Sujet : Pénétration de la distribution Mageia par Google ?
Bonjour,
Comment se fait-il que les deux fontes suivantes de Google : - google-crosextra-caladea-fonts - google-crosextra-carlito-fonts soient sujettes à une obligation d’installation sur votre distribution. Mais d’autre surprises nous attendent : Par exemple, le refus de leurs installation entraine le refus du système drakrpm d’installer LibreOffice et, inversement, la tentative de désinstallation de ces fontes imposent la désinstallation de LibreOffice. De plus, sous Plasma (KDE), une fenêtre récurrente, dont on ne parvient pas à se débarrasser, veut imposer l’ouverture d’un compte Google. - Connaissez-vous ces anomalies ? - S’agit-il d’une manipulation de Google pour s’imposer dans la distribution Mageia ? - Que faire pour se débarrasser de ce parasitage lorsque l’on ne souhaite pas avoir de liens avec Google. - À l’avenir, doit-on s’attendre à des parasitages similaires de Facebook et Tweeter ? - Faut-il changer de distribution ? (J’en serai navré!)
Depuis que le Président de Gaulle a été viré de l’entreprise France, la descendance des tenants de la collaboration Allemande n’a de cesse de saboter l’industrie française. Il ne reste pas grand chose qui permette à la France de garder la tête hors de l’eau et pourtant, il faut, à tout prix, casser ce qui en reste avec la complicité des américains qui récupèrent les meilleurs morceaux. Nous l’avons vécu récemment avec Alstom ; maintenant, c’est la société Atos qui est dans leur viseur. Bien sûr, là ou il faudrait que le président Macron intervienne pour mettre un terme à ce sabotage, il n’y a personne. Et c’est normal puisque ce président est un haut-fonctionnaire qui, comme tous les hauts-fonctionnaires, en veulent héréditairement au Président de Gaulle d’avoir effacé les actes de collaborations aigües des 95 % d’individus de leur corporation ! Là ou la France était la cinquième puissance industrielle mondiale il y a 52 ans, aujourd’hui, grâce à ces sabotages pilotés par des voyous , nous sommes descendu à la 26ième position mondiale ; parmi les tous derniers !…
NON ! Votre argumentaire ne teint pas. Le peu que vous donnez n’est pas cohérent et une moyenne de 2,3 % d’augmentation annuelle ne permet pas ( depuis 2000) d’augmenter votre train de vie mais, seulement, de le maintenir ; peu importe que vous soyez passé d’un appartement à une maison. Que vous n’ayez vu aucun changement avec le passage à l’euro est tout bonnement incohérent ! Bonne soirée.
Le
20/11/2020 à
20h
32
serpolet a dit:
Ah bon ? Je dois en être à 4 000 passages au supermarché, depuis que je suis “à mon compte”… En parlant de comptes, un petit coup de tableur, et je sais immédiatement ce que j’y dépense en 1 an. Depuis 20 ans, mon “inflation personnelle” est d’environ 2% par an… Comme l’officielle. Cela fait +50% en 20 ans, pas x5…
Vous devriez faire la comparaison avec les dernière factures que vous avez réglées en Francs et non pas un étalement sur les prix depuis 2002 en Euros. Et même en prenant en compte une moyenne de 2 % d’augmentations du coût des produits de grande consommation (Là, nous n’avons pas les mêmes références…), ces 2 % l’an n’ont jamais été répercutés sur les salaires. Cela explique, par ailleurs, l’effondrement du pouvoir d’achat de la classe populaire et de la moitié basse de la classe moyenne ; ce qui, aujourd’hui (et la Codiv-19 à bon dos), à abouti à une croissance significative de la pauvreté. En ce qui concerne le “jusqu’àx5”, ce n’est pas une erreur. A ces prix là, les produits sont moins nombreux, certes, mais ils existent bien ; toutefois, ils ne fonds pas parti des biens de grande consommation, mais d’activités pouvant être pratiquées comme loisirs. Un autre secteur dans lequel nous retrouvons les conséquences de cette inflation est la restauration. En effet, fréquentant énormément les restaurants sur l’ensemble de la France, le prix moyen d’une certaine catégorie de menu était de l’ordre de 130 à 150 Francs ; aujourd’hui il est à 295 Francs soit, pour le premier : de 19 à 23 Euros et pour le second 45 Euros.
