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goulagman

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9 commentaires

Le 03/02/2023 à 01h 06

C’est bien, mais c’est une vision simpliste de la justice.



Elsevier se permet d’attaquer Sci-hub et Libgen car ils savent qu’il n’y a personne en face. Ces éditeurs toxiques lobby comme des malades pour faire passer des lois ne visant qu’à les enrichir comme quand ils ont trusté le data mining group de l’UE en 2013. Toute la communauté scientifique est vent debout contre leurs pratiques y compris les chercheurs célèbres comme Yoshua Bengio et Yann LeCun. L’Inria a même donné consigne interne à ses chercheurs de ne pas respecter les délais d’embargo et de mettre leurs articles sur leur système ouvert HAL.



Et quand il y a personne en face, qui est censé agir ? Le procureur de la République. Dans l’affaire Elf, l’entreprise a attaqué des journalistes en diffamation et le procureur a contre-attaqué en les attaquant pour corruption. Alors pourquoi ici Elsevier ne se retrouve pas attaqué pour abus de position dominante alors qu’ils ont clairement un monopole sur la publication (avec Springer et Nature) ? Clairement, le judiciaire français ne fait pas son travail.

Le 02/02/2023 à 16h 39

Pendant que la communauté scientifique encense Alexandra Elbakyan, la désignant comme une des 10 personnes ayant permis le plus d’avancées scientifiques durant la dernière décennie, le tribunal de Paris continue de se plier aux exigences de ces voleurs d’éditeurs…



Pour souligner l’absurdité du système, je tiens à préciser par exemple que je n’ai jamais vu la version finalisée de certains de mes articles car j’ai payé pour la publication mais mon institution n’avait pas d’abonnement aux journaux en question (et oui, on paie pour publier et pour lire).



S’ils pratiquaient des tarifs raisonnables, les gens n’essaieraient pas de contourner leur système.

Le 10/03/2020 à 20h 59







bilbonsacquet a écrit :



Des licornes basées sur de la monétisation de données personnelles récoltées illégalement , non aucun remord si ce type de boite ferme !





Illégalement… A voir à l’issue de l’enquête. La CNIL suit déjà Criteo de très près, Criteo a fait valider la plupart de ses systèmes lors du passage à la RGPD. N’oublions pas également que si des versions gratuites de certains sites existent, c’est grâce à la pub.



En tout cas, les “révélations” de PI sont accablantes : une bannière d’acceptation de cookie n’est pas un consentement suffisant. Bon, c’est raté, la CNIL a déjà validé ça :https://www.cnil.fr/fr/exemple-de-bandeau-cookie



Autre révélation, l’opt-out de Criteo n’est pas valide car quand on demande à son navigateur d’effacer tous les cookies, l’information d’opt-out n’est pas conservée. Donc, PI demande à ce que Criteo puisse identifier les utilisateurs même après qu’ils aient effacés leurs cookies… Je ne sais même pas s’ils se rendent compte de l’absurdité de leurs arguments.


Le 16/12/2017 à 01h 03

Sur quelques points généraux :





  • “Vous …” : Non, ce n’est que mon avis ici, je ne suis pas habilité à parler au nom de Criteo. J’en parle juste parce que je connais l’entreprise du coup ;).

     

     - Criteo ne respecte pas la vie privée : Criteo respecte les règles établies par la CNIL, est auditée régulièrement, et ne vend pas d’informations personnelles à des tiers. De plus, Criteo ne récolte pas d’information d’identification des utilisateurs.



     - Criteo est un service duquel on peut se désinscrire alors qu’on ne s’est jamais inscrit : De nombreux autres services fonctionnent sur ce principe et je ne compte pas les souscriptions obligatoires qui viennent avec d’autres services…



  • l’opt-out est compliqué : il suffit de cliquer sur le lien en haut à droite des pubs criteo pour accéder au lien de désabonnement, je viens de tester et ça fonctionne chez moi. Des sites spécialisés permettent de se désabonner de la plupart des régies de pubs en un clic.



    Maintenant pour les commentaires particuliers :

     




    Jarodd a écrit :

    J’aimerais bien comprendre dans quel cas la pub personnalisée est dans l’intérêt de l’internaute ? Je n’ai jamais entendu “moi j’affiche la pub parce que j’aime la pub !”.
    Les gens qui les affichent le font pour financer le service et sont conscients qu’un service (souvent) gratuit doit bien trouver de l’argent par un autre moyen, cela ne signifie pas qu’ils aiment la pub <img data-src=" />

    Sinon, cette dépendance à un gros acteur en dit long sur sa pérennité… Le premier change une règle sur un produit, le second se casse la gueule parce que son activité est bloquée. Ce n’est pas très sain et sérieux comme business model…




    Personnellement, je procède par blacklisting pour la pub en bloquant ceux qui mettent 50 bannières par page. Sur beaucoup de sites, elle ne me gêne pas et il m’arrive de cliquer et d’acheter. Quant à la pérennité des solutions : beaucoup d’entreprises sont à la merci des GAFA de nos jours, pas seulement les régies de publicité.

