(quote:1827509:Idiogène) Tu as vu beaucoup de laveries collectives en Europe au km carré ? Et quand bien même, mon besoin conventionnel profite à pas mal de monde, d’ailleurs ce même monde est la base du besoin conventionnel… ce doit au moins être de l’escrologie !
L’important n’est pas le nombre de x ou y mais d’agir selon son discours. Quand les actes sont déconnectés de la rhétorique, c’est qu’on est en présence d’un hypocrite/idéologue/escrolo (pas de mention inutile à rayer). . .
C’est qui “on” ?
99,999999 % des terriens. . .
Le réel n’existe donc pas.
Mais si, c’est pour cela qu’on se fiche du taux de CO2. . .
Et les externalités positives négatives du type subventions c’est mal ?
Idem. Leurs conséquences entraînent des effets pervers (sélection arbitraire des gagnants, perte des informations du marché, coûts d’opportunité élevés, effets d’aubaine, etc.) etc. Ça va peut-être t’étonner mais je suis contre le principes des subventions d’argent public aux entreprises (toutes, zéro exception). . .
Source ou glaçons ?
Cf ci-dessus.
Le
30/09/2020 à
16h
49
deathscythe0666 a dit:
Tu as surtout une idée de la débilité du concept de Tmoy puisqu’on peut la calculer d’autant de manières que l’on veut pour aboutir au résultat recherché. Pour qu’une Tmoy soit physiquement valide, il faudrait convertir la T de chaque point en valeur d’énergie (ou de flux), moyenner et reconvertir en T (avec tout un tas de limites) parce que si la Tlocale est bien proportionnelle à la racine 4ème du rayonnement (Loi de Stefan-Boltzmann), la moyenne de la racine 4ème de ce dernier n’est PAS égale à la racine 4ème de la moyenne des rayonnements locaux.
Le calcul de 122 °C dérive de cette dernière observation : on considère une surface terrestre sans océans/atmosphère divisée en 2 parties égales où la 1ère ne reçoit rien (0 W/m² donc 0 K) et la 2nde 480 W/m². Au total on a bien les 240 W/m² moyens utilisés pour arriver au classique -18 °C (255 K, soit la racine 4ème de (240 / 5,67.10^-8) (*). Le calcul de la racine 4ème de (480 / 5,67.10^-8) donne maintenant 303 K que l’on doit diviser par 2 pour tenir compte de la surface totale, soit ~152 K ou -122 °C.
Quel est le chiffre de température le moins faux : celui avec une Terre étalée recevant uniformément 240 W/m² en moyenne, ou celui avec d’une Terre à 2 (sur)faces avec là aussi 240 W/m² moyens reçus mais non uniformément ?
(*) 5,67.10^-8 est σ, la constante de Stefan-Boltzmann
Le
30/09/2020 à
16h
01
(reply:1827520:Idiogène)
Tu ne sais pas lire ou tu fais exprès de changer de sujet ? Ton point à #55 était les « étiquettes de produits chimique ». On parle donc d’étiquettes et de rien d’autres. Les étiquettes sur les produits commerciaux de CO2 indiquent soit « Non classé comme préparation ou substance dangereuse. Aucun étiquetage CE requis » soit « Non applicable » : par ex. carboglace ou gaz.
Tout le reste est HS : tu as la mauvaise foi vissée à ton neurone ou es d’une rare incompétence.
Le
30/09/2020 à
08h
40
(quote:1827247:Idiogène) Si il n’y avait pas de cycle de l’eau on serait à -18 de température moyenne….
Non, ce chiffre est la moyenne théorique maximale résultant d’un calcul simpliste qui considère une Terre spatialement étalée ne tenant pas compte de la géolocalisation, de l’inclinaison, etc. : la « véritable » moyenne, si tant est qu’on accepte ce calcul non-physique à partir de valeurs intensives, se situe entre -122 et -18 °C. On peut approcher cette valeur en considérant (avec les mêmes limitations de validité physique) la Lune : -84 °C.
Le
30/09/2020 à
08h
09
olt01 a dit:
Du vent, et encore du vent, mais personne ne veut des éoliennes.
Si, moi : c’est bien plus rentable sur mes terrains que de travailler pour nourrir des (électeurs) imbéciles qui préfèrent payer leur électricité plus chère avec ces pseudo solutions pour régler un non problème. Je t’assure que je remercie ces crétins tous les jours. Si les oiseaux retrouvés morts à leurs pieds avaient une conscience, ils seraient d’accord (sur les qualificatifs bien sûr). . .
(1) : plus on divise les ressources disponibles par le nombre de personnes sur une même surface, plus on diminue le “so called” pouvoir d’achat, donc la capacité à jouir de son environnement.
On parle plutôt de matières premières (MP) (ou de substrats naturels) disponibles : « ressource » est un concept économique. Ton raisonnement superficiel n’est valable que ceteris paribus et oublie que le système est dynamique et adaptable.
Dans les faits, la quantité de MP disponibles est variable car elle dépend des coûts de production eux-même changeants (améliorations techniques, niveau de la demande, substitution, etc.). De même les besoins de la population se modifient au cours du temps (modes, contraintes sociales/économiques, mobilité, etc.). Enfin la notion de pouvoir d’achat appliqué à une « capacité à jouir de son environnement » non-quantifiable (valeur individuelle et donc non-universelle) n’a pas de sens, même dans l’absolu.
Bref raisonner sur des agrégats et des moyennes à un instant T fait perdre de vue beaucoup d’information mais permet d’aboutir à des conclusions claires, simples et fausses.
Plus généralement la finitude physique des MP (incontestable certes, mais pour la plupart inconnues et incommensurables à l’epsilon de consommation près) n’a aucune conséquence sur la disponibilité des ressources [1] : on ne trouve d’ailleurs aucun exemple de MP ayant complètement disparue sans être remplacée.
De manière contre-intuitive, on montre en fait le contraire : ce sont les « ressources » renouvelables qui sont le plus en tension, alors que celles supposées finies sont considérées comme inépuisables, ce qu’elles sont en pratique [2].
(quote:1827245:Idiogène) Quels termes sont alors employés ? (je pressens des synonymes… comme nocif, c’est pas le seul)
Il suffit de lire : toxicité : parce que l’on peut la définir quantitativement et donc la qualifier danger : idem
Enfin et pour conclure, les étiquettes sur les produits contenant du CO2 vendu commercialement (carboglace ou gaz) mentionnent toutes l’absence de danger de la substance (et évidemment pas le ridicule terme « polluant »).
(Tu vois qu’il n’était pas si difficile d’admettre ton erreur.)
Le
30/09/2020 à
07h
06
(quote:1827242:Idiogène) Pour le cas considéré (electroménager) le taux d’équipement individuel actuel suffit à démontrer l’absence de concurrence (la laverie du quartier ne justifie pas que je renonce à mon lave-linge etc)
Ton exemple personnel n’est indicatif de rien d’autre que de ton hypocrisie et ta fainéantise : la laverie collective aurait été un moyen de diminuer ton empreinte sur la planète, et pourtant tu as choisi la facilité. Comme quoi les ardents défenseurs escrolos ont surtout l’idéologie du contrôle chevillée au corps, mais seulement pour les autres. . .
Donc le seul paramètre ayant un impact est l’usage conventionnel. Qu’on peut aisément faire dépendre du nombre d’usagers. Par suite le nombre d’usagers à taux d’usage constant (besoin conventionnel) nous donne pour une source majoritairement electrique un taux de CO2 moyen émis par personne.
On se fiche du taux de CO2. . .
Je m’étonne que tu parles d’escro-consciences dont l’effet de levier sera en effet une réduction individuelle de CO2 soit l’effet recherché…
Idem. . .
Effet pervers = externalité négative. J’ai du mal à saisir en quoi tes schémas explicatifs diffèrent de tes adversaires. (je ne dois pas être le seul)
Pour la simple raison que si ces effets pervers volontairement infligés aux marchés par les interventionnista (comme dirait N. N. Taleb) oublieux de l’éthique humaine (primum non nocere) sont levés (en s’abstenant d’intervenir, si tu ne suis pas), les effets pervers disparaissent.
Au surplus, le concept vague et mal défini « d’externalités négatives » peut être repensé de manière opérationnelle en terme d’opportunités en attente d’être découvertes et exploitées par les agents économiques : so it’s features, not bugs.
Le
29/09/2020 à
10h
54
(quote:1827025:Idiogène) Cherche la définition de polluant. Et relis les étiquettes sur les produits chimiques (codification internationale plus explicite que le A B C…)
J’ai été vérifier : c’est faux, les règles de classification et d’étiquetage (§ 3.2.7) des produits chimiques mentionnent très clairement que la mention « non polluant » , et donc aussi le terme « polluant », ne sont pas conformes (de même que « écologique »). Tu ne le trouveras sur aucune étiquette.
C’est compréhensible vu la définition floue de la notion.
Le
29/09/2020 à
10h
36
(reply:1826935:Idiogène)
La définition de polluant a une géométrie si variable qu’elle est essentiellement inutilisable (à part pour initier des batailles sémantiques sans intérêt). De plus il est très facile de tomber, comme toi, dans le piège de la généralisation abusive (ce que tu as fait puisque tu as largement amendé/précisé ton discours initial depuis). . Cela étant ma position est qu’un composant dont les effets à toutes les échelles envisagées sont largement supérieurs/bénéfiques (quelques soient les métriques considérées) à ses effets supposés et hypothétiques ne peut pas être défini comme tel.
Le
29/09/2020 à
10h
21
(quote:1826934:Idiogène) A usage constant le seul indicateur est la démographie.
HS. Aucun usage n’est constant. . .
L’effet rebond est un problème lorsque les externalités négatives sont mal maitrisees : transports en centre ville insufisants, charbon et mineurs….
