutenue par la noble élite éco-conscientisée et boboïde du corps des ingénieurs sociaux autoproclamés : ton insoutenable égoïsme affecte significativement la mollesse des chiures de pigeons, signe d’un stress dû, la science nous le certifie, à ton automobile. Penses-y avant de tourner le contact : tous ces culs de pigeons te regardent.


Le 22/09/2016 à 10h 14







Borny a écrit :



ça va un peu poser des problèmes : notamment comment financer les infrastructures ?

Quand je pense que j’avais lu un article où les nouvelles compagnies de bus se plaignaient de terminaux en piteux état, et voulait que l’état les finance. Grosso-modo : on paie pour qu’ils fassent des bénéfices.





Tu pense que ces compagnies laisseraient longtemps ces « infrastructures » dans le piteux état de leur gestion collective si elles avaient la possibilité de les restaurer/adapter elles-mêmes pour attirer leur clientèle surtout si leurs bénéfices en dépendent directement ? Elles sont aussi capables de créer et financer des infrastructures que quiconque. Mais ces infrastructures sont pour le moment à la charge de l’État et des collectivités, donc les compagnies leur demandent de faire leur boulot. Rien d’étonnant.



  





Borny a écrit :



Libéralisation, ça rime souvent avec précarisation des travailleurs au profits de ceux qui ont les capitaux.





Les chiffres de l’INSEE montre que sur une longue période, les salaires toutes catégories confondues ont évolué à la hausse, et que la relative stagnation de certaines catégories s’est produite en même temps que la perte du pouvoir d’achat, qui n’est lui-même que le résultat de la politique de création monétaire pilotée par l’État et la banque centrale.









Borny a écrit :



Pour Nantes, ce qui est fou, c’est de réaliser que les billets/abonnements représentent environ 30 % du budget de la Tan, que Nantes Métropole subventionne 63 % du budget. Limite, à voir combien ça coûterait de les rendre gratuits, pour 35 millions de subvention en plus, je ne sais pas ce que ça représenterait en impôts locaux en plus mais bon. Sachant qu’à Nantes, la tan est quasiment aussi chère qu’à Paris : 64 € / mois (abonnement + 26 ans), 1,60 € le ticket 1 h (ou 14,70 € le carnet de 10). Si l’on compare le maillage des deux réseaux et leur étendue, Nantes est largement plus chère que Paris.





À Nice, c’est 1€ le billet (par pack de 10) ou 1.5€ à l’unité. Je ne connais pas le prix de l’abonnement mensuel, mais je crois que l’abonnement annuel illimité est au alentours de 120€. Ces prix ne reflète évidemment pas le coût réel du service. Qui crois-tu paye la différence sinon ceux qui sont imposés, c’est à dire la frange de population qui se sert majoritairement du service ? Le rendre gratuit ne conduirait qu’à les imposer encore plus parce que le delta ne serait pas en leur faveur.



La gratuité est un miroir aux alouettes.


Le 22/09/2016 à 09h 16







Railblue a écrit :



Parce que le fond de ta réponse, il n’existe pas, banane !



T’es comme l’autre abruti de Darckiller, tu ne viens ici que pour chier ta propagande.





Il existe aussi la probabilité quasi certaine que tu n’aies pas remarqué ce fond. En langage simple :



Pour financer ce service « gratuit », l’État ne peut que relever les impôts/taxes qui impacteront disproportionnellement les pauvres et classe moyenne que cette « mesure » était censée aider.



Autrement dit il n’y a rien de gratuit, et ceux qui payent cher et à leur insu cette gratuité sont souvent ceux qui croient en profiter.


Le 22/09/2016 à 09h 06







gavroche69 a écrit :



Je répondais surtout à ta manie de citer en permanence des gens pour conforter tes propos.

Et je crois que tu l’as très bien compris d’ailleurs… <img data-src=" />





Je n’ai cité personne ici, mais quand je le fais c’est soit pour illustrer mes propos soit de par sa pertinence et concision. Et, très franchement, que cela te plaise ou non, je m’en « tamponne » vu l’application que tu mets à répondre systématiquement à côté.


Le 22/09/2016 à 09h 00







ActionFighter a écrit :



“Les riches étant hors-la-loi et pouvant ne pas payer d’impôts, il ne faut pas taxer les pauvres”…



On attend avec impatience ton programme de lutte contre l’évasion fiscale consistant à rendre non-imposables les ménages qui le sont…





L’art de la défausse demande plus de finesse pour passer inaperçue :

1/ éviter le sujet proprement dit en le détournant sur des questions sans rapport mais assez vaguement reliées pour faire penser un à quelconque lien de cause à effet,

2/ demander aux autres de répondre à sa place à l’argument HS,

3/ et mixer les 2 pour faire croire à une réponse satisfaisante,



est un artifice grossier.



(Je passe sur les affirmations illogiques qui parsème cette « réponse ».)



