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1298 commentaires

Le 28/10/2019 à 16h 58







fred42 a écrit :



[…]

Sinon, ça sert à quoi une phrase comme celle-là “Sans entrer dans les détails, ce n’est pas une mince affaire.” dans un article journalistique ?





probablement, ça veut dire : « mon article est suffisamment long, la suite au prochain épisode de Notre dossier sur les découvertes scientifiques, les promesses pour l’avenir. »


Le 28/10/2019 à 16h 51

Concernant la comparaison du Concorde et Apple… au-delà de l’illustration parfaite de l’impossibilité de prévoir l’avenir (le supersonique n’existe plus en 2020 mais l’ordinateur personnel s’est démocratisé), on peut également comparer Apple des années 2000 avec le Minitel car Apple aujourd’hui, c’est surtout l’iPhone, le terminal qui sert à obtenir de l’information sur un écran (tous les services que France Telecom et SFR ont essayer de transposer en vain sur mobile avec le wap avant l’avènement de l’UMTS, appelé maintenant 3G).



Et on peut se rappeler IBM qui n’a pas cru à l’essor de l’ordinateur personnel dans les années 1970 et qui a mangé son chapeau face à Microsoft avant de revenir dans la course au cloud maintenant que tout le monde court après l’Eldorado du Big Data.

Le 28/10/2019 à 14h 05







OlivierJ a écrit :



[…]



  A noter que les émissions de CO2 des voitures sont reparties à la hausse du fait de la baisse de la part du diesel, comme l'explique par exemple Nicolas Meilhan dans une conférence récente. (Le diesel consomme moins que l'essence donc émet moins de CO2)








 Je ne parle pas du CO2. Et d'ailleurs, actuellement, Nicolas Meilhan parle surtout du poids des véhicules qui a augmenté à cause du succès commercial des SUV et de l'intérêt des industriels à vendre des véhicules qui pèsent lourd (marges commerciales plus conséquentes). D'où une hausse de la consommation des véhicules (et de la pollution automobile) alors qu'en 2008, à cause de la crise financière, les ventes de véhicules de plus petite taille avaient commencé à progresser (car moins onéreux).       






         







OlivierJ a écrit :



[…]



  C'est quoi les conséquences "monstrueuses" du "dieselgate" ?        

[...]








   Question rhétorique à laquelle je ne te ferais pas l'affront de répondre.        






  





OlivierJ a écrit :



[…]



  C'est pas vrai, c'est un concours d'inepties aujourd'hui ?        

[...]








  Ceci n'est pas un concours, c'est ce que je pense. Et si ça froisse ton opinion, je veux bien en discuter si et seulement si on ne qualifie pas mes propos d'inepties (ou de tout autre verbiage désobligeant qui ne m'encouragerait qu'à l'insulte et à la prise de position radicalement opposé).

Le 28/10/2019 à 11h 19







vizir67 a écrit :



Comme le recommande l’ANSES, le Gouvernement demandera que les tests

d’homologation soient réalisés au contact de l’appareil (0 mm), et non plus à 5 mm

comme c’est la norme actuellement »….









  • est-ce que la différence est SI grande ??? <img data-src=" />





    Le laboratoire ne sera jamais la vraie vie. C’est une évidence.


Le 28/10/2019 à 11h 17







tmtisfree a écrit :



Et voilà comment avec 0 preuve, une méthodologie d’analyse de la littérature propriétaire et non validée scientifiquement et un principe idéologique nonsensique qui renverse la charge de la démonstration, on passe d’un rapport qui élève quelques rares études in vitro ou animales comme directement applicable à l’humain à du lobbyisme politique pur jus pour redorer son vernis escrofasciste.



La démocratie en marche, ils appellent cela, hahaha !









Ghimo a écrit :



Vieille info mais intéressante quand même :sante.lefigaro.fr Le Figaro





Ne vous inquiétez donc pas : l’industrie pourra continuer à faire ce qu’elle sait faire. Ces normes sont là uniquement pour ménager la chèvre et le chou et continuer comme on a toujours fait. Il n’y a qu’à voir les conséquences “monstrueuses” du DieselGate arrivé 20 ans trop tard et qui est arrivé à point nommé quand l’industrie était OK pour lancer les 1ers modèles électriques (Toyota et Tesla ne sont pas prêtes à détrôner les géants européens allemands).


Le 28/10/2019 à 13h 51

Et ça ne m’empêche pas, en m’abonnant occasionnellement à Next inpact, d’avoir l’impression de “soutenir” Next inpact et la pluralité de la presse.

Le 28/10/2019 à 13h 38







Faith a écrit :



&nbsp;



    Tu es en train de commenter une news qui s'intitule:          

"Abonnement Next INpact à 30 euros pour nous soutenir : après ce soir, il sera trop tard"

&nbsp;








   J'ai déjà expliqué ce que j'entendais par l'expression "soutenir Next inpact". Je ne me répéterais pas.          






   Maintenant, s'il faut que je lise littéralement ce titre d'article. Effectivement, c'est de la com' comme tu disais précédemment. Il y a un amalgame entre "abonnement"/"30euros" et "soutenir" (je ne peux pas dire plus). Et si ça intéresse quelqu'un, pour ma part, si je veux soutenir Next inpact, je participerais au crowdfunding, j'irais sur Okpal, je paierais un supplément à mon abonnement. Ce que je ne fais pas, tout au plus je m'abonne à prix normal (avec remise de fidélité, car c'est une relation commerciale qui m'inspire du respect "gagnant-gagnant"). Après, chacun fais ce qu'il veut (c'est bien ça l'avantage pour tout le monde).

Le 28/10/2019 à 06h 54







Faith a écrit :



Tu passes à coté du sujet, car comme je le rappelle souvent: j’étais un abonné-soutien de longue date. J’ai cessé mon abonnement parce que NXI a réservé ses articles à ceux qui payaient (alors que j’y avais accès). Cessé mon abonnement lorsque NXI est passé de service public d’information (financé par sa communauté) à un vendeur de news.