Cet effet pervers est justement la conséquence de la politique d’intrusion dans les marchés. Les externalités négatives (EN) sont par définition mal maîtrisées, c’est pour cela qu’elle sont supposées « négatives ». Ce concept théoriquement et opérationnellement vide a été spécifiquement introduit pour justifier les politiques d’intervention par taxation ou régulation. Quand les droits de propriétés sont convenablement définis, les coûts de transaction sont des ordres de grandeur inférieurs aux coûts de ces interventions car internalisés par les agents négociant entre-eux-mêmes leurs droits (cf Coase). C’est la seule manière effective, et soci’ét)alement la moins coûteuse. . .
Quant au tirage par le bas du marché il provient de l’absence d’obligation par ACV. Si on pratiquait ce type de d’objectifs (la méthodologie) il y aurait 2 ou 3 marques chez Darty. Comme pour l’économie numérique en gros….
Si l’ACV existait autrement que sur le papier, on devrait avoir des modèles de prédiction économique qui fonctionnent parfaitement. Heureusement, l’économie est un système complexe si intriqué qu’il est, comme le climat, non-amenable à la formalisation algorithmique (dans l’état actuel de nos connaissances limitées). L’ACV n’est que le dernier avatar des abstractions réductionnistes perverses (comme les EN) qui sont appétentes pour les collectivistes interventionnistes avides de pouvoir et d’orgueil, mais vide de sens sur le terrain.
Le
28/09/2020 à
18h
56
(reply:1826930:Idiogène)
Le coût ne va pas disparaître : il va juste être répercuté sur le consommateur avec un prix à la hausse ou, plus probablement avec des fonctionnalités, fiabilité, efficacité générale, etc. revue(s) à la baisse, ce qui au final va tendre à niveler les marchés par le bas et donc se retourner à terme contre l’idée initiale, un grand classique de l’action publique.
Le PIB n’est qu’un indicateur très limité et problématique.
Comme le CO2 n’est pas un polluant, ton rapport et ta phrase n’ont aucun sens.
Le
28/09/2020 à
18h
02
(reply:1826919:Idiogène)
Quelles économies d’énergie ? Pour l’instant tout ce que l’on a, ce sont des espérances d’économie d’énergie.
Les brevets (concept coûteux à l’utilité contestable) et la production de savoir ont des coûts élevés. Je te renvoie à notre discussion par ailleurs sur la notion de coût de renoncement qui est une règle générale qui s’applique ici aussi.
La question aurait mérité d’être posée AVANT l’obligation. Mais dans les Eurosoviets ou au pays du fromage, seules les promesses frelatées ont de la valeur pour les marchands de bonheur utopique.
Le
28/09/2020 à
17h
51
Personne n’a dit que c’était le seul élément à prendre en compte. Il ne faut pas aussi oublier que ces indicateurs de consommation permettent de savoir… qui consomme plus ou moins sur une base comparable.
Ceux qui payent leur électricité peuvent voir un intérêt dans cette information sans partir dans des envolées lyrique de conscience supérieure de l’état de ce monde
Texte. J’entends bien, mais on ne peut pas non plus nier le côté attrape-mouches coloré de la chose qui permet de diriger l’attention des consommateurs sur 1 seul critère réducteur, alors que leur intérêt est peut-être sans doute ailleurs. . .
Sur « une base comparable »
J’en doute. Comment quantifier et ramener à une même base la multitude de paramètres techniques qui composent un appareil par rapport à un autre complètement différent ? Difficile, à moins d’aimer les usines à gaz et d’où le choix de ce critère réducteur et au moins-disant.
D’un point de vue global, est-ce qu’on s’est interrogé si la consommation d’énergie avait un quelconque intérêt ? Ce n’est pas comme si on feignait d’oublier le paradoxe de Jevons. Enfin, où sont les études post mortem qui analysent si les habitudes de consommations ont été changées ou ces autocollants ont eu la moindre répercussion sur la consommation ? Mystère. . .
« sans partir dans des envolées lyrique de conscience supérieure de l’état de ce monde »
Pourtant Greta (ou est-ce AOC ?) a bien averti qu’on n’avait plus que 12 années avant la fin du monde, d’où la tirade de « neutralité climatique » (quoique cela puisse vouloir dire) des Kommissars officiant dans les Eurosoviets.
Le
28/09/2020 à
16h
47
Quelle arnaque, une véritable tromperie au choix pour le consommateur sous couvert d’économie alors que ce n’est pas seulement ou même principalement le critère le plus important à prendre en compte à l’achat, surtout en France.
D’autant plus que ce critère limité d’efficacité n’a été retenu que pour la simple raison qu’il n’y en a pas d’autres aussi globaux (càd coller des étiquettes partout pour bien vous montrer ce qu’il faut acheter), ce qui n’implique évidemment pas qu’il est pertinent ou même utile.
Mais c’est la même chose avec les mesures de « pollution » : il n’y a plus de pollution mais on continue à diminuer les seuils tant que les appareils en sont capables pour que la technocratie puisse continuer à pondre de l’arbitraire sous couvert de « santé publique ».
Jamais on ne s’est interrogé sur les coûts globaux nécessairement engendrés par cette course à l’échalote : la noble cause corrompue et non dite (« économies d’énergies pour sauver la planète ») a prévalu. Les escro-consciences ont été provisoirement apaisées même si en réalité il est fort probable que tout ce cirque ne soit qu’un immense gâchis à l’image des EnR.
(quote:1827416:Kazer2.0) Je n’ai pas d’enfant, je comprend l’utilité de financer les écoles et l’éducation et ça ne me pose absolument pas problème (après on peut débattre de la qualité de l’éducation en France, mais c’est un autre point).
Au contraire : si la qualité est mauvaise, pourquoi continuer à la financer ? On peut d’ailleurs raisonnablement argumenter que cet état de fait (cf PISA et autres) ou la mauvaise qualité des programmes est justement la conséquence de ce mode de financement coercitif.
On peut l’écrire succinctement sans perte de généralité :
Il n’y a pas besoin de présupposés cachés pour admettre que quand tu manges un bonbon (= tu dépenses de l’argent en greenwashing) il n’y plus disponible (pour faire de la recherche). Les enfants apprennent cela très tôt, et même les singes le savent.
Le
28/09/2020 à
17h
23
(reply:1826911:Idiogène)
Je n’ai pas besoin d’étayer, c’est un point de logique élémentaire : ce qu’on dépense dans A (greenwashing) n’est dès lors plus productif en B (recherche). (Évidemment quand on vit avec l’argent gratuit des autres, ce n’est pas si évident à comprendre.)
Le
28/09/2020 à
16h
16
(reply:1826889:Idiogène)
Mon unique point dans ce fil est que les subsides publiques dépensées en greenwashing sont en pure perte pour la recherche, ce qu’on appelle techniquement le coût de renoncement ou d’opportunité, mais ne compliquons pas les choses pour les esprits limités.
Tout le reste, dont tes hypothèses farfelues auxquelles tu attaques avec la fourgue du courageux sophiste, n’est pas de mon fait. Mais continue à creuser, tu es presque au fond…
Le
28/09/2020 à
12h
19
(reply:1826690:Idiogène)
1/ Ma citation « Si le raisonnement logique de ma réfutation (mon 1er §) t’échappe, c’est que tu n’as pas fait ton travail (ou pas compris) : je ne suis pas ton employé (ou ton instructeur), ce n’est pas à moi de prouver le point, mais à celui qui l’affirme. » est en complet accord avec ta « tentative d’inversion de la charge de la preuve ».
Argumente donc ta position avant d’espérer débattre.
2/ « Absorbé signifie que le coût est indissociable de la nature de la dépense » : tu l’admets toi-même, c’est une « dépense ».
Ce n’est pas mon hypothèse mais la tienne, je te cite : « Si le CERN …, le coût … ceci est une hypothèse non réfutable ». Note qu’une dépense fusse-t-elle provisionnée reste une dépense, quelque soit l’application avec laquelle tu dévoiera et fraudera le sens des mots.
« 50% en moins par rapport à la moyenne nationale au bout de 6 mois. = rentabilité » : qu’est-ce que CERN a produit et vendu pendant ce temps ? Rien. Donc le critère de rentabilité est non démontrée : si le CERN était rentable, il n’aurait pas besoin de subventions. Comme il n’est financé que par subventions, reductio ab absurdo => il n’est fatalement pas rentable.
Le
27/09/2020 à
08h
07
(reply:1826634:Idiogène) 1/ Tentative d’inversion de la charge de la preuve . 2/ (greenwashing === corruption) ≠ (« histoire humaine » = généralisation abusive) « absordé » = dépensé = coûte de l’argent (QED) « hypothèse non réfutable » = idéologie/dogme/culte ≠ Science (domaine du falsifiable) « réduction de 50% de la note d’énergie » = économie (≠ rentabilité)
Le
26/09/2020 à
19h
55
Le commentaire auquel tu répondais ne cherchait pas à réfuter point par point les arguments de Loeff. Différent objectifs, différente manière de débattre.
Les deux fois où nous avons échangé ensemble, je n’ai pas répondu sur le fond parce que pour pouvoir discuter, il y a au moins deux prérequis que les deux interlocuteurs doivent partager. Le premier, c’est la manière avec laquelle on peut se faire un avis sur un sujet (et je maintiens que l’inférence bayesienne est la méthode la plus rationnelle pour ça : https://orbilu.uni.lu/handle/10993/2969?locale=fr et https://youtu.be/aU7EWwLtiOg ). Le second, c’est la manière de débattre. Pour moi, c’est fondamental d’expliquer les éléments dont on dispose qui nous ont permis de nous forger un avis, et de faire en sorte qu’ils soient compris de la bonne manière.
Nous ne sommes pas d’accord sur ces deux sujets, ça n’a donc aucun sens de discuter ensemble de quoi que ce soit d’autre. J’ai fait preuve de bonne volonté pour t’expliquer ma manière de voir les choses, fais-en ce que bon te semble. En ce qui me concerne, je n’echangerai pas davantage.
Une parfaite illustration de la fameuse maxime « Fais comme je te dis mais surtout pas comme je fais. » . . .
inférence bayesienne est la méthode la plus rationnelle
Inventer des probabilités comme ça l’arrange et utiliser une méthode hors-cadre qui conduit aux conclusions préétablies (consciemment ou non) n’est pas rationnel, au sens où les scientifiques emploient le mot : ladite méthode est indistinguable de la fabrication de données. . .
