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ragoutoutou

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3767 commentaires

Le 21/11/2018 à 13h 38

Pendant un instant je me suis demandé si tu n’avais pas oublié le réchauffement climatique ou si tu considérais que ça faisait partie des mouvements verts.



A force de tout mettre dans le même panier sans nuances, le message ressemble plus à ‘je prend tout le monde pour des cons’ plutôt que ‘il y a besoin d’éduquer et d’informer’

Le 21/11/2018 à 12h 10







Radithor a écrit :



 



   L'ordre public peut également consister à nuire à la sincérité d'un scrutin : le vote constitue la base de la légitimité du pouvoir dans notre régime républicain. S'il existe un doute notable (et donc légitime), tous les candidats peuvent s'attribuer, d'une façon ou d'une autre, une plus grande légitimité et nuire à la sécurité de l'Etat ou provoquer des nuisances sociales : l'ordre public est donc bien menacé en cas d'insincérité d'un scrutin.







D’où le  besoin de voter de manière vérifiable par le citoyen. Les machines de vote opacifiées par les secrets commerciaux n’ont rien à faire dans un contexte démocratique.


Le 21/11/2018 à 10h 04







Jerome7573 a écrit :



Oui, en effet, La Linux Fondation s’occupe de Linux, un logiciel open source / libre qui est utilisé, alors que les libristes de la FSF sont sur leur OS “Hurd”, qui est théoriquement supérieur mais que personne n’utilise. On peut prendre aussi comme exemple Debian “open source” contre gNewSense “libriste” (bon, basé sur le taf de Debian, mais chut ;-) ) que pas foule utilise.

Bref, je préfère le truc conspué “openwashing” mais qui est utilisable au truc de “libriste à fond” qui n’existe pas, car les “libristes à fond” savent surtout troller, pas fournir des trucs qui marchent.



Bref, il faudrait peut-être un jour arrêter de vouloir opposer des dynamiques différentes sur les raisons qui poussent à s’y mettre mais dont le résultat est identique : ce qui est open source est libre, et vice-versa, point, le reste n’est que de l’habillage qui n’a rien à voir avec le livrable.





Là tu trolles. Et comme linux, Hurd est un noyau, pas un OS.  Et encore une fois, tu confond ce que les communautés ont pour effet et ce qu’elles ont comme motivation.



L’OpenSource au sens OSI existe principalement parceque ses fondateurs sont contre le discours sur les libertés mais pour l’approche pragmatique de développement instaurée par le libre.



Et c’est pour cela que libre et opensource sont parfaitement compatibles tant qu’on ne parle pas idéologie.



La Linux Foundation est un organisme servant les intérêts de ces grandes entreprises face à l’écosystème Libre/Open, sa thématique n’est absolument pas les libertés. Ce n’est ni libre ni open-source, mais juste un consortium d’industriels depuis que la LF a retiré le droit de vote à tous ses membres privés, actant la mainmise des industriels.

 

L’openwashing, de son côté, c’est la tendance de certaines entreprises à prendre l’Opensource et à lui faire occuper la place idéologique du libre en lui attribuant des attributs militants que ce mouvement n’a pas (et que ce mouvement ne revendique pas), dans le but de se donner une façade plus éthique et humaniste sans pour autant aborder réellement les questions soulevées par le libre.



Une traduction correcte est donc importante pour éviter des confusions du type ‘Uber supporte le libre’, car ce n’est pas le cas.


Le 20/11/2018 à 09h 34







eldy a écrit :



 Les 2 termes sont bien équivalent, par contre il est vrai que les 2 termes ont été donné par 2 mouvements de pensées ayant des visions et objectifs differents, toutefois, ils ont bien donnés 2 définitions équivalentes : logiciel sous license libre et logiciel sous license open source sont bien equivalent en terme de liberté de consulter, de modifier et redistribuer.



 

Libre et open source sont équivalents dans les effets  de la plupart des licences qu’ils reconnaissent, mais si on parle de mouvements, ils ne le sont pas du tout.  Ici, on parle de la Linux Foundation qui est par excellence une institution d’Openwashing à l’attention des grandes multinationales, donc rien à voir avec le libre. Il ne faudrait pas s’imaginer qu’Uber rejoigne une association à forte composante éthique qui prône l’indépendance et la liberté des citoyens.



L’Open Source de l’OSI existe pour garder la dynamique de

développement crowdsourcé insufflée par le libre, tout en rejetant le principe des libertés du logiciel comme droit de l’homme et son corollaire qui est  le préjudice causé par les logiciels privateurs.



