#Le brief du 05 décembre 2019

Vivaldi pour Android disponible en bêta 2

Vivaldi pour Android disponible en bêta 2

Le 05 décembre 2019 à 10h36

Les versions mobiles du navigateur étaient d’autant plus attendu qu’il avait fini par intégrer la synchronisation des paramètres, très demandée par les utilisateurs.

La nouvelle préversion pour Android contient de nombreuses améliorations, notamment dans les options. On peut par exemple activer la fermeture d’un onglet en le balayant de la liste vers la droite ou la gauche. Selon Vivaldi, le geste était très demandé. Les utilisateurs peuvent également afficher les barres de défilement sur les pages internes du navigateur, comme l’historique.

Le Speed Dial peut également être plus personnalisé : glisser/déposer des vignettes pour les réarranger, appui long sur les vignettes pour les modifier ou supprimer, ajout d’éléments via le bouton « + ». Notez qu’un appui court ajoutera un site, tandis qu’un appui long permettra de créer un dossier.

Vivaldi intègre en outre une option bien pratique : toujours afficher les sites web dans leur version pour ordinateur. Comportement par défaut de Safari dans iPadOS, le réglage parlera davantage aux détenteurs de tablettes, qui ont la surface d’affichage nécessaire pour que l’option soit réellement pratique.

Parmi les autres améliorations, signalons la possibilité de vider la poubelle en un clic, l’ajout d’un widget de recherche exploitant le moteur déclaré par défaut dans le navigateur, un rafraîchissement visuel de certains éléments d’interface (icônes, panneaux…), la correction de nombreux bugs et la compatibilité avec les Chromebook.

Le 05 décembre 2019 à 10h36

Vivaldi pour Android disponible en bêta 2

Google déploie la version finale de son mode Focus sur Android 9 et 10

Google déploie la version finale de son mode Focus sur Android 9 et 10

Le 05 décembre 2019 à 10h36

En test depuis plusieurs mois, la fonction permet de couper court à toutes sortes de distractions pendant des plages horaires définies par l’utilisateur ou durant des périodes activées manuellement.

La fonction fait exactement ce que le nom indique. Elle permet de se concentrer sur ce que l’on fait sans être dérangé par des notifications de tweets, de jeux, des sons ou autre.

Le mode Focus commence ainsi à être déployé en version finale sur les smartphones Android 9 et 10 si Bien-être numérique a été activé. Une fois activé lui aussi, le mode a plusieurs modes de fonctionnement, dont le principal est de cocher toutes les applications qui pourraient distraire.

Quand le mode est actif, l’utilisateur ne reçoit donc plus rien en provenance des applications choisies, et leurs icônes sont grisées : on ne peut plus les lancer. Il est possible de « faire une pause » pour 5, 15 ou 30 min, désactivant alors temporairement le mode.

Dans tous les cas, on peut le lancer ou le couper depuis une icône spécifique depuis le panneau des notifications.

La version finale du service contient quand même une nouveauté : le mode Focus peut se mettre automatiquement en marche en fonction de l’agenda de l’utilisateur. S’il repère par exemple des rendez-vous, des réunions et autres, il pourra se déclencher. Il s’agit d’une option.

Le 05 décembre 2019 à 10h36

Google déploie la version finale de son mode Focus sur Android 9 et 10

Un député veut encadrer l’exploitation commerciale des vidéos de mineurs sur YouTube

Un député veut encadrer l’exploitation commerciale des vidéos de mineurs sur YouTube

Le 05 décembre 2019 à 10h36

Le député Bruno Studer (Bas-Rhin, LREM) a déposé une proposition de loi visant à encadrer l’exploitation commerciale de l’image d’enfants de moins de seize ans sur les plateformes vidéo en ligne.

« Réalisées par les parents et mettant en scène des mineurs, [ces vidéos] ne font aujourd’hui l’objet d’aucun encadrement légal » assure le parlementaire. Il veut « combler ce vide juridique afin de protéger au mieux ces enfants ». 

Rappelons toutefois que l’image d’une personne identifiée ou identifiable est une donnée personnelle et à ce titre protégée par le RGPD dès lors qu’il existe un traitement. Ce texte assure d’ailleurs une protection particulière pour les mineurs.

Le député entend tout particulièrement viser l’hypothèse où des rémunérations sont prévues. Une forme de « travail déguisé » selon lui, notamment lorsque ces contenus génèrent des revenus publicitaires. 