Pour moi, c’est fondamental d’expliquer les éléments dont on dispose qui nous ont permis de nous forger un avis, et de faire en sorte qu’ils soient compris de la bonne manière.
En un mot : argumenter, ce que tu t’es bien gardé de faire. Déclarer son incompétence, qui n’est pas un état irréversible mais un choix assumé, permet il est vrai de prendre les raccourcis bien commodes du scientisme. . .
En ce qui me concerne, je n’echangerai pas davantage.
Dans toute transaction, il faut être 2 pour échanger. Mais quand on n’a rien à proposer, difficile effectivement…
Le
26/09/2020 à
19h
10
(reply:1826551antonQ-Robespierre) Pardon, mais je ne critique pas : je crucifie les escrologistes (noter le « s »). Les écologistes, et autres épaves intellectuelles qui font leur politique sans le savoir, n’obtiennent juste que mon indifférence pour leur triste sort de marionnettes. . Sinon je respecte les scientifiques qui font de l’écologie (la Science), les conservationnistes et autres amoureux de la Nature qui sont sur le terrain et agissent (dans l’ombre). . Toujours pas un argument pour justifier le gaspillage des ressources du CERN en greenwashing.
Le
26/09/2020 à
09h
50
J’aime débattre et confronter mon point de vue à quelqu’un d’autre, parce qu’on peut me démontrer que ce que je pense n’était pas juste et faire évoluer ma vision des choses. Un bon débat pour moi, c’est un débat où j’aurai appris quelque chose à la fin.
Ce n’est pas du tout ta conception du débat : ton argumentation se résume à des affirmations sans justification, et à des invectives. Tu te contentes de réfuter les arguments de ton interlocuteur, sans expliquer le raisonnement logique qui te permet d’affirmer ça. Sans même un seul contre exemple. Et on devrait te croire et changer d’avis pour la simple raison que tu considères être parmi ceux qui détiennent la vérité unique, et que nous autres pauvres mécréants qui osons avoir une opinion différente ne sommes que des “croyants aux licornes magiques”…
Bref, débattre avec toi ne m’apporte rien. Et à mon avis (c’est une opinion), si la plupart des gens arrêtent de débattre avec toi, ce n’est pas parce que tu es un débatteur de génie, c’est simplement parce que tu es lassant.
Le commentaire auquel j’ai répondu n’était aussi qu’affirmations gratuites, personnelles contraires au bon sens, non-factuelles, sans compter le “fokon” de rhétorique bas de gamme et le traditionnel sophisme.
Si le raisonnement logique de ma réfutation (mon 1er §) t’échappe, c’est que tu n’as pas fait ton travail (ou pas compris) : je ne suis pas ton employé (ou ton instructeur), ce n’est pas à moi de prouver le point, mais à celui qui l’affirme.
En passant, essayer de deviner a priori les motivations du contradicteur, ou de lui imputer tes explications fantaisistes pour éviter le débat est risible.
Bref comme à ton habitude, plutôt que de répondre sur le sujet avec des arguments convaincants, tu préfères bavasser sur ma personne et le décorum. Classique. Note que cela ne m’empêchera pas de continuer à pointer du doigt les affirmations erronées/fallacieuses ou autres manquements à la logique ou non-factuels.
Le
25/09/2020 à
12h
49
Les travaux du CERN sont tellement importants que je me demande pourquoi on applique le droit social d’ailleurs ! 1 semaine de vacances par an pour les chercheurs, ingénieurs et techniciens, ça devrait être suffisant !
Il faut arrêter avec cette idée reçue que réduire les impacts sur l’environnement coûte de l’argent dans tous les cas. Si on raisonne à l’échelle de la société, ça coûte bien moins cher de réduire la pollution à la source que de devoir dépolluer / s’adapter aux conséquences de la pollution. Idem en matière de santé : la prévention coûte bien moins cher que le traitement / la perte de productivité suite aux maladies. Il y a évidemment un optimum à trouver (au bout d’un moment limiter la pollution a plus de coûts que de bénéfices pour la société), mais on est encore loin du compte aujourd’hui.
Réduire les impacts sur l’environnement coûte de l’argent dans TOUS les cas, justifiés ou non. Tant que les analyses coûts / bénéfices n’ont pas été correctement réalisées avec des métriques et méthodes d’évaluation et d’estimation appropriées, il est impossible d’affirmer le contraire quelque soit l’échelle envisagée. À moins de croire aux licornes magiques.
L’affirmation « la prévention coûte bien moins cher que le traitement / la perte de productivité suite aux maladies » est une généralisation non seulement abusive (coutumier du fait) mais généralement fausse en pratique.
« On est encore loin du compte » qui n’est qu’une opinion non-partagée.
De toute manière mon intervention n’était pas destinée à juger les mérites réels ou supposés du CERN ou même de sa politique « verte » mais de pointer du doigt, comme l’a fort bien compris ton interlocuteur mais pas le travailleur du CERN, le gaspillage de temps et de ressources financières publiques et humaines engloutis à pondre des rapports qui sont essentiellement des postures de greenwashing et qui finiront à la broyeuse comme les autres. Une pure perte pour la société.
Le
23/09/2020 à
12h
42
Merci pour votre réponse à propos de laquelle je me dois toutefois de corriger une grossière erreur : elle passe complètement à côté de mon point principal qui est qu’utiliser de l’argent public (càd vos impôts puisque je n’en paye pas) dans des fadaises fussent-elles à la mode d’une minorité au détriment de la recherche est un pur gaspillage injustifié et injustifiable des ressources qui sont allouées au CERN.
Le
23/09/2020 à
09h
35
Cher travailleur au CERN,
Mon introduction loufoque et sarcastique visaient justement à dénoncer cette « pression » auto-infligée, qui, pour apaiser sa conscience de péchés fantaisistes, les attentes de bailleurs de fonds opportunistes et sans scrupules ou d’administrateurs aveugles, incompétents mais intéressés ou suiveurs, consiste à dilapider l’argent public en considérations non- voire anti-scientifiques mais idéologiquement en vogue.
Si vous, les chercheurs actifs en Physique, dernier bastion de la Science qui n’a pas encore été totalement infecté et dévoyé par la vérole postmoderne, escrolo, dogmatique et orthodoxe du politiquement correct, préférez vous agenouiller devant les inepties qu’on vous impose avec ses coûts associés qui ne participent dès lors plus à la recherche qui reste pour le moment votre cœur de métier, vous ne vous étonnerez pas quand on vous dictera vos sujets de recherche, puis vos méthodes de travail pour qu’elles correspondent aux conclusions préétablies : en fait vous inventerez vous-mêmes vos résultats pour des articles revus par vos compères et publiés dans des supports dociles. L’effet pensée de groupe sera total.
Vous aurez alors sombré au niveau de la sociologie comme triste surnageant en lieu et place du culot, celui de ne pas avoir osé dire non.
Le
22/09/2020 à
18h
30
D’un côté à peine 4 lignes sur le maigre impact (supposé) positif du CERN vis à vis de la révoltante société de surconsommation dispendieuse et pilleuse de Nature et de l’autre un honteux bilan environnemental avec une empreinte escologique accablante digne d’au moins 3 post-Tchernobyl en direct : pas de doute le principe de précaution devrait prévaloir et les lobbies verdâtre si prompts à réagir quand l’herbe et le castor sont en danger d’extinction d’exiger avec force de déclarations alarmistes le sabordage immédiat du CERN pour la plus grande satisfaction de la faune et la flore souterraines quasi irréversiblement disparues à cause de ses activités de soit disant recherche et toutes ses radiations mortelles digne d’un nouvel holocauste – parce qu’il serait incompréhensible qu’à la vue d’un tel fiasco ainsi révélé sur 7 pages à la une dans cette colonne ici même par un valeureux chevalier des temps moderne au service de l’intoxication numérique et de l’endoctrinement escrologique par répétitions quotidiennes et hebdomadaires de contenu factoïdal pipotronique virtuel vert à incidence nulle, l’organisation lucrative sans but ne s’oblige pas à publier un rapport papier (CO2-friendly but fuck the forest) mensuel en quadrichromie (plant-based inks & plastic-free of course) afin d’informer le citoyen lambda atterré de tant de laisser-aller de la part de gouvernements et États complices, de la situation climastique de crise que l’humanité vit actuellement et pour les prochaines 12 années avant la fin du monde annoncée, du plan en 2756 étapes ainsi décidé pour ce démantèlement, qui est une affaire de santé publique rappelons-le.
Note aux grincheux : le § ci-dessus est certifié avoir été produit avec des électrons bio renouvelables.
Mais se pose quand-même une question : ces gens là sont censés parler au nom du peuple de France, est-ce que c’est ce peuple qui réclame censure, suppressions, contrôles a priori de l’expression…?
Les Français sont seulement intelligents quand il s’agit de voter.
Après ils redeviennent des Gaulois réfractaires qui ont besoin des lumières de l’élite intellectuelle et politique parisienne qui, rien n’étant finalement gratuit même pour ces ennemis de l’argent détesté et du profit facile, requiert quand même quelques subsides (idéalement sous forme de rentes), pour les guider sur le long chemin de la servitude béatitude sociale du vivre-ensemble baignant dans un environnement culturel adéquat (le leur).
Tout est logique.
Le
28/09/2020 à
12h
29
Leum a dit:
Pour savoir si un changement concernant le droit d’auteur est une bonne chose pour le public il suffit de savoir si la France s’y oppose….
On peut facilement généraliser :
Pour savoir si un changement est une bonne chose, il suffit de savoir si la France s’y oppose. Pour savoir si un changement est une mauvaise chose, il suffit de savoir si la France le soutient.
50 ans de politique française résumée en 2 lignes.
Je te précise juste que si ton objectif est de faciliter la lecture, ton idée de bourrer tes commentaires de points va à l’encontre du résultat recherché.
Normal, les lignes vides ont disparues… et puis c’est une liste de problèmes à destination du staff technique, pas du quidam. Mais je peux bourrer le fil avec un seul point par commentaire si nécessaire.