Mais je vais quand même fournir une solution à ta demande qui complète naturellement mon argument de réfutation de départ. Mon « programme » serait fort simple, et tient en 2 ph®ases simultanées :



Suppression de l’impôt/taxe actuels avec comme résultats immédiats et à long terme :

1/ zéro évasion fiscale,

2/ zéro « riches hors-la-loi »,

3/ zéro impôt/taxe pour « ne pas taxer les pauvres » et pour « les ménages qui le sont (imposés/taxés) »,



Ouverture (libéralisation) du monopole des transports toutes catégories (taxis, transports publics par route/train/bateau/vélo, etc) avec pour résultats immédiats et à long terme (cf aviation) :

1/ une chute drastique du prix au km parcouru ;

2/ des services différentiés au top pour attirer les clients (commoditisation) ;

3/ un vrai choix pour se déplacer ;

etc.



Je ne vais pas refaire la longue liste des avantages supplémentaires de l’économie de marché puisque ceux présentés ici couvrent déjà à 100% ta demande : le prix final au km parcouru de cette libéralisation est moindre avec 0 impôt pour les familles puisque tout est laissé à la concurrence transparente du marché.



Tout socialiste qui se respecte devrait être un libéral.


Le 22/09/2016 à 08h 31







gavroche69 a écrit :



Pour résumer :

Toi même ne démontre rien, tu ne fais que citer des gens dont certains sont totalement obsolètes du fait que leur époque n’a plus rien à voir avec la nôtre.

Balancer des théories qui datent d’un siècle ou plus c’est simplement ignorer le contexte de notre époque et donc ça ne veut strictement rien dire et donc ça ne prouve rien du tout.



Peux-tu affirmer que certains que tu cites, disparus depuis longtemps, tiendraient toujours les mêmes propos s’ils vivaient à notre époque ?

Si oui ce n’est pas à leur avantage et ne ferait que prouver que ce sont des abrutis enracinés dans leurs certitudes et donc des gens sans aucun intérêt.



D’une façon générale les “philosophes” (reconnus ou auto-proclamés) m’emmerdent, ces gens qui sont persuadés de détenir la vérité et qui s’écoutent penser en se croyant supérieurs à tout le monde.

Ces gens sans cesse cités à tout propos pour se la jouer “cultivé” ça me gonfle…

J’appelle ça le syndrome “Luchini” et je trouve ça consternant.



Et si mes propos sont fallacieux (mot que tu sembles particulièrement affectionner) ils ont au moins le mérite d’être les miens et non pas ceux de gus morts depuis des dizaines de décennies et qui raisonnaient en fonction du contexte de leur époque.



Comme déjà dit, tant qu’à dire des conneries (ce dont certains “grands philosophes” ne se privent pas) je préfère que ce soient les miennes et je les assume. <img data-src=" />





« Résumé » qui n’est encore que du blabla HS.

J’ai opposé la gratuité comme mesure sociale avec l’argument classique « There is no such thing as a free lunch » en montrant comment elle allait retomber à terme sur le dos de ceux qu’on était censé aider, et en réponse j’ai une litanie d’arguties HS et d’esquives grossières. <img data-src=" />


Le 22/09/2016 à 05h 53







gavroche69 a écrit :



T’as rien de plus récent comme référence ?

Parce que ton gus mort en 1850 c’est sûr que les problèmes de pollution ça devait lui passer nettement au-dessus…

Et sans parler de pollution, comparer le milieu du 19ème siècle avec notre époque où la démographie et l’industrie ont explosé c’est carrément un contre-sens total.



T’aurais pas l’avis de Vercingétorix (très à la mode en ce moment) sur la question ? <img data-src=" />



Rien n’est immuable et les théories sur l’économie ne le sont pas plus que le reste… <img data-src=" />





Rapidement, à propos de ton § d’arguments fallacieux :

1/ l’âge du capitaine n’a pas de rapport avec la justesse de ses arguments et on trouve de nos jours un % élevé d’économistes dits « modernes » dont les idées sont erronées ;

2/ « rien n’est immuable » est une généralisation abusive : s’il y a une chose qui semble « immuable » chez certains, c’est leur constance de métronome à répondre à un argument posé avec un empilement de sophismes, démontrant par là-même la fausseté de cette généralisation ; c’était précisément l’objet du lien donné.

3/ affirmer que les « théories sur l’économie » ne sont pas immuables est une chose, le démontrer en est une autre.



En d’autres termes, tes commentaires ne sont que du vent tant qu’ils ne s’attaqueront pas à l’argument avancé. Logics 101.









eliumnick a écrit :



J’aime beaucoup le don que tu as a chaque fois à prendre pour des attardés les gens qui ne sont pas de ton avis…





2 problèmes avec ta phrase : je réponds à un commentaire par une argumentation simple et compréhensible sur la non pertinence de la proposition (pas sur la personne qui l’a formulée). Et oui, je pense que sa proposition est mauvaise pour la raison avancée à laquelle tu ne trouves manifestement rien à redire.





