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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 04/08/2017 à 08h 58







tpeg5stan a écrit :



ça va les chevilles ?<img data-src=" />



qui es-tu pour savoir quel est mon train-train cérébral ? Qui te dit que je ne lis pas des articles ayant des points de vue différents, voire contradictoire ?





Galbées et bien bronzées, merci.



Vu les réactions (qui vont des insultes au refus d’engager en passant par les inévitables sophismes et autres arguments illogiques dont on est coutumier du fait ici) aux idées que j’expose, je suis charitable. Note que tu n’étais pas spécialement visé.


Le 03/08/2017 à 12h 17







Drepanocytose a écrit :



Parce que t’en donnes pas, toi, des leçons ?

Tu ne fais que ca, ici.



Un minimum de respect, veux tu bien ?





Je donne des informations avec ma propre sensibilité et à ma façon (qu’elle te plaise ou non) : je n’ai pas la prétention de bouleverser la société pour satisfaire mon idéologie collectiviste mortifère.


Le 03/08/2017 à 09h 15







tpeg5stan a écrit :



Et effectivement, tmtisfree est fort difficile à lire (c’est pas contre toi, hein). …  Je suis lisible, moi ?<img data-src=" />





C’est seulement parce que les idées avancées sortent de votre train-train cérébral quotidien et vous oblige à réfléchir (peut-être). Et si elles vous incitent à lire autre chose (pour par ex. les vérifier) que les informations périmées/erronées qu’on vous sert généralement, tant mieux.


Le 03/08/2017 à 09h 07







fred42 a écrit :



C’est bien d’être réaliste et de classer tes écrits dans ces 90 %.



En effet, les 90 % concernent les écrits et non pas les lecteurs.





A défaut d’argument…


Le 03/08/2017 à 09h 05







tpeg5stan a écrit :



La citation de Saint-Exupéry, dans terre des hommes : « Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants »





Actuellement ce serait plutôt « Nous n’héritons pas de la dette de nos ancêtres, nous empruntons à nos enfants ».



Sacré héros de la justice sociale transgénérationnelle qui se permettent en plus de donner des leçons.


Le 03/08/2017 à 09h 01







ar7awn a écrit :



Dans un marché libre, il est plus intéressant de jeter les déchets industriel dans la nature plutôt que les traiter, d’utiliser toujours plus de produits phytosanitaires dans les exploitations, de ne pas utiliser ou remplacer les filtres sur les cheminée et les pots d’échappement, d’utiliser des méthodes d’extractions de matières premières plus rapides, économes en travail humain mais beaucoup plus polluantes. ect.





1/ Si le “traitement des déchets” (recyclage) consomme plus de ressources que la production de novo, alors ce n’est logiquement pas “écologique”. A moins que le gaspillage soit maintenant “écologique”.

2/ On utilise de moins en moins “de produits phytosanitaires dans les exploitations” (mais merci d’utiliser le bon terme) parce qu’on a développé des techniques d’économie (huile de contact, meilleur produit à dosage plus faible, etc.) pour ce faire. Si les escrolos étaient un peu cohérents, les OGM permettraient de diminuer encore plus les quantités épandues.

3/ Les pots d’échappement sont conçus pour la durée de vie du véhicule (il me semble). Qui a un filtre sur sa cheminée (qui ne fait que rendre à la Nature sous forme gazeuse ce qu’on lui a emprunté sous forme solide) ?

4/ Les méthodes d’extraction polluantes sont globalement utilisées dans les pays où les droits de propriété ne sont pas définis ou imposés (typiquement communistes, Chine, URSS, etc.).


Le 03/08/2017 à 08h 44







ar7awn a écrit :



attend, tu ne serai pas en train de dire que la recherche de la meilleur rentabilité est un gage de respect de l’écologie ?



<img data-src=" />





Une icône pour argumenter, c’est un peu léger mais pas imprévisible.



Qu’est-ce que la véritable écologie (au sens non biologique mais sociologique du terme) sinon pour partie l’utilisation optimale (càd qui évite les gaspillages) des “ressources” naturelles ? Selon Golfin (1972), “les communautés et sociétés humaines vivent dans un environnement auquel elles s’adaptent et qui réagit sur elles. L’étude de ce processus complexe qui met en jeu les systèmes technologiques et l’organisation sociale, est l’objet de l’écologie.” L’économie de marché et son efficience naturelle s’inscrit en plein dans cette étude. Il existe même une sous-branche qui traite spécifiquement de l’écologie de marché.



Mais il est plus facile de cliquer sur un smiley.









Rufh a écrit :



Dans l’ensemble je suis d’accords avec toi.

Mais dieu que tu est difficile à lire.

Tu devrais écrire plus simplement, tu serais plus agréable à lire et donc à faire passer ton message. Enfin sauf si ton but est de perdre 90% de tes lecteurs après le premier paragraphe <img data-src=" />





La loi de Sturgeon est implacable.


Le 03/08/2017 à 07h 47







razibuzouzou a écrit :



Ce serait surement un grand pas pour l’écologie et notre planète que dirigeants et industriels se sentent concernés aussi.

Aujourd’hui tout tourne autour du pognon. Donc on peut bien dire faites attention aux gens si l’industrie ne suit pas…





Il n’y a pas plus concernés qu’eux : leur but est de faire du profit, c’est à dire d’allouer de la manière la plus optimale possible les éléments, substrats, produits semi-finis, etc. qu’ils achètent le moins cher possible pour en faire des biens et produits utiles pour le plus grand monde (càd le plus moins cher possible). Qui peut en dire et faire autant ?



Le profit est la mesure de la durabilité d’un mod(èl)e de spécialisation. Quand une entreprise, qui participe à tel ou tel mod(èl)e, fait un profit, on peut en déduire que les biens/services produits ont une valeur plus élevée que les coûts engendrés pour les produire. Ce résultat indique que l’entreprise a réalisé une contribution positive pour le bien des consommateurs, et globalement, pour la société tout entière. Tel est le cheminement de l’enrichissement global (trickle-up economics). Il est évident qu’à cette aune, l’État est un irrémédiable loser patenté qui s’assume pleinement sur le dos des enrichisseurs (entrepreneurs, travailleurs, etc.). Ce n’est d’ailleurs pas innocent qu’il ait la main-mise sur la banque et la finance.



