#Le brief du 29 septembre 2021

Pluie d’annonces chez Amazon : objets connectés, Hey Disney, New World, Glow, reconnaissance vocale hors ligne…

Pluie d’annonces chez Amazon : objets connectés, Hey Disney, New World, Glow, reconnaissance vocale hors ligne…

Le 29 septembre 2021 à 08h11

Le géant de la vente en ligne tenait hier sa conférence de la rentrée avec, comme chaque année, une multitude de nouveautés.

Pêle-mêle, on peut citer la Blink Video Doorbell, une sonnette vidéo connectée à partir de 59,99 euros, une enceinte connectée Echo Show 15 de 15,6" à 249,99 euros et du Wi-Fi mesh avec le eero Pro 6 disposant d’un hub Zigbee intégré à 199 euros. Toujours du côté des écrans, le Glow est pensé pour les enfants à partir de 3 ans. Il n’est pour le moment proposé que sur invitation, à partir de 249,99 dollars.

Signalons aussi un nouvel assistant vocal en partenariat avec Disney, qui fonctionne aussi bien à la maison que dans les Walt Disney World Resort. Il s’active avec les mots clés « Hey, Disney ». Vous pourrez « interagir avec des personnages bien-aimés des mondes de Disney, Pixar, Marvel, StarWars, etc. ». Le partenariat avec Sonos continue avec des lampes Symfonisk.

De nouveaux objets connectés sont également annoncés avec le Halo View. Il s’agit d’un bracelet connecté avec un écran qui sera vendu à partir de 79,99 dollars. Il sera accompagné des services Halo Fitness et Nutrition.

La société lance en outre son MMORPG New World. Tous les détails sont disponibles dans ce communiqué, avec une bande-annonce par ici.

Côté logiciel, des nouveautés sont aussi à venir. Par exemple, aux États-Unis, il sera prochainement possible de traiter certaines commandes vocales en local, au lieu d’envoyer les fichiers audio sur les serveurs d’Amazon. Seuls les produits équipés d’une puce AZ1 Neural Edge pourraient en profiter (l’Echo de 4e génération par exemple).

Le 29 septembre 2021 à 08h11

Pluie d’annonces chez Amazon : objets connectés, Hey Disney, New World, Glow, reconnaissance vocale hors ligne…

Vidéo YouTube du débat Mélenchon-Zemmour : Canal Plus évoque un blocage automatique involontaire

Vidéo YouTube du débat Mélenchon-Zemmour : Canal Plus évoque un blocage automatique involontaire

Le 29 septembre 2021 à 08h11

Canal Plus rétablit la vidéo YouTube du débat entre Jean-Luc Mélenchon et Eric Zemmour, sur la chaîne YouTube du chef de file de la France Insoumise.

En guise d’explications de cette restriction d’accès, le responsable des contenus numériques de C8 et Canal Plus évoque sur Twitter « un blocage automatique malencontreux, qui n'est en aucun cas volontaire ».

Piste suggérée par un internaute : « le groupe Canal en a utilisé des extraits pour ses émissions d'infos. Il a copyrighté son contenu. Le robot YouTube a supprimé l'original comme infraction au copyright ».

Le 29 septembre 2021 à 08h11

Vidéo YouTube du débat Mélenchon-Zemmour : Canal Plus évoque un blocage automatique involontaire

La fibre pour tous les Français d’ici trois ans, ou adieu la licence

La fibre pour tous les Français d’ici trois ans, ou adieu la licence

Le 29 septembre 2021 à 08h11

« Les licences accordées aux opérateurs téléphoniques chargés d’exploiter les infrastructures numériques se voient retirées, si, d’ici trois ans, 100 % du territoire n’est pas équipé ».Voilà l’unique article de la proposition de loi de Guillaume Peltier.

Une proposition brute de décoffrage, témoignage d’un certain agacement du député de Loir-et-Cher, vice-président du groupe les Républicains.