 [...]







Alors, c’est sur la définition d’un abonnement qu’on n’est pas d’accord : un abonnement sert à payer un service (évidemment qu’il y a un “paywall”). Sinon, ça s’appelle un don (pour soutenir).

&nbsp;

&nbsp;



Faith a écrit :



[…]

Ou alors je reste sur la partie gratuite de NXI (tant qu’elle existe), à me divertir comme le font la plupart des commentateurs.





Oui, logique, tu ne souhaites pas t’abonner. Tu utilises le site comme on peut utiliser le site lemedia.tv ou toute chaîne youtube financée par Tipeee et par la publicité. C’est le modèle que tu préconises.


Le 27/10/2019 à 09h 38







GTO a écrit :



Non, si ils se sont abonnés c’est pour soutenir NXI, peu importe la ligne éditoriale tout ce que les fanboys voulaient c’est que le site perdure.



INpactHardware a été rescussité certes, mais il y’a très peu de contenu dessus car les ressources (les journalistes) sont pour une grosse partie consacrées aux articles lois/hadopi, au magazine papier etc… Donc pour l’instant IN-Hardware est + un coup dans l’eau qu’autre chose…<img data-src=" />





T’as vraiment un problème obsessionnel. Je ne connais pas ta vie, mais ça ne doit pas être facile à vivre.


Le 27/10/2019 à 09h 30







Faith a écrit :



Alors une semaine… jamais vu: c’est de la com’

Ma première page de news contient  40 articles et remonte jusqu’au 1er octobre.




  • 18 #briefs

  • 3 # flock

  • 3 news concernant NXI

  • 6 news de pub

  • 8 news lambda

    J’en ai loupé 2, mais j’ai la flemme de refaire les comptes.

     En tout cas, aucun “article de fond” là dedans.



    Sans doute y a-t-il des “articles de fonds” présents à la Xème page, inaccessible sauf si on sait ce qu’on cherche, mais je n’ai pas eu l’occasion de tomber dessus.



    Donc pour moi, c’est une fonctionnalité sympa sur le papier, mais quasi-inutile “en vrai”.



    A noter: NXI a tenté une alternative ces derniers temps, dont je ne sais pas quoi penser: rendre une news accessible la première journée, puis la passer payante. Frustrant quand on est en train de commenter… mais au moins on a pu lire la news.





    « C’est de la com’ » et c’est le but : donner l’occasion de lire et de partager sur les médias sociaux quelques articles de fond… pour inciter à s’abonner. Le problème est que tu ne souhaites pas t’abonner, donc tu es frustré (“c’est le jeu ma pauv’ Lucette”). Donc pour éviter la frustration, soit tu t’en fiches et tu passes un autre média financé par la publicité (ou par les dons comme LeMedia.tv), soit tu restes sur Next inpact et tu paies un abonnement.


Le 27/10/2019 à 09h 24







Faith a écrit :



Pas forcément non.

Parce que les pubs pour l’abonnement NXI ne parlent pas d’acheter un produit, mais de soutenir une équipe.

Même quand j’ai commencé à ne plus aimer suffisamment ce que je trouvais sur NXI, je continuais de m’abonner pour “soutenir”.





Concernant le crowdfunding, je suis d’accord qu’il y a beaucoup de vent et qu’on “soutient” un projet sans être vraiment sûr de ce qu’on obtiendra. Au contraire, un abonnement, même en “soutien”, on obtient ce qui est proposé, c’est-à-dire la primauté des articles d’analyse ou d’enquête et la capacité d’en discuter dans les commentaires.



On peut toujours critiquer dans les détails en disant qu’il n’y a pas assez d’article depuis quelques mois, que la thématique du droit est trop fréquente, etc, (toute critique est bonne), mais on s’abonne sur la durée parce que le journalisme ce sont des coûts fixes. Les articles murissent parfois en plusieurs mois, voire en plus d’un an (les enquêtes).


Le 25/10/2019 à 21h 07







GTO a écrit :



Ca fait 20 ans que NXI existe parce que :

[…]

2- Ensuite, les fanboys se sont abonnés en masse et on toujours mis la main à la poche donc les comptes ont toujours étés plus ou moins renfloués.

[…]





Longue vie à Next inpact !









GTO a écrit :



[…] c’est tellement courant dans notre société actuelle […] de crier à la haine dés qu’on sort du lot… <img data-src=" />





Non, GTO, tu ne sors pas du lot. Il y a d’autres INpactiens qui disent ne pas aimer ce que fait Next inpact aujourd’hui et ils le font sans essayer de provoquer les autres. Next inpact ne sera plus comme tu l’avais connu dans les années 2000. Moi aussi, je regrette des trucs des années 2000 : Ratiatum.com (et les téléchargement eMule) - le portail Lycos- degroupnews.com (et ses commentaires).



Une question : est-il besoin que j’aille me plaindre dans les commentaires de Numerama que laisser Twitter guider leur ligne éditoriale (ou tout autre reproche) va les envoyer dans le mur ?


Le 25/10/2019 à 08h 47







Faith a écrit :



C’est une phrase révélatrice du problème de NXI, enfin de mon problème avec NXI: il vendent un produit, mais la plupart des gens qui l’achètent ne disent pas qu’il l’achètent, mais qu’ils soutiennent l’entreprise.

D’ailleurs, NXI n’a aucun doute là dessus puisque l’article s’intitule “30 euros pour nous soutenir”.



Je reste sur ma position: on soutient une association qui diffuse gratuitement ses services, mais on achète le produit d’une entreprise qui le vend. 

Une entreprise qui demande un soutien montre qu’elle ne croit pas que son produit intéresse suffisamment les clients à ce prix.