D’un autre côté tu as, par citer un exemple parlant récent, l’escrologie de façade où la mairie de Brest décide de construire un éco-quartier (ça ne s’invente pas) en rasant la dernière ferme de la cité (une ferme bio en plus, qui alimente les cantines locales) en l’expropriant d’une grande partie des terres sur laquelle elle produit. C’est beau l’escologie politique. (La répétition est pour taquiner la maladie.)


Le 03/08/2017 à 07h 29







joma74fr a écrit :



Les Etats de l’hémisphère Nord n’ont-ils jamais fait de guerres pour exploiter les ressources de leurs voisins, notamment de l’hémisphère Sud ? Le cobalt, l’uranium en Afrique, l’or en Amérique du Sud, le pétrole au Moyen-Orient, le gaz naturel en Tchétchénie et en Afghanistan, etc ?



Avec un tiers de la planète qui vit aux dépends des 23, il n’y a pas de pénurie en Occident, c’est clair.





Ces 2 § sont mutuellement exclusif, c’est soit l’un soit l’autre : soit on s’approprie par la violence (guerre, vol, etc.), soit on s’approprie par le marché, auquel cas la l’interdépendance est voulue, assumée, pacifique et mutuellement bénéfique. Il n’y a pas de 3ème possibilité (sauf pour les utopistes).







Drepanocytose a écrit :



Mince alors. Même pas mention des escrologistes.

Tout part à vau-l’eau, ma pauvre Lucette.





Tu auras corrigé toi-même.







Sheepux a écrit :



Reste zen, prend une tisane :)



Je pense que ton avis est trop centré sur la ressource.

Regarde plutôt dans les résidus engendrés par cette activité. Notamment le CO² (viande,ciment = beaucoup CO²)

Edit: à la réflexion je pense que les calculs du site sont orientées CO² d’ailleur.

http://www.climat-optimistes.com/concentrations-de-co2-latmosphere-elements-de-p…

La planète sait recycler une certaine quantité de CO², là on l’éclate et la concentration atmosphérique augmente.





Je t’invite à te renseigner sur “l’invasion” des chinois en Afrique qui achètent toute les terres arables car ils sont en manque de leur coté.

L’Afrique sert actuellement de fusible (avec pleins d’autres facteurs ) pour le reste de l’humanité et il grille pas mal engendrant toute les instabilités que l’on connaît et créant les conflicts auquel nous sommes nous même impactés : terrorisme (mais là on change de sujet).





Je suis centrée sur les principes économiques de base. Tout le reste en découle. Tout n’est pas qu’économie, mais rien n’est compréhensible sans.



Le ciment n’a jamais rebuté l’érection des éoliennes : 2500 tonnes de béton (par moulin à vent) à jamais coulé dans le sol pour une production d’énergie dérisoire et une influence nulle voire négative sur les émissions du gaz de la vie (pour ceux qui s’alarme d’un rien) : on n’est pas à une contradiction près chez les hippies.



Les 2 ou 3 prédictions basées sur les modèles climatiques que les climastrologues ont été capables d’avancer se sont toutes révélées fausses : pas de hot spot en altitude, pas de pause dans les prévisions, une sensibilité climatique empirique inférieur de moitié à la limite basse théorique, etc. Par contre on a un beau verdissement de la planète.



Les Chinois achètent de la terre en Afrique comme quiconque peut en acheter un peu partout ailleurs dans le monde : c’est donc qu’il n’en manque globalement pas. Ils sont juste prévoyants et font preuve de bon sens en allant au moins cher. Si on voit des pénuries chaque fois que quelqu’un achète quelque chose, alors le mot ne veut plus rien dire.


Le 02/08/2017 à 21h 29

Quel ramassis de conneries (la concentration de commentaires du même acabit est aussi impressionnante qu’affligeante).



Ce tissu d’absurdités pseudo-scientifiques et anxiogènes ne mérite pas le temps passé à écrire un article. Non seulement le “message alarmiste s’appu(ie) sur des calculs parfois approximatifs” (c’est peu dire), mais “l’idée de fond” est tout bonnement archaïque, rétrograde et stupide, basée qu’elle est sur une conception (néo-)malthusienne, statique et non fonctionnelle (=erronée) des principes économiques de base (en gros l’éco-mythe mille fois réfuté “il y a trop de monde”).



Non seulement la théorie est intrinsèquement bancale et incohérente sans parler d’inhumaine, mais les données historiques montrent tout le contraire : par ex. il n’y a jamais eu aucun élément ou substrat naturel qui ait été complètement déplété voire même seulement manqué dans toute l’histoire humaine. Et contrairement aux apparences, ce sont les éléments/substrats non renouvelables qui sont les plus abondants et les moins rares. On n’a pas quitté l’Age de pierre par manque de pierres.



Mais quels concepts tordus les bouffons verts n’inventeraient-ils pas pour apeurer les gogos, ou quand l’incantation a remplacé la réflexion. Il n’y a pas “trop de monde”, il y a seulement trop d’imbéciles et d’ignares, car manifestement la seule chose réellement limitée sur cette planète est l’intelligence et l’imagination.

Le 17/07/2017 à 10h 14







joma74fr a écrit :



Finalement, la Russie démontre que les GAFAM et les NATU peuvent investir un marché avec une politique protectionniste (comme la Chine le démontre aussi, avec par exemple l’alliance famille Peugeot/Dongfeng Motor/État français dans le groupe PSA).





D’où on en déduit que le marché est une forme émergente si naturelle de coopération pacifique et mutuellement bénéfique que ce n’est pas étonnant de la retrouver de tout temps partout. Il est étonnant que certains résistent encore inutilement à cet état de fait parfaitement humain et normal plutôt que de l’embrasser.


Le 17/07/2017 à 09h 18

J’appelle plutôt cela une opération intelligente et pertinente pour contourner la (ré)pression économique locale. Ce n’est pas comme si les alliances, associations, fusions, rapprochements, rachats, accords bilatéraux, etc. étaient des opérations inconnues sur le marché. Et maintenant ils sont en monopole.