Dans sa proposition de loi diffusée par Contexte.com , il veut tout d’abord appliquer à ces enfants le régime prévu par ceux faisant du mannequinat. Il compte exiger une autorisation individuelle ou un agrément préfectoral « dans le cadre d’une production destinée aux plateformes vidéos ».

En cas de méconnaissance de cette procédure préalable, les plateformes auraient à retirer immédiatement ces contenus. 

Lorsque l’activité ne relève pas du droit du travail, il aimerait instaurer une déclaration auprès d’une autorité administrative dès lors que la durée ou le nombre de vidéos dépasse un seuil fixé par décret ou si l’activité génère un revenu important. 

Les honoraires de travail seraient reversés sur un compte de la Caisse des Dépôts jusqu’à la majorité de l’enfant. 

Son texte oblige aussi les hébergeurs de vidéos comme YouTube à permettre l’identification, par les utilisateurs, des vidéos où figurent des mineurs de moins de 16 ans. Et si la plateforme génère des revenus directement à partir de ce contenu, elle devra en alerter l’autorité administrative. 

La « PPL » prévoit aussi un droit à l’oubli, généralisé. Un service de partage devrait retirer un contenu sur simple demande si la personne concernée était mineure à la date de diffusion. Le texte fait donc double emploi avec le RGPD sur ce point.

Le 05 décembre 2019 à 10h36

Un député veut encadrer l’exploitation commerciale des vidéos de mineurs sur YouTube

Slack dépasse les attentes sur ses revenus et revendique 12 millions d’utilisateurs actifs par jour

Slack dépasse les attentes sur ses revenus et revendique 12 millions d'utilisateurs actifs par jour

Le 05 décembre 2019 à 10h36

La jeune pousse côté en bourse depuis le mois de juin affiche un bilan relativement bon pour son troisième trimestre de l'année 2020 (terminé le 31 octobre), malgré des pertes en hausse.

Les revenus sont de 168 millions de dollars (+ 60 %), dépassant ainsi les prévisions qui tablaient sur 156 millions, tandis que le déficit net est de 97 millions de dollars. Au trimestre précédent, il était question de respectivement 105 millions et 47 millions de dollars.

Dans ce document, la société revendique 12 millions d'utilisateurs actifs par jour. Dans le lot, il est question de 105 000 utilisateurs payants, en hausse de 5 000 sur le trimestre.

En bourse, cette annonce n'a que peu d'effet puisque l'action reste juste en dessous des 22 dollars… soit une baisse de 44 % depuis sa cotation en juin dernier. Le titre avait été introduit en cotation directe à 26 dollars pour monter directement à 38 dollars, avant de redescendre doucement mais sûrement ces derniers mois.

Le 05 décembre 2019 à 10h36

Slack dépasse les attentes sur ses revenus et revendique 12 millions d’utilisateurs actifs par jour

Huawei vs États-Unis (S3E42) : le fabricant traîne la FCC au tribunal

Huawei vs États-Unis (S3E42) : le fabricant traîne la FCC au tribunal

Le 05 décembre 2019 à 09h20

« La FCC a voté à l’unanimité le mois dernier pour désigner Huawei ainsi qu’un autre groupe chinois, ZTE, comme des risques pour la sécurité nationale des États-Unis », explique Reuters

Les opérateurs télécoms ne peuvent donc plus utiliser leurs financements fédéraux pour acheter des équipements et services. La FCC a aussi voté en faveur du remplacement des équipements déjà acquis. 

Huawei contre-attaque et porte plainte au tribunal de la Nouvelle-Orléans pour contester la décision de la FCC. « Interdire une compagnie comme Huawei simplement parce qu’elle a démarré en Chine, cela ne résout pas les défis en matière de sécurité informatique », lâche Song Liuping, directeur juridique de l'équipementier. 

Cette nouvelle histoire puise encore ses racines dans le même point de discorde : les États-Unis accusent les fabricants chinois d'être à la solde de Pékin pour l'espionnage, sans avoir fourni de preuves pour l'instant. Des accusations toujours fermement réfutées par Huawei.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Huawei vs États-Unis (S3E42) : le fabricant traîne la FCC au tribunal

Raffut autour de l’iPhone 11 Pro et de la géolocalisation des utilisateurs

Raffut autour de l'iPhone 11 Pro et de la géolocalisation des utilisateurs

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Le chercheur en sécurité Brian Krebs a publié sur son blog un billet intitulé « le puzzle de données de localisation de l’iPhone 11 Pro ».

