#Le brief du 14 avril 2023

Proton Calendar gère enfin les partages de calendrier

Proton Calendar gère enfin les partages de calendrier

Le 14 avril 2023 à 05h34

Le service de Proton manquait de plusieurs fonctionnalités essentielles à un agenda en ligne aujourd’hui, notamment le partage. Cette fonction est désormais disponible pour l’ensemble des utilisateurs.

Il y a deux cas de figure. Soit les personnes avec qui un calendrier est partagé utilisent également Proton et l’ensemble des communications est alors chiffré de bout en bout. Soit ce n’est pas le cas, et ce chiffrement ne peut plus être préservé.

Le partage se lance depuis la version web, via le menu « … ». Dans le même temps, l’application Android permet d’ouvrir des invitations à des évènements à partir de n’importe quelle application.

Le 14 avril 2023 à 05h34

Proton Calendar gère enfin les partages de calendrier

Les abonnés Canal+ auront gratuitement Apple TV+ à partir du 20 avril

Les abonnés Canal+ auront gratuitement Apple TV+ à partir du 20 avril

Le 14 avril 2023 à 05h34

Voilà un accord que l’on n’attendait pas : les abonnements Canal+ vont intégrer TV+ d’Apple, sans surcoût, à compter du 20 avril, soit dès la semaine prochaine.

Un « accord historique » pour Maxime Saada, l’actuel PDG du groupe, qui précise qu’il n’y aura même pas besoin de l’application TV+ d’Apple, puisque les contenus du service seront directement ajoutés dans MyCanal.

Une manière pour Apple de se faire connaitre et pour Canal+ de lutter contre d’autres plateformes, Netflix en tête. Dans Variety, on apprend également que cet accord de plusieurs années (on ne sait pas combien) s’exporte aussi en Suisse, en République Tchèque et en Slovaquie.

Eddy Cue, vice-président des services chez Apple, a indiqué au magazine qu’Apple n’avait jamais noué un tel partenariat jusque-là, mais qu’ils se connaissent bien avec Canal+ depuis des années. Le responsable s’est d’ailleurs montré particulièrement élogieux vis-à-vis du groupe français.

Interrogé lui aussi par Variety, Maxime Saada a indiqué qu’Apple était la « seule marque » avec laquelle un tel accord global pouvait être considéré.

Le 14 avril 2023 à 05h34

Les abonnés Canal+ auront gratuitement Apple TV+ à partir du 20 avril

Les licenciements massifs et des problèmes de leadership affectent les employés de Meta

Les licenciements massifs et des problèmes de leadership affectent les employés de Meta

Le 14 avril 2023 à 05h34

« Moral à zéro, licenciements, ambiance délétère : c’est la cata chez Meta », titre 01Net, pour qui, sur fond de crise chez les Big Tech', et d'échec du métavers, « rien ne va plus chez Meta », qui a également raté le virage de l'IA, où le cours en bourse a chuté de 43 % en 19 mois, et où « plus personne n’est à l’abri d’un renvoi ». 

Un article du New York Times rappelle en effet que Mark Zuckerberg a déclaré que 2023 serait « l'année de l'efficacité ». Et ce, alors qu'il a déjà procédé à deux vagues de licenciements ces 6 derniers mois, congédiant 21 000 de ses 76 000 salariés, tout en renonçant à 5 000 embauches supplémentaires initialement planifiées.

Si les deux premières salves de licenciements ont surtout visé les équipes commerciales et de recrutement, les prochaines devraient se concentrer sur les départements techniques, notamment les ingénieurs, chose inimaginable jusqu'alors.

Plusieurs cadres dirigeants auraient par ailleurs quitté la Silicon Valley et déménagé à New York, Tel Aviv ou Londres, préférant télé-travailler. Et ce, alors que Mark Zuckerberg, lui-même en congé parental suite à la naissance de son troisième enfant, réclame à ses employés de revenir travailler au siège social, qui serait lui aussi affecté, relève 01Net : 

« Travailler pour une grande entreprise comme celle de Mark Zuckerberg signifiait pour tous ses salariés bénéficier de mille et un avantages, difficilement imaginables pour les salariés français : service de blanchisserie gratuit, dîner pris au bureau avec la possibilité de le ramener à la maison, service de collation à toute heure de la journée, large choix de menus à la cafétéria, primes en tout genre… Deux ans plus tard, ces avantages n’existent presque plus. »

Le 14 avril 2023 à 05h34

Les licenciements massifs et des problèmes de leadership affectent les employés de Meta

Logiciels espion : REIGN, le quasi-clone de Pegasus, fait de nouveau parler de lui

Logiciels espion : REIGN, le quasi-clone de Pegasus, fait de nouveau parler de lui

Le 14 avril 2023 à 05h34

Une nouvelle enquête du Citizen Lab et de Microsoft Threat Intelligence a permis d'identifier les traces du logiciel espion REIGN de la société QuaDream sur les portables d'« au moins cinq victimes », dont des journalistes, des personnalités de l'opposition politique et un membre d'une ONG.