Le 12/07/2017 à 16h 59



dans les enceintes publiques.

J’ai des doutes sur le fait que Twitter puisse être considéré comme telle.

Le 12/07/2017 à 16h 54







synchro a écrit :



Décision écœurante…

Tandis que ces géants trichent par le biais de l’optimisation fiscale, soustrayant chaque année des milliards d’euros à l’administration fiscale française, nous-autres sumples parriculiers nous faisons presser comme des citrons…



La jalousie est un vilain défaut, et si la parasitocratie française t’étouffe, fait comme Google : optimiser n’est pas tricher.


Le 10/07/2017 à 20h 25







Pazns a écrit :



Question, problème, thème, sujet…



Si tu commences à jouer comme cela sur les mots, c’est que cet échange est terminé.



Salut <img data-src=" />





Ta retraite est acceptée.


Le 10/07/2017 à 19h 55







Pazns a écrit :



Donc tu ne réponds pas à la question, et même en rappelant que dans certains cas cela ne peut pas marcher. Tout ceci est hautement constructif…



Il n’y a aucune question dans tes commentaires (autre que rhétorique).


Le 10/07/2017 à 19h 51







cyril8 a écrit :



Ah d’accord je viens de voir certains de tes commentaires précédents. Comme te l’a dit David, va un peu dehors te frotter à la réalité.



Si tu as des enfants fait un tour dans la nature, tu verras c’est très agréable et très instructif.



Depuis quelques années je fais partie de bénévoles qui nettoient la nature dans notre village. Je n’ai jamais vu autant de stigmates de la vie moderne : plusieurs dizaines de kilo de mégots, des centaines-voire des milliers de sacs plastiques, des piles et autres déchets électroniques et ceci chaque années. J’aimerais croire encore une fois que le monde se porte mieux et que la Nature se porte bien mais sors un peu de chez toi (et de tes carcans idéologiques) et tu verras dans le vrai monde que ce n’est pas le cas. C’est le tribut du monde moderne et ça n’existait pas il y a un siècle de ça.



J’habite et travaille à la campagne, donc je n’ai aucune leçon à recevoir de personne sur ce point somme toute mineur.



Les Français sont malpropres et sales, c’est connu. Mais en quoi cela dérange la Nature ? En rien : toutes les saletés s(er)ont intégrées/dégradées/nettoyées/incorporées/etc. à terme (dans un nouveau paradigme Nature+saletés). Les seuls que ça dérange sont les néo-rurbains qui voudraient que la Nature soit briquée comme leur salon, silencieuse comme leur tombe cave, alors que ce sont souvent ceux-là même qui se plaignent de la saleté chez eux mais salissent dès qu’ils sont ailleurs (pareil pour le bruit), cf l’exemple des groupes escrolos anti-tout qui font le siège, campent et disparaissent en laissant des monceaux de détritus, à charge aux paysans de nettoyer leur merde. Quelles bandes d’hypocrites.



Enfin couiner pour de malheureux “mégots, sacs plastiques, des piles et autres déchets électronique” tous biodégradables, alors que dans le même temps on bétonne à qui mieux-mieux le sous-sol, 2500 tonnes pour planter 1 seule éolienne improductive, ou on interdit les sacs plastiques mais on les autorise avec une épaisseur supérieure ou égale à 50µm et beaucoup plus longue à dégrader naturellement, etc.



Les gens les plus mal informés sont toujours les premiers poseurs idéologiques : ils voient leur petit monde avec un horizon rapproché, sans perspective, sans aucun point de comparaison avec ce qui se fait ailleurs dans l’espace et dans le temps (ex. Hulot et le nucléaire). Ils recherchent une chimère qui n’existe pas : la perfection créée est une notion étrangère à la Nature (et donc à l’Homme).


Le 09/07/2017 à 16h 00







Pazns a écrit :



Pas d’intérêt ? Quand on voit des cycles d’ingénierie automatique naturelle être endommagés, je me dis que c’est surtout de l’inconscience stupide…

La biodiversité, et la nature en général devrait être considérée comme un bien industriel, comme une machine, et à ce titre mériter une place dans les rapports comptables et les coûts de production.

Je ne parle pas de politique “verte” ou d’éthique.

Je parle de bon sens industriel.

Au final, le point de vue que tu développes est celui d’un mauvais industriel, d’un mauvais capitaliste qui néglige ses propres moyens de productions.

C’est consternant.





Tes propos sont ridicules de voyance et de certitude crasse.



La Nature se porte assez bien pour n’avoir vraiment pas besoin de porte-parole autoproclamé (et généralement ignare) avec des idées rétrogrades, loufoques, simplistes ou simplement nonsensiques.



Tout ton baratin est du niveau créationniste confirmé : les phénomènes naturels sont trop intégrés, complexes et résilients pour seulement pouvoir les comparer avec des opérations industrielles même compliquées (“cycles d’ingénierie automatique naturelle” = technocharabia). Lister les concepts escrologistes à la mode mais bidons ne les rend pas moins bidon.



Le bon sens consiste à définir des droits de propriétés clairs pour que les propriétaires prennent soin de leur propriété (en bon père de famille). Ça fonctionne partout où des institutions les garantissent. A contrario, là où ces droits n’existent pas (= ce qui est à tout le monde n’est à personne), la tragédie des biens communs continue de broyer et les Hommes et la Nature.



Enfin, m’accuser de “voyance” est risible face aux prédictions toutes plus catastrophistes les unes que les autres, mais toutes erronées, qui sont avancées continuellement depuis des décennies par les malthusiens et leurs avatars modernes. D’autre part, mes “certitudes” sont relatives à mes connaissances actuelles et susceptibles de changer dans le futur. Cela dit, la loi de l’offre et de la demande demeurera et le meilleur système naturel d’allocation de ressources par échange mutuellement bénéfique persistera aussi (voilà pour mes prédictions).


Le 08/07/2017 à 22h 53







cyril8 a écrit :



Au début je me suis dit que j’avais à faire à un illuminé. Mais en fait non tu as raison: l’économie s’affranchit bien des considérations matérielles.