Il y détaille un « comportement curieux » de l'iPhone 11 Pro : le smartphone « cherche par intermittence les informations de localisation de l'utilisateur, même lorsque toutes les applications et les services système du téléphone sont configurés individuellement pour ne jamais la demander ». 

Problème pour Brian Krebs, certains services système exploitant les données de géolocalisation ne peuvent pas être désactivés. Contacté, un ingénieur d'Apple répond au chercheur qu'il ne voit là « aucun problème de sécurité ».

« Il est normal que l'icône de géolocalisation apparaisse dans la barre d'état lorsque les services de géolocalisation sont actifs. L'icône apparaît aussi pour les services système dépourvus d'options dans les paramètres ». D'autres iPhone pourraient être concernés.

Comme l'explique iGen, ce comportement est détaillé dans la documentation d'Apple : « Cependant, pour des questions de sécurité, les données de localisation de votre iPhone peuvent être utilisées lorsque vous passez un appel d’urgence afin d’augmenter les chances de réponse, que le service de localisation soit activé ou non ».

Nos confrères ajoutent que Brian Krebs n'a pas complètement désactivé la géolocalisation, il a « seulement » décoché toutes les autorisations individuelles. Or, certains services n'ont pas cette option, comme l'explique Apple, sans toutefois en donner la liste.

Plus qu'une fuite de données, il semblerait qu'il s'agisse davantage d'un problème de communication. Apple pourrait simplement énumérer l'ensemble des services pouvant utiliser la géolocalisation (avec la possibilité de la désactiver, au pire en « grisant » la case) pour éviter ce genre de mauvaise surprise. 

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Raffut autour de l’iPhone 11 Pro et de la géolocalisation des utilisateurs

Canonical lance ses images Ubuntu Pro pour AWS

Canonical lance ses images Ubuntu Pro pour AWS

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Si la version Desktop d’Ubuntu n’évolue plus guère actuellement, il en va autrement des efforts de Canonical dans le monde des serveurs, plus particulièrement tout ce qui touche au cloud. Pour renforcer l’initiative, l’éditeur propose donc des images système pour Amazon Web Services.

Ces images « Pro » contiennent plus que la seule distribution évidemment. Elles sont spécifiques aux entreprises et visent le déploiement d’Ubuntu dans le cloud.

Elles embarquent donc un certain nombre de bénéfices, parmi lesquels jusqu’à dix ans de mises à jour de paquets et de maintenance de sécurité, le service Kernel Livepatch (corrections de sécurité dans le noyau sans redémarrage du serveur), gestion de flotte via Landscape, intégration avec les services AWS, etc.

La durée de support dépend en fait de la version utilisée, car les entreprises auront le choix entre Ubuntu 14.04, 16.04 et 18.04, soit les trois dernières moutures LTS de la distribution. Les deux premières ont huit ans de support, la troisième dix ans.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Canonical lance ses images Ubuntu Pro pour AWS

Le nouvel Edge renforce sa protection par défaut contre les traqueurs

Le nouvel Edge renforce sa protection par défaut contre les traqueurs

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Dans Edge rebâti sur une base Chromium, la protection contre le suivi publicitaire se base sur trois niveaux : Basique, Usage normal et Strict. Le deuxième est activé par défaut, bloquant notamment « les dispositifs de suivi des sites que vous n’avez pas visités ».

Les utilisateurs peuvent bien sûr basculer sur Strict s’ils souhaitent bloquer « la majorité des dispositifs de suivi de tous les sites », au risque bien sûr – comme pour Firefox – que certains fonctionnent mal. Le niveau Basique autorise de son côté la plupart des dispositifs de suivi.

Dans un billet de blog, Microsoft annonce avoir amélioré la protection du niveau Usage normal, autrement dit celui que la grande majorité des utilisateurs auront. Selon l’éditeur, le mode bloque « 25 % de traqueurs supplémentaires ».

Le résultat a notamment été obtenu en bloquant l’accès au stockage pour les traqueurs de la catégorie Contenu. Ce niveau de blocage continuera à être observé via la télémétrie et les retours utilisateurs.

