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Ph11

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2232 commentaires

Le 31/07/2013 à 09h 08

Il est dangereux d’avoir raison lorsque le gouvernement a tort.

Le 30/07/2013 à 13h 29







Commentaire_supprime a écrit :



Je te signale que c’est toi qui t’énerves, et qui n’a toujours pas répondu à ma question : quid de la position des libéraux par rapport au programme économique du FN ?



Et comme doctrinaire, tu es une bonne illustration du concept. Et en plein déni de la réalité en plus.



Alors : soit le FN n’est pas libéral du tout d’un point de vue économique, et tu peux me le prouver par les faits, exemples à l’appui, soit il prend les principes de l’économie libérale à son compte sans en avoir pigé le mode d’emploi, et tu peux dénoncer ceci comme étant une récupération politicarde d’un parti dont tu n’approuves pas les idées, soit ni un ni deux, et tu assumes ta complaisance, voire ton approbation, envers les idées d’extrême-droite.



Voilà, j’en reste aux faits et je reste calme. Et je n’ai pas besoin d’accuser mon interlocuteur d’être un hystéro-nazi primaire qui considère que la loi de la gravitation universelle peut faire l’objet d’une QPC devant le Conseil d’Etat pour faire avancer le débat.





Tu es un sacré mythomane…


Le 30/07/2013 à 13h 17







Commentaire_supprime a écrit :



Et hop ! C’est reparti l’usine à sophismes et la démission intellectuelle en guise d’argumentaire !





Merci à toi de faire un prologue si révélateur de la qualité ton argumentaire.



D’abord, le FN est strictement pour le libre échange, l’état minimal en matière d’économie et la déréglementation tous azimuts. Ça ne te rappelle rien ?



Ensuite, celui qui ne veut pas mettre au clair le fait qu’un parti d’extrême-droite reprend ses idées en matière d’économie, ce n’est pas moi. Qui ne dit mot consent ?



Après, dire que ceux qui osent mettre leur nez dans leur caca aux libéraux complaisants envers l’extrême-droite ne sont que des gauchistes, et que ceux qui ne sont pas pour le Libéralisme sont des bolchéviks, tu appelle cela comment, comme procédé ?



Marrant, mais dès qu’on parle des pires récupérations de l’idéologie libérale, ses partisans préfèrent accuser ceux qui pointent le problème plutôt que de répondre franchement aux questions qu’ils posent… Que dois-je en conclure ?



Je note au passage que tu viens d’avouer que tu étais fasciste, vu que l’antifascisme, selon toi, c’est le privilège de Staline…



Je me fous complètement de tes délires idéologiques et de tes points godwin ridicules, cela ne m’intéresse nullement que tu sois convaincu que 2 et 2 fassent 5 et je n’ai pas la prétention ni la volonté de te faire changer d’avis.

Tu peux penser que le FN est turbolibéral, que les libéraux sont fascistes, que tu es un gentil marxiste entourés de méchants capitalofascistes, que tu auras 100 vierges à ta mort ou que l’eau gèle à 100C°, j’en ai rien à cirer et cela ne sert à rien d’en discuter, car on ne convainc pas un doctrinaire par la raison, celle-ci ne servant la plupart du temps à chaque camps de se rassurer sur ses certitudes et à camper sur ses positions.



Sinon, les débats sur internet :http://imgs.xkcd.com/comics/duty_calls.png


Le 30/07/2013 à 13h 07







cerank a écrit :



Source ?



Je t’aide, c’est très facile à vérifier puisque depuis 2011 les syndicats sont obligés de faire certifier leurs comptes (loi du 20 août 2008).



Hop quelques recherches rapides:

CFDT

CGT

CFE-CGC



Oups… mais tu raconte n’importe quoi en fait ?





Rapport Perruchot, notamment…



Mais pourquoi tiens-tu donc à éviter la vérité et cherches à convaincre de tes mensonges ? Quels intérêts mafieux défends-tu ?


Le 30/07/2013 à 12h 56







Commentaire_supprime a écrit :



Marrant, mais c’est un argumentaire couramment employé par le FN, le fait que l’immigration coûte cher en fonds publics…





Non.



Je n’ai jamais entendu un libéral se plaindre du fait que le FN prend à son compte leurs thèses en matière économique. Aveuglement ou complaisance ?





Dans les 2 cas : oui, et alors ? En quoi ça prouve que le FN est libéral ?



Tu cherches à faire passer des vessies pour des lanternes et cherches à faire une association d’idées idiote.

Tu appliques la technique habituelle de diviser et d’étiqueter le monde en 2 camps distinct et uniformes : le tien et celui de tes divers adversaires pour ressortir l’argument de la mauvaise compagnie.



Bref, tu ne fais qu’utiliser le vulgaire strawman manichéen de l’antifascisme inventé par Staline…


Le 30/07/2013 à 11h 05







Drepanocytose a écrit :



Soyons un peu sérieux et pragmatiques, tu veux bien.



Dans tous les pays libéraux qui ont touché aux syndicats, la résultante concrète a été l’affaiblissement desdits syndicats et de facto, moins de protection des employés face aux employeurs….



Dire “je ne suis pas contre les syndicats” c’est bien beau, mais le vrai but c’est “je suis pour les syndicats, à condition qu’ils ne fassent pas trop chier et qu’ils soient faibles”. Bref des syndicats de facade.





Ne confonds pas l’affaiblissement des syndicats et la suppression de leurs privilèges légaux. En France, il n’y a que 10% de leurs revenus qui proviennent des cotisations.


Le 30/07/2013 à 11h 02







Commentaire_supprime a écrit :



<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />





Les libéraux ne sont pas contre l’immigration libre, mais contre le système d’aides sociales.

Le coût pour l’État de l’immigration dénoncé par contribuables.org ne serait pas si on ne donnait pas ainsi de telles aides et générerait bien des richesses et de nouveaux débouchés.