Consommer de l’information, on peut le faire… personnellement, j’appelle ça du contenu d’actualités, pas de l’information. L’information est plutôt un service d’utilité publique. En ce sens, soutenir la pluralité de la presse est une importance cruciale dans une démocratie, d’où l’idée de “soutenir” Next inpact. Cela-dit, qu’on s’abonne à nextinpact.com ou à lemonde.fr, c’est pareil (à la différence tout de même que Next inpact n’appartient pas à un industriel, ne se finance pas par les aides de l’État et ne demande pas aux grandes plateformes numériques de payer une rente pour diffusion de ses “contenus”).


Le 25/10/2019 à 08h 32

Untitre piège-à-clics aurait été :





  • « Google, la plus grosse amende fiscale évitée de justesse »

  • « Comment Google change 8 milliards d’amende fiscale en un demi-milliard ? »





    « Fiscalité : Google risquait une amende théorique de 8,2 milliards d’euros » est un titre qui reste correct, il y a seulement l’idée que Google pèse lourd fiscalement parlant. Un titre de presse sert à parler du thème de l’article en incitant le lecteur à lire l’article (sinon tous les titres d’articles seraient pute-à-clics à partir du moment où ils ne sont pas strictement factuels. Il suffit de lire l’article pour comprendre, le titre ne sert que de porte d’entrée).



    Fred42 ferait un bon avocat fiscaliste et Marc Rees ferait un bon procureur fiscaliste. L’article ne dit pas de bêtise quant à l’enjeu en cause. Fred42 fait une très bonne estimation (à partir d’un article de presse), mais ça reste “à la louche” quand Marc Rees révèle des montants prononcés dans un jugement. Merci à Fred42 pour son point de vue très intéressant, mais il n’y a pas de quoi s’insurger sur ce petit article (ça aurait été un article d’analyse avec des biais de raisonnement, je comprendrais). C’est un article très court, limite une brève qui relate un montant inscrit dans un jugement, avec beaucoup d’inconnus du fait du secret fiscal (ce dont fait mention l’article).

Le 28/10/2019 à 10h 45

Tous ces médias qui mettent les pisteurs Google sur leur site d’actualités et Google qui refuse de jouer le jeu du webmedia qui centralise les revenus publicitaires. C’est balot… ballot screen… tiens, et si les autorités de la concurrence obligeaient Gnews à faire la promotion des autres plateformes qui affichent des images et le début des articles de presse ?

Le 28/10/2019 à 10h 08







Patch a écrit :



Retourne la situation à ton avantage, personne ne verra rien… <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />




    Ah non, pas du tout. Je te rassure, tu te débrouilles très bien sans mon aide dans ce domaine :chinois:








    Voilà, guerre d'égo. Qu'est-ce que tu veux que je réponde à ça ? Une insulte ? Dire "miroir" ou "c'est celui qui dit qui est" comme un gamin ? Je te laisse ça, un jour tu grandiras (enfin, je l'espère pour toi). Moi, ça ne m'intéresse pas.         






   Et si jamais ça t'intéresse, je te dirais que je n'ai personnellement aucune crainte de passer pour un con. J'ai mes opinions que je défends et je suis capable de m'expliquer quand je me fais mal comprendre ou quand je me trompe. Je n'ai pas à avoir honte de ça. Après, si toi, tu souhaites me parler de toi, continue. T'en prive pas, mais ce sera sans moi : tes petites phrases qui font mouche, comme je te l'ai déjà dit dans mon précédent commentaire, c'est très difficile d'y répondre pour moi. Je n'aime pas ce genre de dialogues "repousse égo". Bref, tu vois, je continue à écrire un roman alors que tu vas continuer à me répondre par des smileys. C'est tout juste si tu arrives à faire des phrases.         






   Je te laisse répondre. Moi, j'ai une vie, des problèmes à résoudre. Prends soin de ton égo.          






   Au plaisir de te lire.

Le 28/10/2019 à 06h 44







Patch a écrit :





En plus, là, Je sais maintenant que pour toi je dis des conneries quand je te pousse dans tes retranchements, et ce genre de discussion en spirale vers la bataille d’ego, c’est pas là où je suis le plus à l’aise. Alors je te laisse là.


Le 28/10/2019 à 06h 38







Patch a écrit :



En attendant, j’attends toujours que tu me montres ces fameuses pubs sur News que personne ne voit en dehors de Patrick et toi. Enfin, jdis ca, jdis rien.





T’es vraiment comme GTO, c’est marrant. Où ai-je dis que tu avais tort ? Cite moi. Vas-y.



Sans déconné, tu me prends pour un con, tu restes focalisé sur ta petite idée. C’est là que je ne suis pas d’accord. Voilà ma connerie, essayer de t’aider là où tu fuis.


Le 26/10/2019 à 20h 36







Patch a écrit :



[…] Parce que je dois être à moitié aveugle…





Ton problème n’est pas d’être aveugle, ni à moitié, ni complètement. Seulement parfois un peu focalisé sur un détail… un peu comme GTO qui ne voit que la même chose et qui se fâche quand on lui dit de regarder ailleurs (mais lui ça fait 10 ans que ça dure sur le même sujet).


Le 26/10/2019 à 20h 27

Pour ma part, je suis convaincu qu’un modèle économique basé majoritairement sur la publicité commerciale et/ou des subventions de l’État et/ou autre redistribution financière, est un modèle antinomique avec la confiance du lecteur ou de l’auditeur. Et il existe un autre modèle économique que la publicité commerciale, j’en suis convaincu.



