Pour la FFTélécoms, le « New Deal Mobile est une réalité tangible dans les territoires »

Pour la FFTélécoms, le « New Deal Mobile est une réalité tangible dans les territoires »

Pour la FFTélécoms, le « New Deal Mobile est une réalité tangible dans les territoires »

La fédération rappelle que, en janvier 2018, « les opérateurs s’étaient engagés à accélérer la couverture numérique du territoire, en contrepartie l’État s’était quant à lui engagé, avec l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), à donner aux opérateurs de la visibilité et de la stabilité jusqu’en 2030 sur leurs fréquences ».

Pour la FFTélécoms, c’est un succès : « Depuis la signature de l’accord New Deal Mobile, les opérateurs ont basculé plus de 91 305 sites mobiles en 4G sur les 93 322 sites mobiles présents, tous opérateurs confondus en France ».

De plus, « 98 % des sites des opérateurs ont donc été convertis en 4G. Les opérateurs ont construit ou passé près de 37 394 sites en 4G depuis le début du New Deal Mobile. 1 115 sites issus du Dispositif de Couverture Ciblée ont également été mis en service depuis la signature du New Deal Mobile ».

La commission des finances du Sénat s’était pour rappel penchée sur le sujet, avec un épais rapport en guise de conclusion. Celle-ci était mi-figue mi-raisin : l’accord du New Deal mobile était « imparfait », mais « globalement positif » avec « des progrès indéniables dans la couverture et la qualité du réseau ».

Le Sénat expliquait notamment que l’architecture budgétaire était « très insatisfaisante du point de vue de l’association du Parlement » et il regrettait que « des avantages financiers considérables » aient été accordés aux opérateurs, sans que le Parlement ne soit saisi des principales dispositions. Il dénonçait un « "troc" entre l’exécutif et les opérateurs ». L’institution publiait enfin neuf recommandations… pour un New New Deal mobile ?

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