Le
25/09/2020 à
16h
13
Attention je parle du cache applicatif, pas de celui du navigateur. Mais au premier chargement si le cache est vide, il doit charger les préférences utilisateur et les appliquer (donc le thème).
Pour le commentaire, non il n’y a pas rechargement de la page complète. Chez toi comme ailleurs. Et tes points sont inutiles. Si on fait sauter les sauts de ligne vides, ce n’est pas pour rien ;)
il n’y a pas rechargement de la page complète
Certes mais tout le contenu de la page est rechargé et réaffiché, ce qui revient au même (à epsilon près). De nos jours on peut facilement ajouter du texte en push (Comet) en temps réel. Bref. . .
« Si on fait sauter les sauts de ligne vides, ce n’est pas pour rien ;) »
Je ne vois aucune raison ou utilité valable (à part un diktat quelconque qui m’échappe), mais je mettrai des points. . . Autres choses :
la molette de la souris ne fonctionne pas en édition de commentaire
dans ce même mode, le gadget d’édition est vidé et validé au timeout d’édition et le contenu de la page mis à jour avec le commentaire affiché vide, ce qui est bizarre : le comportement précédent (pas de validation et rien ne se passe) était plus logique
il serait bien d’avoir affiché un décompte du temps restant en édition (1 ligne de JS avec le bon composant)
Le
25/09/2020 à
15h
46
David_L a dit:
Si tu fais référence aux notifications qui s’ouvrent dans un nouvel onglet (comme le propos est assez flou je suppose), comme c’est un lien interne, ça devrait être dans l’onglet courant, je remonte.
Oui c’est cela : il y a une balise target=“_blank” dans tous les liens de notification qui n’a rien à faire là. . .
Il n’y a pas d’application du thème en navigation, seulement au premier chargement du site quand il n’y a pas de cache local ou quand le cache est vidé. Si tu le vides constamment via ta navigation, tu peux avoir le problème, mais le souci est de ton côté pas du site (le cache n’a pas à se vider sur une navigation normale, mais si tu fais un CTRL+MAJ+R c’est pas notre choix )
Je parle du premier chargement et je viens de vérifier le cache : il n’est pas vidé à la fermeture. . .
Pour le temps de chargement des commentaires, tu en affiches combien par page ?
Le maximum (100 je crois). Sur la version précédente l’affichage était bien plus rapide. . .
Le principe d’un site comme la v7 c’est qu’il n’y a jamais un rechargement de la page entière. Ce n’est donc pas le cas après un envoi de commentaire.
J’entends bien sur le principe, mais en pratique c’est pourtant ce qui se passe chez moi. Édition : effectivement la page ne se recharge pas comme avec un reload() en JS mais elle semble quand même entièrement vidée et tout le contenu réactualisé. . . Autres choses :
les lignes vides « sont disparues » dans les commentaires donc obligée de forcer avec des points (faciliter la lecture du commentariat avec la touche Entrée est un point essentiel pour moi ;)
le gadget d’édition de commentaire est vidé au timeout et automatiquement validé (comme cela vient de m’arriver ci-dessus…)
la molette de la souris ne fonctionne pas dans le gadget d’édition de commentaire
Le
25/09/2020 à
15h
37
David_L a dit:
Si tu fais référence aux notifications qui s’ouvrent dans un nouvel onglet (comme le propos est assez flou je suppose), comme c’est un lien interne, ça devrait être dans l’onglet courant, je remonte.
Oui c’est cela : il y a une balise target=“_blank” dans tous les liens de notification qui n’a rien à faire là.
Il n’y a pas d’application du thème en navigation, seulement au premier chargement du site quand il n’y a pas de cache local ou quand le cache est vidé. Si tu le vides constamment via ta navigation, tu peux avoir le problème, mais le souci est de ton côté pas du site (le cache n’a pas à se vider sur une navigation normale, mais si tu fais un CTRL+MAJ+R c’est pas notre choix )
Je parle du premier chargement et je viens de vérifier le cache : il n’est pas vidé à la fermeture.
Pour le temps de chargement des commentaires, tu en affiches combien par page ?
Le maximum (100 je crois). Si la version précédente l’affichage était bien plus rapide.
Le principe d’un site comme la v7 c’est qu’il n’y a jamais un rechargement de la page entière. Ce n’est donc pas le cas après un envoi de commentaire.
J’entends bien sur le principe, mais en pratique c’est pourtant ce qui se passe chez moi. Édition : effectivement la page ne se recharge pas comme avec un reload() en JS mais elle semble quand même entièrement vidée et tout le contenu réactualisé.
Une autre chose : les lignes vides sont disparues dans les commentaires donc obligée de forcer avec des points (faciliter la lecture du commentariat avec la touche Entrée est un point essentiel pour moi ;)
Le
25/09/2020 à
13h
21
Quelques observations :
rubrique « c’était mieux avant » : l’ouverture systématique de nouveaux onglets pour les réponses en notification ou quand on clique sur une news HW est une vicieuse régression, une pure abomination, une conception obsolète, etc. à corriger d’urgence ou, au moins, à offrir le choix
le site se charge assez rapidement, mais l’application du thème est très lente
peut-être en lien avec le problème précédent, mon navigateur demande la saisie du mot de passe principal alors que la connexion se fait même si je l’annule
les statuts visités et non-visités des notifications sont quasi indistinguables l’un de l’autre, un changement de couleur ou laisser le comportement par défaut du navigateur auraient été préférables
la notification de nouvelles notifications sur l’icône de l’utilisateur est très souvent absente quand plusieurs onglets du site sont ouverts
quand on clique sur l’icône de l’utilisateur, Compte est toujours présélectionné même si Notifications est la dernière action entreprise
le chargement initial des commentaires est très (trop) lent
à l’envoi d’un nouveau commentaire, pourquoi recharger la page entière au lieu de l’ajouter à la liste existante ?
De son chapeau. carbier est un grand adepte de la technique du shit-and-run : il fait sa crotte et part en courant. N’espère pas de justification.
Le
23/09/2020 à
14h
06
sephirostoy a dit:
Ils pensaient réellement que ça allait se télécharger comme des petits pains façon candy crush ou autres applications à la mode ?
Leur mentalité est qu’ils sont sont là pour vous sauver de vous-mêmes et que vous le savez bien puisque vous les avez élus (enfin pas eux directement, mais c’est tout comme).
Et dans un raccourci qui ferait frémir de honte le premier logicien venu, ils partent du principe que tout ce qu’ils font ou disent va directement être approuvé et approprié par le péquin moyen.
L’argument imparable utilisé est « santé publique » ou « bien commun ». Accolé avec un peu de technologie incompréhensible par ce dernier, ils se placent dès lors tout naturellement en sauveur de l’universde la planètede la France du bon peuple nécessairement reconnaissant.
Rien que le nom de l’appli illustre à merveille leur arrogance, leur suffisance et leur paternalisme outrancier.
Le seul polluant pour lesquels on n’a pas vu d’évolution sensible sont les particules fines (PM2.5). Mais même la tu réussis à nous montrer ton inculture dans le domaine en nous sortant des émissions de PM10. Remarque en soi ces chiffres ressemblent à ceux des PM2.5 en ce qui concerne les émissions directes. Le seul problème vois tu c’est que le trafic routier en émet beaucoup plus indirectement via la remise en circulation des particules qui se trouvent au sol (turbulence autour des véhicules) ou via la création de particules secondaires.
Bref. Tu n’es pas et tu n’as jamais été un scientifique. N’essaie pas de parler de sujets que tu ne maitrises pas.
C’est très commun pour toi de commenter en ne réfutant pas spécifiquement le point (« en Allemagne, entre autres, le confinement a augmenté les niveaux ») par l’utilisation d’une logique déficiente : que les niveaux aient pu baisser ici ou là ne contredit aucunement l’observation qu’ils n’ont pas baissés ailleurs. D’ailleurs le politicien allemand cité doit s’en doute inventer lui aussi… Note que comme les niveaux de NO₂ sont sensibles aux conditions météo, les comparaisons 2019-2020 ne prouvent pas rien si on n’en tient pas compte (ce que ton lien explique à la fin d’ailleurs).
Quant aux particules, le texte fait effectivement référence au § précédent et donc aux PM2.5. Cela dit, citer le trafic routier comme responsable alors que celui-ci était quasi interdit à l’époque ressemble à du gavage. D’autant plus que les niveaux actuels de ces composants n’ont plus d’incidence sur la santé publique, s’ils en ont jamais eu. Mais merci de ton intervention essentielle qui m’a permis de reclasser correctement un de mes marque-pages…
Le
18/09/2020 à
12h
17
(reply:1825071:Idiogène)
1/ Homme de paille : on ne mesure pas la [CO2] l’échelle locale donc on ne connaît pas sa localisation. Il est donc impossible de comparer avec ce qu’on connaît (NOx). Je laisse de côté le charabia incompréhensible qui suit.
2/ Une mesure est une mesure. La seule chose qu’on peut estimer/calculer est l’incertitude de cette mesure (mais pas fait ici). Je laisse de côté le galimatias etc.
Le
18/09/2020 à
11h
05
(quote:1825038:Idiogène) Et quel démon t’a donc permis de décider que la représentation de ces mesures suffisait à décider que : “Il faut avoir confiance quand on connaît ces mêmes pratiques tordues en modélisation climatique.”
Mon démon s’appelle la faculté de lire et comprendre : 1/ la molécule : NOx ≠ CO2 2/ la méthode : mesures/représentation ≠ estimations/calculs/modélisation.
Ton démon à toi est la la mauvaise foi (une tare cependant fort répandue) que tu cultives avec la rare suffisance du cuistre ignare obsédé par ses ridicules pitreries gribouillées ici.