Le débat idéologique n’est pas un piège, c’est a minima une clef de lecture de la situation  permettant de se positionner et comprendre le positionnement des autres face à ces deux échelles de valeurs distinctes.


Le 19/11/2018 à 18h 25

Vu le pédigré de NextInpact, je ne vois pas de raisons de les soupçonner de faire de la manip autour de ces termes. L’erreur est humaine.

Le 19/11/2018 à 18h 24







Jerome7573 a écrit :



Techniquement (si on regarde les droits fournis par les licences), “open source” et “libre” sont synonymes.

Après, certains veulent mettre de la politique et leurs idées dedans et du coup veulent faire une différence qui n’existe pas, mais ça n’a pas grand chose à voir avec une erreur de traduction, juste de la tentative de manipulation classique de gens qui voient leurs idées ne pas prendre du tout dans l’open source / libre.





Euh, la différence entre open source et libre existe et elle es exactement d’ordre politique. Le logiciel libre est un mouvement politique datant des années 80 autour des libertés par rapport au logiciel, là où l’OpenSource est un contre-mouvement instigué fin des années 90 dont l’objectif est de garder ce qui intéresse les grands acteurs de l’informatique (ouverture, méthodologie de développement) tout en virant l’aspect politique de la question des libertés.



Le mouvement Logiciel Libre, c’est “je veux plus de libertés”

L’OpenSource, c’est “je veux de meilleurs programmes”



Prétendre que libre et opensource c’est choux vert et vert choux, c’est juste au mieux ignorer les origines des deux mouvements, au pire faire du révisionnisme technologique (parceque parler de logiciels “privateurs”, et de risque d’abus de pouvoir des propriétaires de ces logiciels, c’est mal vu par les géants de l’IT)



On ne peut pas se dire libriste et ne pas considérer l’aspect politique du mouvement Logiciel Libre.


Le 19/11/2018 à 12h 12

Marrant qu’il parle de libre, là où la Linux Foundation s’occupe exclusivement d’Open Source. La Linux foundation est un consortium de grosses entrerprises ayant généralement banni le terme libre de leur communication et désireuses d’instrumentaliser l’écosystème pour leurs besoins.

Le 20/11/2018 à 17h 37







crocodudule a écrit :



Guerre du lobbying entre nayantsdroits classiques et nayantdroits des grands groupes de presse d’un coté, et les GAFAs de l’autre. 

 





Ça, c’est la description exacte du débat qu’une certaine presse a utilisé pour disséminer la désinformation depuis que le débat a pris de l’ampleur.



C’est plus facile de dépeindre le problème de cette manière avec le GAFA épouvantail et de dépeindre tous les activistes dans le dossier comme des drones de Google…



… alors que Google vient de tourner sa veste pour pousser dans le sens du filtrage des contenus obligatoire.


Le 20/11/2018 à 15h 13

La règle devrait être:





  • l’auteur choisi et exerce ses droits patrimoniaux ou de déléguer cet exercice à des sociétés de gestion collective comme bon lui chante.

     

  • la société de gestion collective ne peut collecter de droits que sur les œuvres pour lesquelles elle peut prouver qu’on lui en a délégué la gestion.



    On est au 21è siècle, ça ne devrait plus poser problème comme dans les années 60.

Le 20/11/2018 à 14h 33







Dr. Klein a écrit :



Et c’est pas nouveau le coup de la SACEM qui fait payer pour du libre de droit…ça serait moins acceptable dans le cas de Google que pour la musique? <img data-src=" />





C’est inacceptable dans les deux cas. Après, on accepte quoi? Une sacem du logiciel libre qui taxe les pull et les forks sur github?



On en arrive à la taxe pure et dure sur la liberté d’expression.


Le 20/11/2018 à 14h 17

Si ce que tu dis est vrai, alors il n’y a aucun préjudice pour les journaux européens à ce que Google ferme le service.



Reste que si on fait payer Google, on fait payer tout le monde et on va se retrouver avec le même bordel pour les liens internet qu’avec la musique.



De plus, la directive a déjà changé pour que la taxe sur les liens s’applique pour tous les liens, y compris les articles sous licence cc … ce qui veut dire qu’il faudra payer “la sacem des liens” pour des liens vers des contenus dont les auteurs ne souhaitent pas être rémunérés.



On ne combat pas une maffia avec une autre maffia, sauf si on aime vivre avec deux maffias.