    &nbsp;

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    Groupetto a écrit :

    D’un côté je voudrais défendre Criteo, sachant que c’est une boîte française qui donne du boulot à tout un tas d’ingénieurs…mais en fait c’est juste impossible.
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    Les boîtes qui font du ciblage publicitaire doivent disparaître.
    &nbsp;
    On en discutait un jour au boulot, en se demandant s’il était plus acceptable socialement de travailler dans l’industrie du p0rn ou chez Criteo (vous devinez mon avis <img data-src=" />)&nbsp;




    Le ciblage publicitaire offre un service en échange d’information : la recommendation de produits.&nbsp; Il est sûr que le respect de la vie privée serait meilleur sans tracking, mais d’un autre côté, on se prive d’un service assez pratique. Par exemple, de nombreux petits sites ne vivent que de leur publicité car ils n’apparaissent pas dans les résultats Google. Dans ce cas, on rend service à l’utilisateur qui découvre des produis qu’il ne connait pas et au site qui a une audience relativement faible.



    Evidemment, le tracking a aussi des mauvais côtés, mais ceux-là, vous les connaissez déjà !



    Je rappelle également que ces mesures feront disparaitre les sociétés de ciblage pures. Google, FB et Amazon auront encore de beaux jours devant eux !




    Ticapix a écrit :

    Quitte à avoir de la pub, autant la rendre utile.

    Le problème ce qu’on a aucun contrôle de qui gère notre donnée et où elle se balade.




    Il y a effectivement une marge d’amélioration de ce côté-là mais il est très compliqué d’être exhaustif là-dessus. Une certitude chez Criteo : la donnée ne sort pas de nos serveurs.





    Après, ce n’est que mon avis personnel, mais le ciblage publicitaire n’est pas prêt de disparaître… Il va juste évoluer vers une autre forme. Il y a déjà des entreprises qui analysent les données publiques disponibles (photos de soirées, tweets, posts facebook, instagram, etc.), identifient les produits, et font de l’estimation de tendance. Il est pratiquement impossible de faire quoique ce soit en ligne sans leaker des informations personnelles.

Le 15/12/2017 à 11h 03

Hello,



Conflit d’intérêt : je travaille chez Criteo mais je parle pour moi.



Ce blocage ne va pas arrêter la publicité, il va juste empêcher sa personnalisation. Je pense que les gens qui ne veulent pas de pub installent un bloqueur et les pubs disparaissent complètement.



Mais pour ceux qui ne sont pas contre la pub, les priver de pub personnalisée par défaut n’est peut être pas dans leur intérêt. D’autant plus qu’il leur est également possible de se désabonner du service Criteo en un clic.

Le 24/11/2015 à 15h 21







atomcomputer a écrit :



Un mix des deux (Sailfish OS et BBOS 10) serai vraiment bien (ergonomie des messages de BB OS, charte et gestuelle de Sailfish OS, sensation de rapidité de BBOS), mais j’ai des doutes sur une sortie open source de BBOS … Surtout du coté de QNX…&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;





Ce sont deux systèmes complètement différent, il n’est pas possible de les fusionner. Je n’ai jamais eu de problème de fluidité avec Sailfish OS. En revanche, j’ai trouvé leur ergonomie révolutionnaire pas révolutionnaire du tout et surtout très limitée. Le “pulley menu”, sur le papier c’est peut-être bien mais en pratique c’est une véritable catastrophe.


Le 24/11/2015 à 14h 17







myk a écrit :



T’es gentil mon petit mais j’ai un Jolla à la maison et depuis la version 2 il est plus possible d’intégrer le clavier! Je ne suis pas contre la bidouille mais bon j’ai quand même d’autre chat à fouetter que de fouiller internet pour savoir comment intégrer un clavier. &nbsp;



Surtout que mon BlackBerry 10 gère jusqu’à 3 langues en temps réel et ce, peut importe le clavier donc… j’ai rallumé mon BlackBerry ;)





Le “petit”, lui, a réussi à le faire… Etonnant, non ?

Jolla n’a jamais caché que certaines actions nécessiteraient de s’y pencher un peu, c’est un téléphone de geek. Je ne dis pas que le Jolla est irréprochable mais tes arguments sont juste complètement ridicules.&nbsp;





myk a écrit :



Merci encore une fois j’en ai un à la maison et ça n’a rien à voir ! A mes yeux c centre de notifications est un bordel sans nom





C’est bon, on a compris : le Jolla n’est pas un BlackBerry. Si tout ce qui est dans le Jolla est mauvais parce que ce n’est pas un BlackBerry bah.. Normal, c’est différent.


Le 24/11/2015 à 13h 16

Il n’y a pas d’appli “hub” mais le gestionnaire de notifications est quand même proche…



http://jollafr.org/wp-content/uploads/2015/09/Jolla-Sailfish-OS-2-events.jpg

Le 24/11/2015 à 12h 45

C’est bizarre comment “delayed” est traduit par “annulé”. Les réponses des appels de fonds sont repoussées à Décembre, il est donc fort possible qu’ils obtiennent leur financement et réengagent immédiatement tout le monde.



Ensuite, la plupart des critiques listées ici montrent que les gens n’ont pas utilisé Jolla. Le clavier Franco/suisse est dispo depuis la sortie du téléphone et, si ce n’est pas le cas, avoir un layout personnalisé avec une langue différente, c’est littéralement 3 lignes de code.



Oui les premières versions de l’OS étaient orientées geek mais ils avaient prévenu. La nouvelle version est clairement plus user-friendly. Le point noir de l’OS, pour moi, est qu’il manque pléthore de fonctionnalités.