Le
18/09/2020 à
10h
53
Aucun complexe d’inférioté en ce qui me concerne, ne te fais pas de soucis pour moi sur le plan psychologique. Toutefois c’est gentil de t’en inquiéter
Je t’avais bloqué sur la précédente version du site mais la nouvelle version semble t’avoir sorti des limbes. Mais ça reste toujours assez comique de te lire, de voir ce fort besoin que tu as de montrer ta supériorité en terme de savoir, le tout en faisant du cherry picking dans ce que tu présentes. A la différence de toi, même si tu tentes de te convaincre du contraire, je ne considère pas avoir la science infuse et fais confiance aux experts et à la Science (avec un grand S) ;)
Tant mieux. Si me lire est drôle ou te fait rire, ta décision de me bloquer est assez bizarre, même si d’un autre côté pouvoir commenter les inepties des crétins avec l’assurance de ne pas perdre de temps à lire leurs réponses du même tonneau est un avantage certain pour moi. Donc n’hésite pas.
Tu confonds « besoin de montrer ma supériorité » (que tu ne démontres pas) avec opiniâtreté et connaissances. Si je fais de la sélection, c’est pour rétablir l’équilibre et éviter de répéter les âneries déjà exposées par d’autres.
Je n’ai pas la science infuse (qui l’a ?) mais j’estime être de ma responsabilité de vérifier les dires des experts (ou autres), surtout quand leurs assertions sont présentées de manière à ne pas laisser place au débat (ce qui est un prérequis en Science, avec une majuscule). Donc je fais l’effort nécessaire pour y parvenir. Mais je comprends qu’on puisse être trop fainéant ou incapable pour faire ce travail de recherche.
Le
18/09/2020 à
09h
36
(reply:1825023:Idiogène)
Ce n’est pas une « modélisation » mais une représentation des mesures.
“Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde.” — Camus
Mais continue de t’enfoncer, c’est amusant à observer. . .
(reply:1825026:Idiogène)
Avec des si on peut dire n’importe quoi. La preuve.
C’est dommage que tu refuses le débat, parce que vu les critiques que tu formules, ça montre que tu n’as pas compris ce que je propose. Si j’échange avec toi ce n’est pas pour te convaincre, mais pour mettre à l’épreuve mon raisonnement, qu’on me démontre qu’il est erroné et qu’on m’en propose un meilleur.
Ce que je propose ne remplace pas la méthode que tu défend, c’est bien celle là que les scientifiques doivent utiliser pour assurer la validité de leurs études. Mais vu la connaissance que nous avons accumulé et le temps dont nous disposons, c’est irréaliste de demander à chaque individu de comprendre dans le détail l’état actuel de la connaissance sur tous les sujets pour lesquels il doit se positionner. Nous avons donc à la déléguer le travail à d’autres et leur faire confiance. Et pour juger de leur compétence, il suffit de vérifier qu’eux-mêmes appliquent bien la méthode scientifique, ce qui se vérifie par la validation de leurs pairs (à travers des diplômes et des publications revues).
C’est bien de se réclamer de la méthode scientifique et du scepticisme, encore faut-il bien le faire ! Quand on en est réduit à postuler l’incompétence ou la malhonnêteté pour expliquer que la thèse qu’on défend n’est pas partagée par les spécialistes du sujet, ce n’est plus du scepticisme, c’est du complotisme. Tout l’inverse de la pensée critique.
Je suis ouverte à débattre des aspects techniques parce que ce sont les seuls critères pertinents pour discuter sur un sujet… technique. Mais tu prétends ne pas être compétent en usant de pirouettes/justifications faibles et non-spécifiques et de trop nombreux sophismes (dont le 5ème en date, généralisation abusive) qui rend ta démarche peu crédible et, disons-le d’apparence malhonnête. Il faut ajouter aussi l’aspect scientiste avec l’utilisation inappropriée de probabilité qui ne plaide en rien en ta faveur. Je note enfin que ma demande initiale de précisions n’a obtenu aucune réponse (probablement là aussi par incompétence).
Bref plutôt que de perdre plus de temps avec un beau parleur incompétent (soigner l’orthographe, bien qu’apprécié, ne rend pas une conversation intéressante), je préfère aller profiter du vent dehors (et bronzer).
Le
18/09/2020 à
17h
41
Rozgann a dit:
Note surtout que je ne me prononce pas sur la validité de leurs arguments, depuis le début j’ai toujours été clair que je ne m’exprimais pas sur ce sujet.
Si tu n’a rien à dire sur les arguments en général, tu ne devrais pas prendre partie (parce que c’est de cela qu’il s’agit). Tout le reste n’est qu’un vague écran de fumée pour cacher ton incompétence. . .
Il y a énormément de sujets pour lesquels nous sommes confrontés à des choix et où il faut prendre position … réduits à faire confiance à la position défendue par ceux qui nous paraissent les plus crédibles.
J’ai coupé court parce que tes prémisses sont toutes fautives : 1/ le nombre de sujets intéressants les individus est très, très faible (tu l’as reconnu toi-même pour les raisons indiquées) 2/ ces rares sujets, tu les choisis librement parce qu’ils t’intéressent, tu n’y es pas « confronté » parce qu’en corollaire quand ils n’ont plus d’intérêt tu les abandonnes aussitôt 3/ personne (et aucun système) ne demande à choisir ou prendre partie en matière scientifique parce qu’il n’y existe pas de position définitive : la Science n’est pas un recueil de recettes éternelles et immuables ou un système politique de partis, c’est une méthode d’investigation 4/ et enfin l’éléphant dans le couloir : comme tu n’as pas les compétences pour juger de la crédibilité des arguments avancés par une personne, il t’est logiquement impossible de juger de la compétence de cette dernière, et donc de sa crédibilité. QED
Ton acharnement à mésuser de probabilités te fait rater l’élément essentiel de la Science : le scepticisme qui permet d’éviter de tomber dans le piège (grossier) des cultes.
J’en resterais là pour ma part du fait de ton incompétence technique sur le sujet (ce qui m’intéresse bien plus que les discussions sociologique sur le mode de « pensée » postmoderne).
Oui, sauf que l’agriculture émet globalement assez peu de NOx ou de PM2.5 (~10 %), et encore moins à cette époque de l’année où tout est déjà semé (tracteurs et sols au repos) et qu’il n’y a pas encore de récoltes (évidemment).
Ou aussi Comment est financée cette gabegie ? ou encore À qui va profiter le crime ?
Ah ben non, ce n’est pas PC comme questions, laissons plutôt les gouvernements se débrouiller avec leurs électeurs rançonnés jusqu’à la misère et descendus en masse dans la rue pour le faire savoir.
L’Europe transformée en champ de bataille de guerre civile, j’en prépare déjà mon pop-corn.
7067 commentaires
De nouvelles étiquettes énergétiques arrivent, à quoi faut-il s’attendre ?
28/09/2020
Le 30/09/2020 à 17h 07
L’important n’est pas le nombre de x ou y mais d’agir selon son discours. Quand les actes sont déconnectés de la rhétorique, c’est qu’on est en présence d’un hypocrite/idéologue/escrolo (pas de mention inutile à rayer).
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99,999999 % des terriens.
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Mais si, c’est pour cela qu’on se fiche du taux de CO2.
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Idem. Leurs conséquences entraînent des effets pervers (sélection arbitraire des gagnants, perte des informations du marché, coûts d’opportunité élevés, effets d’aubaine, etc.) etc. Ça va peut-être t’étonner mais je suis contre le principes des subventions d’argent public aux entreprises (toutes, zéro exception).
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Cf ci-dessus.
Le 30/09/2020 à 16h 49
Tu as surtout une idée de la débilité du concept de Tmoy puisqu’on peut la calculer d’autant de manières que l’on veut pour aboutir au résultat recherché. Pour qu’une Tmoy soit physiquement valide, il faudrait convertir la T de chaque point en valeur d’énergie (ou de flux), moyenner et reconvertir en T (avec tout un tas de limites) parce que si la Tlocale est bien proportionnelle à la racine 4ème du rayonnement (Loi de Stefan-Boltzmann), la moyenne de la racine 4ème de ce dernier n’est PAS égale à la racine 4ème de la moyenne des rayonnements locaux.
Le calcul de 122 °C dérive de cette dernière observation : on considère une surface terrestre sans océans/atmosphère divisée en 2 parties égales où la 1ère ne reçoit rien (0 W/m² donc 0 K) et la 2nde 480 W/m². Au total on a bien les 240 W/m² moyens utilisés pour arriver au classique -18 °C (255 K, soit la racine 4ème de (240 / 5,67.10^-8) (*). Le calcul de la racine 4ème de (480 / 5,67.10^-8) donne maintenant 303 K que l’on doit diviser par 2 pour tenir compte de la surface totale, soit ~152 K ou -122 °C.
Quel est le chiffre de température le moins faux : celui avec une Terre étalée recevant uniformément 240 W/m² en moyenne, ou celui avec d’une Terre à 2 (sur)faces avec là aussi 240 W/m² moyens reçus mais non uniformément ?
(*) 5,67.10^-8 est σ, la constante de Stefan-Boltzmann
Le 30/09/2020 à 16h 01
Tu ne sais pas lire ou tu fais exprès de changer de sujet ? Ton point à #55 était les « étiquettes de produits chimique ». On parle donc d’étiquettes et de rien d’autres. Les étiquettes sur les produits commerciaux de CO2 indiquent soit « Non classé comme préparation ou substance dangereuse. Aucun étiquetage CE requis » soit « Non applicable » : par ex. carboglace ou gaz.
Tout le reste est HS : tu as la mauvaise foi vissée à ton neurone ou es d’une rare incompétence.
Le 30/09/2020 à 08h 40
Non, ce chiffre est la moyenne théorique maximale résultant d’un calcul simpliste qui considère une Terre spatialement étalée ne tenant pas compte de la géolocalisation, de l’inclinaison, etc. : la « véritable » moyenne, si tant est qu’on accepte ce calcul non-physique à partir de valeurs intensives, se situe entre -122 et -18 °C. On peut approcher cette valeur en considérant (avec les mêmes limitations de validité physique) la Lune : -84 °C.
Le 30/09/2020 à 08h 09
Si, moi : c’est bien plus rentable sur mes terrains que de travailler pour nourrir des (électeurs) imbéciles qui préfèrent payer leur électricité plus chère avec ces pseudo solutions pour régler un non problème. Je t’assure que je remercie ces crétins tous les jours. Si les oiseaux retrouvés morts à leurs pieds avaient une conscience, ils seraient d’accord (sur les qualificatifs bien sûr).