Donc, ton coup manque son but.


Le 30/07/2013 à 10h 52







TaigaIV a écrit :



Et la somalie, il ne faut pas oublier la Somalie.



D’un autre coté la liberté de circulation des patates c’est pas beaucoup mieux comme politique.



Tant que c’est entre gens bien, que chacun reste chez soit et que les riches restent riches ça n’est pas vraiment un problème.





Misère…

Faudrait un point godwin à chaque fois que quelqu’un invoque la Somalie à chaque fois qu’on parle de liberté…



Que chacun arrête de croire avoir un droit sur la vie des autres et ce sera déjà pas mal.


Le 30/07/2013 à 10h 50







Drepanocytose a écrit :



Non effectivement.

Ce sont des nationalistes, donc forcement le libérlisme “mondialisé” c’est pas leur truc.

Par contre ce sont des gros partisans du libéralisme “local” ou “national” en matière économique (dérégulation du droit du travail, affaiblissement des syndicats, etc.) et plutôt d’un contrôle étatique des moeurs (rétablissement de la peine de mort, abolition de l’IVG, salaire de mère au foyer, etc…)





Tu sais, l’assouplissement du droit du travail et l’affaiblissement des syndicats ne signifie pas pour autant libéral. Ce n’est pas parce qu’ils sont pour un tel assouplissement qu’ils le font dans une optique de laissez-faire.



Hitler était pour le beau temps, cela ne signifie pas qu’être pour le beau temps fait de toi un nazi.

Est-ce que l’URSS à l’époque de la NEP était libérale ? Non. Est-ce que la Chine actuelle est libérale ? Non, même si des politiques sont pour l’économie de marché.



Les libéraux ne sont pas contre les syndicats, ils sont contre leur subventions et leurs protections juridiques exceptionnelles.



Le FN suit aussi une logique constructiviste progressiste. Dans un sens contraire de la gauche, certes.


Le 30/07/2013 à 10h 40







ludo0851 a écrit :



Pour revenir à la politique :

Elle est mignonne mais, si tu sors avec, il faut s’accrocher aux repas de famille entre le grand-père à l’allure libidineuse et tata/tonton au taquet sur les idées economico-gauchistes et xeno-extremistes <img data-src=" />





Je suis sur que ça doit pas être pire qu’avec la plupart des belles familles.

Entre la vie médiatico-politique et la vie privée il y a une certaine différence.


Le 30/07/2013 à 10h 36







Commentaire_supprime a écrit :



Ils ont toujours une politique strictement libérale.





Tout comme la Corée du Nord et l’URSS ?<img data-src=" />



Le FN n’a aucune politique, ils ne font que récupérer les mécontents du moment. S’ils en avaient l’opportunité, ils proposeraient d’abolir la gravité ou la mort.



Et franchement, on ne peut pas dire qu’ils soient des suppots du libre-échange et de la libre circulation…


Le 29/07/2013 à 09h 04

Faudrait surtout faire des verres correcteurs orthographiques.

Le 28/07/2013 à 13h 01







Reznor26 a écrit :



Je dois avouer que j’ai eu le même sentiment.



Ça part plutôt bien, et la gravité du sujet fait qu’on prend quelques pincettes émotionnelles, mais finalement ça retombe assez lamentablement (ralentis poussifs, trop américain au mauvais sens du terme…)



Après ça fait le job en termes de prévention, alors c’est le principal. <img data-src=" />





Personnellement, je m’attendais à une chute, un truc marrant.

Et c’est pas arrivé…<img data-src=" />


Le 28/07/2013 à 12h 59







Vieux_Coyote a écrit :



C’est la journée de la vulgarité aujourd’hui ?





Ouaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiisssss !!!!!


Le 28/07/2013 à 11h 10







TofVW a écrit :



Au cas où tu n’as pas compris, on s’est déjà foutu de la gueule de Natsu31 qui a cru que je prenais la vidéo comme étant réelle.



Vous voulez monter un club, tous les 2? On va organiser des diners le mercredi soir. <img data-src=" />





Désolé, mais j’ai tendance à répondre aux commentaires avant de lire ceux qui se trouvent 1 ou 2 pages plus loin.<img data-src=" />



En tous cas, cette vidéo m’a bien fait chier.


Le 28/07/2013 à 09h 26







TofVW a écrit :



Concernant “One Decision”, le mec a intérêt à prendre les devants au niveau de la Police, car cette pétasse est capable de porter plainte pour dégradations sur sa voiture.





Au cas où t’as pas compris, c’est une fiction, un film de prévention, avec des acteurs.


Le 25/07/2013 à 09h 32

Hadopi : think different, think wrong…

Le 24/07/2013 à 09h 47







maestro321 a écrit :



C’est plutôt rassurant de voir évoluer si rapidement les standards, par contre si la compatibilité logicielle et matérielle n’est pas assurée, c’est plus gênant.





Et après, on accusera l’obsolescence programmée <img data-src=" />


Le 22/07/2013 à 12h 19







SebGF a écrit :



Là dessus le monsieur il a pas tort, la Commission Européenne devrait faire un peu plus de protectionnisme.

Après tout, les autres ne s’en privent pas, on doit bien être les seuls à torpiller de l’intérieur notre propre économie…





Comme si taxer les pauvres de ton pays, diminuer le pouvoir d’achat, augmenter les couts de fabrications des entreprises de ton pays allaient améliorer son économie…

L’erreur dans ce débat est de confondre les comptes courants d’une nation avec un bilan d’une entreprise.


Le 22/07/2013 à 12h 16







TotoRhino a écrit :



«Ils ont saisi mes ordinateurs, perquisitionné mon bureau»

Pov’ chou !





Ahlala, ces gens prêts au fascisme…


Le 22/07/2013 à 09h 52







sr17 a écrit :



La perfection n’existera jamais. Et comme tu le dit, la complexité d’une économie est telle qu’on ne pourra jamais corriger tous les micro-phénomènes.