REIGN, développé par la société israélienne Quadream, était proposé pour 2,2 millions de dollars (hors frais de maintenance) selon une brochure datant de 2019, offrant la possibilité de pirater jusqu'à 50 smartphones par an. Le prix de REIGN serait depuis « généralement plus élevé ».

QuaDream aurait établi un partenariat avec une société chypriote appelée InReach Technologies, et Citizen Lab aurait identifié plus de 600 serveurs et 200 noms de domaine de leurs infrastructures exploités depuis la Bulgarie, la République tchèque, la Hongrie, le Ghana, Israël, le Mexique, la Roumanie, Singapour, les Émirats arabes unis (EAU) et l'Ouzbékistan.

« De nombreuses personnes clés associées aux deux sociétés ont des liens antérieurs avec un autre fournisseur de services de surveillance, Verint, ainsi qu'avec des agences de renseignement israéliennes », précise le Citizen Lab. 

QuaDream fait partie, avec ses concurrents eux aussi israéliens NSO, Intellexa, Cytrox et Paragon, des rares entreprises spécialisées à utiliser des exploits « zero-click » permettant d'infecter leurs cibles sans qu'elles aient besoin de cliquer sur quoi que ce soit, en l'espèce : un exploit IoS 14.

Le 14 avril 2023 à 05h34

Logiciels espion : REIGN, le quasi-clone de Pegasus, fait de nouveau parler de lui

AWS va proposer l’accès à des grands modèles de langage

AWS va proposer l’accès à des grands modèles de langage

Le 14 avril 2023 à 05h34

Restée très discrète jusqu'à présent, Amazon Web Services rejoint tous les géants du numérique dans la nouvelle course des IA génératives. Mais l'entreprise de Jeff Bezos saute la case démo et ne propose pas une énième version de ChatGPT.

AWS va proposer à ses clients un nouveau service appelé Bedrock, explique Techcrunch, qui permettra aux développeurs et développeuses d'utiliser différents modèles de langages créés par des startups comme AI21 Labs, Anthropic et Stability AI, mais aussi une famille de modèles de langage maison. Celle-ci ne sera pour l'instant accessible qu'en « limited preview ».

Le 14 avril 2023 à 05h34

AWS va proposer l’accès à des grands modèles de langage

Lancement d’un groupe de travail européen sur ChatGPT et la protection des données

Lancement d’un groupe de travail européen sur ChatGPT et la protection des données

Le 14 avril 2023 à 05h34

Le Comité européen de la protection des données (en anglais, European Data Protection Board, EDPB) a annoncé la création d'un groupe de travail sur chatGPT. La décision a été prise lors d'une réunion du comité qui réuni les différentes autorités de régulation nationales dont la CNIL fait partie.

Elle suit la récente décision de l’autorité italienne (la Garante per la protezione dei dati personali) d'interdire l'accès au service du chatbot sur son sol et aux différentes plaintes déjà déposées en France auprès de la CNIL. La Garante a d'ailleurs précisé mercredi qu'elle lèvera ce blocage le 30 avril si OpenAI met en œuvre des mesures adéquates, dont l'affichage d'une note d'information sur la gestion du traitement des données nécessaires au fonctionnement de ChatGPT ainsi que les droits accordés aux personnes concernées (utilisateurs mais aussi non-utilisateurs) mais aussi un blocage des utilisateurs mineurs sur la base d'une déclaration d'âge.

Mardi, l'Agence espagnole avait demandé une discussion européenne sur le sujet, le processus est donc en cours.

Le 14 avril 2023 à 05h34

Lancement d’un groupe de travail européen sur ChatGPT et la protection des données

L’institut AI Now appelle à « confronter le pouvoir technologique »

L’institut AI Now appelle à « confronter le pouvoir technologique »

Le 14 avril 2023 à 05h34

Cofondé en 2017 par les chercheuses Kate Crawford et Meredith Whittaker, l’institut AI Now de l’Université de New-York vient de publier son rapport annuel sur l’intelligence artificielle, titré « confronter le pouvoir technologique ».