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On parle plutôt de matières premières (MP) (ou de substrats naturels) disponibles : « ressource » est un concept économique. Ton raisonnement superficiel n’est valable que ceteris paribus et oublie que le système est dynamique et adaptable.
Dans les faits, la quantité de MP disponibles est variable car elle dépend des coûts de production eux-même changeants (améliorations techniques, niveau de la demande, substitution, etc.). De même les besoins de la population se modifient au cours du temps (modes, contraintes sociales/économiques, mobilité, etc.). Enfin la notion de pouvoir d’achat appliqué à une « capacité à jouir de son environnement » non-quantifiable (valeur individuelle et donc non-universelle) n’a pas de sens, même dans l’absolu.
Bref raisonner sur des agrégats et des moyennes à un instant T fait perdre de vue beaucoup d’information mais permet d’aboutir à des conclusions claires, simples et fausses.
Plus généralement la finitude physique des MP (incontestable certes, mais pour la plupart inconnues et incommensurables à l’epsilon de consommation près) n’a aucune conséquence sur la disponibilité des ressources [1] : on ne trouve d’ailleurs aucun exemple de MP ayant complètement disparue sans être remplacée.
De manière contre-intuitive, on montre en fait le contraire : ce sont les « ressources » renouvelables qui sont le plus en tension, alors que celles supposées finies sont considérées comme inépuisables, ce qu’elles sont en pratique [2].
[1] https://rootsofprogress.org/one-mans-junk
https://archive.triblive.com/news/the-ultimate-scholar/
[2] https://theconversation.com/why-non-renewables-are-still-in-abundance-while-renewables-are-not-58814
Le 30/09/2020 à 07h 15
Il suffit de lire :
toxicité : parce que l’on peut la définir quantitativement et donc la qualifier
danger : idem
Enfin et pour conclure, les étiquettes sur les produits contenant du CO2 vendu commercialement (carboglace ou gaz) mentionnent toutes l’absence de danger de la substance (et évidemment pas le ridicule terme « polluant »).
(Tu vois qu’il n’était pas si difficile d’admettre ton erreur.)
Le 30/09/2020 à 07h 06
Ton exemple personnel n’est indicatif de rien d’autre que de ton hypocrisie et ta fainéantise : la laverie collective aurait été un moyen de diminuer ton empreinte sur la planète, et pourtant tu as choisi la facilité. Comme quoi les ardents défenseurs escrolos ont surtout l’idéologie du contrôle chevillée au corps, mais seulement pour les autres.
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On se fiche du taux de CO2.
.
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Idem.
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.
Pour la simple raison que si ces effets pervers volontairement infligés aux marchés par les interventionnista (comme dirait N. N. Taleb) oublieux de l’éthique humaine (primum non nocere) sont levés (en s’abstenant d’intervenir, si tu ne suis pas), les effets pervers disparaissent.
Au surplus, le concept vague et mal défini « d’externalités négatives » peut être repensé de manière opérationnelle en terme d’opportunités en attente d’être découvertes et exploitées par les agents économiques : so it’s features, not bugs.
Le 29/09/2020 à 10h 54
J’ai été vérifier : c’est faux, les règles de classification et d’étiquetage (§ 3.2.7) des produits chimiques mentionnent très clairement que la mention « non polluant » , et donc aussi le terme « polluant », ne sont pas conformes (de même que « écologique »). Tu ne le trouveras sur aucune étiquette.
C’est compréhensible vu la définition floue de la notion.
Le 29/09/2020 à 10h 36
La définition de polluant a une géométrie si variable qu’elle est essentiellement inutilisable (à part pour initier des batailles sémantiques sans intérêt). De plus il est très facile de tomber, comme toi, dans le piège de la généralisation abusive (ce que tu as fait puisque tu as largement amendé/précisé ton discours initial depuis).
.
Cela étant ma position est qu’un composant dont les effets à toutes les échelles envisagées sont largement supérieurs/bénéfiques (quelques soient les métriques considérées) à ses effets supposés et hypothétiques ne peut pas être défini comme tel.
Le 29/09/2020 à 10h 21
HS. Aucun usage n’est constant.
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Cet effet pervers est justement la conséquence de la politique d’intrusion dans les marchés. Les externalités négatives (EN) sont par définition mal maîtrisées, c’est pour cela qu’elle sont supposées « négatives ». Ce concept théoriquement et opérationnellement vide a été spécifiquement introduit pour justifier les politiques d’intervention par taxation ou régulation. Quand les droits de propriétés sont convenablement définis, les coûts de transaction sont des ordres de grandeur inférieurs aux coûts de ces interventions car internalisés par les agents négociant entre-eux-mêmes leurs droits (cf Coase). C’est la seule manière effective, et soci’ét)alement la moins coûteuse.
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Si l’ACV existait autrement que sur le papier, on devrait avoir des modèles de prédiction économique qui fonctionnent parfaitement. Heureusement, l’économie est un système complexe si intriqué qu’il est, comme le climat, non-amenable à la formalisation algorithmique (dans l’état actuel de nos connaissances limitées). L’ACV n’est que le dernier avatar des abstractions réductionnistes perverses (comme les EN) qui sont appétentes pour les collectivistes interventionnistes avides de pouvoir et d’orgueil, mais vide de sens sur le terrain.
Le 28/09/2020 à 18h 56
Le coût ne va pas disparaître : il va juste être répercuté sur le consommateur avec un prix à la hausse ou, plus probablement avec des fonctionnalités, fiabilité, efficacité générale, etc. revue(s) à la baisse, ce qui au final va tendre à niveler les marchés par le bas et donc se retourner à terme contre l’idée initiale, un grand classique de l’action publique.
Le PIB n’est qu’un indicateur très limité et problématique.
Comme le CO2 n’est pas un polluant, ton rapport et ta phrase n’ont aucun sens.
Le 28/09/2020 à 18h 02
Quelles économies d’énergie ? Pour l’instant tout ce que l’on a, ce sont des espérances d’économie d’énergie.
Les brevets (concept coûteux à l’utilité contestable) et la production de savoir ont des coûts élevés. Je te renvoie à notre discussion par ailleurs sur la notion de coût de renoncement qui est une règle générale qui s’applique ici aussi.
La question aurait mérité d’être posée AVANT l’obligation. Mais dans les Eurosoviets ou au pays du fromage, seules les promesses frelatées ont de la valeur pour les marchands de bonheur utopique.
Le 28/09/2020 à 17h 51
Texte.
J’entends bien, mais on ne peut pas non plus nier le côté attrape-mouches coloré de la chose qui permet de diriger l’attention des consommateurs sur 1 seul critère réducteur, alors que leur intérêt est
peut-êtresans doute ailleurs..
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J’en doute. Comment quantifier et ramener à une même base la multitude de paramètres techniques qui composent un appareil par rapport à un autre complètement différent ? Difficile, à moins d’aimer les usines à gaz et d’où le choix de ce critère réducteur et au moins-disant.
D’un point de vue global, est-ce qu’on s’est interrogé si la consommation d’énergie avait un quelconque intérêt ? Ce n’est pas comme si on feignait d’oublier le paradoxe de Jevons. Enfin, où sont les études post mortem qui analysent si les habitudes de consommations ont été changées ou ces autocollants ont eu la moindre répercussion sur la consommation ? Mystère.
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Pourtant Greta (ou est-ce AOC ?) a bien averti qu’on n’avait plus que 12 années avant la fin du monde, d’où la tirade de « neutralité climatique » (quoique cela puisse vouloir dire) des Kommissars officiant dans les Eurosoviets.
Le 28/09/2020 à 16h 47
Quelle arnaque, une véritable tromperie au choix pour le consommateur sous couvert d’économie alors que ce n’est pas seulement ou même principalement le critère le plus important à prendre en compte à l’achat, surtout en France.
D’autant plus que ce critère limité d’efficacité n’a été retenu que pour la simple raison qu’il n’y en a pas d’autres aussi globaux (càd coller des étiquettes partout pour bien vous montrer ce qu’il faut acheter), ce qui n’implique évidemment pas qu’il est pertinent ou même utile.
Mais c’est la même chose avec les mesures de « pollution » : il n’y a plus de pollution mais on continue à diminuer les seuils tant que les appareils en sont capables pour que la technocratie puisse continuer à pondre de l’arbitraire sous couvert de « santé publique ».
Jamais on ne s’est interrogé sur les coûts globaux nécessairement engendrés par cette course à l’échalote : la noble cause corrompue et non dite (« économies d’énergies pour sauver la planète ») a prévalu. Les escro-consciences ont été provisoirement apaisées même si en réalité il est fort probable que tout ce cirque ne soit qu’un immense gâchis à l’image des EnR.
Projet de loi de finances : 138 euros de redevance TV en 2021
30/09/2020
Le 30/09/2020 à 11h 51
Au contraire : si la qualité est mauvaise, pourquoi continuer à la financer ? On peut d’ailleurs raisonnablement argumenter que cet état de fait (cf PISA et autres) ou la mauvaise qualité des programmes est justement la conséquence de ce mode de financement coercitif.
On peut l’écrire succinctement sans perte de généralité :
financement collectif => piètre qualité
Pluie de nouveautés chez Amazon : Fire TV Stick et Cube, Echo (Show) et … drone Ring Always Home Cam
25/09/2020
Le 30/09/2020 à 09h 10
A contrario on peut tout aussi bien argumenter que c’est justement le but recherché : éviter de déraper en embauchant ce professionnel…
Le CERN détaille son empreinte écologique et se fixe des objectifs
22/09/2020
Le 29/09/2020 à 11h 26
il n’est plus disponible
Le 29/09/2020 à 11h 15
Il n’y a pas besoin de présupposés cachés pour admettre que quand tu manges un bonbon (= tu dépenses de l’argent en greenwashing) il n’y plus disponible (pour faire de la recherche). Les enfants apprennent cela très tôt, et même les singes le savent.