Un des rares points où tu ne t’es pas trompé (ironiquement). Effectivement, la valeur des ressources créées dépend de - en - de substrats physiques. C’est bien expliqué dans ce document (USA) et le passage qui le spécifie est :

about 1970 a great reversal began in America’s use of resources. Contrary to the expectations of many professors and preachers, America began to spare more resources for the rest of nature, first in relative and more recently in absolute amounts. A series of decouplings is occurring, so that our economy no longer advances in tandem with exploitation of land, forests, water, and minerals. American use of almost everything except information seems to be peaking, not because the resources are exhausted, but because consumers changed consumption and producers changed production. Changes in behavior and technology liberate the environment.











cyril8 a écrit :



Lorsque le pétrole, les métaux rares enfin bref ce qui fait le monde tel qu’il existe aujourd’hui deviendront économiquement trop chers à extraire parce que l’on aura (sur)exploiter les dites ressources - enfin substrat physique je veux dire - l’économie continuera à fonctionner comme avant :



Les Cassandres prédisaient la fin du pétrole déjà dans les années 1800, alors les prévisions bidons… (en passant les “métaux rares” ne sont pas rares). Tout substrat physique trop cher à extraire est simplement produit ailleurs, remplacé ou abandonné.









cyril8 a écrit :



1/ Une poignée d’ultra riche continuera malgré tout à bénéficier de ce qui restera possible d’extraire, marginalisant un peu plus le reste de la population. En gros comme maintenant mais poussé à un extrême.



http://media.economist.com/sites/default/files/imagecache/original-size/20110702…” target=”_blank” rel=“nofollow”>200 ans de globalisation capitaliste ont plus fait pour le monde (Homme et Nature) que les idéologies collectivistes mortifères. La planète est certainement plus accueillante maintenant (et en bien meilleure état qu’avant).









cyril8 a écrit :



2/Nous reviendrons à l’âge du bronze voire de pierre et nous réutiliserons les moyens qui ont fait la grandeur de nos civilisations passées : les cailloux et les bâtons pour se foutre sur la gueule (enfin s’il reste suffisamment de substrat “arbre” que l’on aura pas ravagé par notre mode de consommation).



La violence est le penchant funeste de ceux qui ne savent pas faire autre chose. On n’a pas quitté l’âge de pierre/bronze par manque de pierre/bronze.









cyril8 a écrit :



Y’a pas à dire l’économie est une vraie science (même si les dits économistes sont uniquement d’accord sur le fait qu’ils ne sont d’accord sur rien).



~2 siècles de prédictions malthusiennes erronées ne semblent pas suffisantes pour débuter une auto-critique chez certains.


Le 08/07/2017 à 21h 50







Pazns a écrit :



La consommation d’une “ressource naturelle” peut déstabiliser des mécanismes de transformation spontanée de cette matière première en d’autres matières premières, par réaction en chaîne.

Or, ce fait semble bien souvent très peu pris en compte, alors que la “consommation collatérale” peut peser parfois bien plus lourd dans la balance que la consommation de premier lieu.



C’est là le vrai sens de l’écologie (et du recyclage), qui in fine est avant tout une pensée économiste pragmatique.

Une vision plus globale et donc plus réaliste, et plus optimale que ce que tu proposes.



Si ce n’est pas pris en compte, peut-être y a-t-il une bonne raison (pas d’intérêt). Je n’ai rien contre le recyclage qui a démontré sa valeur (= rentable). Le recyclage à la mode actuelle (càd global) est juste de la figuration escrologiste (du gaspillage de ressource financière limitée enfin de compte) pour étaler sa vertu.


Le 06/07/2017 à 20h 25







Yss a écrit :



Désolé mais là ce n’est pas des notions économiques. C’est une question de ressources naturelles



2 phrases, une contradiction : une ressource substrat physique n’a aucune utilité par ellelui-même : elle il n’acquiert son utilité que par une chaîne de process techniques quelconques qui a un coût : ce simple fait transforme un substrat naturel qui ne vaut rien en l’état en ressource économique maintenant utilisable et valorisable. C’est pour cela qu’on parle de réserve économiquement recouvrable. Ces réserves (quelque soit le substrat) représentent une infime partie de la totalité (dont la quantité est inconnue. Que tous ces substrats soient en quantité finie est une platitude qui n’a aucun intérêt en économie).



Donc oui, les ressources sont bien créées par l’homme suivant les usages dont il a besoin. Si un substrat n’est plus disponible à un coût acceptable (c’est à dire valorisable), il est remplacé ou abandonné.



Malthus avait tort il y a 200 ans et ses adeptes (ceux du recyclage inclus) n’ont rien appris depuis.


Le 05/07/2017 à 20h 47



Serait-ce trop leur demander de prendre en compte la fragilité et les ressources limitées de notre planète ?

Oui. La fragilité découle des limites techn(olog)iques rapportées aux coûts de production, d’autant que la seconde partie de la phrase est erronée : les substrats physiques n’ont pas de finitude connue (juste un coût de production comme le reste), on n’a d’ailleurs jamais manqué de rien dans une économie ouverte et libre. Économiquement, on crée les ressources à partir de substrats physiques : les ressources ne sont donc limitées que par notre intelligence/imagination/etc. Mais allez faire comprendre une notion économique de base à des néomalthusiens.



Le concept d’obsolescence programmée est un tel problème si urgent, si courant, si grave, que le nombre d’affaires la concernant a explosé … ah, et bien non, il y a eu 0 affaire. En attendant et histoire de flatter les gogos, les hippies font parler d’eux, sans doute pour faire oublier leur enlisement judiciaire et/ou leur anti-humanisme primaire.

Le 10/07/2017 à 20h 23

Complètement inutile (de mon point de vue) : de la paperasserie (virtuelle) issue d’une loi bureaucratique comme seul l’État français et sa technostructure savent les pondre. S’ils voulaient réellement “renforcer la liberté, l’indépendance et le pluralisme des médias.”, ils arrêteraient de les subventionner (et donc de les asservir). De nouveaux médias pourraient alors émerger en remplacement, et on pourrait voter avec notre porte-monnaie histoire de choisir plutôt que de subir.





les déclarations et les usages professionnels relatifs à la profession de journaliste peuvent être invoqués en cas de litige

Il n’y a pas à dire, on sait manier la carotte et le bâton mettre au pas les journalistes dans ce beau pays des droits de l’Homme. Comme si une charte allait vous couvrir en cas de litige.