Le 20/11/2018 à 13h 53

D’un autre côté, si tout va dans le sens de la directive , Google et Facebook seront seuls en scène. Google pousse maintenant dans le sens des filtres obligatoires, ce qui va éliminer toute concurrence.



Google a bien compris que les européens étaient assez stupides et vénaux pour foutre l’internet européen en l’air, et compte bien se tailler la plus grosse part du cadavre.

Le 20/11/2018 à 13h 49

Pour l’action de faire des hyperliens, de référencer les contenus, je ne vois pas vraiment en quoi ils sont redevables de quoique ce soit.



Par contre, pour leurs bénéfices et l’exploitation des données personnelles, ils devraient cracher aux bassinet, mais pour ça, il faut des politiciens qui s’intéressent vraiment au bien public.

Le 20/11/2018 à 12h 15

Chaque service de Google qui ferme est une chance pour l’émergence de services alternatifs… Je serais ravis que Google Actu ferme et que Google désindexe toute la presse européenne car ça forcerait les différents acteurs à réfléchir sur leurs dépendances.



Maintenant, je ne me fais pas d’illusion, à la fin de la comédie, on risque bien de se retrouver avec les Gafa et l’industrie culturelle unis dans une symbiose néfaste pour le reste du monde.



S’ils négocient bien leur coup, Google et Facebook pourraient directement s’improviser sociétés de gestion de droits collectifs en étendant le modèle Youtube, et garder un contrôle ferme sur les flux financiers à l’attention de la presse, ce qui assurerait une prise de contrôle effective du secteur.

Le 20/11/2018 à 10h 44







Trit’ a écrit :



et ces articles 11 et 13 ont déjà été validés définitivement en septembre),





Au fait… non, ils ne sont pas définitifs, pour le moment, parlement, commission et conseil sont en procédure de conciliation sur la forme finale du texte, il y a déjà eu quelques réunions et Axel Vos, le rapporteur à qui on doit l’extrémisme des articles 11 et 13 a invité Google dans les débats en conviant ses confrères parlementaires à l’écouter.

Si les choses continuent sur cette trajectoire, le texte final sera sans-doutes un compromis entre les intérêts de l’industrie culturelle et de Google, et toujours aussi dangereux pour les alternatives, les communs et la liberté d’expression.


Le 20/11/2018 à 10h 32

S’ils le coupent maintenant, ce sera vu comme un abus de pouvoir pour faire pression sur un processus “démocratique” … s’ils le coupent après le vote, ils pourront dire qu’ils ne pouvaient faire autrement après avoir donné la priorité à la discussion.



Au final, ils resteront les grands gagnants, pour peu qu’il y en ait car toutes les plateformes concurrentes s’éteindront à cause de l’article 13 et du futur règlement européen de lutte contre le terrorisme.



La lutte contre les GAFA est sur le point d’avoir ses vainqueurs désignés par l’U.E.,&nbsp; et ce ne sera ni le citoyen , ni les alternatives genre CHATONS ou autres.

Le 20/11/2018 à 09h 56

Qu’on garde l’article 11 mais en reconnaissant la nature des licences libres/ouvertes genre Creative Commons, GPL, …



Qu’on vire l’article 13



Et on aura pas trop cassé Internet et l’exercice de la liberté d’expression. Qu’on garde les deux articles et on aura transformé le piratage d’œuvres en véritable acte politique de défiance face à une réelle oppression de l’industrie culturelle et une certaine presse.

Le 19/11/2018 à 19h 36

A mon avis, l’idée c’est une autonomie partielle: les fonctions de base (cpu, stockage local, ram) sont autonomes, par contre les i/o sont limités et partiellement virtualisés avec le système hôte.



Je m’attendrais au niveau i/o à une interface réseau et un port série par cpu… avec éventuellement mais pas obligatoirement un framebuffer.



Pour moi, la question est plutôt: peut-on booterl’OS de son choix sur chaque système? Si oui, j’imagine bien des machines type tour contenant des clusters&nbsp; de lab entiers avec du vrai matériel.

Le 19/11/2018 à 11h 23

Si on peut pousser à 16GiB de ram ou plus par cpu et mettre un OS genre centos sur chaque système, c’est une alternative géniale à l’empilage de nucs pour les labos…

Le 17/11/2018 à 10h 32

Il y a plusieurs aspects: profondeur d’affichage (faut l’écran qui va avec), support opengl, support opencl,, cuda….