Le 28/09/2020 à 17h 23
Je n’ai pas besoin d’étayer, c’est un point de logique élémentaire : ce qu’on dépense dans A (greenwashing) n’est dès lors plus productif en B (recherche). (Évidemment quand on vit avec l’argent gratuit des autres, ce n’est pas si évident à comprendre.)
Le 28/09/2020 à 16h 16
Mon unique point dans ce fil est que les subsides publiques dépensées en greenwashing sont en pure perte pour la recherche, ce qu’on appelle techniquement le coût de renoncement ou d’opportunité, mais ne compliquons pas les choses pour les esprits limités.
Tout le reste, dont tes hypothèses farfelues auxquelles tu attaques avec la fourgue du courageux sophiste, n’est pas de mon fait. Mais continue à creuser, tu es presque au fond…
Le 28/09/2020 à 12h 19
1/ Ma citation « Si le raisonnement logique de ma réfutation (mon 1er §) t’échappe, c’est que tu n’as pas fait ton travail (ou pas compris) : je ne suis pas ton employé (ou ton instructeur), ce n’est pas à moi de prouver le point, mais à celui qui l’affirme. » est en complet accord avec ta « tentative d’inversion de la charge de la preuve ».
Argumente donc ta position avant d’espérer débattre.
2/ « Absorbé signifie que le coût est indissociable de la nature de la dépense » : tu l’admets toi-même, c’est une « dépense ».
Ce n’est pas mon hypothèse mais la tienne, je te cite : « Si le CERN …, le coût … ceci est une hypothèse non réfutable ». Note qu’une dépense fusse-t-elle provisionnée reste une dépense, quelque soit l’application avec laquelle tu dévoiera et fraudera le sens des mots.
« 50% en moins par rapport à la moyenne nationale au bout de 6 mois. = rentabilité » : qu’est-ce que CERN a produit et vendu pendant ce temps ? Rien. Donc le critère de rentabilité est non démontrée : si le CERN était rentable, il n’aurait pas besoin de subventions. Comme il n’est financé que par subventions, reductio ab absurdo => il n’est fatalement pas rentable.
Le 27/09/2020 à 08h 07
Le 26/09/2020 à 19h 55
Une parfaite illustration de la fameuse maxime « Fais comme je te dis mais surtout pas comme je fais. » .
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Inventer des probabilités comme ça l’arrange et utiliser une méthode hors-cadre qui conduit aux conclusions préétablies (consciemment ou non) n’est pas rationnel, au sens où les scientifiques emploient le mot : ladite méthode est indistinguable de la fabrication de données.
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En un mot : argumenter, ce que tu t’es bien gardé de faire. Déclarer son incompétence, qui n’est pas un état irréversible mais un choix assumé, permet il est vrai de prendre les raccourcis bien commodes du scientisme.
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Dans toute transaction, il faut être 2 pour échanger. Mais quand on n’a rien à proposer, difficile effectivement…
Le 26/09/2020 à 19h 10
Le 26/09/2020 à 09h 50
Le commentaire auquel j’ai répondu n’était aussi qu’affirmations gratuites, personnelles contraires au bon sens, non-factuelles, sans compter le “fokon” de rhétorique bas de gamme et le traditionnel sophisme.
Si le raisonnement logique de ma réfutation (mon 1er §) t’échappe, c’est que tu n’as pas fait ton travail (ou pas compris) : je ne suis pas ton employé (ou ton instructeur), ce n’est pas à moi de prouver le point, mais à celui qui l’affirme.
En passant, essayer de deviner a priori les motivations du contradicteur, ou de lui imputer tes explications fantaisistes pour éviter le débat est risible.
Bref comme à ton habitude, plutôt que de répondre sur le sujet avec des arguments convaincants, tu préfères bavasser sur ma personne et le décorum. Classique. Note que cela ne m’empêchera pas de continuer à pointer du doigt les affirmations erronées/fallacieuses ou autres manquements à la logique ou non-factuels.
Le 25/09/2020 à 12h 49
Réduire les impacts sur l’environnement coûte de l’argent dans TOUS les cas, justifiés ou non. Tant que les analyses coûts / bénéfices n’ont pas été correctement réalisées avec des métriques et méthodes d’évaluation et d’estimation appropriées, il est impossible d’affirmer le contraire quelque soit l’échelle envisagée. À moins de croire aux licornes magiques.
L’affirmation « la prévention coûte bien moins cher que le traitement / la perte de productivité suite aux maladies » est une généralisation non seulement abusive (coutumier du fait) mais généralement fausse en pratique.
« On est encore loin du compte » qui n’est qu’une opinion non-partagée.
De toute manière mon intervention n’était pas destinée à juger les mérites réels ou supposés du CERN ou même de sa politique « verte » mais de pointer du doigt, comme l’a fort bien compris ton interlocuteur mais pas le travailleur du CERN, le gaspillage de temps et de ressources financières publiques et humaines engloutis à pondre des rapports qui sont essentiellement des postures de greenwashing et qui finiront à la broyeuse comme les autres. Une pure perte pour la société.
Le 23/09/2020 à 12h 42
Merci pour votre réponse à propos de laquelle je me dois toutefois de corriger une grossière erreur : elle passe complètement à côté de mon point principal qui est qu’utiliser de l’argent public (càd vos impôts puisque je n’en paye pas) dans des fadaises fussent-elles à la mode d’une minorité au détriment de la recherche est un pur gaspillage injustifié et injustifiable des ressources qui sont allouées au CERN.
Le 23/09/2020 à 09h 35
Cher travailleur au CERN,
Mon introduction loufoque et sarcastique visaient justement à dénoncer cette « pression » auto-infligée, qui, pour apaiser sa conscience de péchés fantaisistes, les attentes de bailleurs de fonds opportunistes et sans scrupules ou d’administrateurs aveugles, incompétents mais intéressés ou suiveurs, consiste à dilapider l’argent public en considérations non- voire anti-scientifiques mais idéologiquement en vogue.
Si vous, les chercheurs actifs en Physique, dernier bastion de la Science qui n’a pas encore été totalement infecté et dévoyé par la vérole postmoderne, escrolo, dogmatique et orthodoxe du politiquement correct, préférez vous agenouiller devant les inepties qu’on vous impose avec ses coûts associés qui ne participent dès lors plus à la recherche qui reste pour le moment votre cœur de métier, vous ne vous étonnerez pas quand on vous dictera vos sujets de recherche, puis vos méthodes de travail pour qu’elles correspondent aux conclusions préétablies : en fait vous inventerez vous-mêmes vos résultats pour des articles revus par vos compères et publiés dans des supports dociles. L’effet pensée de groupe sera total.
Vous aurez alors sombré au niveau de la sociologie comme triste surnageant en lieu et place du culot, celui de ne pas avoir osé dire non.
Le 22/09/2020 à 18h 30
D’un côté à peine 4 lignes sur le maigre impact (supposé) positif du CERN vis à vis de la révoltante société de surconsommation dispendieuse et pilleuse de Nature et de l’autre un honteux bilan environnemental avec une empreinte escologique accablante digne d’au moins 3 post-Tchernobyl en direct : pas de doute le principe de précaution devrait prévaloir et les lobbies verdâtre si prompts à réagir quand l’herbe et le castor sont en danger d’extinction d’exiger avec force de déclarations alarmistes le sabordage immédiat du CERN pour la plus grande satisfaction de la faune et la flore souterraines quasi irréversiblement disparues à cause de ses activités de soit disant recherche et toutes ses radiations mortelles digne d’un nouvel holocauste – parce qu’il serait incompréhensible qu’à la vue d’un tel fiasco ainsi révélé sur 7 pages à la une dans cette colonne ici même par un valeureux chevalier des temps moderne au service de
l’intoxication numérique et del’endoctrinement escrologique par répétitions quotidiennes et hebdomadaires de contenu factoïdal pipotronique virtuel vert à incidence nulle, l’organisation lucrative sans but ne s’oblige pas à publier un rapport papier (CO2-friendly but fuck the forest) mensuel en quadrichromie (plant-based inks & plastic-free of course) afin d’informer le citoyen lambda atterré de tant de laisser-aller de la part de gouvernements et États complices, de la situation climastique de crise que l’humanité vit actuellement et pour les prochaines 12 années avant la fin du monde annoncée, du plan en 2756 étapes ainsi décidé pour ce démantèlement, qui est une affaire de santé publique rappelons-le.Note aux grincheux : le § ci-dessus est certifié avoir été produit avec des électrons bio renouvelables.
Article 17 : la France fustige les lignes de la Commission européenne
28/09/2020
Le 28/09/2020 à 12h 43
Les Français sont seulement intelligents quand il s’agit de voter.
Après ils redeviennent des Gaulois réfractaires qui ont besoin des lumières de l’élite intellectuelle et politique parisienne qui, rien n’étant finalement gratuit même pour ces ennemis de l’argent détesté et du profit facile, requiert quand même quelques subsides (idéalement sous forme de rentes), pour les guider sur le long chemin de la
servitudebéatitude sociale du vivre-ensemble baignant dans un environnement culturel adéquat (le leur).Tout est logique.
Le 28/09/2020 à 12h 29
On peut facilement généraliser :
Pour savoir si un changement est une bonne chose, il suffit de savoir si la France s’y oppose.
Pour savoir si un changement est une mauvaise chose, il suffit de savoir si la France le soutient.
50 ans de politique française résumée en 2 lignes.
#Flock est sans pareil
26/09/2020
Le 27/09/2020 à 08h 07
Revois tes définitions : le dessinateur n’a pas parlé, il a écrit (ou dessiné).
Le 26/09/2020 à 20h 04
Dommage, connaissant l’intéressé « quelle temps » était un lapsus calami plutôt excellent…
Next INpact v7 : les améliorations du Brief et des flux RSS sont là
30/09/2020
Le 25/09/2020 à 16h 31
Normal, les lignes vides ont disparues… et puis c’est une liste de problèmes à destination du staff technique, pas du quidam. Mais je peux bourrer le fil avec un seul point par commentaire si nécessaire.