Microsoft ajoute que même avec ce renforcement du mode par défaut, le réglage Strict bloquera toujours le plus de traqueurs. Le mode Strict n’est d’ailleurs plus actif par défaut en navigation privée, qui reprend maintenant celui défini par l’utilisateur. L’éditeur évoque une confusion liée à des sites qui ne fonctionnaient parfois plus comme prévu.

Notez que ces améliorations sont spécifiques à Edge 79, soit la version finale prévue le 15 janvier. Dans les canaux Canary et Developer, Edge suit à peu près le même cycle que Chrome – logique – et en est à la version 80.

On ne sait d’ailleurs pas si Microsoft compte rattraper le « retard » après publication de la version finale. Car d’ici là, le cycle sera passé sur la version 81, et il encore presque un mois et demi avant que Edge ne soit officialisé.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Le nouvel Edge renforce sa protection par défaut contre les traqueurs

La sonde Parker Solar Probe dévoile « des détails surprenants sur notre Soleil »

La sonde Parker Solar Probe dévoile « des détails surprenants sur notre Soleil »

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Lancé l'année dernière, elle étudie de près notre étoile. Les premiers résultats viennent d'arriver avec quatre articles publiés dans la revue Nature.

« Les chercheurs ont notamment découvert que le vent solaire est fortement perturbé par de petits jets de plasma supersoniques. Ces derniers pourraient impacter le mécanisme de formation du vent solaire et du chauffage de la couronne », explique le CNRS

Ce n'est pas tout : « Ces premières observations suggèrent également que le nuage de poussière en orbite autour du Soleil disparaît progressivement à l’approche de sa surface : un résultat qui confirmerait une théorie proposée de longue date ».

Le CNRS enchaîne : « La découverte de particules énergétiques émises et accélérées en permanence par de petits orages solaires est une aussi vraie surprise : elle suggère l’existence d’un vivier de particules énergétiques autour du Soleil qui pourraient être essentielles à la formation de particules de très haute énergie qui menacent notamment le bon fonctionnement de nos satellites et les vols habités vers la Lune ou Mars ».

Les scientifiques ont également observé une vitesse de rotation plus importante que prévu de la couronne autour du Soleil. Cette découverte pourrait avoir une incidence sur notre compréhension plus générale de la rotation des étoiles.

Ce n'est que le début : « les vingt-deux autres passages de plus en plus proches de l’étoile prévus d’ici 2025 promettent de belles découvertes ». L'Europe se joindra prochainement à la NASA avec sa sonde Solar Orbiter. Elle est prête et le lancement est prévu pour février 2020 à bord d'un lanceur Atlas V.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

La sonde Parker Solar Probe dévoile « des détails surprenants sur notre Soleil »

Aux États-Unis, les cartes cadeaux YouTube débarquent sur Amazon

Aux États-Unis, les cartes cadeaux YouTube débarquent sur Amazon

Le 05 décembre 2019 à 09h20

L'approche des fêtes de fin d'année donne des idées à Google, qui propose désormais ses cartes cadeaux sur Amazon, mais aux États-Unis uniquement.

D'un montant de 25 à 75 dollars ou personnalisé, elles permettent ensuite d'acheter des contenus ou un abonnement Premium… mais aussi des emplettes sur la boutique Google Play. L'envoi se fait par email. 

Rien n'est précisé concernant le reste du monde.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Aux États-Unis, les cartes cadeaux YouTube débarquent sur Amazon

France TV présente Okoo, sa nouvelle marque pour enfants de 3 à 12 ans

France TV présente Okoo, sa nouvelle marque pour enfants de 3 à 12 ans

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Elle remplace Zouzous et Ludo et veut cibler large (malgré un public de jeunes de 12 ans et moins). Quatre piliers sont annoncés :

  • « Une offre de programmes riche et diversifiée qui traite de tous les sujets et notamment... tous ceux qui ont été délaissés par nos concurrents (philosophie, histoire,...) et tous les enjeux de société
  • Des programmes gratuits sur tous les écrans.
  • Un environnement entièrement sécurisé et sans publicité
  • Disponible sur tous les écrans, en linéaire et à la demande »

France TV annonce aussi le lancement d'un nouveau magazine de vulgarisation scientifique : « C'est toujours pas Sorcier », avec Max Bird, Cécile Djunga et Matthieu Duméry. Une liste des contenus proposés sur Okoo est disponible par ici.