Alors que les pronostics sur le futur de l’intelligence artificielle sont toujours plus sombres, « il est temps pour les régulateurs et pour le public de s’assurer que rien dans l’intelligence artificielle (et dans l’industrie qui l’alimente) ne va de soi », introduit la synthèse.

Publiées en 2018 puis en 2019, les précédentes éditions des rapports de l’AI Now Institute se penchaient à l’époque sur le développement des systèmes de reconnaissance faciale, « jusqu'à ce que les réactions des communautés locales fassent pression sur les responsables gouvernementaux ».

De même, insistent encore, en gras, les autrices du rapport : « l’intelligence artificielle n’a rien d’inévitable ».

Il est urgent de tirer des leçons de l’ère du « move fast and break things » des Big Tech, insiste encore l’institut, et bonne nouvelle : cette fois-ci, nous avons déjà mis en place des lois et des débuts de cadres qui s’imposent aux constructeurs d’algorithmes.

Partout où l’IA est utilisée, « la technologie ne fonctionne pas comme prévu et produit des taux d’erreurs élevés et des résultats injustes et discriminatoires ».

Pour pallier ce problème, et celui, peut-être moins simple à discerner, qui chercherait à faire croire que nous n’avons rien à dire sur le déploiement de ces technologies, le rapport propose quatre axes de travail. 
Tous visent un seul but, celui de remettre la responsabilité du déploiement et de la sécurisation de ces technologies dans les mains de leurs créateurs, c’est-à-dire des grandes entreprises technologies :

  • « Faire peser sur les Big Tech la charge de démontrer que leurs technologies et leurs actions ne provoquent pas de dommages, plutôt que de laisser au public et aux régulateurs le rôle d’enquêter en permanence, d’identifier et de trouver des solutions après que les dommages ont eu lieu »
  • « Casser les silos entre les arènes politiques, afin d’être mieux préparés à gérer les effets d’un programme politique sur un autre. » Ici, le rapport pointe la surface d’action des Big Tech à travers de multiples secteurs économiques et politiques, ce qui leur permet de faire jouer à leur avantage le cloisonnement des secteurs.
  • « Identifier les espaces où les approches politiques sont vidées de leur substance par l’industrie et réorienter nos stratégies en conséquence ». Le rapport pointe ici la propension qu’a eu le milieu de la tech à prôner une réglementation « douce », par l’éthique, de la reconnaissance faciale, pour, in fine, pouvoir continuer de développer ses outils.
  • « Dépasser notre focalisation restreinte sur les leviers législatifs et politiques pour adopter une théorie du changement bien plus large ». Ici, le rapport suggère de s’inspirer des organisations de défense du climat ou des travailleurs, qui identifient les enjeux de très long terme pour travailler dessus.

Le 14 avril 2023 à 05h34

L’institut AI Now appelle à « confronter le pouvoir technologique »

Infomaniak lance son application mobile kMail en bêta

Infomaniak lance son application mobile kMail en bêta

Le 14 avril 2023 à 05h34

En février 2022, Infomaniak relevait ses plafonds de stockage pour son service kMail, en proposant 20 Go de stockage pour les emails, assortis de 15 Go pour le stockage des documents et autres données.

Aujourd’hui, la société propose enfin une application mobile (Android et iOS) pour son service, qui n’était juste-là accessible que via un webmail sur smartphones et tablettes.

Elle est pour l’instant en bêta. Infomaniak précise dans son annonce que les places sont limitées, mais que d’autres seront ouvertes en fonction des retours et demandes.

Selon l’entreprise, une application mobile est plus à même de fonctionner partout qu’un webmail, puisqu’elle communique directement avec les serveurs en passant par les API maison. Comme l’application kDrive, elle est open source (GPLv3) et dépourvue de publicité.

L’application propose actuellement toutes les fonctions de base que l’on peut attendre d’un client email. On peut personnaliser les gestes tactiles et les couleurs, la biométrie est prise en charge, de même que les notifications push et la bascule entre plusieurs comptes.

On peut s’inscrire pour tester l’application en rejoignant soit le programme bêta sur Android via Google Play ou F-Droid, soit sur iOS en passant par Test Flight.

Le 14 avril 2023 à 05h34

Infomaniak lance son application mobile kMail en bêta

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