Je note une fois de plus qu’aucun de vous 2 n’a répondu sur le fond de ma réponse et s’est contenté des gesticulations habituelles pour brasser de l’air.


Le 21/09/2016 à 09h 34







ActionFighter a écrit :



Sinon, au lieu de mettre en place des dispositif de répression coûteux, comme celui-ci, où les opérations de grande envergure du STIF, on pourrait mettre les transports en commun gratuits.



Ça inciterait pas mal de gens à ne plus prendre leur véhicule, réduirait la pollution, et serait une belle mesure sociale.





La noble cause, on la voit toujours. Ce qu’on ne voit pas, c’est la hausse des impôts et taxes directs et indirects sur les plus pauvres (les riches s’en « tamponnent » et ont les moyens d’y échapper) pour financer ce service « gratuit ».



Et la belle et noble « mesure sociale » à court terme se transforme en mesure régressive socialiste définitive. Il faudrait lire F. Bastiat pour faire un peu évoluer son schéma de pensée digne de proposition des commissaires du peuple.


Le 23/09/2016 à 12h 40

Jeter l’argent par les fenêtres est ce que les polytocards n’ayant jamais mis les pieds dans une entreprise font de mieux. Avant d’intégrer toute fonction dans la technostructure, un stage de 5 ans dans la vrai vie économique devrait être requis pour pouvoir prétendre dépenser l’argent des autres.

Le 23/09/2016 à 07h 10







OlivierJ a écrit :



Je ne vais pas aller recherche la phrase originale mais tant la forme que le fond étaient saugrenus.





Sa densité et concision t’ont peut-être rebuté, mais il ne tient qu’à toi de faire un effort de compréhension.









OlivierJ a écrit :



Et “la planche à billets qui est un vol généralisé (une escroquerie) du pouvoir d’achat” : ça ne veut rien dire. La planche à billet, si mal utilisée c’est l’inflation, …





L’inflation cachée ou non, c’est la baisse du pouvoir d’achat, une manière insidieuse de voler les gens (ceux en bas de la pyramide) pour éponger la dette souveraine et en diminuant la valeur effective de l’argent. L’objectif des banques centrales est toujours 2% d’augmentation des prix (et donc de baisse du pouvoir d’achat). Rien que du très classique ici, même si c’est économiquement stupide.









OlivierJ a écrit :



Heu, l’ESA affronte déjà les mastodontes américains et russes, ainsi que des sociétés privées (cf article).

Je ne pige pas le parallèle avec l’IT où les montants à investir n’ont rien à voir. D’ailleurs en logiciel pur les européens et français sont loin d’être mauvais.





Effectivement si les montants n’ont rien à voir, c’est parce que c’est sans rapport. La différence, c’est l’approche. J’ai donné un lien du Financial Time récemment où l’auteur montrait pourquoi les entreprises US de la tech. (les licornes) étaient si nombreuses et prospères par rapport à leurs homologues de l’UE où le manque d’accès au capital risque, le marché du travail inflexible, la culture et le marché hétérogène, l’environnement hyper-régulé/normé, l’absence de mentalité voire le rejet de entrepreneuriat, etc sont autant de barrières à la réussite économique. « On est loin d’être mauvais » n’est pas équivalent à être bon, aussi bon que les USA, et Dieu sait qu’ils pourraient être excellents s’ils taillaient dans le gras de leur système bureaucratique. Tant que les institutions privilégieront l’approche top-down, on ne fera que suivre (et encore). C’est la même chose quant à l’exploration spatiale. Les Américains sont encore assez pragmatiques quand il s’agit de faire de l’argent et de capter des marchés.









OlivierJ a écrit :



Oui enfin quand tu exposes ton point de vue, tu cherches évidemment à convaincre un minimum.







“Dans convaincre, il y a vaincre, mais il y a surtout con. Le con, c’était moi.”




  • Pierre Rey. Une saison chez Lacan.









    OlivierJ a écrit :



    Apparemment l’éducation ne donne pas les mêmes résultats pour tout le monde, à commencer par toi et moi.





    Une raison parmi d’autres qui explique que l’approche égalitariste top-down, surtout dans l’éducation, surtout quand on a les résultats les plus inégalitaires d’Europe, est là aussi une aberration et est vouée à l’échec (cf PISA). On est tous différents, il n’y a aucune raison valable à formater des clones dans un monde dynamique si on veut qu’ils s’adaptent.


Le 22/09/2016 à 19h 11







Pictou a écrit :



Attention, je ne dis pas que je suis d’accord avec lui ou que tout ce qu’il dit est faux etc…



J’aimerai juste avoir la source/l’étude ou un document quelconque qui dirait en gros : “Apollo est un gouffre, ça n’a pas été efficace”.