Lors d'une conférence de presse, Delphine Ernotte annonce que le groupe augmente son « investissement dans l’animation française : 32 millions d’euros dès 2020 ». Le lancement d'Okoo est prévu pour le 9 décembre. 

Le 05 décembre 2019 à 09h20

France TV présente Okoo, sa nouvelle marque pour enfants de 3 à 12 ans

Framasoft lance la première partie de son MOOC sur les CHATONS

Framasoft lance la première partie de son MOOC sur les CHATONS

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Les CHATONS (Collectif des Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires) sont pour rappel une initiative de l’association française, destinée à promouvoir les hébergeurs responsables et respectueux de la vie privée, selon une charte spécifique.

En partenariat avec La Ligue de l’Enseignement, Framasoft lance un MOOC sur les CHATONS, dont la première partie – « Internet : pourquoi et comment reprendre le contrôle ? » – est maintenant disponible.

Objectif de ce premier cours, « mieux saisir les enjeux et les impacts qu’ont les géants du web sur nos vies numériques ». Viendront ensuite deux autres parties, l’une sur la manière de monter une « structure apte à proposer des services hors GAFAM », l’autre sur les pistes « pour administrer l’infrastructure technique ».

L’association s’excuse à demi-mot, car le projet aurait dû sortir beaucoup plus tôt. Plus d’un an de retard sur le planning imaginé initialement, entre soucis personnels et problèmes de séquençage pédagogique.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Framasoft lance la première partie de son MOOC sur les CHATONS

Max revendique 100 000 clients

Max revendique 100 000 clients

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Max est une fintech du groupe Arkea qui se présente comme « la première carte agrégatrice de cartes bancaires en France ». Le groupe explique que cette carte permet « à ses clients de bénéficier des services les plus innovants en termes de paiement (paiement sans contact, paiement mobile…) sans changer de banque et même si la carte de sa banque ne les offre pas ».

« En étant bien plus qu'une néobanque, l'assistant personnel Max est au service de ses clients depuis exactement 18 mois, et nous sommes fiers d'annoncer que nous venons d'accueillir notre 100 000e client », ajoute le groupe.

Le calendrier est pour le moins étrange puisque nous parlions déjà de Max, de sa carte bancaire et de son assistant en décembre 2017 dans notre comparatif de 16 banques en lignes.

Contactée, la société s'explique sur cette différence de six mois : « Nous avons réalisé une ouverture progressive du service Max dès fin 2017 et jusqu’au lancement effectif et complet de l’application et des services en mai 2018. Ce lancement a été accompagné de la première campagne de publicité TV le 13 mai 2018. C'est donc cette dernière date que nous prenons comme lancement effectif ».

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Max revendique 100 000 clients

CRS-19 : suivez le troisième lancement d’une capsule Dragon de SpaceX, ce soir dès 18h29

CRS-19 : suivez le troisième lancement d'une capsule Dragon de SpaceX, ce soir dès 18h29

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Prévu pour hier, le lancement a finalement été décalé d'une journée à cause de vents violents en altitude. La capsule Dragon contenant le fret avait déjà été utilisée deux fois, lors des 4e (septembre 2014) et 11e (juin 2017) mission de transports vers la Station spatiale internationale. 

Une récupération du premier étage (SpaceX ne précise pas s'il a déjà été éprouvé en vol) est prévue sur la barge Of Course I Still Love You dans l'océan Atlantique. 

La fenêtre de tir s'ouvrira ce soir à partir de 18h29.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

CRS-19 : suivez le troisième lancement d’une capsule Dragon de SpaceX, ce soir dès 18h29

Le CEA et le Japon main dans la main pour le développement de réacteurs à neutrons rapides

Le CEA et le Japon main dans la main pour le développement de réacteurs à neutrons rapides

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Le 3 décembre, le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives a signé un accord partenariat avec l'entreprise française Framatome (anciennement Areva NP, concepteur de centrales nucléaires) et les organismes japonais JAEA, MHI et MFBR.

Cet accord « vise à approfondir les recherches sur des thématiques à forts enjeux pour cette technologie de réacteurs. Cela concerne les thématiques des accidents graves, de la validation des outils de calcul, de la justification des performances et de la durabilité des matériaux, de l’inspection sous sodium et l’instrumentation », explique le CEA.