Le
20/11/2020 à
18h
02
serpolet a dit:
Du grand n’importe quoi…
Oui, c’est toujours ce que disent les personnes qui ne font pas leurs courses elles-mêmes. En effet, sur certains produits, le multiplicateur peut-être plus important. Bien sûr, cela ne prend pas en compte l’augmentation ou la création de nouvelles taxes (impôts). Et pourtant, depuis fin 1999 les surprises ont-été vaste et souvent basées sur la mauvaise foi des spéculateurs. Plutôt que de vous faire un cour sur l’évolution des prix des produits de grande consommation ces dernières années en France, je vous invite à comparer vous même les prix avec le Portugal, l’Espagne, l’Italie, la Suisse, la Belgique et l’Allemagne. Ces pays étant sur la périphérie de la France. Évitez, bien sûr, de prendre les références auprès de l’Insee dont les statistiques officielles restent hasardeuses (ce mot me permet de rester polis à leur égard.). Aussi, ce que je peux vous inviter à étudier, c’est la méthode utilisée en France pour augmenter les prix par les industriels et financiers ; vous serez bien surpris !
Le
20/11/2020 à
12h
46
Lorsque l’on dit que “La France n’est plus un pays industriel”, cela ne signifie pas qu’elle n’a plus les moyens de l’être. Cela signifie que durant les années 1980 à 2000, l’industrie française a été vendue par appartements aux plus offrants (étrangers de préférence…). À la fin des années 80, la France avait encore une industrie classée en cinquième position mondiale. Grâce à la pratique consistant à se faire de l’argent facile, surtout grâce à la loi Copé permettant de vendre des entreprises par morceau en étant presque exempt d’impôts sur les profits, l’industrie française a été rétrogradée à la 27 ème position mondiale ! Le prétexte à ces opérations était (et reste) le coût social des ouvriers. En effet ce seraient les charges sociales salariales et patronales qui seraient à l’origine de ces opérations. Ce n’est surtout pas le vice et l’envie d’avoir des industriels et des financiers réaliser des opérations financières fructueuses et décrocher des rémunérations annuelles qui, tout cumulé, parvenaient à être les plus importantes de la planète ! Ce n’est surtout pas, non plus, le fait que les salariés des entreprises déplacées en Asie être rémunérés sans aucune couverture sociale voir, sans pouvoir se les payer du fait de salaires inversement proportionnels à ceux de ces industriels et financiers soit, bien moins de 400 euros par mois. Par ailleurs, alors qu’en France les charges sociales patronales font partie du salaire global du salariat, lorsqu’un gouvernement choisit d’aider le patronat, c’est toujours en réduisant les charges dites patronales ! Bien sûr, cela n’a aucun effet sur l’augmentation de leurs rémunérations ; ce n’est jamais sur les rémunérations exorbitantes des hauts-fonctionnaires français qui, en ce moment, tiennent l’intégralité des pouvoirs en France ! Lorsque Monsieur VGA fût ministre des finances, le Président de Gaulle lui demanda de faire passer une loi intégrant les charges dites “patronales” dans le salaire des salariés afin de supprimer cette anomale. Le CNPF, appuyé par la CGT, s’y opposa tellement que VGA fit marche arrière, trahissant le Président de Gaulle. Jusqu’à aujourd’hui, et ce n’est pas fini, le salariat ne cesse de payer cette trahison dont la panacée aura été le passage du Franc à l’Euro ayant entrainé, en vingt ans, une multiplication, allant jusqu’à 5 fois, des prix à la consommation courante, pendant que la valeur travail, elle, stagne !… Sauf “celle” des rémunérations des dirigeants patronaux et financiers.
Le
18/11/2020 à
12h
13
Deux plantages coup sur coup, ce n’est plus des erreurs humaines ! C’est du sabotage !
C’est vrai qu’il y a de quoi bien rigoler ; avec ces droits voisins, ils croyaient vraiment pouvoir refaire le coup de la taxation sur tous les supports mémoriels au profit de prétendus ayant droits se faisant pirater leurs œuvres. Sans contester que cela arrive, il n’empêche que, eux, profitent allègrement de ce coup pourri pour s’enrichir sur notre dos ; en effet, tous les utilisateurs ne sont pas des pirates ! Eux, OUI !
Alors, nous pouvons imagier ce qui se serait passé si cette nouvelle loi sur les droits voisins avait été écrite intelligemment ? Une nouvelle porte ouverte à un racket qui ne tarderait pas à s’étendre aux particuliers.