Mais le but n’est pas la.



Aujourd’hui, ce sont carrément les grandes règles de base qui ne sont plus adaptées aux réalités de notre temps ni aux enjeux de l’humanité.





Mais on fonctionne déjà comme ça ! Et c’est pour ça qu’on est en crise.



Tu ne feras que créer des distorsions, tu bougeras les risques. C’est une utopie, l’homme a besoin de règles simples et claires, pas d’un fantasme technocratique soviétisant.


Le 22/07/2013 à 00h 06



Il faut un bon cadre réglementaire général, mais si tu crées une règle pour chaque cas, tu aboutis au bordel total, un système trop complexe, incompréhensible, nécessitant trop de ressources structurelles.

En plus, je te parles même pas de la corruption de ce système…



Et d’un système réglementaire complexe et dynamique, je ne parle même pas de l’insécurité juridique que cela provoque, de l’aboutissement à une justice à 2 vitesse où ceux qui peuvent se permettre de bons avocats et surfer avec la loi s’en sortiront, souvent au détriment de ceux qui ne le peuvent pas.

Ou encore de la tentation de la violation de la séparation des pouvoirs vu que la justice s’alourdit et devient lente…

Pour que les gens respectent la loi, il faut faire des lois respectables.

Le 21/07/2013 à 23h 57







sr17 a écrit :



Un informaticien qui travaille sur des simulations mathématiques te dira que l’instabilité économique n’est pas une fatalité. Il suffit des bonnes règles au bon endroit pour stabiliser parfaitement un modèle naturellement instable.







Alors, là, c’est du bullshit… Comme si on pouvait comparer l’économie à une simulation mathématique… C’est beaucoup trop complexe, trop chaotique, trop d’infos, trop d’inconnues. De plus, il est impossible de savoir correctement quelle est l’efficacité d’une politique.

Même si tu y arrives, tu auras à un moment un cygne noir, et c’est ce qui se passe…



Il faut un bon cadre réglementaire général, mais si tu crées une règle pour chaque cas, tu aboutis au bordel total, un système trop complexe, incompréhensible, nécessitant trop de ressources structurelles.

En plus, je te parles même pas de la corruption de ce système



Le système parfait n’existe pas, il faut juste l’accepter.

Une solution, par exemple le système antifragile


Le 21/07/2013 à 23h 43







sr17 a écrit :



Et pourtant, l’histoire est parsemée de chefs lucides, éclairés et intelligents.





Je n’ai pas dit le contraire. Je ne dis pas qu’ils n’ont pas d’influence.

Cependant, il y a des faits qui dépassent leur pouvoir et leur influence.

Je pense même que les politiciens sont plus compétents qu’on le dit. Juste que les structures les dépassent, sont trop complexes pour un esprit humain.





Et les causes de la crise actuelle trouvent simplement leur source, à la fois dans les tendances naturelle(et mathématique) du capitalismes à l’instabilité, mais aussi et surtout dans les facteurs qui amplifient cette tendance.



C’est tout un ensemble de choses. Que ce soit l’evolution assez forte de l’innovation, le vieillissement de la population qui change des tendances d’épargne/investissements/endettement en consommation de l’épargne/désinvestissement/remboursements, des politiques sociales de l’immobilier, des réglementations bancaires mal foutue, des politiques de stimulation du crédit des banques centrales, le clientélisme, la non-maitrise des dépenses, la volonté de contrer les cycles qui font qu’on tire plus fort sur l’élastique qui finit par péter…

Le capitalisme est certes cyclique, certes mais la crise ne serait pas si grave si on n’avait pas déconné en croyant qu’on pouvait dominer les cycles économiques, donc dominer l’histoire.





Mais voila, les politiques et les peuples partent toujours de l’idée que la voie la plus sage serait toujours forcément de ne rien changer. Le monde change, les règles n’évoluent pas.



Je ne pense pas qu’il faille spécialement changer les règles tout le temps. Les changements aboutissent à une instabilité du cadre économique et de la société, ceux-ci empêchent notamment de se projeter dans l’avenir. La stabilité est aussi une vertu.

Cependant, en France, la législation est trop lourde, trop complexe, chère à appliquer, change tout le temps. Qui connaît par cœur la loi ?



Certaines choses doivent être assainies, simplifiées, mais pas détruites.

La politique, ce n’est pas détruire ce qui existe pour imposer ce qui n’existe pas, surtout que le changement a des conséquences systémiques non maîtrisées.



Il est impossible à l’homme de comprendre correctement la mécanique de la Société, du monde et donc des réformes censées être parfaites peuvent aboutir à la catastrophe. C’est même une des raisons du plantage du socialisme. Ça ne fonctionne pas par une logique if -&gt; then.

On dénonce souvent les externalités négatives de l’action économique, mais on ne parle jamais de ces externalités qui viennent de l’action politique. Non, on a même tendance à considérer que la politique a quasi une essence divine, qu’il suffit de volonté politique,…



Et franchement, on ne peut pas dire que les politiques ne changent pas les règles…



Le vrai problème, c’est que l’enseignement scolaire se fait sur la base de l’enseignement de dogmes. On ne produit pas de gens capables de repenser le système.



Là, tu as tout à fait raison. Mais les politiques veulent un enseignement qui apprend à être de vrais robots républicains…


Le 20/07/2013 à 22h 39







sr17 a écrit :



Je pense sincèrement que les guerres ne sont pas inéluctables.



De la même façon que l’on peut éviter la violence par une attitude adaptée, on peut éviter les guerres en s’attaquant aux causes qui les engendrent avant qu’il ne soit trop tard.



D’ailleurs, ces causes ne sont pas forcément le fruit d’un équilibre naturel mais peuvent parfaitement découler de règles inadaptées.