« Depuis quinze ans, les opérateurs téléphoniques et numériques investissent en masse là où la rentabilité est la meilleure : équiper un maximum d’individus sur un minimum de surface, soit les grandes villes. Ce fut une bonne chose, à l’évidence. Sauf que l’État et les pouvoirs publics n’exigent toujours pas que les profits obtenus dans ces investissements soient, en partie, consacrés à investir pour équiper les territoires ruraux. Résultat : notre retard est immense et bride le développement ».

En s’appuyant sur les travaux de l’UFC Que Choisir, qui épinglait les trop nombreux cas d’exclusion numériques, il dénonce « ces déserts numériques », soit autant de freins au développement économique.

« En effet, l’enjeu n’est pas seulement de donner accès aux habitants à une connexion décente, aujourd’hui nécessaire pour de multiples services, mais également développer l’attractivité des territoires pour attirer les talents et les entreprises et in fine favoriser le développement économique ».

Pour le parlementaire, « il n’est pas concevable que depuis vingt ans, notre développement économique soit freiné par l’incapacité de l’État à imposer aux opérateurs téléphoniques un investissement juste et équitable. J’appelle, désormais, à des mesures coercitives : nous ne devrions plus accorder de licences aux opérateurs qui ne s’engagent pas à équiper 100 % des Français d’ici trois ans ».

Si le plan France THD prévoit d’atteindre 100 % de fibre en 2025, le sénateur Patrick Chaize, également LR, avait développé une autre analyse en 2020 : « ne soyons pas plus bêtes que la moyenne : évidemment qu’on sait que le 100 % on ne l’atteindra jamais, mais on ne l’atteint avec aucun réseau. Il faut avoir la démarche intellectuelle de penser que c‘est le réseau qui va devenir le réseau de communication de demain et qui devrait pouvoir répondre à la quasi-totalité des cas ».

Le 29 septembre 2021 à 08h11

La fibre pour tous les Français d’ici trois ans, ou adieu la licence

France Télévisions et TF1 attaquent Canal Plus pour sa gratuité durant le confinement

France Télévisions et TF1 attaquent Canal Plus pour sa gratuité durant le confinement

Le 29 septembre 2021 à 08h11

Durant le premier confinement, Maxime Saada avait décidé d’offrir l’accès à ses chaînes Cinéma, Séries, Jeunesse et Documentaires. « Prenez soin de vous » priait le généreux patron du bouquet en principe payant.

Près d’un an et demi plus tard, effet boomerang : le journal les Échos révèle que France Télévisions et TF1 réclament la bagatelle de 40 millions d’euros pour ce cadeau.

Pour comprendre pourquoi, il faut revenir à mars 2020. « Ce n’est pas parce qu’il y a une épidémie qu’en France, on a le droit de rouler à gauche ! », nous commentait alors Pascal Rogard, le directeur général de la SACD, non sans détailler l’origine de son courroux sur fond de chronologie des médias.

« Canal+ a signé des contrats avec les producteurs pour une diffusion cryptée, ces mêmes producteurs pour une partie d’entre eux ont même cédé des exclusivités de diffusion à des chaînes en clair comme TF1, M6 et d’autres. Le fait de diffuser en clair ces films ne respecte donc pas le principe du droit d’auteur alors que Canal+ depuis un an ne cesse de prétendre qu’il veut être le champion de la lutte contre la piraterie. En matière de management, c’est l’exemplarité qui compte ».

Et le même de rappeler que « les chaînes en clair ont aussi d’énormes difficultés – elles perdent près de 50 % de la publicité. Ils ont un nouveau concurrent qui passe des films au bout de huit mois quand, elles, elles doivent attendre 18 ou 20 mois ».