Toute la presse d’après-guerre s’est construite sur le modèle payant. Aujourd’hui, la publicité commerciale est un véritable cancer dans la relation du média vis-à-vis du grand public. Je prends l’exemple de La Croix (le seul quotidien mainstream qui n’appartient pas à un industriel). Le journal vient de sortir un hebdomadaire du même nom. Si je compare le nombre de publicités commerciales par rapport à L’Express ou à Le Point (dont le montant de l’abonnement est relativement semblable), il n’y a quasiment pas de publicité commerciale ! Sur le web, on peut faire exactement la même chose, un média n’est pas obligé de prendre ses lecteurs pour des consommateurs à qui on donne à voir du “contenu”.



Et par extrapolation, je dirais que c’est la même chose avec les services numériques de Google : la publicité ciblée n’est pas une obligation pour faire du chiffre d’affaire. L’audience ne devrait pas être une fin en soi. Et Google, il faut s’en servir mais sans le servir (et sans chercher à se servir des revenus de sa publicité issue de la collecte massive de données personnelles).

Le 25/10/2019 à 06h 06







choukky a écrit :



J’ai pas la même idée que toi sur ce qu’est une négociation.

Faire du lobbying pour obtenir une loi qui va a son avantage pour négocier ressemble plus à de l’extorsion.



Et à la place de Google, j’aurais réagi de la même manière.





Google a trouvé la parade à ce que souhaitent ces suposés “ayants-droit” et je suis content pour Google. Cela-dit, à mon niveau, ça me fait ni chaud-ni froid car ça ne changera pas ma vie (il y aura toujours de la pub sur google.fr et sur lemonde.fr et sur numerama.com).



Faire du lobbying fait partie de la négociation. Google fait aussi du lobbying (toutes les entreprises font du lobbyingsur les États, sur les collectivités locales, etc). D’ailleurs ça m’amuse quand cette industrie d’ayants-droit accuse Google de faire du lobbying au Parlement européen : il n’y a que ça, du lobbying au Parlement européen et encore heureux que les élus ont des réseaux avec le monde de l’entreprise (même si ça pose un problème en cas de conflits d’intérêts, de “copinage”).



Dire que c’est de l’extorsion est un jugement moral sur le modèle économique proposé. Et personnellement, j’ai tendance à penser comme le SPIIL et Next inpact : la presse doit se trouver un modèle économique qui la rende indépendante des financements de redistribution des plateformes (comme Google), des États, etc. C’est un enjeux de crédibilité auprès du lectorat et un enjeux démocratique (pour reprendre une accusation fumeuse contre Google de déstabiliser la démocratie avec son refus persistant de ne pas financer les contenus des supposés “ayants-droit”).



Dans une négociation commerciale, on ne négocie pas forcément par plaisir ou parce que c’est un projet qui semble intéressant. Quand une centrale d’achat comme Carrefour négocie avec une coopérative agricole ou avec Danone ou avec une PME, c’est la même chose : rapport de force - enjeux de subsistance - loi du plus fort. Parfois ça fait couler des boîtes, parfois ça crée des modèles économiques pervers (les marges-arrières, les rétro-commissions, les ventes à perte déguisées, les animations commerciales sans compensation, etc).


Le 24/10/2019 à 20h 07







choukky a écrit :



Pourquoi t’arrêter au journal de 20h, toute la chaine est financée par la pub.





C’était pour répondre à Patch qui racontait que Google ne présentait pas de publicité sur Gnews. Je faisais le parallèle avec le journal de 20H qui n’a pas de pub non plus, mais dont l’utilité est d’être entouré de tunnels de publicité savamment orchestrés. C’est une excellente comparaison (pas de coupure pub entre les reportages, émission d’actualités qui sert à justifier l’activité de la chaîne tous les soirs). À la réflexion, on peut prendre aussi l’exemple des bancs et des sanisettes JCDecaux qui n’ont pas de publicité non plus (contrairement aux abribus), ça n’empêche pas que ce mobilier urbain soit financé par la publicité (comme Gnews).



Tout ça n’est que rhétorique et n’a pas vraiment d’importance.









choukky a écrit :



Google News n’est pas apparu par enchantement il y a peu.

Pourquoi n’ont-ils pas grimpé au rideau lors de sa mise en place, il y a des années?

[…]

Ça ressemble beaucoup aux ayant droit. Tant que ça gagne tout va bien. Le jour où ils perdent ou gagne un peu moins ça fait un foin du diable et renie ses décision d’antant.





C’est à ce sujet que je ne suis pas d’accord. Pour moi, ces gens là (l’AFP, le groupe Figaro, FranceTV, etc… et les ayant-droits de la propriété intellectuelle en général) ne considèrent pas Gnews comme un ennemi contrairement à ce qui transparaît dans les médias (tout ça n’est que de la négociation, un peu rude parce qu’il y a un gros désaccord avec Google actuellement).



Google est un “webmédia” qui représente une majeure partie du chiffre d’affaire de la publicité en ligne. Pour ces gens là, Google est un partenaire, ils ne réfléchissent que par centralisation des moyens et redistribution des revenus. Ils ne vont pas chercher plus loin (pour eux: Google a les revenus et les moyens de financement, eux ont les moyens logistiques et de production). C’est d’ailleurs la conclusion de l’article de Next inpact avec la position du SPIIL :



« « Fondamentalement, notre secteur doit désapprendre à utiliser son pouvoir politique pour se créer des rentes garanties par la législation. Son indépendance, clé de la confiance du public dans ses contenus, est à ce prix » implorait début octobre le Syndicat de la Presse Indépendante d’Information en Ligne, dont est membre Next INpact. »


Le 24/10/2019 à 19h 43

C’est vrai que c’est drôle, même si le constat sur la publicité en ligne phagocytée par Google (et Facebook) est exact (oui, personne ne rentabilise le ciblage publicitaire des webmédias mieux que Google et Facebook).



Notamment, l’introduction du reportage est très drôle, avec la mise en valeur du travail du reporter de guerre qui apporte de la “news” au péril de sa vie (quand Google ne ferait que profiter de sa plateforme pour centraliser le résultat de ce travail acharné… et en tirer toute la valeur).