L’histoire nous dit que la guerre physique est souvent le prolongement de la guerre économique. Et la dernière guerre mondiale en est la parfaite illustration.

De nombreux économistes comprennent aujourd’hui que nous sommes en train de répéter les processus qui ont mené à la guerre.



Pour éviter cela, il suffit de modifier quelque peu les paradigmes de manière à limiter l’avance d’une entreprise ou d’un pays sur les autres.





Personnellement, je n’y crois pas et de moins en moins. Cela suppose que les dirigeants soient éclairés, lucides, comprennent les forces qui sont en jeu et ceux-ci tendent à croire que l’histoire est finie, que les structures politiques soient rationnelles, que la pensée soit vraie…

La crise actuelle n’est qu’un retour de l’histoire après avoir voulu la maîtriser durant les décennies précédentes.


Le 20/07/2013 à 11h 15







jun a écrit :



Faire confiance au marché pour s’auto-réguler ? Je crois qu’on sait tout les deux où ça peut aller ce type d’histoire…





:facepalm:


Le 20/07/2013 à 01h 11







jun a écrit :



Peut être parce que c’est toujours sympa de récompenser les efforts des gens ?





Il y a déjà le marché qui récompense l’action économique et l’innovation dès lors qu’elle a une utilité. Cependant, cela demande de l’organisation pour pouvoir l’exploiter correctement. Et cette incitation peut être nettement plus incitative à exploiter l’invention.

L’économie rétribue suffisamment pour qu’on puisse se passer de privilèges, de titres, de statuts sociaux sortis tout droit de l’ancien régime.


Le 20/07/2013 à 01h 03







sr17 a écrit :



Malheureusement, tout cela est plus théorique que pratique.



Rendre public une invention ? Les brevets sont aujourd’hui rédigés intelligemment pour ne divulguer que les points bloquants, pas l’ensemble des informations nécessaires.





Alors, le brevet n’a plus d’utilité sociale, car c’est bien cet esprit qu’il a été instauré. Et pas pour “stimuler” l’innovation. Cela n’est qu’une dérive intellectuelle de son utilité.





Enfin, il y aurait un moyen beaucoup plus simple de rendre public les innovations, c’est d’obliger les industriels à dévoiler leurs procédés de fabrication sous le sceau du secret avec divulgation automatique au bout d’une certaine durée. Et si on s’aperçoit que quelqu’un à fraudé, c’est simple, les responsables sont condamnés très lourdement.



Ça reste une sacrée intrusion dans les affaires privées, cela.

Cela suppose que l’intérêt technologique prévaut sur le Droit.

Je pense qu’il vaut mieux laisser faire. Surtout que l’amélioration de la communication et l’augmentation de matière grise font que cela se justifie de moins en moins.



Et puis, il ne faut pas oublier que le secteur chimique et pharmaceutique allemand se sont développés alors qu’ils ne jouissaient d’aucun brevet pour devenir parmi les meilleurs au monde.

L’absence de brevet crée d’autres incitations, l’inventeur se repose moins sur ses lauriers et continue à faire ce qu’il fait de mieux (c-a-d inventer) pour garder une longueur d’avance sur la concurrence.


Le 20/07/2013 à 00h 53







sr17 a écrit :



L’ennui, c’est que ce principe de “destruction créatrice” n’est qu’un dogme imparfait qui pouvait encore passer tant qu’on se battait à coup de fantassins, de fusils et même de tanks. Ca faisait des millions de morts, mais l’humanité survivait toujours.



Mais quand on se battra à coup d’armes nucléaires, génétiques ou biologique, croyez vous sincèrement que la destruction sera encore aussi créatrice ?



Réalisons que la technologie a changé le monde. Nous sommes au bout d’un système.



La technologie confère désormais à l’humanité des grands pouvoirs. Et de grands pouvoirs confèrent de grandes responsabilité.



Si elle veut survivre, l’humanité devra cesser de se comporter comme une bande de gamins irresponsables.





Cependant, contrôler l’histoire est une chose impossible. On n’empêchera pas les guerres, les crises ou les révolutions.

Tenter de maîtriser l’histoire risque surtout d’aboutir à un système lourd et inadapté qui sera de plus en plus inadapté avec le temps et difficilement réformable. Sans parler des contrôles immoraux qu’il faudrait instaurer.

Au final, une telle société se prendra l’histoire dans les dents, comme par exemple l’Empire Romain ou l’URSS…



Et si l’humanité crève, alors elle aura fait son temps. La vouloir éternelle est un fantasme.



Maintenant, parler comme le fait linkin623 de création destructrice schumpeterienne concernant les faits historiques, c’est un peu osé.

La création destructrice n’est qu’un processus de réallocation spontanée des ressources suite à leur libération lors de l’obsolescence et de l’éviction des processus productifs qui les utilisaient et pas une théorie du tabula rasa. Cette évocation à plus à voir avec le matérialisme dialectique qu’autre chose et la création destructrice n’est pas du diamat.


Le 20/07/2013 à 00h 40

Quelque chose me dit que rien de bon va sortir de cela, qu’on va s’occuper des symptômes et non de la sources des problèmes et que cette solution causera d’autres problèmes pour réduire un peu plus les libertés.

En gros, on instaure la propriété intellectuelle pour donner des monopoles légaux aux copains, comme les résultats ont des effets non désirés, on va instaurer des contrôles des affaires privées, des violations arbitraire de ces titres de propriété… Et je suis certain que cela nuira surtout aux petites entreprises…

Le 19/07/2013 à 23h 41







spidy a écrit :





  • Bonté divine, il a tué Kenny



    • Galopin





      TTIIMMMYYY <img data-src=" />





      Arrête la ritaline, c’est mauvais.



Le 19/07/2013 à 15h 39







maestro321 a écrit :



Tout est question de point de vue, il y a toujours une alternative.





Donc, 2 et 2 font 5 ?





Heu ça ne coute rien de faire du stop jusqu’à la frontière….