Le 29 septembre 2021 à 08h11

France Télévisions et TF1 attaquent Canal Plus pour sa gratuité durant le confinement

1Password permet la création d’alias aléatoires pour les emails

1Password permet la création d’alias aléatoires pour les emails

Le 29 septembre 2021 à 08h11

À la manière de « Hide my email » chez Apple, 1Password propose une fonctionnalité équivalente. Une personne abonnée peut désormais créer un alias aléatoire chaque fois qu’elle rencontre un formulaire d’inscription.

La fonction a été développée en partenariat avec Fastmail, auquel nous avions consacré un article. Le mécanisme est globalement le même que chez Apple pour les abonnés iCloud+, à la différence que 1Password fonctionne sur presque toutes les plateformes.

La communication se fait surtout sur l’idée de ligne de défense supplémentaire : en cas de fuite de données, le service attaqué ne disposera pas de la véritable adresse. Il devient même possible, en généralisant ce mécanisme, de savoir qui est responsable d’un spam, chaque inscription à un service s’appuyant sur une adresse unique.

Cette fonction, nommée Masked Mail, est disponible pour toutes les personnes abonnées à la fois à 1Password et Fast Mail. Une fois la jonction faite dans 1Password, toute détection de formulaire proposera de créer une adresse unique.

Le 29 septembre 2021 à 08h11

1Password permet la création d’alias aléatoires pour les emails

La bêta de Fedora 35 est disponible

La bêta de Fedora 35 est disponible

Le 29 septembre 2021 à 08h11

En attendant la version finale qui devrait sortir vers la fin d’octobre, la bêta permet de se faire une bonne idée de ce qui attend les utilisateurs.

Comme toujours avec Fedora, on observe une mise à jour presque totale des paquets, avec systématiquement les dernières versions. Pas d’hésitation donc, la version classique embarque le tout neuf GNOME 41, Python 3.10, PHP 8.0, firewalld 1.0.0, GCC 11, glibc 2.34, LLVM 13, Perl 5.34, etc.

Fedora 35 continue sa route vers PipeWire en remplacement de PulseAudio, et en profite pour transiter vers WirePlumber comme gestionnaire de session par défaut.

Fedora accueille également une nouvelle variante officielle, Kinoite. Elle est basée sur KDE Plasma et rpm-ostree. Comme Silverblue – dont nous avions parlé – elle est immuable et autorise les mises à jour « atomiques » (granulaires).

Le 29 septembre 2021 à 08h11

La bêta de Fedora 35 est disponible

Prix du livre : la future loi anti-Amazon devant l’Assemblée nationale

Prix du livre : la future loi anti-Amazon devant l’Assemblée nationale

Le 29 septembre 2021 à 08h11

La commission des affaires culturelles examinera aujourd’hui à l’Assemblée nationale, la proposition de loi « visant à améliorer l'économie du livre et à renforcer l'équité et la confiance entre ses acteurs ».

Le texte, défendu par la députée Aurore Bergé et porté par la sénatrice Laure Darcos, a déjà été notifié à la Commission européenne par le gouvernement le 17 juin dernier. Témoignage de la volonté de l’exécutif de soutenir cette proposition.

Que prévoit-elle ? Au fil de ses six articles, la « PPL » entend permettre au ministère de la Culture de fixer un montant minimum de tarification des frais de livraison de livres. La disposition est évidemment taillée pour remettre un peu de concurrence entre le géant Amazon et les libraires.

« Ce montant pourra varier en fonction des catégories de poids des colis expédiés », prévient l’exposé des motifs qui rappelle que « lorsqu'Amazon facture 1 centime d'euro pour expédier un livre à domicile, il en coûte en moyenne 6,50 € au libraire pour le même envoi ».

Autre mesure attendue par le secteur : obliger les plateformes à bien distinguer les offres de livres neufs face aux mêmes titres d’occasion.

Les plateformes devront ainsi opter pour des solutions adaptées, « de telle sorte que l'utilisateur ne puisse penser qu'un livre neuf peut être vendu à un prix différent de celui fixé par l'éditeur ou l'importateur, alors que la loi du 10 août 1981 impose un prix unique du livre ».