8 commentaires
LibreOffice 7.4 a sa première bêta
16/06/2022
Le 17/06/2022 à 15h 49
Sujet : Pénétration de la distribution Mageia par Google ?
Bonjour,
Comment se fait-il que les deux fontes suivantes de Google :
- google-crosextra-caladea-fonts
- google-crosextra-carlito-fonts
soient sujettes à une obligation d’installation sur votre distribution.
Mais d’autre surprises nous attendent :
Par exemple, le refus de leurs installation entraine le refus du système drakrpm d’installer LibreOffice et, inversement, la tentative de désinstallation de ces fontes imposent la désinstallation de LibreOffice.
De plus, sous Plasma (KDE), une fenêtre récurrente, dont on ne parvient pas à se débarrasser, veut imposer l’ouverture d’un compte Google.
- Connaissez-vous ces anomalies ?
- S’agit-il d’une manipulation de Google pour s’imposer dans la distribution Mageia ?
- Que faire pour se débarrasser de ce parasitage lorsque l’on ne souhaite pas avoir de liens avec Google.
- À l’avenir, doit-on s’attendre à des parasitages similaires de Facebook et Tweeter ?
- Faut-il changer de distribution ? (J’en serai navré!)
Cordialement.
Atos annonce un projet de scission, Rodolphe Belmer démissionne de son poste de directeur général
15/06/2022
Le 17/06/2022 à 15h 33
Depuis que le Président de Gaulle a été viré de l’entreprise France, la descendance des tenants de la collaboration Allemande n’a de cesse de saboter l’industrie française. Il ne reste pas grand chose qui permette à la France de garder la tête hors de l’eau et pourtant, il faut, à tout prix, casser ce qui en reste avec la complicité des américains qui récupèrent les meilleurs morceaux. Nous l’avons vécu récemment avec Alstom ; maintenant, c’est la société Atos qui est dans leur viseur. Bien sûr, là ou il faudrait que le président Macron intervienne pour mettre un terme à ce sabotage, il n’y a personne. Et c’est normal puisque ce président est un haut-fonctionnaire qui, comme tous les hauts-fonctionnaires, en veulent héréditairement au Président de Gaulle d’avoir effacé les actes de collaborations aigües des 95 % d’individus de leur corporation ! Là ou la France était la cinquième puissance industrielle mondiale il y a 52 ans, aujourd’hui, grâce à ces sabotages pilotés par des voyous , nous sommes descendu à la 26ième position mondiale ; parmi les tous derniers !…
Vega : l’échec de la mission VV17 est la conséquence d’une « série d’erreurs humaines »
18/11/2020
Le 20/11/2020 à 21h 13
NON ! Votre argumentaire ne teint pas. Le peu que vous donnez n’est pas cohérent et une moyenne de 2,3 % d’augmentation annuelle ne permet pas ( depuis 2000) d’augmenter votre train de vie mais, seulement, de le maintenir ; peu importe que vous soyez passé d’un appartement à une maison.
Que vous n’ayez vu aucun changement avec le passage à l’euro est tout bonnement incohérent !
Bonne soirée.
Le 20/11/2020 à 20h 32
Vous devriez faire la comparaison avec les dernière factures que vous avez réglées en Francs et non pas un étalement sur les prix depuis 2002 en Euros. Et même en prenant en compte une moyenne de 2 % d’augmentations du coût des produits de grande consommation (Là, nous n’avons pas les mêmes références…), ces 2 % l’an n’ont jamais été répercutés sur les salaires. Cela explique, par ailleurs, l’effondrement du pouvoir d’achat de la classe populaire et de la moitié basse de la classe moyenne ; ce qui, aujourd’hui (et la Codiv-19 à bon dos), à abouti à une croissance significative de la pauvreté.
En ce qui concerne le “jusqu’à x5”, ce n’est pas une erreur. A ces prix là, les produits sont moins nombreux, certes, mais ils existent bien ; toutefois, ils ne fonds pas parti des biens de grande consommation, mais d’activités pouvant être pratiquées comme loisirs.
Un autre secteur dans lequel nous retrouvons les conséquences de cette inflation est la restauration. En effet, fréquentant énormément les restaurants sur l’ensemble de la France, le prix moyen d’une certaine catégorie de menu était de l’ordre de 130 à 150 Francs ; aujourd’hui il est à 295 Francs soit, pour le premier : de 19 à 23 Euros et pour le second 45 Euros.