Des documents disant l’inverse j’en ai vu un paquet, mais j’ai jamais trouvé l’inverse.





Tu ne trouveras pas ce genre de documents parce qu’il est très difficile de déterminer les retombées, de les évaluer et d’établir une comparaison qui n’existe pas. Je raisonne donc théoriquement puisque les données sont absentes. Cela dit on connaît les projections et les coûts réels engloutis.



Le budget Apollo est un outsider si on regarde l’historique des dépenses de la NASA : son budget a été réduit de 75% peu après Apollo et est stable depuis lors.



Le budget Apollo a été projeté à 1.5 milliards de $, puis 7 pour finalement terminer à un peu plus de 25 milliards. Le Congrès US était près à dépenser autant que faire ce peut pour réussir ce programme. Difficile alors d’affirmer que les coûts ont été maîtrisé.



Il est évident que la conquête spatiale a ou aura des retombées économiques. La question est de savoir si ces retombées n’auraient pas pu être obtenues plus rapidement et à un coût moindre par une autre méthode que celle centralisée ? (Je n’ai pas pris en compte les facteurs émotionnels que peuvent susciter un résultat comme aller sur la Lune dont peuvent dépendre une partie des décisions subséquentes.)



Je terminerai par cette citation de John Logsdon du Space Policy Institute :

The high costs of sending humans into orbit and beyond are measured in dollars, rubles, or yuan. The benefits of human spaceflight are not so easily calculated, since they include both tangible and intangible payoffs. So answering the question, “Do the benefits outweigh the costs?” is not straightforward. If the payoffs are limited to scientific discovery, the position taken by many critics of human spaceflight is “no.” With both current and, especially, future robotic capabilities, the added value of human presence to missions aimed primarily at new understanding of the moon, Mars, near-Earth asteroids, and other celestial destinations most likely does not justify the added costs and risks involved. … In the longer run, I believe that human exploration is needed to answer two questions. One is: “Are there activities in other places in the solar system of such economic value that they justify high costs in performing them?” The other is: “Can humans living away from Earth obtain at least a major portion of what they need to survive from local resources?” If the answer to both questions is “yes,” then I believe that eventually some number of people in the future will establish permanent settlements away from Earth, in the extreme case to ensure that the human species will survive a planetary catastrophe, but also because people migrate for both economic opportunities and new experiences. That is a big jump from today’s argument regarding the costs and benefits of human spaceflight, but I believe such a long range perspective is the best way to justify a new start in human space exploration.


Le 22/09/2016 à 18h 03







OlivierJ a écrit :



Tu devrais relire la phrase en particulier qui m’a fait réagir, je pense que presque personne n’a pigé, et la formulation est bizarre.





Je l’ai relu et elle est très claire : les subventions sont issues 1/ des impôts prélevés et 2/ de la planche à billets qui est un vol généralisé (une escroquerie) du pouvoir d’achat. Il n’y a rien que du très classique là-dedans et ne pas le comprendre en révèle beaucoup.









OlivierJ a écrit :



Ben voyons, l’intense recherche menée dans les années 60 pour le programme Apollo, qui a fait travailler des milliers d’ingénieurs, n’a pas eu de retombées majeures en technique au moins, et en science aussi ? Quant à évaluer son rapport coût/bénéfice comme tu le fais, je demande à voir si une comparaison est possible (sans ce programme), et si ce rapport est mauvais.

Et puis attribuer le progrès technique uniquement aux entreprises privées, j’ai comme un doute, surtout dans des domaines comme ça. En plus la recherche même privée, aux US en particulier, est souvent financée partiellement par l’état.





Le budget Apollo en terme actuel équivaut à 133 milliards de $ 2008. Est-ce que les quelques retombées éventuelles justifient un montant aussi astronomique ? Même question pour le programme Space Shuttle qui a été critiqué pour son coût en regard de ses résultats ? N’aurait-on pas pu les obtenir autrement ? Il est évidemment difficile de faire une analyse coût/bénéfice valable ou une comparaison avec un monde // où ces gains auraient pu être (ou ne pas être) atteints. Le point est que cela n’est pas possible parce que ce domaine a été préempté pour des raisons politiques et qu’on ne connaîtra jamais toutes les bonnes et mauvaises conséquences évitées par ces décisions. Le raisonnement économique indique néanmoins qu’elles auraient été très importantes.









OlivierJ a écrit :



On est en 2016 quand même, ça fait un bout de temps que l’ESA n’est pas seule, et s’il était si pataud Ariane n’en serait pas là. De plus, aux US aussi la bureaucratie existe, il ne faut pas croire.





Les USA ont eu le pragmatisme de se désengager (libéraliser) les premiers. Qui crois-tu va subsister dans 10-20 ans quand l’ESA devra affronter les futurs mastodontes US du secteur ? L’exemple de l’IT est pourtant frappant de similitude.