De même, « le régime des soldes est réformé afin que la faculté de solder un livre ne soit ouverte qu'aux seuls détaillants, en excluant cette faculté pour les éditeurs exerçant également une activité de détaillant ».

L’article 2 permettra aux communes de verser des subventions aux libraires indépendants.

Si d’autres dispositions concernent les relations contractuelles dans le secteur du livre, relevons l’article 5 consacré au dépôt légal.

Aujourd’hui, « la collecte automatisée des sites web et des documents numériques, prévue par la loi, fonctionne mal : elle laisse échapper les contenus numériques non librement accessibles (par exemple payants ou protégés par des processus d'authentification), qui sont chaque jour plus nombreux ».

La proposition prévoit un dépôt obligatoire pour ces contenus non librement accessibles. Un dépôt qui se fera « dans un format dépourvu de mesure technique de protection pour permettre, dans des conditions de sécurisation garantissant leur non-dissémination, la reproduction des documents par les organismes dépositaires à des fins de conservation et de consultation pérennes ».

Relevons que la Commission européenne a adressé des « observations » à l’encontre de ce texte, tout comme l’Estonie, sans que la teneur de ces possibles critiques n’ait été révélée.

Le 29 septembre 2021 à 08h11

Prix du livre : la future loi anti-Amazon devant l’Assemblée nationale

Windows 11 : le Microsoft Store distribuera les boutiques d’Epic Games et Amazon

Windows 11 : le Microsoft Store distribuera les boutiques d’Epic Games et Amazon

Le 29 septembre 2021 à 08h11

Dans un mouvement d’ouverture sans doute destiné à bien insister sur la différence qui peut exister avec Apple, Microsoft annonce plusieurs apports majeurs pour sa boutique, complètement remaniée dans Windows 11.

Le Microsoft Store veut être le lieu unique de téléchargement pour équiper sa machine en applications. Les développeurs peuvent y proposer leurs créations en Win32, .NET, UWP, Xamarin, Electron, React Native, Java et Progressive Web Apps, le Store ne faisant aucune différence.

Microsoft indique que la préversion de Windows 11 a vu l’inscription de centaines d’éditeurs pour profiter des nouvelles capacités de la boutique. Discord, Zoom, KakaoTalk, Luminar AI, Music Maker, VLC, TeamViewer, Adobe Acrobat Reader DC, LibreOffice ou encore les propres applications Microsoft (PowerToys, Visual Studio Code, Visual Studio Community…) sont déjà là.

Cette ouverture se fait également sur deux autres volets. Premièrement envers les autres boutiques : l’Epic Games Store et l’Amazon Store seront distribués sur le Microsoft Store.

Depuis la boutique de Windows 11, on pourra récupérer le client Epic. Pour Amazon, cela concerne les applications Android, dont le support doit arriver « bientôt » en préversion, après la commercialisation du système.

Il ne s’agit donc pas de récupérer directement les jeux et applications de ces boutiques depuis le Microsoft Store, mais d’une facilité. Comme pour tout le reste, Microsoft semble tenir à ce que l’on passe par sa boutique plutôt que de se rendre sur un site pour télécharger un exécutable.

Deuxièmement, l’éditeur avait annoncé en juin une ouverture vers les navigateurs. Comprendre qu’il est enfin possible pour un éditeur de proposer un autre moteur de rendu, les règles du Store ayant imposé jusqu’ici l’utilisation d’Edge via sa WebView. Conséquence, Opera et Yandex Browser sont montés à bord. On ne sait pas encore si les autres sont intéressés.

Le 29 septembre 2021 à 08h11

Windows 11 : le Microsoft Store distribuera les boutiques d’Epic Games et Amazon

Cloud : Sewan rachète Ikoula

Cloud : Sewan rachète Ikoula

Le 29 septembre 2021 à 08h11

Sewan est un opérateur et un hébergeur comprenant 700 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 150 millions selon ce communiqué. Le rachat d’Ikoula va lui permettre « de renforcer son expertise Cloud et de diversifier sa gamme de produits dédiés à l’hébergement ». C’est la 8e acquisition depuis la création de Sewan en 2007.