Le 24/10/2019 à 08h 05







Patch a écrit :



“Bonjour, je n’ai aucun argument, du coup je tente n’importe quoi pour essayer du mieux que je peux de passer pour un con!”



Tinquiète pas, c’est joma, pas toi. Il n’y a absolument aucun rapport entre les 2.





Pour le coup, ton argument ? Si c’est pour me dire que je n’ai aucun argument et que je passe pour un con à tes yeux, je ne vois pas l’intérêt de notre discussion. Tes réfutations par simple revers de main, tu te les gardes. Je ne viens pas ici pour me faire tancer.



En tout cas, merci de tes lumières même si, comme on dit, il ne faut pas parler aux cons, ça les instruit.


Le 24/10/2019 à 07h 46







choukky a écrit :



<img data-src=" /> Google n’affiche pas de la pub pour te vendre un aspirateur ou tout autre connerie, c’est ton profil qui est vendu aux annonceurs et c’est à eux de se démerder à trouver un emplacement (encart) qui leur convient.

Google étoffe/ajuste son listing avec Google News, tout comme il le fait aussi avec ses autres services gratuits et la multitude de sites qui utilisent Analytic.



Pour l’analogie avec le journal de 20H de TF1 je ne vois pas. Ou c’est foireux, ou la tv a bien changé depuis que j’ai arrêté de la regarder. <img data-src=" />





C’est bien et comment Google actualité est financé ? C’est exactement le même modèle économique que le journal de 20H de TF1, le ciblage publicitaire en plus. Alors tu peux me dire que TF1 ne collecte pas autant de données personnelles que Google, mais ça ne change rien à ma comparaison.



Vous aimez vraiment couper les cheveux en 4. C’est pas parce que la presse française fait de la merde que Google n’en fait pas aussi.


Le 24/10/2019 à 07h 38







Winderly a écrit :



Si tu n’as jamais vu la pub pour l’industrie culturelle dans le JT de TF1, on ne doit pas regarder le même TF1. <img data-src=" />





Faut arrêter de couper les cheveux en 4 : c’est de la promotion, TF1 n’est absolument pas payé par l’industrie culturelle pour traiter d’un sujet au journal de 20H


Le 24/10/2019 à 07h 28

C’est pourtant simple. La presse mainstream fait le constat que :



1- Google capte l’audience et les revenus publicitaires de cette audience,

2- les contenus sont produits par la presse qui a des coûts fixes, donc besoin d’assurer ses arrières constamment avec toute sorte de revenus… et plus il y en a mieux c’est.



Donc à partir du moment où on voit qui taille du silex et qui tire les marrons du feu, il faut “évidemment” que celui qui mange à sa faim donne quelques marrons à celui qui a trouvé le silex.

Le 23/10/2019 à 20h 27







Patch a écrit :



Analytics n’est pas de la pub, mais un autre service Google. Ou alors faudra me montrer à quel endroit la pub apparaît sur Actu, parce que je n’en vois absolument pas…





Le journal de 20H de TF1 n’est pas de la pub, mais un autre service TF1. Ou alors faudra me montrer à quel endroit la pub apparaît pendant le 20H, parce que je n’en vois absolument pas…


Le 23/10/2019 à 19h 55

Si la presse mainstream s’intéresse autant à Google, c’est justement pour ce trésor de guerre et pour cette audience que seul Facebook sait égaler.

Le 23/10/2019 à 19h 52







Patch a écrit :



Google Actu non plus (ils ne mettent même aucune pub).





80% du chiffre d’affaire de Google est de la vente de publicité ciblée issue de la collecte de données personnelles de ses différents services.



Alors que Google Actualités ne place aucune publicité sur la page, ça me fait chaud au coeur le temps de le lire, au-delà de ça, chaque fois que je vois le mot Google dans l’extension Kimetrak (ou dans le rapport de pistage de Firefox 70), je sais que Google n’a pas besoin de s’inscrire sur Tipeee pour que je lui donne mon pourboire à l’utilisation de ses excellents services gratuits.


Le 23/10/2019 à 19h 29







RévolutioN a écrit :



Et si au lieu de pleurer, tous ces médias faisaient de la pub (gratuite) pour Qwant ?





Qwant Actualités existe déjà, mais ne fait pas de publicité ciblée et n’est pas en situation de refuser un tel partenariat puisque la presse ne le lui proposera pas. Cette dernière sait très bien que ça n’est pas sur cette plateforme que se trouve le chiffre d’affaire mirobolant.


Le 26/10/2019 à 18h 46

Le dessin avec Google et le reporter “Press” est bien vu : ça fait penser à l’AFP qui met en avant ses reporters qui risquent leur vie à l’autre bout du monde, soit-disant pour donner leur travail à Google.



Une pensée aussi aux combattantes kurdes au Nord de la Syrie, qui se font décapiter ou violer quand elles se font capturer par les djihadistes ou massacrer par l’armée turque, malgré le cesser-le-feu.

Le 26/10/2019 à 10h 21







ThomasBrz a écrit :



Le truc avec cette loi c’est que des deputés avaient voulu encadrer ça, avec une remuneration autour d’un certain pour cent avec l’auteur et un prix encadré pour l’article partagé. Mais les editeurs ont expliqué que avec un tel systeme, ils ne pourraient pas négocier. Bien fait pour eux, a force de tout vouloir, on a rien.





Pour ma part, je pense que l’erreur est plutôt en amont :




  • considérer les plateformes du numérique comme uniquement des diffuseurs d’information (qui doivent payer des droits d’auteurs) ou comme uniquement des hébergeurs

  • considérer que le chiffre d’affaire de la publicité se trouve dorénavant au niveau des plateformes du numériques (qui doivent redistribuer les revenus vers les producteurs de “contenus”)



    Pour moi, les plateformes du numérique correspondraient plus à des agrégateurs qui éditent parfois le contenu, mais leur rôle n’empêche nullement les organes de presse de faire leur travail et de se trouver des modèles économiques viables à côté. D’autant qu’un journaliste ou un reporter n’est pas spécifiquement un “producteur de contenus”, c’est un relais de l’information, un témoin, un commentateur, un analyste, un enquêteur, etc.