OlivierJ a écrit :



Ce genre de propos caricatural (“résultat misérable”, etc.), qui ne recouvre pas la réalité (par exemple une médecine hospitalière encore de qualité, ou des routes/infrastructures globalement entretenues). Quant à “profiter du système”, tu parles de qui, d’un fonctionnaire lambda qui fait son boulot ? Et puis la “libération fiscale” c’est une blague (un faux concept, d’ailleurs ceux qui ont vécu par ex aux US où il faut tout payer sont souvent moins critiques sur le système français, malgré ses imperfections), quant à “l’esclavage des temps modernes”, euh : LOL ? Je ne peux pas prendre au sérieux un tel discours. Et normalement l’intérêt d’un commentaire comme le tien ce serait d’être un minimum convaincant sinon tu perds juste ton temps en l’écrivant.





Je ne cherche pas à convaincre, mais à exposer. Seuls les prosélytes cherchent à convaincre. Les gens devraient être assez responsables d’eux-mêmes pour s’éduquer.


Le 22/09/2016 à 15h 25







Pictou a écrit :



J’ai beaucoup de mal à te suivre et juger ce que tu dis, aurais-tu des sources/documents/livres ou je peux en apprendre plus pour me faire une idée?





Sur quel sujet précis ? J’aborde beaucoup de points plus ou moins spécifiques dans une discussion sur un thème économique particulier.


Le 22/09/2016 à 14h 42







OlivierJ a écrit :



Je ne me sens pas concerné.





Pas plus que moi par ta diatribe.









OlivierJ a écrit :



1/ Tu plaisantes… Ça a ouvert la voie à énormément de choses qu’on utilise actuellement (satellites, ordinateurs, GPS, panneaux solaires, etc.), ça a permis de lancer des sondes et faire progresser la science, les retombées sont innombrables, économiques ou pas.





Il y a un monde de causalités non démontrées entre « ouvert la voie » et « directement responsable de ». C’est beau la pensée magique, mais rien de tout cela n’est le résultat de cette épopée. Certes les avancées scientifiques permettent des avancées incrémentielles en terme de bénéfices sociétaux directement palpables par le quidam, mais à quel coût ? Tous ces programmes politiques, car Apollo en est un, faramineux et mal gérés ont plus vraisemblablement retardé le développement et le progrès techn(olog)ique qui est en premier lieu issu des entreprises privées. Il ne viendrait à personne l’idée stupide de louer la guerre froide pour ses résultats économiques.









OlivierJ a écrit :



2/ capitalistique = demande des fonds très importants, comme construire des centrales nucléaires par exemple. Ça demande moins de fonds à présent car on a progressé dans la technique et ça coûte moins cher d’envoyer 1 kg dans l’espace.





Encore une fois, c’est oublier opportunément le prix sociétal exorbitant payé pour un résultat modeste quand la spécialité du marché est justement d’obtenir des prix planchers avec des produits/services adaptés. On voit bien maintenant les agences étatiques tenter de sauver les meubles devant la cavalerie privée US. Les USA n’ont pas adopté le Spurring Private Aerospace Competitiveness and Entrepreneurship Act (2015) pour rien.









OlivierJ a écrit :



3/ Si le CNES n’innovait pas on n’aurait pas un carnet de commande plein pour Ariane. L’article explique que les coûts ont baissé. Le CNES et l’ESA innovent mais avec une relative prudence car il s’agit d’argent public, principe qui les honorent. Je n’ai aucune inquiétude sur la position d’Ariane, ils ne sont pas plus bêtes que toi tu sais.





Le CNES profite de sa situation de monopole un peu plus, mais son fonctionnement bureaucratique est son pied d’Achille quand les compagnies US sont agiles. Nous verrons bien qui remportera le marché à terme mais vu ce qui s’est passé dans le secteur IT, l’avenir n’est pas rose pour lui.



 





OlivierJ a écrit :



Tu fais partie d’une société qui t’offre diverses garanties et services, je ne vais pas faire la liste. Alors on peut discuter de l’efficacité de l’Etat, aucun problème, mais de là à comparer les impôts avec de l’extorsion ou de l’escroquerie, sans moi. Je ne suis pas collectiviste et plutôt libéral, mais les sociétés privées ne sont pas toujours beaucoup plus efficaces, cela dépend des domaines.





Le point est que ces « divers garanties et services » sont SGDG, peu qualitatifs, peu différentiés, souvent avec des résultats misérables et surtout très coûteux. Ils font les beaux jours d’une armée de parasites (technostructure) qui profitent du système pour vivre sur le dos de ceux qui, au final, ne travaillent pour eux-mêmes que ~40% (le jour de libération fiscale en France est fin juillet) : voilà l’esclavage des temps moderne.