Le 29/06/2017 à 16h 18







Sheepux a écrit :



Non sa généralisation est intéressante et surement pas un sophisme. Le principe de vie privée remonte jusqu’à savoir qui peux tracer ce que tu fais sur internet (interception “man in the midle” etc …) le login “anonyme” ne repousse le problème que d’une case comme il l’a généralisé.



Qui a dit le contraire ? Personne. Qui m’a attribué d’avoir prétendu affirmer que l’anonymisation était une solution miracle ? Carbier. Plus précisément, ce dont il est coupable c’est d’un homme de paille. Mais bon, c’est Carbier, il est hermétique au raisonnement logique et n’a pas assez potassé Schopenhauer.


Le 29/06/2017 à 13h 58







carbier a écrit :



Ouaip la solution miracle: pour ne pas avoir d’atteinte à la vie privée, il suffit de ne pas utiliser Internet (car si tu crois sincèrement qu’utiliser un identifiant anonyme est la solution <img data-src=" />)



J’ai pourtant visé très bas et fait très simple pour te répondre mais tu as quand même réussi à généraliser abusivement. Le sophisme est un art qui se pratique déguisé, sinon c’est grossier et n’a plus de charme.


Le 29/06/2017 à 13h 52







David_L a écrit :



Si on s’en tient à ta reflexion, JLI ou P&P n’existerait pas pour la presse. Et pour certains titres indépendants, je peux te dire que ça pourrait poser de sacrés soucis. Après je sais que tu campes sur ton truc comme à ton habitude hein, mais sur le fond, tu devrais sortir du principe et regarder un peu ce qui se passe dans cette chose étrange que l’on nomme la réalité.



Je ne suis pas une fan des acronymes abscons et non définis, donc je ne peux pas répondre pour la première partie. Pour le reste et comme dit plus haut, un tel balayage de l’argument ne va pas le faire disparaître : la réalité est ce qui reste quand on arrête d’y croire.


Le 29/06/2017 à 13h 28







hellmut a écrit :



Sans valider toute ta réflexion, je te rejoins sur un point: qui décide de ce qui est d’intérêt public ou pas?

l’Etat (reconnaissance d’utilité publique via décret du Conseil d’Etat).

Ce même état qui perfuse à tout va (exemple au hasard: la presse), et qui donc, indirectement, contrôle.



mais d’un autre côté il s’agit juste d’apporter une nouvelle solution de financement, à côté du système de dons qui existe déjà.



l’article dit “pourquoi pas d’intérêt public”, on voit que la réflexion n’a pas été poussée jusque là.



Tout à fait : l’expression « intérêt public » a (pour certains) un côté « solution miracle à tous les problèmes » qui dans la réalité ne tient pas aux faits.



Sur la centralisation comme « solution de financement », je pense que les personnes intéressées par les dons préfèrent focaliser leur bienfaisance sur les questions/programmes/problèmes/etc. qui comptent pour eux. (Soit dit en passant, le financement par don est aussi vieux que l’humanité, il n’a rien de « particulier ».)



Vu l’éclatement et la diversité en amont et en aval, je ne vois pas comment une telle centralisation pourrait être faisable ou fédératrice (sans parler souhaitable) sans apparaître une solution de plus.


Le 29/06/2017 à 12h 20







carbier a écrit :



Ce qui est bien avec toi, c’est que tu es constant dans l’aveuglement…

Réduire les problèmes de sécurisation des données privées aux seuls agissements des Etats est très réducteur (pour être poli)



Paraphraser de travers est aussi une constante chez toi : j’ai écrit « avant tout », ce qui veut dire qu’il en existe d’autres. La technique de vouloir noyer son chien en l’accusant de la rage est d’un éculé.









carbier a écrit :



Comme ce qui a déjà été très bien expliqué, les acteurs privés qui disposent de moyens colossaux sont les mêmes qui représentent les pires dangers pour les données dites privées.

La proposition qui est faite est de fédérer les bonnes volontés pour contourner les problèmes de financement du libre tout en conservant son indépendance.





Il est dans l’intérêt commercial et financier des firmes de protéger leurs clients et leur base de données (et donc leurs informations privées), donc ton laïus dogmatique primaire ne tient pas. Qu’elles les utilisent à des fins internes ou de promotion n’est pas en soit dérangeant. Si on ne veut pas subir un traitement informatique, il suffit de ne pas s’identifier ou alors d’utiliser des identifiants anonymes.









carbier a écrit :



Sachant que cette centralisation ne veut pas se substituer aux dons personnels mais simplement ajouter une corde supplémentaire aux moyens de financement, je ne vois pas en quoi cela peut te poser problème.



Une corde au cou à nœud coulant agrémenté d’un fil à la patte « d’intérêt public » indéfini et flou ne rend pas « libre », il rend dépendant et susceptible d’être soumis ou capté par des intérêts autres. Le problème a été posé dans mon premier post, mais apparemment le commentariat n’est pas assez « mature » et préfère bavasser ou se prélasser dans les ad hominem.





Pour le dire clairement, aucun type de gouvernance d’une telle structure centralisée et de redistribution financière ne pourra jamais garantir que « l’intérêt public », quoi que veuille dire ou impliquer cette expression, sera assuré quelque soit le terme envisagé. À moins de croire aux contes de fées ou d’être d’une hypocrisie inqualifiable, la sécurité privée ne peut pas être un problème « d’intérêt public » quand la chose publique est la première à ne pas l’assurer, à tout faire pour la contourner, voire à la dégrader sciemment.


Le 29/06/2017 à 10h 41







Paul Muad’Dib a écrit :



Le système actuel fonctionne mal voir pas du tout dans certains cas justement, cf. TrueCrypt qui a été arrêté subitement et la librairie OpenSSL qui est un truc massivement utilisé par les sociétés privées car gratuit et développé par de bons samaritains adeptes du libre qui ne leur coûte pas un sous –’

Enfin bon tout ça est dit dans l’article d’ailleurs.



