Dans la journée d'hier, les liens vers plusieurs sites, notamment d'information, ont été marqués comme « potentiellement dangereux » par Twitter (voir ici ou là). C'était le cas de Next INpact.
Les sites concernés n'avaient aucune explication, aucun point de contact, seulement la possibilité de remplir un formulaire pour indiquer que la publication d'un lien était impossible.
Finalement, le souci concernait des services de diffusion automatisée comme Dlvr.it, qui avaient été bloqués par Twitter. Ils sont en général utilisés pour publier des contenus issus d'un flux RSS.
Une affaire rapidement résolue, mais qui montre à quel point les plateformes peuvent parfois bloquer sans pédagogie et avec très peu de recours possibles, même en cas d'erreur de leur part.
Comme souvent dans ce genre de cas, le compte Twitter France est d'ailleurs totalement resté muet.
Commentaires (7)
#1
Twitter n’a pas fait d’erreur: les sites d’information sont potentiellement dangereux.
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Dangereux pour qui, c’est une autre question…
#2
Diffamation ?
#3
Le stagiaire qui a fait du zèle
#4
Comme souvent dans ce genre de cas, le compte Twitter France est d’ailleurs totalement resté muet.
Ils communiquent leurs incidents sur Facebook peut-être?
#5
Pas la peine de demander quoi que ce soit à Damien Viel (“ceo” de Twitter France).
#6
Twitter anticipe la loi sur les fake news.
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#7
Un peu comme les sites de “presse” qui annoncent a la va vite des failles de sécurité dans des processeurs grand public, lapidairement et a charge…
Et qui restent muets quand on leur demande de s’expliquer