Le 22/09/2016 à 09h 43







OlivierJ a écrit :



Il y a des commentateurs qui écrivent des trucs compréhensibles, d’ailleurs c’est mieux pour essayer de convaincre les autres du bien-fondé de leurs arguments.





Il y a aussi ceux qui font tout pour esquiver les arguments sous des prétextes futiles et/ou volontairement HS, et/ou manie la mauvaise foi comme le chien urine sur un mur, etc.

Je ne cherche pas à convaincre pour ma part, j’estime que les gens sont assez adultes et responsables pour s’éduquer eux-même.

 







OlivierJ a écrit :



Je suis déjà sur terre.

Eh oui, le coût du programme Apollo fut énorme, aucune boîte privée n’aurait pu s’en charger à l’époque (ou alors un consortium très important), d’ailleurs l’investissement aurait été jugé non rentable. Le développement du spatial l’est moins à présent mais reste capitalistique (= demande beaucoup de capitaux), donc dépend toujours des états et de l’argent public.

Pour le “moins cher et plus rapide”, c’est ce que fait l’ESA et Ariane depuis longtemps, ils cherchent à diminuer les coûts et à pouvoir lancer plus souvent.





1/ Apollo = un résultat économique quasi nul, autrement dit du gaspillage. Enfin, venant de quelqu’un qui a dit « Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays », je suppose que les priorités de l’époque étaient encore ou déjà que l’État est la seule réponse possible à tout. Mais comme le fait si justement remarquer F. Friedman en introduction de son Capitalisme et liberté, cette phrase n’a « rien … qui traduise entre le citoyen et ceux qui le gouvernent une relation digne des idéaux d’hommes libres dans une société libre ».

2/ « c’était extrêmement capitalistique avant » : une autre manière de dire « c’était extrêmement coûteux et mal géré avant ». Je suis d’accord.

3/ les autres innovent pendant que le CNES se contentent de réutiliser l’existant de la génération précédente. On verra qui sera encore sur ce marché dans 10 ans, et à quel prix.









OlivierJ a écrit :



Je paie mes impôts “plein pot”, je suis célibataire et cadre parisien. Le fait de payer l’impôt est une des responsabilités du citoyen. Je pense qu’il ne devrait pas être nécessaire de rappeler cette notion de base, alors arrête de te ridiculiser avec tes histoires d’argent escroqué.





Ma seule responsabilité en tant qu’individu est de protéger ma propriété, fruit de mon travail compris. La notion à retenir ici est qu’un marché répond directement aux aspirations de ses diverses parties et fait toujours mieux et moins cher qu’un mastodonte économiquement ininformé et financièrement irresponsable dont la conduite n’est dirigée que par les intérêts propres de ceux qui en ont pris le pouvoir.



Une leçon historique pourtant simple et clair.


Le 21/09/2016 à 19h 56







OlivierJ a écrit :



Écris plutôt des phrases avec une structure correcte, et dont le fond également est compréhensible et pas saugrenu.





Je ne vois aucune raison pourquoi je devrais être la seule à faire des efforts.









OlivierJ a écrit :



A t’en croire, la NASA et l’ESA sont moins efficaces que les boîtes privées du secteur ?

Je ne connais pas bien l’historique et la raison d’être de l’arrivée des boîtes privées, mais il s’agit plutôt de l’augmentation des débouchés, et aussi le fait que c’était extrêmement capitalistique avant.





C’est pourtant simple : satisfaire de nouveaux besoins pour moins cher et plus rapide, etc. La NASA et les agences étatiques (russe, chinoise, etc) « extrêmement capitalistiques » ? Redescends.

 







OlivierJ a écrit :



Argent gagné ou argent “extorqué”, faudrait savoir… Et puis c’est ridicule de parler d’extorsion, sauf à être anarchiste.

Quant aux milliards, ils ne sont pas engloutis, l’argent ne disparaît pas.





Honnêtement gagné et escroqué. Tu ne dois pas payer d’impôts.

Quand il est dépensé sans compter, il est fatalement gaspillé parce qu’il aurait pu servir ailleurs de meilleure manière.











OlivierJ a écrit :



Tu déformes ses propos et le sens voulu, alors bof.





Je reprends ses termes sur le fond et la forme. Il suffit d’écouter.


Le 21/09/2016 à 09h 24







OlivierJ a écrit :



Ta première phrase ne veut rien dire (j’ai pensé “hein ?”).





Relire à tête reposée, faire un effort intellectuel, se documenter en cycle économique de base, etc.









OlivierJ a écrit :



Et la deuxième, quand on sait que le spatial a longtemps essentiellement été financé sur une sorte de subvention (l’argent public, récolté par l’impôt au sens large), et que ça continue, c’est assez risible.