Si tu considères que les gens sont sans attache, sans amis, sans vie sociale, sans vie culturelle, sans famille, sans amour pour leur terre, leur maison, sans patrimoine, alors, c’est sur que ça ne coute rien.

Autrement, tu dois renoncer à tout cela.





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<img data-src=" /> <img data-src=" />





Les inégalités sont crées par le système économique qui ne répartit pas correctement les richesses.



Aucun système économique ne répartit les richesses.

Les hommes créent leurs richesses.

Tu parles comme si les richesses existaient et qu’il suffisait de les cueillir…





Les inégalité politiques, s’il ne restait que ça…



En tous cas, elles aggravent la situation.

Les inégalités naturelles ne sont pas un problème en soi. Celles imposées par la loi le sont.





Au contraire l’économie est un outil commun, il ne s’agit en aucun cas de pouvoir en faire usage pour ses propres intérêts. <img data-src=" />

Malheureusement on en est loin…



Alors, faisons en sorte que l’État ne casse pas cet “outil”…

Que des gens en fassent usage pour leur propre intérêt, c’est leur problème. D’ailleurs, qui ne travaille pas dans son propre intérêt ? C’est comme ça que ça fonctionne et pas au nom d’une cause supérieure abstraite qui change d’une personne à l’autre.

La politique, c’est gérer ce qui existe, pas imposer ce qui n’existe pas.


Le 19/07/2013 à 14h 41







maestro321 a écrit :



T.I.N.A c’est ça?





Quand tu lances une pomme en l’air, elle retombe, que tu le veuilles ou non.





Les dictatures ne se mettent pas en place spontanément… (bon, en même temps c’est difficile de généraliser)



En effet, c’est difficile. Cela peut être le fait d’évolution de la pensée, de la mise en place de réseaux.

La dictature est puissante notamment parce qu’elle a des structures.



Et je persiste pour dire que les entreprises qui délocalisent dans ces pays pour profiter de la mains d’œuvre ou des ressources à moindre coup sont indirectement complice de la dictature (mais ce ne sont pas les seuls acteurs impliqués).



Il est difficile de savoir si ça la remplace. D’autres expériences ont démontré que la prospérité a abouti au démantèlement de la dictature, comme par exemple en Corée du Sud.





Rien n’oblige personne à rester en France.



Certes, mais le coût pour quitter un pays est assez élevé.

Des structures plus petites permettent de quitter plus facilement un système qui ne convient pas.





Pour vivre en société il faut en accepter certaines règles.



Je suis d’accord. N’oublies pas que le libéralisme est un ensemble de règles de vie en société.

Cependant, certaines règles sont meilleures que d’autres et l’État qui met en place ces règles n’est pas spécialement efficient.





<img data-src=" /> puisque les richesses crées ne sont pas équitablement redistribuées entre tout acteurs.



Parce que les richesses, il faut les produire. Et tout le monde n’a pas l’idée, la volonté, la capacité, le sens de l’organisation pour produire efficacement.

Le principe de l’économie de marché n’est pas de rétribuer le travail ou le mérite, mais de rétribuer ceux qui sont capables de découvrir où est la demande, de la satisfaire et d’organiser la production.

Maintenant, je ne considères pas que le niveau de vie est une mission que l’État doit prendre en charge. C’est une question de développement personnel.





<img data-src=" />

Tu ne fondes pas une “réalité de la vie” sur quelques siècles d’histoire de l’humanité quand même ? ^^



C’est tout de même un meilleur repère que de la fonder sur ce qui n’existe pas.





Qui te parle de monde idéal?

Je demande juste de l’équité, mais c’est extrêmement difficile à obtenir tellement certains ont du mal à sortir des logiques dépassées de nos sociétés occidentales.



Faudrait déjà commencer à ne pas créer d’inégalité par la politique. Et ça, il y en a déjà pas mal.

Avant d’appuyer sur l’accélérateur, il vaut mieux lâcher le frein. Et tu verras qu’en relâchant ce frein, tu n’auras probablement pas besoin d’accélérer.

Mais ça, la politique adore appuyer sur le frein et l’accélérateur en même temps.


Le 19/07/2013 à 14h 24







ptit6sky a écrit :



Je comprends très bien tes arguments (auxquels je n’adhèrent pas forcement, mais qui sont logiques et bien exposés), mais je trouve ça dommage de tomber dans le fatalisme et se dire, de toute façon c’est la vie, donc je vais essayer de tirer la couverture vers moi et tant pis pour les autres.



Je suis peut-être utopiste, mais je pense qu’il est possible pour tout le monde de vivre ensemble, sans qu’une relation de domination envers l’autre s’installe. Pour moi les plus forts doivent tirer vers le haut les plus faibles, et non tenter de les enfermer dans leurs faiblesses pour les exploiter plus facilement. En tout cas c’est ce que j’essaie de faire à mon niveau dans mon travail. Mais je sais qu’avec ce comportement, je n’irai jamais très haut dans les sociétés actuelles qui demandent à ce que tu te mettes en avant par rapport aux autres et donc les “écraser” dès que tu peux.





Si ça se passait comme ça, ce serait bien, mais cela implique la question des moyens, de la morale, de droit, du possible.

Une action politique reste une action économique, car elle consomme en ressource, en travail, nécessite une rémunération qui doit être valorisée par la productivité “globale”. Et consommer une action économique fera qu’elle ne pourra pas être consommée ailleurs à moins que celle-ci ait un rendement.

En tant que libéral, je considère que les solutions apportées par la politique ne peuvent pas correctement appréhender la réalité des choses et aboutissent souvent à l’éviction de choses profondes pour les remplacer par des choses plus superflues et plus visibles.