    ThomasBrz a écrit :



    Et l’optimisation fiscale, c’est l’europe qui l’avait permis pour devellopper l’irlande au tout debut et maintenant il faut l’accord des 27 pour revoir la fiscalité en europe, donc c’est mort.





    Je ne vois pas à quoi tu fais référence précisément. Moi, j’appelle ça le marché commun : « Libre circulation des biens, des personnes, des capitaux et des services. »

    https://www.touteleurope.eu/actualite/le-marche-unique.html









    ThomasBrz a écrit :



    Je crois que les gafam respectent plus les lois que la pluspart des sites français… RGPD, déontologie, salaire des employers, cette article de loi…





    Je n’ai pas la même impression : les Gafam paient régulièrement des arriérés d’impôts qu’ils avaient “oublié”. Une recherche rapide dans le moteur de recherche de Next inpact montre plusieurs articles.

    nextinpact.com Next INpact


Le 26/10/2019 à 09h 59

C’est légèrement plus complexe que ça.









Gemini_Power a écrit :



[…]

comme d’autres ont dit, c’est par la fiscalité qu’il faut attaquer. Faire de l’Europe une zone fiscale unique. Mais ça, les gens comme les politiques ne veulent pas en entendre parler.

Et pourtant, c’est bien là la source de tous nos problèmes économiques internes (la déclaration d’un siège fiscal fantôme dans un pays complaisant (on pense souvent à l’irlance, mais le benelux est pas mal dans le genre) pour faire passer la totalité des bénéfices dans ce pays, les autres filiales étant en déficit (ou neutre).

Bref, encore de l’argent du contribuable lancé dans la benne à ordures





Oui, mais la cause, c’est plutôt que le marché commun s’est fait à 6. Comment veux-tu faire une zone fiscale à 28 ?









Gemini_Power a écrit :



[…]

Et je rigole bien sur l’argument : vu qu’il y a le résumé, les gens ne lisent que le résumé, et ne vont pas sur le site de presse… Le résumé est justement un élément qui permet de convaincre une personne d’aller voir le site en question. C’est un plus.



La preuve: quand google a voulu se conformer, et n’afficher que le titre, tout le monde s’est empressé de demander à google de rajouter le reste.

[…]





Sur les réseaux sociaux, et ce n’est que ma constatation personnelle (mais je ne suis pas le seul à déplorer), oui, je confirme la plupart des internautes ne cliquent pas sur le lien pour lire l’article, ils se contentent pour la plupart de lire sur Facebook, Twitter, Google, etc, et de regarder les images… Et, en plus, ce sont ces plateformes qui gagnent le plus d’argent avec la publicité ciblée. Attention, je ne donne pas raison au modèle économique exposé par les “ayants-droit” et par cette nouvelle loi, c’est le constat réel.



D’ailleurs, même sur Next inpact, on voit dans les commentaires ceux qui ont lu les articles et ceux qui commentent après avoir lu le titre.









Gemini_Power a écrit :



“encadrer ” ?

En quoi cela aurait changé la réaction de google ?

Faire payer pour un service qui est en réalité donné par google (de la visibilité, un endroit que beaucoup utilise pour ensuite aller sur les articles)…



Cela aurait terminé comme en espagne : arrêt de google news en France.

[…]





Si on veut être moins partial, on se demande également quel est l’intérêt de Google à éditer un service comme Gnews, non ? Et pourquoi les “ayants-droit” de la presse préfèrent prendre leurs lecteurs pour des idiots qui ne font que cliquer sur les liens des plateformes de “webmédia”. Et pourquoi les “ayants-droit” de la presse utilisent autant les services d’audience de Google ? Bref, que des bonnes questions dont les réponses ne se trouvent pas dans 10 lignes d’article de news à lire en 4 minutes.


Le 25/10/2019 à 19h 53







frikakwa a écrit :



[…]

Cette loi est mal écrite. Google et FB ont mis en place leur “riposte” afin d’être dans les clous… c’est quoi le reproche que tu leur fais!? <img data-src=" />





Si j’ai quelque chose à reprocher à Google et à Facebook, en tant qu’utilisateur de leurs services, c’est l’utilisation abusive de mes données personnelles et le ciblage publicitaire dont je fais l’objet. Et je regrette que la presse mainstream n’en ai rien à faire de mon petit intérêt en tant que lecteur ou d’auditeur de leurs “informations”.









frikakwa a écrit :



[…]

Tout le monde confirme que vouloir appliquer ces foutus droits voisin du droit dauteur à Google et Facebook est ridicule: ils ont tellement moins à perdre que les éditeurs de presse que je ne comprends pas où tu te situes à vouloir à tout prix défendre l’INdéfendable!

[…]





Ce modèle économique n’est pas ridicule d’un point de vue financier : on centralise l’audience au niveau de Google et plus largement, sur l’ensemble des “webmédias”. Et on produit des contenus de manière centralisée… et peut-être qu’un jour on centralisera tout dans le même groupe. Par exemples, Altice, Verizon ont déjà commencé ce modèle entre médias/télécoms.



D’un point de vue journalistique, je pense que c’est INdéfendable : Avoir une rente sur les “webmédias” n’encourage pas l’INdépendance journalistique nécessaire vis-à-vis du monde politico-médiatique. Et le lectorat ou l’audience perdra confiance dans ces médias (en France, de plus en plus de gens n’ont plus confiance dans les médias mainstream avec le rachat de l’ensemble des grands médias par des industriels).









frikakwa a écrit :



Et?? C’est quoi le rapport avec ce que disait AktreX?