Personnellement, j’ai une Geforce 980&nbsp; sous gnu/linux, avec Blender en Cuda, Krita, Gimp et Darktable en opencl, le tout en support deux écrans ( un 24” dell et un 13” Wacom) c’est sympa.



&nbsp;Mais si c’était à refaire, je viserais peut-être une carte AMD Vega car leur support opencl est très bon, surtout en fp32. Sous blender, les perfs sont très intéressantes surtout pour les scènes complexes. Et en plus l’implémentation Opencl gère beaucoup mieux la mémoire et permet de déborder sur la mémoire système si la mémoire de la cg sature.

L’alternative à la grosse CG en compute, dans mon cas serait peut-être aussi un gros Threadripper…&nbsp; Perfs en ligne avec une 1080 sous Blender et utilisable avec les applis non-gpgpu.

Le 16/11/2018 à 18h 09

CUDA ou OpenCL ?&nbsp; Quelle taille de données à gérer?

Le 16/11/2018 à 16h 27

La France, le pays des droits de l’homme Gattaca

Le 16/11/2018 à 14h 09

Je suis bruxellois, et souffre donc d’un syndrome de distanciation en deux temps:




  • je prend de la distance et j’ironise

  • je me relis et déprime

Le 16/11/2018 à 13h 27







jb18v a écrit :



<img data-src=" /> monde de merde !





Bah, pas pour si peu. Ce qui me manque le plus des années 90, ce n’est pas la culture geek d’époque, mais plutôt l’engouement naïf et partagé par tous les bords politiques pour les droits humains et la démocratie, ainsi que le fait de pouvoir utiliser des nouveautés technologiques sans trop craindre de contribuer à la construction d’une société dystopique.


Le 16/11/2018 à 12h 07

La culture Geek, comme toute sous-culture, s’est fait cannibaliser par le consumérisme. Geek est juste devenu une étiquette que les hipsters utilisent pour montrer qu’ils savent appairer deux périphériques bluetooth ou installer une app sur un iPhone.



Le retrogaming, c’est devenu chic (il y a de belles marques), donc ça se vend bien chez les ‘nouveaux geeks’,

Pour les geeks canal historique, le Retrogaming, c’était surtout un mouvement excitant de la seconde moitié des années 90.

Le 16/11/2018 à 11h 30

Nintendo a un modèle commercial de marchand de jouets, ils veulent vendre des trucs en plastique qui finiront plus tard à la poubelle.&nbsp; Comme si la planète avait encore besoin de ça.

Le 16/11/2018 à 10h 53







Furanku a écrit :



Exactement.

Et pour le public que ça vise (les geeks nostalgiques), ils en auront pour largement moins cher à utiliser un Rpi, avec toutes les possibilités que ça offre en plus.



Perso j’ai du mal à comprendre cette nostalgie purement mercantile…





C’est clair…&nbsp; ça devient ridicule la multiplication des petites boîtes monothématiques à brancher sur sa télé. A l’aire du tout dématérialisé, faire du matériel en toc est tellement inutile et polluant.


Le 16/11/2018 à 10h 15

Et ça fait le bruit du lecteur de disquette quand le jeu charge pendant trois plombes? <img data-src=" />

Le 16/11/2018 à 10h 14

Sérieusement?



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Le 16/11/2018 à 14h 04

Nous vivons une grande période où l’important est de se montrer dur … après, la science, les statistiques, … c’est secondaire.



&nbsp;L’important n’est pas de faire ce qu’il faut, mais de faire ce que la base électorale pense qu’il faut faire.

Le 16/11/2018 à 08h 42

Sinon, dans le genre disproportion, en Belgique, une loi poussée par la droite dure vient de passer pour que dorénavant, les empreintes digitales de tous les&nbsp; citoyens soient relevées et stockées entre-autres dans la carte d’identité électronique.

Le 16/11/2018 à 12h 43

De toutes façons, avec les lois sécuritaires britanniques, il vaut mieux éviter leurs technologies., donc pas une grosse perte pour le reste de l’Europe.



Concernant le Brexit, je préfèrerais à ce stade qu’ils aillent faire un tour dehors et qu’ils ne reviennent qu’un fois qu’ils savent ce qu’ils veulent. S’ils restent, ils vont nous faire chr avec le ‘mais nous on voulait partir’ à chaque décision pour justifier le fait d’avoir des passes-droits et exceptions.



On peut aimer le Royaume Uni sans vouloir supporter ses psychodrames internes à deux balles. Des fois, il vaut mieux arracher le sparadrap d’un coup sec.

