Merci d’écrire là-dessus. Après une première utilisation (pas finie, je n’arrive pas à “finir” la mission une fois de retour), et en tant qu’informaticienne, je dirais qu’il n’y a pas seulement des bugs. Il y a aussi une conception de l’outil et des connexions entre Etamine, Notilus et Goelett qui expose à l’usager des étapes et des notions que seul le gestionnaire administratif devrait voir. Pire, on a l’impression de voir les tripes du moteur de workflow, sans l’habillage “métier” où les actions devraient être formulées en termes compréhensibles par chaque type d’utilisateur. Ça n’aide pas à la compréhenson d’avoir un écran plein de termes incompréhensibles. Par exemple je me suis retrouvée avec une question “Voulez-vous émettre cet élement ?”. Sans savoir ce que représentait un élément dans le contexte de la demande de mission, ni ce que pouvait bien vouloir dire “émettrre”, et vers qui.
Par ailleurs c’est un workflow à au moins 3 ou 4 acteurs, et la moindre des choses est de montrer à chaque acteur où il en est dans le workflow, et si c’est à lui de faire qq chose pour que ça avance. Là on ne sait même pas si la balle est dans notre camp ou dans celui d’un valideur, et de quel niveau. Ce midi j’ai dû soumettre la création d’un état de frais à la validation de … moi-même.
On s’arrache les cheveux. C’est peut-être une solution pour faire baisser le bilan GES des labos…
1 commentaires
CNRS : une gestion des missions complètement buguée
27/09/2023
Le 27/09/2023 à 19h 38
Merci d’écrire là-dessus.
Après une première utilisation (pas finie, je n’arrive pas à “finir” la mission une fois de retour), et en tant qu’informaticienne, je dirais qu’il n’y a pas seulement des bugs. Il y a aussi une conception de l’outil et des connexions entre Etamine, Notilus et Goelett qui expose à l’usager des étapes et des notions que seul le gestionnaire administratif devrait voir. Pire, on a l’impression de voir les tripes du moteur de workflow, sans l’habillage “métier” où les actions devraient être formulées en termes compréhensibles par chaque type d’utilisateur. Ça n’aide pas à la compréhenson d’avoir un écran plein de termes incompréhensibles. Par exemple je me suis retrouvée avec une question “Voulez-vous émettre cet élement ?”. Sans savoir ce que représentait un élément dans le contexte de la demande de mission, ni ce que pouvait bien vouloir dire “émettrre”, et vers qui.
Par ailleurs c’est un workflow à au moins 3 ou 4 acteurs, et la moindre des choses est de montrer à chaque acteur où il en est dans le workflow, et si c’est à lui de faire qq chose pour que ça avance. Là on ne sait même pas si la balle est dans notre camp ou dans celui d’un valideur, et de quel niveau. Ce midi j’ai dû soumettre la création d’un état de frais à la validation de … moi-même.
On s’arrache les cheveux.
C’est peut-être une solution pour faire baisser le bilan GES des labos…