Le 20/11/2020 à 18h 02
Oui, c’est toujours ce que disent les personnes qui ne font pas leurs courses elles-mêmes. En effet, sur certains produits, le multiplicateur peut-être plus important. Bien sûr, cela ne prend pas en compte l’augmentation ou la création de nouvelles taxes (impôts).
Et pourtant, depuis fin 1999 les surprises ont-été vaste et souvent basées sur la mauvaise foi des spéculateurs. Plutôt que de vous faire un cour sur l’évolution des prix des produits de grande consommation ces dernières années en France, je vous invite à comparer vous même les prix avec le Portugal, l’Espagne, l’Italie, la Suisse, la Belgique et l’Allemagne. Ces pays étant sur la périphérie de la France. Évitez, bien sûr, de prendre les références auprès de l’Insee dont les statistiques officielles restent hasardeuses (ce mot me permet de rester polis à leur égard.).
Aussi, ce que je peux vous inviter à étudier, c’est la méthode utilisée en France pour augmenter les prix par les industriels et financiers ; vous serez bien surpris !
Le 20/11/2020 à 12h 46
Lorsque l’on dit que “La France n’est plus un pays industriel”, cela ne signifie pas qu’elle n’a plus les moyens de l’être. Cela signifie que durant les années 1980 à 2000, l’industrie française a été vendue par appartements aux plus offrants (étrangers de préférence…). À la fin des années 80, la France avait encore une industrie classée en cinquième position mondiale. Grâce à la pratique consistant à se faire de l’argent facile, surtout grâce à la loi Copé permettant de vendre des entreprises par morceau en étant presque exempt d’impôts sur les profits, l’industrie française a été rétrogradée à la 27 ème position mondiale !
Le prétexte à ces opérations était (et reste) le coût social des ouvriers. En effet ce seraient les charges sociales salariales et patronales qui seraient à l’origine de ces opérations. Ce n’est surtout pas le vice et l’envie d’avoir des industriels et des financiers réaliser des opérations financières fructueuses et décrocher des rémunérations annuelles qui, tout cumulé, parvenaient à être les plus importantes de la planète ! Ce n’est surtout pas, non plus, le fait que les salariés des entreprises déplacées en Asie être rémunérés sans aucune couverture sociale voir, sans pouvoir se les payer du fait de salaires inversement proportionnels à ceux de ces industriels et financiers soit, bien moins de 400 euros par mois.
Par ailleurs, alors qu’en France les charges sociales patronales font partie du salaire global du salariat, lorsqu’un gouvernement choisit d’aider le patronat, c’est toujours en réduisant les charges dites patronales ! Bien sûr, cela n’a aucun effet sur l’augmentation de leurs rémunérations ; ce n’est jamais sur les rémunérations exorbitantes des hauts-fonctionnaires français qui, en ce moment, tiennent l’intégralité des pouvoirs en France !
Lorsque Monsieur VGA fût ministre des finances, le Président de Gaulle lui demanda de faire passer une loi intégrant les charges dites “patronales” dans le salaire des salariés afin de supprimer cette anomale. Le CNPF, appuyé par la CGT, s’y opposa tellement que VGA fit marche arrière, trahissant le Président de Gaulle. Jusqu’à aujourd’hui, et ce n’est pas fini, le salariat ne cesse de payer cette trahison dont la panacée aura été le passage du Franc à l’Euro ayant entrainé, en vingt ans, une multiplication, allant jusqu’à 5 fois, des prix à la consommation courante, pendant que la valeur travail, elle, stagne !… Sauf “celle” des rémunérations des dirigeants patronaux et financiers.
Le 18/11/2020 à 12h 13
Deux plantages coup sur coup, ce n’est plus des erreurs humaines ! C’est du sabotage !
Droits voisins : Google ne bafoue pas la loi
23/10/2019
Le 23/10/2019 à 15h 48
C’est vrai qu’il y a de quoi bien rigoler ; avec ces droits voisins, ils croyaient vraiment pouvoir refaire le coup de la taxation sur tous les supports mémoriels au profit de prétendus ayant droits se faisant pirater leurs œuvres. Sans contester que cela arrive, il n’empêche que, eux, profitent allègrement de ce coup pourri pour s’enrichir sur notre dos ; en effet, tous les utilisateurs ne sont pas des pirates ! Eux, OUI !
Alors, nous pouvons imagier ce qui se serait passé si cette nouvelle loi sur les droits voisins avait été écrite intelligemment ? Une nouvelle porte ouverte à un racket qui ne tarderait pas à s’étendre aux particuliers.