L’arbre tombe dans le fracas, la foret pousse en silence. La politique tend à surestimer l’importance de cet arbre et monopolise toutes les ressources pour empêcher sa chute inéluctable et cela au détriment de la forêt qui alors pourrit en silence…


Le 19/07/2013 à 13h 33







maestro321 a écrit :



C’est bien le problème le monde n’a jamais été aussi riche et pourtant certain vivent avec 1 siècle de retard.

En ayant des inégalités monstrueuses dans le pays (à l’image du monde)





C’est comme ça.





Heureusement que les gentilles entreprises elles, elles arrivent à s’implanter dans ces pays pour donner du travail à tout ces pauvres malheureux…

Si tu n’arrives pas à voir les intérêts de ces sociétés et de ces dictateurs…. (et je ne parle pas de complot mais simplement d’esclavage)



Ah, mais ça, c’est le problème de la dictature.

De plus, fais bien attention de ne pas confondre l’État et la Société Civile. Engager les habitants d’une dictature ne signifia pas pour autant être complice de la dictature.

Les citoyens d’un pays ne sont pas des agents militarisés de l’État.



Faut éviter de tomber dans les stéréotypes faits la plupart du temps par des groupes idéologiques qui se foutent des faits, mais cherchent la moindre chose leur permettant d’accabler leur ennemi de cause.





Théoriquement Les 60% qui me sont ponctionnés retournent indirectement à 100% dans ma poche sous forme de services publiques, etc… ça n’a donc rien à voir avec l’esclavage. <img data-src=" />



Impossible. Notamment pour le fait qu’une dépense ne vaut pas l’autre.

Mais ça, il est impossible de mesurer si la dépense dans un service public vaut plus que la même dépense faite par l’individu lui-même dans le service de son choix.

L’avantage d’un service public vient de la mutualisation des moyens (à considérer que la spoliation nécessaire à cela soit morale, que priver le choix de l’individu pour lui imposer un choix politique soit moral) et les économies d’échelle mais il y a d’autres désavantages telles que la centralisation qui alourdit les structures et empêche la diversification, le corporatisme, la déresponsabilisation individuelle, remplacée par une pseudoresponsabilité systémique, l’absence de calcul économique, la difficulté à réformer…







L’esclavage c’est profité de la situation et du travail d’un homme à sont propre profit.



Alors, tout travail, excepté l’autopoduction, est de l’esclavage…





L’esclavage moderne c’est payer quelqu’un juste assé pour qu’il revienne travailler le lendemain matin….



Si tu gagnes plus et dépenses plus, mais au final, tu auras toujours juste assez.



Ce juste assez dépend fortement de tes dépenses, de ton organisation pour dépenser plus ou moins. Beaucoup s’en contentent, d’autres s’organisent pour épargner et se mettent à entreprendre. Et là, c’est un autre esclavage, puisque tes clients vont dans la plupart des cas te payer juste assez pour que tu reviennes travailler demain… On appelle cela la réalité de la vie.

Dans un monde idéal, on n’aurait pas besoin de travailler, tout tomberait du ciel, on se nourrirait par photosynthèse, on aurait des ailes de papillon, la méchanceté n’existerait pas…


Le 19/07/2013 à 13h 09







lsPCI a écrit :



Merci. Ok donc la réponse à ma question est oui. Le nom et le fondateur de cet organisme veulent tout dire. Poubelle.

Pourquoi pas un classement pour la liberté de la presse par le comité hitléro-stalinien aussi ?





La différence, c’est que personne n’impose par la force le classement. T’as le droit de faire ton propre classement si tu veux.

Cependant, le classement d’Heritage est bien réputé.



En France il est (heureusement) illégal de séquestrer un patron. En Suisse c’est ne pas séquestrer un adversaire des banques qui semble l’être. Légère différence…



J’imagine que tu parle de PCG ?

Ce type a pourtant un sacré passif pour détournement de biens et de mythomanie.

http://leblogalupus.com/2013/07/18/secret-story-condamin-gerbier-le-mytho-affabu…


Le 19/07/2013 à 13h 03







Commentaire_supprime a écrit :



Je base ma définition de l’extrémisme libéral sur ce qu’en disent ses partisans, les extrémistes libéraux. Merci de ne pas sauter des mots dans les phrases que j’écris, c’est agaçant à la fin.





Tu sais, la plupart des anarcap savent très bien que ce modèle est utopique. Ils le développent pourtant et l’ont en tant qu’idéal de société.


Le 19/07/2013 à 13h 00







Commentaire_supprime a écrit :



Il y en a un d’extrémiste du libéralisme qui vient poster de temps à autre ici (eh non, il n’est pas encore passé par ici…)



Désolé, mais dans tout courant idéologique quel qu’il soit, à commencer par l’anarchie politique pour parler de ma boutique, tu as toujours des tarés qui veulent aller jusqu’au bout.







Je te réponds que je ne m’occupe que du cas des extrémistes présentement. En constatant que leur extrémisme est inapplicable.







Au fait, c’est quoi un extrémiste ? Un utopiste ? Quelqu’un qui a des conviction différentes ?

Si un utopiste est extrémiste, tout le monde est extrémiste.



En effet, il y a des gens qui veulent aller jusqu’au bout. Le problème est que l’esprit humain est limité et n’est pas capable de comprendre suffisamment la réalité des choses, que le monde n’est pas si cohérent que cela, que ce qui convient pour a ne convient pas forcément pour b.



Personnellement, ce que je prône, ce sont les structures décentralisées et légères, faciles de s’en soustraire, dont la faillite de l’un ne provoque pas l’effondrement du tout, permettant la variété plus facilement sans trop de conséquences.


Le 19/07/2013 à 12h 54







maestro321 a écrit :



Oula oula….

Au 22ème siècle, la place d’un enfant est sur une chaise d’école.





1/ on est au XXIe siècle

2/ tout le monde sur terre ne vit pas au XXI siècle version occidentale. Jusqu’à la première moitié du XXe siècle, c’était aussi comme ça en occident.

