Déployée avec le firmware 1.3.29, cette fonctionnalité met « en avant certains paramètres permettant de réduire la consommation électrique du Freebox Player, par exemple en proposant de réduire le délai d’inactivité avant extinction ».

Dans la même veine, « certaines améliorations ont aussi été apportées pour réduire la consommation électrique de manière transparente pour l’utilisateur, notamment en éteignant la TNT lorsqu’elle n’est pas en cours d’utilisation ». 

La Freebox démarre en 5 à 10 secondes de moins lors de l‘allumage, un écran de veille – « pour l’instant désactivé par défaut » – se trouve dans les réglages. Divers correctifs sont également de la partie.

Comme toujours, il suffit de redémarrer sa Freebox pour installer la mise à jour 1.3.29

Les inscriptions au challenge inter-écoles du quatrième Tournoi de renseignement et d’analyse de CentraleSupélec (TRACS) sont ouvertes, annonce la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) : 

« Depuis 2018, la DGSE s’associe à ViaRézo, l’association du réseau informatique de CentraleSupélec, pour organiser cette compétition unique regroupant une grande diversité d’épreuves techniques mais pas seulement… Crochetage de serrure, passage à la douane sous fausse identité…. Les compétiteurs devront ainsi résoudre, en équipe, le plus grand nombre de défis possible en 12 heures. »

Les épreuves, « conçues spécialement par nos agents, auront pour but de les inviter à rechercher et à obtenir les renseignements nécessaires pour déjouer les plans d’une organisation malveillante ».

TRACS, qui « est ouvert aux étudiants de toute la France, ayant un intérêt pour l'informatique, ainsi qu'aux professionnels désireux de mettre à l'épreuve leurs compétences », se tiendra le samedi 3 décembre, entre 7h30 et 23 h, sur le campus Paris-Saclay de CentraleSupélec, à Gif-sur-Yvette. 

« Les frais de déplacement pourront vous être partiellement ou totalement remboursés sous réserve d'acceptation de votre dossier », précise le site de TRACS. « La décision dépendra notamment de la distance de CentraleSupélec à votre foyer et des fonds disponibles ».

Le Journal du Net (JDN) révèle qu'Amazon Web Services (AWS) préparerait une offre de « cloud de confiance » avec Atos : 

« D'après plusieurs sources concordantes recueillies par le JDN, le groupe de Jeff Bezos a signé un accord avec Atos en vue de proposer ses services cloud sur une infrastructure isolée des législations extraterritoriales. Une infrastructure qui sera pilotée par le groupe français. Le projet est en préparation depuis plusieurs mois. »

« Après Microsoft qui s'associe à CapGemini et Orange (Bleu), Google qui s'associe à Thalès (S3NS), au tour d'Amazon AWS de s'associer avec Atos pour créer une offre de cloud dite "de confiance" censée échapper à l'extraterritorialité des lois américaines. », commente Guillaume Champeau sur Twitter.

« Depuis le temps qu'on attend que l'annonce soit faite.... (ça fait plus d'un an que le projet est évoqué dans les arcanes du cloud) » relève de son côté David Legrand. Tous les deux travaillent chez Clever Cloud.

Cette annonce intervient « alors qu'Atos traverse une mauvaise passe », souligne le JDN. Son chiffre d'affaires a en effet « reculé de 2,5 % en 2021 et de 0,6 % au premier semestre 2022 », et « la valeur de son action a été divisée par huit depuis début 2021 ». 

Au point qu'en juin, le groupe a annoncé un projet de scission, en deux entités. La première regrouperait ses prestations d'infogérance, « en perte de vitesse », la seconde « ses activités en forte croissance : conseil en numérisation, cybersécurité, serveurs haute performance et supercalculateur » : 

« Baptisée Evidian, c'est cette deuxième entité qui sera en charge de porter le partenariat avec AWS. »

Axios vient de sortir l’information, le réseau social qui avait mis en place les « instant articles » en 2015 les abandonnera en avril prochain.

Le format qui était censé améliorer la rapidité de chargement des articles devenait beaucoup trop sous-utilisé de l'aveu même d'un porte-parole de Meta interrogé par Axios.

Facebook avait d'abord proposé cette possibilité aux éditeurs américains puis français avant de l'ouvrir à tout un chacun. Vendant une meilleure expérience utilisateur et des possibilités de contenus interactifs, l'entreprise espérait aussi capter une partie du marché de la publicité grâce à l'intégration d'annonces publicitaires via sa régie Facebook Audience Network.

Cet arrêt des « instant articles » accompagne celui de la plateforme de newsletters de Meta annoncé une semaine avant et la décision de la plateforme d’arrêter de payer les médias américains pour l’apparition de leurs informations dans l’onglet « news » du réseau social.