La multitude des projets, l’éclatement des forces de travail et le manque de popularité desdits projets a toujours été une difficulté dans le libre (coucou les distributions GNU/Linux). Mais soyons réalistes cela restera toujours la préoccupation d’une minorité.



L’éclatement n’a que des avantages : souplesse, expérimentation, adaptation au marché, difficulté à capturer, moindre coût, professionnalisme, motivation, etc.



La sécurité n’est un problème financier : c’est avant tout une problématique imposée par les agissements d’institutions centralisées à la botte des gouvernements et politiciens qui souhaitent transposer leurs guerres infantiles trop visibles pour le bon peuple drogué à la mamelle de l’État providence, vers le cyberespace plus discret et moins mortel.



Vouloir centraliser et faire reconnaître public le financement des outils dont dépend notre sécurité, c’est demander au loup d’assurer la sécurité de la bergerie. Si au moins les agneaux étaient bien armés.


Le 29/06/2017 à 08h 38







nick_t a écrit :



Le mal progresse car le bien le regarde faire.





Le bien régresse car le mieux a fait pire.


Le 29/06/2017 à 08h 13







David_L a écrit :



Quatre projets tiers + NXi = 5



Peut-être faudrait-il reformuler, ce n’est pas très clair quand on lit les § à propos des projets financés et du % alloué.


Le 29/06/2017 à 08h 09







David_L a écrit :



Tu as sans doute mal lu ;)









Comme expliqué dans le billet de blog publié ce matin, nous avons dans un premier temps sélectionné GnuPG, Tails, Tor et VeraCrypt. Une manière de vous permettre de soutenir en un seul paiement cinq projets qui peuvent vous tenir à cœur.

Ce que j’ai décrit a déjà commencé à votre niveau. Quel projet a-t-il été retiré au dernier moment : il y en a 4 listés alors que les 2 billets en notent « cinq », ce qui ne peut pas être une erreur ?


Le 29/06/2017 à 08h 01







David_L a écrit :



Reste bien courageux alors <img data-src=" />



Cela n’a rien de personnel. La centralisation, en dépit de son sex-appeal idéologique, souffre de défauts congénitaux irréfragables, accentués dans le cas où de l’argent et sa redistribution sont en jeu.



On ne voit souvent (involontairement) que le bon côté des choses initiales, qui se transforment au cours du temps et petit à petit en levier politique (pour l’intérêt général, bien sûr) ou en rente (une spécialité française). Tout cela pour dire que le système actuel éclaté n’est peu -être pas optimal, mais il fonctionne, ce que démontre l’article d’ailleurs.


Le 29/06/2017 à 07h 43







David_L a écrit :



Il est toujours plus aisé de se trouver des raisons de ne rien faire <img data-src=" />



Il faut surtout du courage pour résister à la tentation de proposer une pseudo-solution pour régler un non-problème.


Le 29/06/2017 à 07h 17



Ainsi, ne serait-il pas plus intéressant de disposer d’une structure qui permettrait de centraliser et de répartir la récolte de ces dons, éventuellement avec une reconnaissance d’intérêt public ?

Non. Une structure unique multiplie le risque de capture et de préemption par des individus ou institutions mal intentionnés (détournement d’intérêt), surtout avec le stigmate « reconnaissance d’intérêt public ». Le mieux est l’ennemi du bien.

Le 29/06/2017 à 10h 23

« Scalabilité » est le mot qui résume le retour d’AMD et avoir laissé les ingénieurs choisir le nom de toute une gamme est vraiment une excellente décision de la part du CEO pour motiver ses troupes.

Le 28/06/2017 à 08h 07







joma74fr a écrit :



Sans concurrence, pas de main invisible, donc la notion de “monopole naturel” me paraît complètement farfelue. Tu vas nous faire croire que la concurrence pure et parfaite, la main invisible ne sont pas une invention d’Adam Smith.



“L’abus de position dominante (et autre loi anti-trusts) n’est qu’un racket qui n’a rien de libéral.” : je te reconnais bien là. Ça fait mal de voir que la théorie de Smith n’est pas aussi universelle et parfaite dans notre monde réel.



La « main invisible » est une image pour désigner une forme d’organisation économique qui émerge spontanément des interactions entre multiples agents économiques (le marché) et où on laisse libre court à la concurrence : intervenir est donc contraire à la « main invisible ». On peut mettre au crédit de Smith d’avoir mentionné 1 fois cette expression (mais l’idée n’est pas de lui) dans son livre le plus connu (RDN, 1776) pour visualiser cet ordre spontané de manière parlante, mais si tu avais lu cet ouvrage, tu devrais savoir qu’il n’a fait que décrire ce qu’il voyait, ce n’est donc pas d’une « théorie » dont il parle. De plus Smith était un « libéral » largement incomplet et avait des vues étatistes sur beaucoup de choses (taux d’intérêts, défense, impôts, etc.). D’ailleurs pour les libéraux Smith est un auteur mineur. Enfin plus généralement tu confonds libéralisme et capitalisme. Ça fait beaucoup d’erreurs, de contre-sens, d’approximations et d’ignorance.


Le 27/06/2017 à 16h 32







Poppu78 a écrit :



C’est le principe de l’abus de position dominante. A partir du moment où ils captent 90% des requêtes, on estime qu’ils sont en mesure de distordre le marché. Donc on est bien dans une application purement libérale, en l’occurence le principe de la libre concurrence, qui consiste à empêcher le dominant de bloquer l’accès des concurrents aux acheteurs.











joma74fr a écrit :



Il n’y a pas de règles différentes. Toute société commerciale dans l’Union européenne connaît dès le départ les règles de l’abus de position dominante et les circonstances qui la mettrait dans l’illégalité. 



Pourquoi Google est inquiété par l’Union européenne ? La raison est simple : dès qu’un acteur économique devient hégémonique, c’est lui qui établie les normes, les circuits de vente, etc. C’est la théorie libérale : une concurrence entre plusieurs acteurs permet de faire baisser les prix et de satisfaire les besoins des consommateurs.







La « théorie libérale » ne dit rien de tout cela, et elle ne prescrit pas de « solutions » (autre que celles du marché) à l’existence de position dominante. Au contraire, la pratique libérale vise à rechercher et à conserver une position dominante voire de monopole naturel en excluant ses concurrents potentiels. Si les concurrents sont mauvais, c’est la faute aux concurrents pas à Google.