3/ heureusement pour eux, ils passent du XIXe au XXI en quelques décennies grace au rattrapage économique, à condition que leurs structures bureaucratiques le permettent.



La situation dans laquelle se retrouve ces enfants (et leurs parents) qui sont obligé de travailler pour survivre est intiment lié aux abus économiques mondiaux, et en aucun cas les employeurs sont les sauveurs de ces enfants (mais je vois qu’ils ont réussit à te faire avaler leur baratin).



Mais oui, la pauvreté est un complot judéo-capitaliste…<img data-src=" />





Ca fait des années que l’on répète que la faim dans le monde, l’accès à l’eau potable, l’éduction et la santé ne coûterais que quelques dizaines milliards à l’échelle mondial (quand la guerre en coûte des milliers de millard…. par an). Et l’argent ce n’est pas ce qui manque. pourtant rien ne change? Pourquoi?



Parce que ce sont des foutaises idéologiques.

Les aides mondiales sont déjà supérieures à des 10aines de milliards et ça ne change rien. Les aides n’apportent rien, elles vont dans la poche des dictateurs, des administrations corrompues, sont dépensées à des choses inutiles.

Ce n’est pas des aides qu’il faut, ce sont des structures politico-judiciaires bien foutues.





C’est de l’esclavage moderne rien de plus.



Non. L’esclavage est déterminé par le fait que le travail est forcé par l’utilisation de la coercition et que le produit de ton travail t’est privé par cette coercition.

Quand 60% de tes revenus sont ponctionnés par l’État, tu es l’esclave de l’État à 60%. 60% du temps passé à travailler, de tes efforts qui te sont enlevés sous la menace d’aller en prison. Et après, on dit encore que le salaud, l’esclavagiste, c’est le patron…


Le 19/07/2013 à 12h 42







lsPCI a écrit :



Le classement “officiel”, c’est celui de Goldman Sachs ?





Heritage foundation



Sinon, donner le droit aux banques de séquestrer un citoyen étranger parce qu’il nuit à leurs intérêts, c’est libéral ou pas ?



Et le droit aux syndicats de séquestrer des patrons, c’est de la concertation sociale ?


Le 19/07/2013 à 12h 39







Commentaire_supprime a écrit :



Bizarrement, ces pays n’ont pas aboli l’Etat et tout confié au secteur privé, ce qui est le but ultime des libéraux purs et durs. Ils ont même, quelle horreur, des SERVICES PUBLICS ! Le concept de marxistes irrécupérables que les vrais libéraux ultra-mercatistes talibans du secteur privé veulent faire disparaître parce que le Marché est la solution à tout.





Non, ils ne les ont pas aboli. Cependant, ils sont en concurrence libre avec le privé et de façon loyale, cela permettant d’avoir de éclairer la gestion du service.

Mais beaucoup de choses ont été privatisées, beaucoup de services ont été supprimés.



Il n’y a pas de société libérale ou non libérale, il y a des politiques libérales et des politiques non libérales.





Donc, à part en Somalie, le paradis sur terre du libéralisme ultime parce que l’Etat n’y existe plus et que la population, libéré du poids de cette atrocité de gauchiasses keynésiennes qu’est le bien public et les outils d’oppression qui en deécoulent que sont l’Etat et tous ses services qui pompent inutilement des impôts au citoyen de base asservi à l’hydre collectiviste, le paradis ultra-libéral n’existe pas…



En quoi la Somalie est libérale ? Ne parle pas de ce que tu connais pas.

Le problème de la Somalie n’est pas l’absence de l’État - je rappelle que la Somalie est traditionnellement une société à l’organisation clanique, coutumière et sans État ; le fait qu’il n’y ait plus d’État ne vient du fait que l’expérience politique post-coloniale a très mal tourné, aboutissant à la dictature d’un clan sur les autres - mais l’interventionnisme international pour créer un État envers et contre tout.

De toutes façons, pour qu’il y ait libéralisme il faut qu’il existe des institutions - étatiques ou non - permettant de garantir les libertés fondamentales.



Si tu veux parler d’un territoire sans État, je te conseille de prendre en exemple la Zomia.


Le 19/07/2013 à 12h 22







maestro321 a écrit :



Là pour le coup, ça frôle le point. ^^





Et je m’en fous complètement.


Le 19/07/2013 à 12h 21







maestro321 a écrit :



Ton enfant tu lui fait faire un travaille répétitif 12h par jour 365 jours par ans pour casser des cailloux à la main dans des conditions de travail et d’hygiène douteuses, pour le nourrir avec un bol de riz à 23h avant qu’il aille se coucher par terre.



Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autre.





Honte à toi!





Pourquoi as-tu besoin de falsifier tes exemples pour les rendre plus terribles ? Si en soi ils sont si terribles que ça, la vérité devrait suffire en prenant des cas véridiques comme chez Foxconn.



Et franchement, si je n’avais que ça et que c’est tout ce qui est possible pour lui permettre de pas crever de faim ? Probablement. D’autres n’auront pas de scrupules et probablement que les gardiens de la morale sociale le feraient avec plus de zèle. Dans les pays du tiers monde où on a interdit le travail des enfants, on a eu une forte hausse de la prostitution enfantine. Tu préfères ça ? Quand comprendras-tu que la politique ne fait pas de miracles ?



Quant à la honte, parler de la réalité humaine n’a rien de honteux.


Le 19/07/2013 à 11h 58







Drepanocytose a écrit :



Non, je veux dire que si une entreprise paye des impôts et l’autre non, forcement la 2nde est avantagée par rapport à la 1ère.





C’est peut-être le signe qu’il faudrait simplifier et baisser les zimpôts.


Le 19/07/2013 à 11h 57







finiderire a écrit :



Oui j’espère que toute cette vermine qui s’engraisse sur les intérêts d’emprunts disparaisse.





Un peu comme ça ?


Le 19/07/2013 à 11h 53







maestro321 a écrit :



Soit c’est un gros troll soit honte à toi.





