Le 13 octobre dernier, le satellite décollait du Cosmodrome de Plessetsk dans le nord de la Russie à bord d'une fusée Rockot. Il est pour rappel le « précurseur de Sentinelle 5 », une mission du programme Copernicus consacrée à la surveillance de la Terre.
Avec son spectromètre (Tropomi) il est « capable de mesurer les concentrations d’aérosols et de nombreux gaz à l’état de traces tels que le dioxyde d’azote, l’ozone, le formaldéhyde, le dioxyde de soufre, le méthane ou le monoxyde de carbone » présents dans l'air.
En place depuis moins de deux mois, les premiers résultats sont déjà là et « dépassent les attentes » de l'Agence spatiale européenne. Une conférence de presse est organisée aujourd'hui par l'ESA, à partir de 10h30, afin de les présenter.
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