Si il y a vente, il y aura changement d’ADN , c’est forcé. Après, selon le cas, ça peux plaire ou pas , et justifier ou pas une continuité d’abonnement.
J’essaie de pas avoir d’a-priori anticipé même si c’est difficile :-)
Après il faut admettre que 23 ans sur un seul projet c’est long et , quelque part, il est sain aussi de vouloir changer de vie :-)
Pas nécessairement, et même dans ce cas, les changements peuvent être mineurs. Et puis, l’acheteur essaiera de garder le socle de lecteurs en place. Une changement radical de ligne éditoriale n’irait pas dans ce sens.
Je ne sais pas si c’est un lapsus, mais au moins c’est révélateur. Cette “redevance” est bel et bien une taxe, qu’on paye que l’on fasse des copies ou pas.
En suivant le lien vers le site de la CNIL, on lit : Cette pratique n’est pas illégale, mais elle peut provoquer d’importantes failles de sécurité, notamment en termes de lecture par des tiers de jetons d’authentification (« tokens ») stockés dans des cookies. Si une telle pratique est utilisée, il est donc conseillé de séparer les sous-domaines gérés par des tiers de ceux déposant et lisant des informations sensibles.
Ceux qui ne comprennent pas qu’on peut chiffrer un message avant de le poster - ce que tous les terroristes savent - et que même avec une porte dérobée, on se retrouve quand même avec un message illisible.
Ou ceux qui font semblant de ne pas le comprendre.
Je doute qu’elles fassent quelque travail que ce soit en matière de vérification. Celle-ci doit se faire par les pairs, des chercheurs reconnus dans leurs domaines. Si les revues la sous-traitent auprès d’eux, elles ne sont que des intermédiaires dont on peut très bien se passer.
Si l’intitulé du projet loi spécifie que son but est de lutter contre la haine sur le Net, les extensions à d’autres domaines possibles devraient subir le couperet du Conseil Constitutionnel, qui n’apprécie pas vraiment les cavaliers législatifs.
Ceci n’est pas propre au projet européen. Si l’UE n’existait pas, les lobbies feraient la même chose au niveau national.
Un début de solution consiste à dire à notre personnel politique qu’il pourra faire une croix sur nos voix s’il préfère défendre des intérêts particuliers.
11 commentaires
Le 22/06/2023 à 07h15
Pas nécessairement, et même dans ce cas, les changements peuvent être mineurs.
Et puis, l’acheteur essaiera de garder le socle de lecteurs en place. Une changement radical de ligne éditoriale n’irait pas dans ce sens.
Le 21/06/2023 à 13h45
Tant que NextInpact gardera son ADN, je maintiendrai mon abonnement, peu importe les actionnaires. Puisse ce magazine continuer longtemps!
Le 04/05/2022 à 08h54
Merci de l’info!
Le 09/06/2021 à 10h22
En fait, il ne s’est pas produit il y a deux ans, mais il y a un milliard d’années (il a été détecté il y a deux ans).
Le 02/02/2021 à 09h48
Laure Darcos: “…doublons le montant de la taxe !”
Je ne sais pas si c’est un lapsus, mais au moins c’est révélateur. Cette “redevance” est bel et bien une taxe, qu’on paye que l’on fasse des copies ou pas.
Le 27/01/2021 à 16h42
Merci, je n’avais pas vu le lien.
Le 27/01/2021 à 12h53
On aimerait bien en savoir plus sur ces “soucis de sécurité”.
Le 25/04/2019 à 08h29
Ceux qui ne comprennent pas qu’on peut chiffrer un message avant de le poster - ce que tous les terroristes savent - et que même avec une porte dérobée, on se retrouve quand même avec un message illisible.
Ou ceux qui font semblant de ne pas le comprendre.
Le 30/03/2019 à 08h43
Je doute qu’elles fassent quelque travail que ce soit en matière de vérification. Celle-ci doit se faire par les pairs, des chercheurs reconnus dans leurs domaines. Si les revues la sous-traitent auprès d’eux, elles ne sont que des intermédiaires dont on peut très bien se passer.
Le 18/03/2019 à 19h49
Si l’intitulé du projet loi spécifie que son but est de lutter contre la haine sur le Net, les extensions à d’autres domaines possibles devraient subir le couperet du Conseil Constitutionnel, qui n’apprécie pas vraiment les cavaliers législatifs.
Le 13/03/2019 à 19h38
Ceci n’est pas propre au projet européen. Si l’UE n’existait pas, les lobbies feraient la même chose au niveau national.
Un début de solution consiste à dire à notre personnel politique qu’il pourra faire une croix sur nos voix s’il préfère défendre des intérêts particuliers.