Le 25/09/2020 à 16h 13
Certes mais tout le contenu de la page est rechargé et réaffiché, ce qui revient au même (à epsilon près). De nos jours on peut facilement ajouter du texte en push (Comet) en temps réel. Bref.
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Je ne vois aucune raison ou utilité valable (à part un diktat quelconque qui m’échappe), mais je mettrai des points..
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Autres choses :
Le 25/09/2020 à 15h 46
Oui c’est cela : il y a une balise target=“_blank” dans tous les liens de notification qui n’a rien à faire là.
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Je parle du premier chargement et je viens de vérifier le cache : il n’est pas vidé à la fermeture.
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Le maximum (100 je crois). Sur la version précédente l’affichage était bien plus rapide.
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J’entends bien sur le principe, mais en pratique c’est pourtant ce qui se passe chez moi. Édition : effectivement la page ne se recharge pas comme avec un reload() en JS mais elle semble quand même entièrement vidée et tout le contenu réactualisé.
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Autres choses :
Le 25/09/2020 à 15h 37
Oui c’est cela : il y a une balise target=“_blank” dans tous les liens de notification qui n’a rien à faire là.
Je parle du premier chargement et je viens de vérifier le cache : il n’est pas vidé à la fermeture.
Le maximum (100 je crois). Si la version précédente l’affichage était bien plus rapide.
J’entends bien sur le principe, mais en pratique c’est pourtant ce qui se passe chez moi. Édition : effectivement la page ne se recharge pas comme avec un reload() en JS mais elle semble quand même entièrement vidée et tout le contenu réactualisé.
Une autre chose : les lignes vides sont disparues dans les commentaires donc obligée de forcer avec des points (faciliter la lecture du commentariat avec la touche Entrée est un point essentiel pour moi ;)
Le 25/09/2020 à 13h 21
Quelques observations :
StopCovid dans le flou, le gouvernement dans l’opacité
23/09/2020
Le 23/09/2020 à 19h 44
De son chapeau. carbier est un grand adepte de la technique du shit-and-run : il fait sa crotte et part en courant. N’espère pas de justification.
Le 23/09/2020 à 14h 06
Leur mentalité est qu’ils sont sont là pour vous sauver de vous-mêmes et que vous le savez bien puisque vous les avez élus (enfin pas eux directement, mais c’est tout comme).
Et dans un raccourci qui ferait frémir de honte le premier logicien venu, ils partent du principe que tout ce qu’ils font ou disent va directement être approuvé et approprié par le péquin moyen.
L’argument imparable utilisé est « santé publique » ou « bien commun ». Accolé avec un peu de technologie incompréhensible par ce dernier, ils se placent dès lors tout naturellement en sauveur de
l’universde la planètede la Francedu bon peuple nécessairement reconnaissant.Rien que le nom de l’appli illustre à merveille leur arrogance, leur suffisance et leur paternalisme outrancier.
Et puis le mur de la réalité refait surface…
Numérique en Europe : 150 milliards d’euros de la Commission, qui veut agir vite et frapper fort
17/09/2020
Le 19/09/2020 à 19h 09
Écrit l’apprenti donneur de leçon en oubliant lui-même la négation.
Il y a seulement un mot en trop qui ne change pas le sens de ma phrase (que tu n’as pas compris) :
Tu as de graves lacunes avec la négation, entraîne-toi.
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Ah.
À toi aussi, merci pour ton commentaire déterminant.
Le 19/09/2020 à 15h 19
C’est très commun pour toi de commenter en ne réfutant pas spécifiquement le point (« en Allemagne, entre autres, le confinement a augmenté les niveaux ») par l’utilisation d’une logique déficiente : que les niveaux aient pu baisser ici ou là ne contredit aucunement l’observation qu’ils n’ont pas baissés ailleurs. D’ailleurs le politicien allemand cité doit s’en doute inventer lui aussi… Note que comme les niveaux de NO₂ sont sensibles aux conditions météo, les comparaisons 2019-2020 ne prouvent pas rien si on n’en tient pas compte (ce que ton lien explique à la fin d’ailleurs).
Quant aux particules, le texte fait effectivement référence au § précédent et donc aux PM2.5. Cela dit, citer le trafic routier comme responsable alors que celui-ci était quasi interdit à l’époque ressemble à du gavage. D’autant plus que les niveaux actuels de ces composants n’ont plus d’incidence sur la santé publique, s’ils en ont jamais eu. Mais merci de ton intervention essentielle qui m’a permis de reclasser correctement un de mes marque-pages…
Le 18/09/2020 à 12h 17
1/ Homme de paille : on ne mesure pas la [CO2] l’échelle locale donc on ne connaît pas sa localisation. Il est donc impossible de comparer avec ce qu’on connaît (NOx). Je laisse de côté le charabia incompréhensible qui suit.
2/ Une mesure est une mesure. La seule chose qu’on peut estimer/calculer est l’incertitude de cette mesure (mais pas fait ici). Je laisse de côté le galimatias etc.
Le 18/09/2020 à 11h 05
Mon démon s’appelle la faculté de lire et comprendre :
1/ la molécule : NOx ≠ CO2
2/ la méthode : mesures/représentation ≠ estimations/calculs/modélisation.
Ton démon à toi est la la mauvaise foi (une tare cependant fort répandue) que tu cultives avec la rare suffisance du cuistre ignare obsédé par ses ridicules pitreries gribouillées ici.
Le 18/09/2020 à 10h 53
Tant mieux.
Si me lire est drôle ou te fait rire, ta décision de me bloquer est assez bizarre, même si d’un autre côté pouvoir commenter les inepties des crétins avec l’assurance de ne pas perdre de temps à lire leurs réponses du même tonneau est un avantage certain pour moi. Donc n’hésite pas.
Tu confonds « besoin de montrer ma supériorité » (que tu ne démontres pas) avec opiniâtreté et connaissances. Si je fais de la sélection, c’est pour rétablir l’équilibre et éviter de répéter les âneries déjà exposées par d’autres.
Je n’ai pas la science infuse (qui l’a ?) mais j’estime être de ma responsabilité de vérifier les dires des experts (ou autres), surtout quand leurs assertions sont présentées de manière à ne pas laisser place au débat (ce qui est un prérequis en Science, avec une majuscule). Donc je fais l’effort nécessaire pour y parvenir. Mais je comprends qu’on puisse être trop fainéant ou incapable pour faire ce travail de recherche.
Le 18/09/2020 à 09h 36
Ce n’est pas une « modélisation » mais une représentation des mesures.
“Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde.”
— Camus
Mais continue de t’enfoncer, c’est amusant à observer.
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Avec des si on peut dire n’importe quoi. La preuve.
Neutralité climatique en Europe d’ici 2050 : le Parlement européen veut des objectifs plus ambitieux
14/09/2020
Le 19/09/2020 à 12h 33
Je suis ouverte à débattre des aspects techniques parce que ce sont les seuls critères pertinents pour discuter sur un sujet… technique. Mais tu prétends ne pas être compétent en usant de pirouettes/justifications faibles et non-spécifiques et de trop nombreux sophismes (dont le 5ème en date, généralisation abusive) qui rend ta démarche peu crédible et, disons-le d’apparence malhonnête. Il faut ajouter aussi l’aspect scientiste avec l’utilisation inappropriée de probabilité qui ne plaide en rien en ta faveur. Je note enfin que ma demande initiale de précisions n’a obtenu aucune réponse (probablement là aussi par incompétence).
Bref plutôt que de perdre plus de temps avec un beau parleur incompétent (soigner l’orthographe, bien qu’apprécié, ne rend pas une conversation intéressante), je préfère aller profiter du vent dehors (et bronzer).
Le 18/09/2020 à 17h 41
Si tu n’a rien à dire sur les arguments en général, tu ne devrais pas prendre partie (parce que c’est de cela qu’il s’agit). Tout le reste n’est qu’un vague écran de fumée pour cacher ton incompétence.
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J’ai coupé court parce que tes prémisses sont toutes fautives :
1/ le nombre de sujets intéressants les individus est très, très faible (tu l’as reconnu toi-même pour les raisons indiquées)
2/ ces rares sujets, tu les choisis librement parce qu’ils t’intéressent, tu n’y es pas « confronté » parce qu’en corollaire quand ils n’ont plus d’intérêt tu les abandonnes aussitôt
3/ personne (et aucun système) ne demande à choisir ou prendre partie en matière scientifique parce qu’il n’y existe pas de position définitive : la Science n’est pas un recueil de recettes éternelles et immuables ou un système politique de partis, c’est une méthode d’investigation
4/ et enfin l’éléphant dans le couloir : comme tu n’as pas les compétences pour juger de la crédibilité des arguments avancés par une personne, il t’est logiquement impossible de juger de la compétence de cette dernière, et donc de sa crédibilité. QED
Ton acharnement à mésuser de probabilités te fait rater l’élément essentiel de la Science : le scepticisme qui permet d’éviter de tomber dans le piège (grossier) des cultes.
J’en resterais là pour ma part du fait de ton incompétence technique sur le sujet (ce qui m’intéresse bien plus que les discussions sociologique sur le mode de « pensée » postmoderne).
Un décret sur les « zones à faibles émissions mobilité » (ZFE-m)
18/09/2020
Le 18/09/2020 à 18h 22
Oui, sauf que l’agriculture émet globalement assez peu de NOx ou de PM2.5 (~10 %), et encore moins à cette époque de l’année où tout est déjà semé (tracteurs et sols au repos) et qu’il n’y a pas encore de récoltes (évidemment).
Donc le(s) coupable(s) reste(nt) à déterminer.
La Commission européenne met en ligne une FAQ sur le plan climat à l’horizon 2030
18/09/2020
Le 18/09/2020 à 17h 59
Ou aussi Comment est financée cette gabegie ? ou encore À qui va profiter le crime ?
Ah ben non, ce n’est pas PC comme questions, laissons plutôt les gouvernements se débrouiller avec leurs électeurs rançonnés jusqu’à la misère et descendus en masse dans la rue pour le faire savoir.
L’Europe transformée en champ de bataille de guerre civile, j’en prépare déjà mon pop-corn.