Le secteur a été étatiquement préempté (et donc exclu artificiellement de la sphère économique) pour des besoins militaires (domaine réservé), le gaspilage d’argent public en subventions n’a donc rien d’étonnant. Cela met d’autant moins en défaut mon affirmation que maintenant que le secteur a été libéré, le privé fonce comme un seul homme sur ce marché pour proposer ses services/produits avec tous les avantages que cela comporte en terme d’efficience, de productivité, etc.



Les milliards engloutis par les subventions étatiques (de l’argent gagné puis extorqué au public/privé) ne reviendront pas.









OlivierJ a écrit :



Ah merci, j’allais également le signaler.





Et j’ai répondu . Exact ad litteram.


Le 20/09/2016 à 10h 40







eliumnick a écrit :



On ne le voit pas donc ca n’existe pas c’est ca ? ^^





Non, on ne voit pas la partie de l’Univers qui se situe à partir de l’horizon cosmologique, càd la fin de l’Univers visible. Cependant tous les points de l’Univers en sont le centre, la Terre n’en est qu’un centre particulier parmi une infinité de centres des Univers visibles dans l’Univers : un dessin.


Le 19/09/2016 à 15h 21







eliumnick a écrit :



C’était vrai quand on croyait que la Terre était au centre de l’Univers.





La Terre est par définition au centre de l’Univers (visible/observable).


Le 19/09/2016 à 15h 18







setim a écrit :



Ce que démontre Ariane c’est justement que les subventions peuvent être très efficaces. Voir aussi, Rosetta, Internet et le Web, un grand nombre de médicaments, les vaccins, la recherche fondamentale, la route qui relie ta maison aux autres humains, le TGV, le métro, la sécurité publique, l’hôpital qui soignera ton cancer et celui d’un membre de ta famille, etc.





Je n’ai pas dit que les subventions ne sont jamais efficace (elles le sont souvent en situation de monopole artificiel), seulement que un système de marché non contraint l’est plus.


Le 19/09/2016 à 10h 24







carbier a écrit :



C’est peut être humoristique, mais ce n’est certainement pas un “raccourci” vu que tu tronques la seule partie de la phrase qui lui donne un sens.

Ce qui est assez amusant concernant quelqu’un qui se targue de combattre le sophisme…





Elle est justement tronquée parce qu’il aurait pu y mettre n’importe quel autre institution publique que cela n’aurait rien changé au fond, mais je vais me dispenser d’une explication de texte approfondie à mon sophiste préféré (et aux autres). Si vous ne voyez pas le double niveau d’ironie de sa phrase, vous êtes comme son auteur.


Le 19/09/2016 à 10h 09







zhebulonn a écrit :



<img data-src=" />

toujours un brin d’agressivité et de supériorité… <img data-src=" />





Je soigne le décorum.









zhebulonn a écrit :



Tu n’as toutefois pas fait de remarques à propos des subventions publiques injectées dans “De nouveau marchés, de nouveaux usages à satisfaire, de nouveaux clients

à combler, de nouveaux profits à redistribuer en perspective, etc :

l’économie capitaliste (désolée pour la redondance) dans toute son efficacité. ”





Mais si, j’ai écrit qu’elles étaient relativement inefficientes par rapport au système (capitaliste) direct (dont l’amorçage de nouveaux usages ou technologies).


Le 19/09/2016 à 09h 49







jb07 a écrit :



Je n’ai aucune sympathie particulière pour FH, mais c’est un peu lassant : voir par là.





Il a dit exactement « ça ne coûte pas cher … puisque c’est l’Etat qui paye ». Mon petit raccourci humoristique traduit parfaitement bien l’esprit de la réponse autant dans la forme que sur le fond.


Le 22/09/2016 à 09h 56

Merci pour cette remise en contexte bienvenue et bien documentée sur ce sujet sensible.

Le 20/09/2016 à 10h 53







uzak a écrit :



On n’est pas obligé de tout gérer par des marchés concurrentiels aussi… Il y a des trucs plus futés à faire..





La bonne nouvelle, c’est que les marchés n’ont pas besoin d’être gérés : ils émergent, vivent, survivent et disparaissent selon le bon vouloir des clients.







uzak a écrit :



Puis pour le racket, si tout le monde payait ses impôts comme les géants IT, ce serait l’anarchie





Si les gens sont assez stupides pour continuer à voter pour un système qui leur vole les 23 du résultat de leur travail, qu’ils ne viennent pas se plaindre : la multi-nationalisation des géants IT est une parade comme une autre pour éviter l’escroquerie fiscale.


Le 20/09/2016 à 10h 49







Betise a écrit :



Remember BNP <img data-src=" />





Décision de la justice pour non respect des lois US et pour laquelle BNP a plaidé coupable : à l’opposé du racket organisé par les États UE en faillite.


Le 19/09/2016 à 15h 34

Il serait bon aussi que la Commission enquête sur l’absence totale de concurrence dans les marchés du travail européens, sur l’absence de concurrence dans les marchés de l’assurance sociale, et enfin sur elle-même à propos du racket organisé contre les géants IT US.