Pour rappel, quelques réacteurs à neutrons rapides sont déjà en service à travers le monde. Ils présentent trois avantages majeurs selon le CEA : 

  1. « Ils peuvent utiliser sans limitation tout le plutonium produit par le parc actuel des réacteurs à eau légère, ce qui permet d’assurer une gestion rationnelle et pérenne du plutonium.
  2. Ils peuvent brûler tout type d’uranium, alors que dans les systèmes actuels, seul l’uranium 235 (un isotope minoritaire) est utilisé [...].
  3. Ils pourraient offrir la possibilité de transformer les actinides mineurs tels que l’américium, déchets de haute activité à vie longue, en éléments à vie plus courte. » 

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Le CEA et le Japon main dans la main pour le développement de réacteurs à neutrons rapides

En Inde, Amazon lance sa première enceinte connectée Echo sur batterie

En Inde, Amazon lance sa première enceinte connectée Echo sur batterie

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Comme son nom officiel à rallonge le laisse présager – Echo Input Portable Smart Speaker Edition – il s'agit en fait d'un Echo Input collé sur une enceinte et une batterie de 4 800 mAh.

Pour le reste aucune surprise : l'enceinte se comporte exactement comme n'importe quel autre produit de la gamme Echo, à ceci près qu'elle peut être déplacée dans la maison avec une autonomie de 10 heures en jouant de la musique, ou de 11 heures en veille.

L'Echo Input Portable Smart Speaker Edition est vendu exclusivement en Inde, pour 5 000 roupies, soit 63 euros au taux de change actuel, sans prendre en comptes les taxes.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

En Inde, Amazon lance sa première enceinte connectée Echo sur batterie

Mourir peut attendre (No time to die) : nouvelle bande-annonce pour le prochain James Bond

Mourir peut attendre (No time to die) : nouvelle bande-annonce pour le prochain James Bond

Le 05 décembre 2019 à 09h20

C'est un film attendu par les nombreux fans de l'agent secret britannique, cinq ans après Spectre.

Pourtant, cet avant-goût laisse une impression d'inachevé, partant dans tous les sens, multipliant les références et apparitions furtives comme pour vanter la qualité de son casting plutôt que celle de son scénario et de ce qui attend l'agent Bond.

Espérons que les prochains aperçus auront une autre saveur, le film n'étant de toute façon pas attendu avant avril 2020.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Mourir peut attendre (No time to die) : nouvelle bande-annonce pour le prochain James Bond

Plex se lance dans l’AVoD, du streaming vidéo avec publicités

Plex se lance dans l'AVoD, du streaming vidéo avec publicités

Le 05 décembre 2019 à 09h20

« Bien qu'il existe certainement d'autres services de streaming gratuits, nous sommes les premiers à proposer une vaste collection de contenus gratuits à un public véritablement mondial », explique l'éditeur

« En échange, nous vous demandons un peu de votre temps pour regarder certaines publicités ». Selon TechCrunch, il y a des publicités avant le chargement d'une vidéo, mais aussi des coupures pendant sa diffusion. Au total, Plex annonce « environ un tiers de la quantité de publicités attendue sur le câble ». 

Un accord avait été signé cet été avec Warner Bros, justement pour diffuser des contenus gratuitement en échange de publicités. Désormais, les studios MGM, Lionsgate, Bandai, Orio Picture et Legendary rejoignent la liste des partenaires.

Rien ne change pour votre bibliothèque personnelle, aucune publicité n'est ajoutée. 

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Plex se lance dans l’AVoD, du streaming vidéo avec publicités

La fibre à 10 Gb/s chez Orange ? Pas avant « deux ou trois ans »

La fibre à 10 Gb/s chez Orange ? Pas avant « deux ou trois ans »

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Lors de la présentation de son projet d'ici à 2025, Orange a évoqué de nombreux sujets, dont la montée en débit de ses réseaux, sans véritablement donner de détails.

Sur le fixe, le FAI a indiqué à de multiples reprises qu'un débit de 10 Gb/s n'était pas une demande de ses clients, les infrastructures et les services n'étant pas considérés comme matures pour une telle capacité.

Néanmoins, le ton commence à changer si l'on en croit la réponse de Fabienne Dulac à nos confrères de 01Net (appartenant à Altice France). Elle leur a confirmé qu'un passage à 10 Gb/s était bien envisagé d'ici deux à trois ans, mais pas avant. 

Le FAI travaille bien entendu déjà sur de telles évolutions, comme la concurrence. Mais son équipe n'a semble-t-il pas choisi de miser sur le 10G EPON comme Free, cette solution limitant les débits à 8 Gb/s dans la pratique. Aucun autre détail n'a été donné.