En quoi ?

Le travail domestique ne serait donc pas du travail ?

Il y a du travail d’enfant qui est toléré d’autres pas. Pourquoi ? N’oublie pas que notre culture a évolué et s’est embourgeoisée, autrefois, on n’y voyait pas de mal non plus à faire participer les enfants au travail.







maestro321 a écrit :



Héhé, c’est paradoxal hein! les petites entreprises coulent sous les taxes et les impôt pendant que les grandes profitent des avantages qu’elles ont acquis par lobbying et exploitation des faille juridiques.

Quand aux choix économique des politiques, c’est de la poudre aux yeux on sais très bien que les règles sont dictées par des institutions internationales qui ne sont pas démocratiques (donc pas politique).





En même temps, les grandes - du moins en France -, ce sont les copains des politiques, des énarques, d’anciens cabinettards de partis, d’anciens de la fonction publique qui mettent en place des passe droits pour les sévices qu’ils infligent à la population.



Quand aux dépenses inutiles de l’état on est tous d’accord qu’il y a moyen de les réduire, mais ce serait bon de fixer des priorités et ce n’est malheureusement pas le petit budget de la HADOPI dont il est question…



Les politiciens le savent très probablement, mais soit ils n’ont pas les couilles face au lobby de la fonction publique et des syndicats, qui sont les premiers lobbies de France, soit ils ne le veulent pas moralement, car ils préfèrent que des fonctionnaires soient payés à faire des choses inutiles que d’être payés moins, mais à foutre tout en devenant disponible sur le marché du travail.



En effet, il y a des priorités. D’abord supprimer les administrations redondantes qui coutent un max. Il y a 200’000 profs qui ont disparu dans la nature et sont pourtant payés… Il y a tout un tas de missions publiques qui ne servent à rien ou dont l’activité est fort relative. Les commissions théodules, etc…

Débureaucratiser les procédures et l’organisation…


Le 19/07/2013 à 11h 23







Yss a écrit :





  1. Elles se sont surtout adapté pour engraisser de plus en plus les actionnaires et le système financier.





    Mais c’est très bien.



  2. Elles profitent de faille dans le système, qui ne sont pas comblées sûrement à grand renfort de lobbying, pot-de-vin ou tout simplement car ceux qui sont censé boucher ces failles en profitent aussi.



    C’est ce qu’on appelle capturer le régulateur.

    Quand on veut une société où l’activité est hyper-controlée, hyper-régulée, cela aboutit à une telle corruption, notamment pour mettre des batons chez les concurrents, pour gagner des avantages.





  3. Clair que les dépenses du genre éducations, infrastructures, sont des dépensent bête et surtout ne sont pas du tout utiles à ces entreprises.



    Dépenses qui existaient déjà il y a longtemps avec un budget nettement moindre.

    Ne prends pas comme prétexte ce qui est utile pour justifier le gaspillage.





  4. Ces grandes entreprises sont aussi les premières à délocaliser, exploiter le travail des enfants ce qui détruit nos emplois.



    Commence déjà par ne pas acheter les produits de ces entreprises.



    Cependant, je te fais remarquer que les pays où des enfants travaillent sont des pays où les gens partent de rien, la productivité de la main d’oeuvre étant telle un niveau de vie d’un ménage nécessitant plus de main d’oeuvre (surtout qu’auparavant, lorsqu’ils travaillaient dans leurs champs, les enfants n’y travaillaient certainement pas, mmh…). On ne fait pas Rome en 1 jour.



    Et puis, je te fais remarquer que même en France, on fait travailler les enfants, notamment pour les travaux domestiques, le ménage…


Le 19/07/2013 à 10h 53







maestro321 a écrit :



L’économie n’en a rien a foutre de la situation humaine, seul les indices de croissance comptent. <img data-src=" /> Il serait temps de s’en rendre compte….



C’est pour ça que je parle de vraies réformes à appliquer au système économique





L’impôt n’est pas une question d’économie mais de politique. Donc, la politique n’a rien à foutre de la situation humaine, etc.



S’il y a une telle vision économique, c’est la vision étatique et collectiviste de l’économie, qui cherche à faire d’une représentation abstraite une substance, ne voyant dans l’économie une vache à lait lui permettant d’augmenter ses moyens, notamment pour réaliser ses utopies, faire du clientélisme…

L’économie en soi, ça n’existe pas. Les indices de croissance, c’est juste pour faire kikitoudur face aux autres États.

La croissance, c’est la croissance du PIB qui est un indice arbitraire sensé mesurer la productivité, mais ne mesure de facto que les échanges numéraires déclarés + la balance commerciale, en excluant les produits intermédiaires, en ne tenant pas compte du black (c’est raciste en plus <img data-src=" />), du troc, de l’autoproduction, des travaux domestiques, etc… En plus, c’est corrigé par l’indice d’inflation qui est aussi arbitraire et discrétionnaire que le PIB…

En gros, la croissance, ce sera principalement la croissance de la masse monétaire et la vitesse des échanges corrigés par l’inflation.



La réalité, ce sera des personnes qui cherchent à s’en sortir, à s’adapter, à s’épanouir, notamment par la production et l’échange de biens et de services. Et j’ai bien dit notamment, hein !


Le 19/07/2013 à 10h 34







fred2vienne a écrit :



et voila tu joues encore sur les mots!!



parce que une boite française de jeux video qui transfert sa thune aux iles sous souvert de payer des royalties sur les brevets c’est pas de l’avoir français qui se barre à l’étranger???





Non.


Le 19/07/2013 à 10h 30







maestro321 a écrit :



Bonne idée réduisons la distance, et c’est l’économie du pays entier que tu détruis cf la Grèce, Espagne etc..





L’économie de ces pays, elle a été détruite durant la dernière décennie. Ce qui se passe actuellement, c’est la révélation de cette destruction.