Le 19/09/2016 à 15h 08







joma74fr a écrit :



Il y a des gens qui qualifient Alphabet inc.https://abc.xyz/ et Facebook inc. comme des États privés, en raison du poids économique et social de ces entreprises et de leur importance dans la vie des individus.





Et ? Ces « États privés » n’existent que parce que des millions d’individus l’ont décidé ensemble, et continuent de le décider. Voter avec son porte-monnaie est la plus pure forme de démocratie : directe, instantanée, basée sur la confiance et le mérite.



Quel système étatique actuel (politique) peut se targuer de posséder au moins l’un de ces qualificatifs ? Aucun.


Le 19/09/2016 à 15h 00







Ricard a écrit :



Houla. Pas besoin d’utiliser les services de Google pour qu’il te traque.<img data-src=" />







ActionFighter a écrit :



La régie pub et la captation de données de Google dépasse de très loin les propres sites du groupe Alphabet.



Idem pour les réseaux sociaux avec l’intégration sur les sites tiers.





C’est bien possible, mais je ne vois plus de publicité, de boutons de réseaux sociaux ou autres scories marketing sur Internet depuis longtemps. Je prends aussi des précautions pour ne pas être tracée. Je ne prétends évidemment pas être représentative de l’internaute moyen, mais on peut très bien avoir une vie privée « normale » sur Internet sans partager aucune de ses données. Cela n’a rien de difficile en plus.



En tout état de cause, même si j’étais tracée à mon insu, quelles conséquences ? Google va me proposer de la publicité ciblée pour potentiellement accroître son profit ? La belle affaire. Ce n’est certainement pas pires que l’obligation d’être fichée dans 50 BDD étatiques pour les plaisirs pervers (lire financiers) de polytocards/fonctionnaires personnellement responsables de rien quant aux conséquences de leur incurie législative liberticide.


Le 19/09/2016 à 12h 35







carbier a écrit :



Tu veux dire que tu n’es traqué par Google que quand tu utilises ses services ? <img data-src=" />



Sinon c’est beau la touche de naïveté sur les intentions des multinationales concernant la vie privée <img data-src=" />





J’attends avec une impatiente feinte de quelle(s) forfaiture(s) ton imagination débridée et complotiste va bien pouvoir nous gratifier.


Le 19/09/2016 à 11h 32







Commentaire_supprime a écrit :



Pour faire de la surveillance de masse ? Oui !



Google y arrive très bien sans subventions publiques !



<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />





Le diable se cache dans les détails :



1/ Google n’oblige pas à l’utiliser,

2/ Google n’a pas comme motivation de restreindre les libertés pour des motifs qu’il a lui-même contribué à créer pour justifier ces restrictions,

3/ je préfère être le produit explicitement consentant d’un marché volontairement accepté que d’être le cobaye forcé d’expériences idéologiques successives de coercition rampante et liberticide,

4/ Google fait du business de masse avec des données dont la divulgation a été contractuellement acceptée,

etc.



J’ai bien noté tes <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />, cependant.


Le 19/09/2016 à 11h 16







sohka a écrit :



Aucun outil ne permet actuellement de se protéger contre la surveillance de masse car on ne peut contrôler ce que des proches ou connaissances disent de nous. Et encore moins par quels outils et avec quel niveau de sécurité. La seule solution technique possible est de pousser la majorité de la population à se tourner vers des outils de communication de confiance. Pas évident donc…



Je connais que Caliopen qui cible ce problème de cette façon.





La stratégie à adopter est celle des systèmes d’alarme : combler toute les failles de sécurité et utiliser toutes les techniques disponibles pour ralentir, perturber et parasiter les intrus.



Je reconnais qu’il y a toute une culture de la protection péri-individuelle à acquérir, mais c’est à chacun de valoriser sa propre liberté contre les intrus liberticides. On ne peut pas compter sur leurs intentions au vu de leurs incompétences.


Le 19/09/2016 à 10h 20

Le renard est entré dans le poulailler privé par effraction douce. Comme il va être difficile d’extirper l’intrus puisque les gallinacés n’ont plus le droit de donner des coups de griffes et ont à peine celui de battre des ailes, il va falloir qu’elles se protègent autrement : heureusement qu’on peut encore compter sur le secteur privé, les initiatives individuelles et groupées pour y parvenir.

Le 19/09/2016 à 09h 56







gavroche69 a écrit :



Effectivement la nostalgie est un truc très personnel et ça ne peut donc pas se généraliser contrairement aux traditions qui concernent souvent beaucoup de monde.





La tradition peut certes tomber sous le coup de la généralisation, mais sa nostalgie est tellement vague (càd trop générale) qu’elle n’est pas un argument logique non plus. La généralisation abusive n’est pas seulement quantitative.