L’abus de position dominante (et autre loi anti-trusts) n’est qu’un racket qui n’a rien de libéral.


Le 27/06/2017 à 14h 10







KP2 a écrit :



Ouais sauf que pour l’Irelande, c’est pas ça qu’ils font. Ils font du dumping fiscal depuis des années !

Ils ne font pas que travailler, ils se conduisent juste comme des voleurs à la sauvette… Et en piquant des trucs à leur propre “famille”.

C’est ça qui est absurde.



L’économie n’est pas un gâteau avec un nombre de parts fini, mais une boulangerie dont le statut dépend de sa production/vente : la richesse que les Irlandais crée pour eux-mêmes n’est pas retirée de la bouche des autres individus/familles/villageois/français/européens/terriens parce que ces derniers ne l’ont pas créée en premier lieu, et que cette création n’empêche en aucune manière d’autres créations additionnelles. Enfin les Irlandais ne sont pas plus de notre « famille » que toute autre personne sur cette Terre. Cette posture a comme un arrière et mauvais goût de protectionnisme absurde et dépassé : l’économie méconnaît les frontières fixées arbitrairement.


Le 27/06/2017 à 11h 19

L’intérêt rationnel (=économique) est de travailler pour soi, pas comme esclave des autres (glandeurs) et c’est valable à toutes les échelles. Pendant que les Irlandais créent de la richesses à titre individuel et donc sociétal parce qu’ils ont des institutions qui fonctionnent (plus de degrés de liberté), nous on fabrique des pauvres, des assistés et des f/pontionnaires dans une société en décrépitude qui stagne, se replie et essaie de rejeter sa propre incurie à limiter ses tares institutionnelles (issue de la mentalité collectiviste) en contraignant ceux qui réussissent à les adopter.



Just no.





Et en quoi cela change-t-il mon point ? L’Irlande a subi la crise immobilière à cause d’un secteur bancaire hyper-réglementé comme ailleurs, puis a adapté ses institutions (dégraissage étatique, austérité, même si tout est loin d’être rose), les entreprises sont revenues et les emplois avec.



Alors que nous continuons à perdre des emplois parce que les institutions (càd le gouvernement profond = la technostructure = l’administration = Bercy) refusent de se plier à la réalité et préfèrent son idéologie mortifère, stagnatrice et spoliatrice : plus simplement l’administration préfère conserver ses intérêts et son pouvoir. Le pire reste tous ces faux-culs soutenant ce système inique et archaïque qui viennent nous seriner hypocritement « d’intérêt général ».

Le 27/06/2017 à 11h 17







KP2 a écrit :



Quand tu fais partie d’une union comme l’UE, tu favorises pas tes citoyens aux détriment de ceux des autres pays de l’union. C’est juste complètement con… ça revient juste à marquer contre son camp.

Mais bon, ça n’a pas l’air de t’effleurer l’esprit…



L’intérêt rationnel (=économique) est de travailler pour soi, pas comme esclave des autres (glandeurs) et c’est valable à toutes les échelles. Pendant que les Irlandais créent de la richesses à titre individuel et donc sociétal parce qu’ils ont des institutions qui fonctionnent (plus de degrés de liberté), nous on fabrique des pauvres, des assistés et des f/pontionnaires dans une société en décrépitude qui stagne, se replie et essaie de rejeter sa propre incurie à limiter ses tares institutionnelles (issue de la mentalité collectiviste) en contraignant ceux qui réussissent à les adopter.



Just no.









tpeg5stan a écrit :



euh…

Le taux de chômage était plus faible avant la crise des subprimes, il a monté en flèche jusque vers 2012, puis redescend depuis lors. Il faut savoir que le «tigre celtique » a eu une situation critique au plus fort de la crise.



Et en quoi cela change-t-il mon point ? L’Irlande a subi la crise immobilière à cause d’un secteur bancaire hyper-réglementé comme ailleurs, puis a adapté ses institutions (dégraissage étatique, austérité, même si tout est loin d’être rose), les entreprises sont revenues et les emplois avec.



Alors que nous continuons à perdre des emplois parce que les institutions (càd le gouvernement profond = la technostructure = l’administration) refusent de se plier à la réalité et préfèrent son idéologie mortifère, stagnatrice et spoliatrice : plus simplement l’administration préfère conserver ses intérêts et son pouvoir. Le pire reste tous ces faux-culs soutenant ce système inique et archaïque qui viennent nous seriner hypocritement « d’intérêt général ».


Le 26/06/2017 à 21h 05







Drepanocytose a écrit :



Parce que tous les irlandais se sont barres.

Dans ma boite ce sont, et de loin, les premiers expats.



Merci d’appuyer mon point.







frscot a écrit :



Suffit de mettre tout le monde en emploi precaire et hop chomage en baisse. Ecole, sante sans financement mais tu as un boulot. Un choix.



On préfère les chômeurs en France, c’est mieux pour les élections. Et puis, que ferait l’administration s’il n’y avait plus de problème ?







KP2 a écrit :



C’est surtout parce que l’Irlande fait du dumping fiscal au détriment du reste de l’Europe et notamment de la France.

Elle transfert juste son chômage chez les autres…



Et puis bon, l’Irelande s’est bien éclatée la face pendant le crise de 2008. Bien bien pire que chez nous… il s’en est fallut de peu pour que l’Irelande soit une Grèce avant l’heure.



J’appelle cela défendre les intérêts de ses citoyens en favorisant des institutions pro-entreprises et donc pro-emplois. Apparemment le Français est trop con pour intégrer ce point trivial. D’où un chômage structurel depuis près de 50 ans.


Le 26/06/2017 à 17h 19







Drepanocytose a écrit :



Les irlandais aiment la double sodomie je vois. A sec au gravier une premiere fois, au gros sel une deuxième fois…



Le chômage en Irlande est passé de 15% en 2012 à 7% actuellement, quand en France il a augmenté, comme quoi la politique d’accueil des entreprises fonctionne : vérifie ce soir ton fondement, au cas où…


Le 26/06/2017 à 15h 04

Incroyable, une banque demande des garanties sous formes d’actifs valorisables pour débloquer de l’argent, mais où va-t-on <img data-src=" />

Le 23/06/2017 à 12h 01







Yss a écrit :



Cela dépends des cas, un exemple simple : la sécurité dans le milieu industriel. L’augmentation des normes et contraintes imposées implique davantage d’investissement qui deviennent obligatoires sinon nécessaires.