Le 13/11/2018 à 11h 49

En tout cas les devs vont encore s’écharper sur le sujet.



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Le 07/11/2018 à 16h 33

Effectivement, on a pas forcément besoin de sysplex, mais c’est toujours agréable de pouvoir recoller après avoir découpé…

Le 07/11/2018 à 15h 01

Un système façons LPAR/Sysplex sur Power pourrait faire l’affraire, mais ce n’est pas exactement bon marché (ni compatible)

Le 07/11/2018 à 14h 57

Tant qu’on est dans les oublis… avec l’arrivée du 64bit et du multicoeur, AMD avait non-seulement un contrôleur mémoire correct mais aussi un système d’interconnexion inédit pour l’architecture intel:&nbsp; A une époque où les processeurs intel en topologie multi-socket communiquaient via un bus multiplexé faisant un ping-pong avec le northbridge, AMD a mis en place un bus de connexion EV6 qu’on retrouvait déjà sur les processeurs Alpha de Digital Equipment, et ouvrant la porte à des topologies multi-processeur disposant d’une efficacité encore jamais vue sur PC (par exemple la cohérence de cache entre les processeurs/cores était gérée explicitement par messages poussés sur le bus là où les processeurs intel perdaient du temps à revalider la cache en solitaire).



Les tout premiers multi-coeurs intel, les Pentiums D, continuaient d’ailleurs à communiquer via bus multiplexé et chaque core devait passer par le northbridge sur la carte mère pour communiquer avec son voisin là où les Athlon X2 bénéficiaient d’un pont direct dans la puce.



&nbsp;D’un point de vue multi-coeur/multi-socket, AMD a poussé le jeu bien au delà des capacités d’Intel de l’époque et a ouvert l’ère moderne sur ce sujet.

Le 07/11/2018 à 11h 29

Bah, faut passer à une solution plus prévisible… Si c’est pour une grosse infra ‘bétail’, un bon OpenStack sauce RedHat peut être une bonne alternative sans assassiner les budgets.



Mais bon, je doute que VMware refasse la bêtise du modèle de prix de Vsphere 5.

Le 07/11/2018 à 01h 42

Euh, disons serveur plutôt que cloud, du coup… Cloud est un mot vague qui recouvre, dans le monde professionnel, des paradigmes de consommation et de cycle de vie de services (par exemple Infrastructure en tant que service,&nbsp;&nbsp; Plateforme en tant que service, Fonction en tant que service, …)



Maintenant, si la question est: est-il possible de faire un serveur de contenu (fichiers, calendrier, mail, …) répliqué sur plusieurs sites, la réponse est évidemment oui. Par contre pour le comment, il y a moyen d’écrire beaucoup sur le sujet selon les besoins et contraintes.

Le 06/11/2018 à 21h 34

D’un autre côté, l’hyperthreading a toujours été, par définition, un terrain fertile pour les side-channel…



Reste qu’on est face à une industrie, et son plus gros acteur en particulier, qui a négligé la sécurité pendant les 20 dernières années pour pouvoir ‘innover’ plus vite, et maintenant on se retrouve avec une addition assez amère.



En l’absence d’une communication correcte sur les devoirs de sécurité qu’Intel devrait mettre en place, les nouveaux produits me semble juste autant d’opportunités d’avoir un plus gros château de cartes.

Le 06/11/2018 à 16h 16

Les déboires du P4 étaient plutôt le résultat d’une réaction de panique d’Intel face à AMD… fin des années 90, début des années 2000, AMD a eu beaucoup de “premières”… premier processeur à 1Ghz, premier processeur 64 bit, l’introduction d’une véritable interconnexion moderne entre processeurs, ….. plus les bonus comme la tombe qu’Intel s’était creusé avec la rdram et qu’AMD a allègrement contourné, provoquant une réaction de panique chez intel, ce qui a mené à la cata du MTH du i820…



Intel, depuis quelques années, s’est clairement reposé sur ses lauriers, et du coup le retour d’AMD avec des produits innovants laisse craindre des réactions désordonnées de la part d’Intel.

Le 06/11/2018 à 12h 02

Pour tout nouveau processeur Intel, ma grande question est



&nbsp;‘et toutes ces conneries d’accès spéculatif illicite, c’est corrigé ou c’est toujours le boulot de l’OS de protéger la mémoire contre les mauvaises pratiques de processeurs bâclés?’



