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Nicolas040

est avec nous depuis le 8 mars 2019 ❤️

11 commentaires


OB a dit:


Si il y a vente, il y aura changement d’ADN , c’est forcé. Après, selon le cas, ça peux plaire ou pas , et justifier ou pas une continuité d’abonnement.



J’essaie de pas avoir d’a-priori anticipé même si c’est difficile :-)



Après il faut admettre que 23 ans sur un seul projet c’est long et , quelque part, il est sain aussi de vouloir changer de vie :-)


Pas nécessairement, et même dans ce cas, les changements peuvent être mineurs.
Et puis, l’acheteur essaiera de garder le socle de lecteurs en place. Une changement radical de ligne éditoriale n’irait pas dans ce sens.

Tant que NextInpact gardera son ADN, je maintiendrai mon abonnement, peu importe les actionnaires. Puisse ce magazine continuer longtemps!

En fait, il ne s’est pas produit il y a deux ans, mais il y a un milliard d’années (il a été détecté il y a deux ans).

Laure Darcos: “…doublons le montant de la taxe !”



Je ne sais pas si c’est un lapsus, mais au moins c’est révélateur. Cette “redevance” est bel et bien une taxe, qu’on paye que l’on fasse des copies ou pas.

En suivant le lien vers le site de la CNIL, on lit :
Cette pratique n’est pas illégale, mais elle peut provoquer d’importantes failles de sécurité, notamment en termes de lecture par des tiers de jetons d’authentification (« tokens ») stockés dans des cookies. Si une telle pratique est utilisée, il est donc conseillé de séparer les sous-domaines gérés par des tiers de ceux déposant et lisant des informations sensibles.

Merci, je n’avais pas vu le lien.

On aimerait bien en savoir plus sur ces “soucis de sécurité”.

Ceux qui ne comprennent pas qu’on peut chiffrer un message avant de le poster - ce que tous les terroristes savent - et que même avec une porte dérobée, on se retrouve quand même avec un message illisible.



Ou ceux qui font semblant de ne pas le comprendre.

Je doute qu’elles fassent quelque travail que ce soit en matière de vérification. Celle-ci doit se faire par les pairs, des chercheurs reconnus dans leurs domaines. Si les revues la sous-traitent auprès d’eux, elles ne sont que des intermédiaires dont on peut très bien se passer.

Si l’intitulé du projet loi spécifie que son but est de lutter contre la haine sur le Net, les extensions à d’autres domaines possibles devraient subir le couperet du Conseil Constitutionnel, qui n’apprécie pas vraiment les cavaliers législatifs.

Ceci n’est pas propre au projet européen. Si l’UE n’existait pas, les lobbies feraient la même chose au niveau national.



Un début de solution consiste à dire à notre personnel politique qu’il pourra faire une croix sur nos voix s’il préfère défendre des intérêts particuliers.