On appelle cela des charges, pas des investissements, mais les 2 sont souvent intégrés afin de limiter les coûts exogènes (de régulation/normes/etc.).









Yss a écrit :



Encore une fois ça dépends, dans le cas qui nous intéresse, la neutralité du net. Si on la supprime et que les FAI deviennent libre d’imposer des restrictions de débit selon les services, les barrières pour entrer sur le marché seront plus importante car pour lever la restriction de débit inutile d’être devin pour savoir qu’il faudra payer et du coup cela favorisera les gros acteurs déjà en place.



Assertion illogique. Je ne vois pas en quoi une restriction de débit sur un service chez un FAI empêcherait un autre de le proposer soit sans restriction soit avec un meilleur débit pour se différencier et capter plus de clients intéressés.









Yss a écrit :



Cela dit en passant les FAI se battent contre la neutralité du net et veulent moins de régulation pour imposer leur propre régulation à eux.



Ils veulent surtout pouvoir adapter leur business dans un monde en changements permanents. Leur lier les mains n’est pas économiquement pertinent.









Yss a écrit :



Je le dit franchement, je n’ai pas le temps de lire cela sur un sujet qui ne m’intéresse pas vraiment.



Pourquoi répondre alors sur ce sujet s’il ne t’intéresse pas. Le papier montre le lien de causalité moins de régulation, plus d’investissement à l’aide de données.









Yss a écrit :



Mais moi ce que je sais c’est qu’au final si les FAI se voient libre d’imposer des restrictions de débit sur les services internet, ceux qui en feront les frais ce seront les utilisateurs.



Si on regarde ce qu’il se passe les choses sont claires. Les FAI veulent imposer des restrictions de débit, les FAI refusent d’aller poser de la fibre à certains endroit si ce n’est pas rentable.

Il faut comprendre qu’aujourd’hui internet devient un outil quasiment indispensable pour les gens au même titre que l’accès à l’eau potable, l’électricité etc. Et dans le cas de ce genre d’infrastructure, y avoir accès librement et sans restriction imposées (évidement il faut quand même payer le réseau, du coup ce n’est pas gratuit, je ne suis pas un illuminé) en devient quasi obligatoire.



Les adaptations (un terme qui représente plus la réalité que « restrictions ») de débit existent de facto sous de nombreuses formes, et légiférer là-dessus est inutile et contre-productif à moins de vouloir justement saper le marché.



Ce sont surtout leurs clients qui décident par rapport à ce que les FAI proposent : si le business (adaptation du débit entre autres) ne leur conviennent pas, nul doute qu’ils en changeront. Le client est roi et les FAI sont à son service, pas le contraire.



Si la fibre n’est pas rentable à certains endroits, c’est parce que on veut (faire pression pour) imposer un prix relativement uniforme sur un territoire qui ne l’est pas. Voilà ce qui arrive quand le/la politique se mêle de l’économie.



Il n’y a pas plus de restriction d’accès et de service au réseau virtuel que maintenant il y en a aux réseaux physiques d’eau, d’électricité, de gaz, etc., merci à la libéralisation du secteur.



Et non, Internet est beaucoup moins indispensable que de boire, se nourrir et se chauffer.


Le 22/06/2017 à 13h 34







Yss a écrit :



L’article dit qu’il n’y a pas encore de causalité prouvée entre enlever de la régulation et l’investissement utile.



Tu affirmes que si car un dollar utilisé pour la régulation ne l’est pas pour l’investissement.



Moi je te dis que non car un dollar auparavant utilisé pour la régulation et qui ne l’est plus, n’est pas forcément utilisé pour l’investissement.

Du coup la causalité entre moins de régulation plus d’investissement n’est pas encore prouvée.



La causalité est toujours difficile à prouvée dans un système complexe, intriqué et dynamique. Ce qui est sûr, c’est qu’un dollar mis dans la régulation n’ira forcément pas en investissement, ce qui était mon point initial. Intuitivement, ce dollar libéré peut alors soit servir en investissement pur (direct), soit être épargné (et être alors utilisé en investissement indirect), soit être consommé (faisant boule de neige dans toute la chaîne de ce marché avec à terme un delta investissement positif, ceteris paribus).



D’une manière générale, plus il existe de régulation, moins les acteurs en place sont disposés à investir (situation de monopole/oligopole) et plus les barrières pour entrer sur ce marché sont élevées, et empiriquement, moins il existe de régulation (par privatisation, libéralisation, etc.), plus les investissements augmentent.


Le 21/06/2017 à 13h 45







Yss a écrit :



Mais non : Tout \( non dépensé dans la régulation n'est pas obligatoirement un \) dépensé dans de l’investissement utile.



Cela ne contredit pas mon commentaire.


Le 21/06/2017 à 10h 43



Cette attitude est partagée par le régulateur, la FCC, qui lève nombre d’obligations pesant sur les opérateurs (notamment en matière de neutralité du Net et de vie privée), dans l’espoir affirmé d’encourager l’investissement… Sans que la causalité n’ait pu être prouvée aujourd’hui.

Mais si : tout \( dépensé pour satisfaire de la régulation inutile n'est nécessairement pas un \) utilement dépensé pour investir.

Le 23/06/2017 à 09h 51

La capitalisme (de marché) fonctionne, l’Adllc ne sert à rien.



Utilisation pertinente du terme technique « monopsone » (rarement utilisé chez les commentateurs économiques) <img data-src=" />

Le 20/06/2017 à 13h 30







Coeur2canard a écrit :



J’aimerais bien avoir un peu plus le fonds de ta pensée là-dessus, mais pas au prix d’un lien de plus 100 pages. La lecture ne me fait pas peur, mais bon j’aime bien choisir mes lectures pour le coup (surtout en économie). Tu aurais pas un passage en tête en particulier?



La conclusion du 2nd papier résume la situation (et mon point).