[…]





AktreX a écrit : « hier ça parlait qu’il n’y avait que google et qu’ils avaient donc une position dominante.

FB rentre dans la danse. » Je lui réponds que la publicité est captée par Google et Facebook. Pourquoi on parlerait aujourd’hui de Twitter qui ne fait pas le poids ? Pourtant Twitter, LinkedIn, Pinterest (tous les “webmédias”) sont concernés aussi (et n’ont pas forcément plus l’intention que Google de se plier à cette loi). Rien d’étonnant.


Le 25/10/2019 à 19h 23







MacGivre a écrit :



Est-ce que l’AFP peut faire la même chose que les journaux : demander une compensation pour la reprise de leur contenu ? Car le copier-coller  d’article, ça y va aussi…





https://www.geste.fr/les-membres/

nextinpact.com Next INpact


Le 25/10/2019 à 09h 41







Arkeen a écrit :



[…]

Edit : je viens de partager un article du Monde pour tester, et effectivement, il n’y avait que le titre et la mention « lemonde.fr » (alors que l’article comporte des images)





C’est vrai… je viens d’essayer avec Next inpact :




  • en partageant le lien d’un article : il n’y a que le lien html

  • en repartageant une publication de la page facebook de Next inpact : il n’y a pas d’image, pas de texte, rien que le titre.



    PS : avec franceculture.fr, il y a une image…


Le 25/10/2019 à 09h 16







AltreX a écrit :



Et bah voilà, hier ça parlait qu’il n’y avait que google et qu’ils avaient donc une position dominante.

FB rentre dans la danse.





Il y a 2 géants de la publicité en ligne dans le monde 1- Google (30% de parts de marché) 2- Facebook (10-15%)

Et Amazon monte sur le podium mais très loin derrière.


Le 24/10/2019 à 16h 00







KP2 a écrit :



Au delà du fait que les estimation de The Shift Project sont du bullshit complet, il faut toujours se poser la question quand on veut limiter ou interdire qqch : par quoi ça sera remplacé ?

Puis : est-ce que l’alternative ne serait-elle pas pire que ce qu’on essaye de freiner ?



Et c’est quoi le remplacement de la VoD, de Youtube ou du streaming de jeux ? Foutre les routes des centaines de milliers de camions ou de bateaux transportant joyeusement des tonnes de disques en plastiques produits à l’autre bout du monde…

Car il faut bien se rentrer dans la tête que l’alternative au réseau, c’est le physique. Et il ne faut surtout pas imaginer une seule seconde que les gens retourneront en masse en arrière à lire un livre à la lumière de la cheminée (d’ailleurs, la cheminée pour se chauffer, c’est ecolo et naturel mais c’est carrément de la grosse merde pour le réchauffement climatique hein)





La caricature grossière… Soit c’est du déni, soit de la méconnaissance (ou de l’hypocrisie en pleine connaissance de cause, mais je préfère éluder cette hypothèse).


Le 24/10/2019 à 14h 57

Je pressens qu’on va prochainement nous vanter la performance énergétique de la 5G (sans remettre en cause ses usages, bien évidemment).

Le 24/10/2019 à 14h 54







odoc a écrit :



[…] Et d’ailleurs personne n’a vraiment trouvé comment atteindre de tels objectifs sans passer par une casse “révolution des peuples”. Regarder ce qu’à déclenché une simple augmentation des prix de l’essence en France.

[…]





Une simple augmentation des prix de l’essence en France n’a jamais provoqué de révoltes. Les Français sont d’un ordinaire râleur… mais dans leur canapé devant la TV. Ce qui s’est passé à l’hiver 2018, c’est autre chose.



Pour le reste, le constat est assez connu et reconnu.


Le 24/10/2019 à 05h 53







Inodemus a écrit :



[…] Parce que du coup j’en viens à m’interroger sur ce qu’ils mesurent dans les TGV.





Il suffit de lire la légende de la carte avec le (¡) sur monreseaumobile.fr

… Ou de lire l’article ci-dessus qui relate ce qui est considéré comme un succès (vert) ou un échec (rouge).



Quand on y pense, 10 secondes, c’est long. C’est vrai.


Le 23/10/2019 à 16h 33







Nozalys a écrit :



J’avais des questions au sujet de l’article que je m’apprêtait à poser ici … et puis j’ai commencé à lire les commentaires. Ya des jours ou vous être relous franchement. Pourtant c’est pas vendredi !

Vous faites * parfois bordel à vous tirer dans les pattes… Faites-vous des bécots qu’on en finisse. Tout est stérile ici, ya que du combat d’égo. <img data-src=" />





Il y a quelques arguments intéressants quand même… Et je ne parle pas de mes commentaires que je ne me permettrais pas de juger car je suis forcément d’accord avec moi-même, et aussi parce que je reconnais des approximations ou des expressions qui peuvent faire défaut à la compréhension par autrui.


Le 23/10/2019 à 16h 30







OlivierJ a écrit :



Ben en fait on est plusieurs à être assez d’accord, tout va bien.





Tu as ta bande de copains, tu te sens à l’aise ? Plus sérieusement, j’ai jamais vu une raison aussi bête de répondre à quelqu’un qui regrette les batailles d’ego. Change d’avocat ou trouve en un.


Le 23/10/2019 à 11h 46







fred42 a écrit :



[…]

Et chercher la preuve que quelque chose ne fait pas de mal, c’est bien troller en science. On constate des effets, pas des non effets.





Prouve moi que boire de l’eau n’est pas mauvais pour la santé. C’est plus difficile que de prouver que boire de l’alcool est mauvais pour la santé.