Sérieusement, une communication claire d’Intel devrait être faite sur ce point car pour moi tous ces trucs sont pour le moment présumés être de la merde question sécurité.

Le 06/11/2018 à 13h 21

Non, le matos n’est pas exceptionnel, les prix d’occase sont gonflés inutilement, les risques de panne entraînant la&nbsp; perte totale sont volontairement élevés.&nbsp; (Apple lutte activement contre la production ou la réutilisation de pièces de rechange srchttps://boingboing.net/2018/10/20/louis-rossman.html)



Ce sont de jolis objets avec quelques gimmiks techniques, mais pas de quoi s’attacher. Un bon lenovo T d’occase sera un bien meilleur investissement si c’est pour du dev.

Le 06/11/2018 à 10h 59

Je pense que tu sous-estime les capacités d’une distribution GNU/Linux moderne.



Reste que des utilisateurs de Macs tournant Fedora pour le développement d’applications en container, j’en connais quelques uns, cette nouvelle va certainement avoir un impact sur leurs prochains choix de matériel.



Sinon, pour rester dans un ton simpliste, acheter un ordinateur sans en avoir le contrôle et en acceptant qu’un tiers décide ce qu’on peut faire tourner dessus ou pas, c’est débile. Il ne faut pas confondre sécurité et captivité.

Le 06/11/2018 à 10h 14

“Quand on pense qu’il suffirait que les gens n’achètent plus pour que ça ne se vende pas!”

&nbsp;

Michel Collucci

Le 06/11/2018 à 10h 09

Encore un système basé sur de la pseudo-science qui va coûter cher et provoquer des drames.



Le polygraphe était déjà de la foutaise, mais le charlatanisme moderne a trouvé la parade: il suffit de coller ‘IA’ ou ‘deep learning’ dans un processus bancal pour que l’on se remette à cracher des millions.



Décidément, la peur des gens à la peau foncée, ça fait gagner de l’argent à certains.



Enfin, après quelques semaines au contact des douaniers hongrois, cette IA devrait largement surpasser Tay

Le 05/11/2018 à 11h 09

Sérieusement, le coup des métriques sur les routes, c’est plutôt à éviter. C’est une approche découlant d’une erreur fondamentale dans la représentation des tables de routage dans les versions ancestrales de windows, et il n’y a pas d’intelligence derrière, ce qui rend l’approche problématique en cas d’indisponibilité d’un lien ou de changement de topologie en aval.

Le 01/11/2018 à 12h 32

Ça y est, j’ai mis à jour mon laptop ( intel 6600U)



Pas de grosse évolution en apparence face à la 28. Par contre, ça fait toujours plaisir d’avoir une distribution&nbsp; à la pointe et avec un niveau de finition aussi bon avec un SElinux correctement intégré.

Le 31/10/2018 à 12h 36

Tout ça pour de l’espace de stockage qui n’est utilisé que dans un contexte de DRM…



Mais bon, il n’y a pas de leviers démocratiques contre la mafia du droit d’auteur.

Le 31/10/2018 à 10h 25

Au niveau recherche, IBM, c’est le top, mais au niveau services, c’est assez effroyable.



Si RedHat reste vraiment une entité séparée d’IBM, pas de problèmes.



Par contre, dès qu’IBM commence à:




  • modifier les conditions d’embauche (genre tout nouveau personnel est engagé l’est sous contrat IBM),

  • placer des chefs de projet IBM dans les activités internes de RedHat

  • imposer ses processus, outils, pratiques et règlements

  • déplacer des fonctions opérationnelles dans le pool Global Delivery Services

  • faire les acquisitions d’entreprises/technologies en direct plutôt que de laisser RedHat se renforcer



    …il faudra se poser des questions sur l’avenir de RedHat en tant qu’entité indépendante.



    Quand IBM a acheté mon ancien employeur, on a eu droit à beaucoup de communication gonflée à coup de “on va respecter votre identité, votre culture, vos valeurs”, “notre valeur c’est vous”, …&nbsp; la suite des événements a prové que ce n’était que de la communication.



    Donc pas paniquer, rester méfiant, garder un plan B sous le coude et savoir partir de sois-même à temps si les choses se gâtent.

Le 30/10/2018 à 16h 56

J’espère qu’ils ont raison et qu’IBM n’aura pas l’arrogance d’essayer d’interférer dans la cuisine RedHat en dehors du cadre commercial. Sur le plan technique, vu la vétusté et la qualité d’intégration des outils IBM, c’est plutôt eux qui devraient apprendre des gens de RedHat.