De son côté, Ikoula « compte plus de 6 600 clients répartis dans 60 pays pour un chiffre d’affaires 2020 de 8 millions d’euros ». Cette entreprise emploie « une soixantaine de collaborateurs experts » et possède ses propres datacenters situés en France, à Reims et Eppes.

Alexis de Goriainoff, CEO de Sewan, affirme accueillir l’ensemble des collaborateurs Ikoula au sein de l’aventure Sewan ». Des détails sur les synergies attendues sont disponibles par ici. Le montant de la transaction n’est pas précisé.

Le 29 septembre 2021 à 08h11

Cloud : Sewan rachète Ikoula

L’ANFR contrôle le DAS de 13 smartphones 5G : tous « conformes à la réglementation »

L’ANFR contrôle le DAS de 13 smartphones 5G : tous « conformes à la réglementation »

Le 29 septembre 2021 à 08h11

Depuis le début de l’année, l’Agence nationale des fréquences a contrôlé 46 smartphones. 44 sont dans les clous et deux sont au-dessus de la limite réglementaire concernant les émissions d’ondes : les EssentielB HeYou 40 et 60 de Boulanger. Des mises à jour ont été déployées afin de corriger le souci.

13 smartphones 5G sont passés sur le banc de test, dont les Samsung Galaxy S20 Ultra 5G, S20 Plus 5G et Note 5G. Les premiers résultats « montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont co-localisées ». « Des augmentations moyennes de 0,4 % pour le DAS tronc et de 1,8 % pour le DAS membre ont ainsi été constatées », selon l’ANFR.

Elle rappelle que, « contrairement aux technologies précédentes, la 5G actuelle dans la bande 3,5 GHz impose au téléphone d’utiliser simultanément deux réseaux, le réseau 4G et le réseau 5G », c’est ce qu’on appelle la 5G « Non-Standalone (NSA) ».

Si 46 smartphones ont été analysés, 99 ont été prélevés chez les commerçants, mais ne sont pas encore passés sur le banc. Des contrôles sur pas moins de 140 smartphones sont prévus sur l’année. Après une hausse de près de 30 % en 2020, une autre augmentation importante est attendue pour 2021.

Le 29 septembre 2021 à 08h11

L’ANFR contrôle le DAS de 13 smartphones 5G : tous « conformes à la réglementation »

« Fake news santé » : l’Inserm publie un livre pour « une information scientifique rigoureuse et crédible »

« Fake news santé » : l’Inserm publie un livre pour « une information scientifique rigoureuse et crédible »

Le 29 septembre 2021 à 08h11

« Jeûner serait bon pour lutter contre le cancer, les stérilets rendraient stériles ou encore le VIH serait transmis par les piqûres de moustiques : dans le domaine de la santé, les fausses informations ont toujours existé », rappelle l’Institut national de la santé et de la recherche médicale.

Ces dernières années, les réseaux sociaux ont servi de caisse de résonance à certaines théories… et la crise sanitaire de la Covid-19 n’a rien arrangé. Avec les éditions Cherche midi, l’Inserm décline son label Canal Détox en livre.

« À travers une approche didactique et thématique, le recueil décortique près de 80 fausses informations en santé. Covid bien entendu, mais aussi alimentation, cancer, santé mentale, VIH… de nombreuses idées reçues sont battues en brèche, en s’appuyant sur les données scientifiques les plus récentes et sur l’expertise des chercheurs et chercheuses de l’Inserm ».

Il sera disponible dans les librairies à partir de demain. Amazon le propose à 14 euros en version brochée et 8,99 euros au format Kindle.

Le 29 septembre 2021 à 08h11

« Fake news santé » : l’Inserm publie un livre pour « une information scientifique rigoureuse et crédible »

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