Ok, je me comprends tout seul. Je vais le dire autrement : comme indiqué par l’ANSES, on fait des tests pour mesurer les phénomènes produits, pour en mesurer les causes et les conséquences. Tout dépend le but de l’étude : l’ANSES souhaite voir où se situent les risques, donc on cherche tant qu’on ne trouve pas. Si on part de l’hypothèse (qui n’est pas un fait) qu’il n’y a rien à voir, alors évidemment on ne voit rien.





Pour l’exemple de l’eau, c’est marrant de me présenter une conclusion sous-jacente toute trouvée (l’eau ne serait pas néfaste) et de me demander de le prouver alors que, par ailleurs, je n’ai aucune compétence en biologie ou en médecine. Il faudrait au moins me fournir un contexte, des quantités absorbées, une composition. Évidemment que l’eau potable n’est pas nocive (on le prouve avec des analyses). On ne peut pas en dire autant avec l’eau pure ou avec l’eau infestée de bactéries (des expérimentations dans la vie réelle le prouvent encore aujourd’hui, en Afrique notamment).


Le 23/10/2019 à 11h 26







KP2 a écrit :



[…]

Bref, faut arrêter de psychoter.





J’ai lu l’article de Next inpact ci-dessus. Et sans “psychoter”. Si l’ANSES dit qu’il y a besoin de tests complémentaires, et qu’il y a besoin de rester vigilant sur d’éventuels conséquences néfastes

à l’utilisation des terminaux mobiles, je ne vais pas prendre en compte des commentaires qui disent qu’on ne trouve rien parce qu’il n’y a rien à trouver (affirmation totalement gratuite).



Bref, j’ai dit ce que j’avais à dire.









KP2 a écrit :



[…] Mais on reste tout de même vigilant sur les nouvelles avancées…

[…]





la science avance, là dessus on est d’accord. Et pendant ce temps, on utilisera quand même son mobile en attendant d’en savoir.


Le 23/10/2019 à 10h 18







fred42 a écrit :



Je n’ai pas commenté ta première partie qui n’est qu’un troll sans référence comme les smileys que j’ai laissé l’indiquaient.



Par contre, 34 % de la population, c’est bien suffisant pour détecter des problèmes et c’est même mieux que 100 % pour faire des comparaisons entre utilisateurs et non utilisateurs.





Malheureusement, dans la vraie vie, les causes d’un phénomènes sont multifactorielles. Je ne vois pas comment un problème peut être détecté par un échantillon d’une population sans étude spécifique de la relation de chaque cause qui provoque chaque conséquence. Les seules statistiques de la vraie vie qu’on ait concernent le nombre de malades à travers le temps auquel on peut supposer une influence plus ou moins directe de différents facteurs ou événements touchant une partie non-négligeable de la population générale.



Pour ma part, je veux bien qu’on dise qu’il n’y a pas de preuve de nocivité. Mais traiter de troll une personne qui dit justement qu’il n’y a pas de preuve d’innocuité, si ce n’est pas un biais de raisonnement, c’est une conviction toute personnelle.









KP2 a écrit :



[…]

Franchement, si il y avait eu le moindre truc à trouver, ça ferait un bail qu’on le saurait…







Mais si… Vu comme la téléphonie mobile est présente et largement déployée, si y’avait le moindre problème alors ça ne pourrait pas passer inaperçu. C’est totalement impossible.



Mais qu’on soit clair, aujourd’hui, il n’y a plus vraiment personne de sérieux qui ose dire que les technos mobiles représentent un danger pour la vie humaine, ni même un risque de maladie. Aujourd’hui, on en est à se poser la question de peut-être si ça peut éventuellement produire une gêne dans certaines conditions d’utilisation…

[…]





Justement, d’après l’ANSES, il n’y a pas de preuve d’innocuité prouvée de l’usage des terminaux mobiles.



Qu’on ne trouve pas de problème, c’est rassurant, sans plus. Il faut affirmer des choses qu’on est capable de prouver, surtout si on faut l’éloge de la science (qu’il ne faut pas confondre avec ce que disent les néophytes qui blablatent sans maîtriser véritablement leur sujet).


Le 23/10/2019 à 15h 35

En revanche, tu peux peut-être m’instruire sur le fait que Numerama défende encore Google comme un outil de promotion valable dans son modèle économique et pas comme un concurrent de la régie publicitaire qui lui permet de payer sa petite dizaine de journalistes. Pour le moment, je ne comprends pas… Est-ce un pied de nez au modèle économique de l’AFP ? Est-ce une façon de se démarquer auprès de son lectorat technophile ?

Le 23/10/2019 à 15h 24







Tandhruil a écrit :



Pas tout à fait.

La presse met à disposition du kiosque ses revues, le kiosque prend 30% sur les ventes et retourne les invendus. Les frais de port sont à la charge des éditeurs de presse (voir NMPP et Canard PC)



Concernant le Cinéma, le producteur paye JC Décaux pour que celui ci affiche ses affiches de film dans la rue.





Oui, d’accord. On va pas chipoter. Le kiosque se fait rémunérer par le journal (ou par le distributeur du journal, si on veut encore chipoter). Ce que Google ne fait pas.



D’ailleurs, je viens de voir que c’est un article de Numerama qui parle de cette analogie du kiosque. Cette analogie ne tient pas. En revanche, Numerama aurait pu faire l’analogie avec les émissions TV qui font la promotion des sorties de livres, films, albums musicaux, spectacles, etc.



Quant aux affiches sur la devanture de la salle de cinéma, elle n’a rien à voir avec JCDecaux. Et, à part les grosses productions grand public, tous les films ne font pas de publicité commerciale pour leur sortie en salle, loin de là. C’est vraiment histoire de me contredire pour le coup.


Le 23/10/2019 à 09h 53

Allez, tout le monde sur la 5G : abandon de la TNT, abandon du DAB+, liquidation de Presstalis… et vive les webmédias, vive la TV/IP et vive la presse en ligne (surtout intégrée dans les offres des FAI) !



Je caricature à peine les déclarations du président de l’Arcep.