La croissance des capacités du réseau d'Orange étant de toutes façons un sujet constant, surtout avec l'arrivée prochaine de la 5G. Pour rappel, l'actuelle offre basée sur la « Livebox 5 » propose au maximum 2x 1 Gb/s par client.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

La fibre à 10 Gb/s chez Orange ? Pas avant « deux ou trois ans »

Sénat : la commission de la Culture réécrit une partie de la future loi Avia

Sénat : la commission de la Culture réécrit une partie de la future loi Avia

Le 05 décembre 2019 à 09h20

La commission a examiné hier la proposition de loi Avia, plus exactement quelques articles périmétriques sur lesquels elle était saisie pour avis (le 4 sur le rôle du CSA, les 6 bis et 6 ter sur le Code de l’éducation).

Selon nos informations, tout a été fait pour raccrocher le texte en gestation à la loi de 1986 sur la liberté de communication.

Ce toilettage a concerné par exemple la notion de « lignes directrices » dont serait chargée l’autorité. La commission de la Culture lui préfère la mention plus juridique de « recommandations », déjà présente dans la proposition.  

La commission ne veut pas que le CSA soit chargé d’examiner la licéité des contenus signalés aux plateformes, cette mission relevant du juge. Les coups de scalpel adéquats  ont été apposés à cette fin. 

Dans le texte actuel « le Conseil supérieur de l’audiovisuel rend publiques les mises en demeure et sanctions qu’il prononce ». Ce caractère automatique disparaît afin de laisser au conseil la liberté de choisir cette peine infamante. 

Enfin, le régime des mises en demeure est revu et corrigé pour être calqué sur celui de la loi de 1986.

Le 11 décembre, la commission des lois examinera cette fois le cœur de texte. « On va faire un sort à la loi Avia, on ne va certainement pas voter ce qui nous est arrivé de l'Assemblée. Pas question de confier la police de notre liberté d'expression aux GAFA » a déjà prévenu Bruno Retailleau (LR).

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Sénat : la commission de la Culture réécrit une partie de la future loi Avia

Un éléphant policier fracasse la porcelaine du renseignement

Un éléphant policier fracasse la porcelaine du renseignement

Le 05 décembre 2019 à 09h20

La semaine passée, Europol lançait une cyberattaque d'envergure impliquant douze États de l'Union européenne et neuf fournisseurs de services en ligne, dont Instagram, Google, Twitter et Telegram, contre l'« agence de presse » de Daech. La riposte visait 26 000 contenus disponibles en ligne, notamment « des vidéos de propagande et des comptes sur les réseaux sociaux glorifiant ou soutenant le terrorisme et l'extrémisme violent ».

D'après Europe 1, plusieurs comptes infiltrés appartenant aux services de renseignement français auraient été supprimés à cette occasion. La cyberattaque aurait en effet fait disparaître des dizaines de groupes pro-Daech ainsi que l’essentiel des milliers de comptes qui y étaient connectés, y compris des profils infiltrés de longue date.

« Un rouleau compresseur, une action digne d’un éléphant dans un magasin de porcelaine » déplore un auxiliaire des services de renseignement : « Ils ont donné un coup de pied dans la fourmilière, maintenant il y a des fourmis partout ». Les « vrais » cyberdjihadistes, dont certains avaient été repérés, seraient en effet en train de se réfugier vers au moins quatre autres plateformes, éclatant le travail de suivi. 

Parmi elles, Riot (utilisée par Tchap, la messagerie sécurisée de l’administration française), Hoop (une surcouche de Snapchat) ou encore TamTam, la messagerie chiffrée et distribuée de Mail.ru, où les services seraient à l’aveugle. Selon Europe 1, ils avaient développé sur Telegram des outils techniques pointus, et notamment trouvé comment remonter jusqu’au créateur d’une chaîne à partir du lien temporaire d’invitation, ou développé une astuce pour pister les comptes anonymes à partir de numéros de suspects.

Europe 1 ne précise pas si d’autres comptes infiltrés d’autres services de renseignement étrangers auraient eux aussi été censurés, non plus que les dégâts, en matière de renseignement, que cette « cyberattaque d’envergure » aura pu engendrer.

Le 05 décembre 2019 à 09h20

Un éléphant policier fracasse la porcelaine du renseignement

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