Le CNRS revient sur la « chasse aux exoplanètes »

Le CNRS revient sur la « chasse aux exoplanètes »

Le CNRS revient sur la « chasse aux exoplanètes »

Dans un nouvel épisode de Zeste de Science, Maxime Labat explique qu’on « est à un des moments les plus passionnants de l’histoire des sciences : les astronomes étaient en train de découvrir des planètes à la pelle, des exoplanètes ».

« Il y a un quart de siècle [en 1995, ndlr], on découvrait la toute première exoplanète, située en dehors de notre système solaire. Et depuis, on en a découvert plus de 5 000 ! Le prochain défi ? Étudier leurs atmosphères pour, peut-être, découvrir une nouvelle Terre... »

Commentaires (5)


La chasse aux exoplanètes est d’un intérêt tout théorique, vu leur distance à plusieurs milliers d’année lumière.
On commence seulement à planifier la conquête de Mars qui est dans notre système solaire, alors les exoplanètes …… :non:


L’intérêt pour toi de savoir que les australiens jouent au rugby est tout aussi futile, sachant que votre village n’arrive même pas à battre celui d’à côté qui est à quelques kilomètres.


Tout dépend de ce qu’on appelle “conquête”.



https://fr.wikipedia.org/wiki/Panspermie_dirigée



(reply:2112060:j34n-r0x0r)




Dans l’Allier la panspermie inverse est un art multi-séculaire.



Mais l’empire de France n’a pas encore atteint les 5000 départements, alors on en parle moins. :D


Ce qui est encore plus beau avec la chasse aux exoplanètes, c’est qu’on est capable de les “voir” et de caractériser leur atmosphère et d’estimer leur nombre au sein de leur système solaire.



Alors qu’à l’inverse, on a encore du mal à connaître l’exhaustivité de notre propre voisinage (cf la théorie de la 9ème planète, dont l’orbite très singulière a pu être observée dans d’autres systèmes) car c’est plus difficile d’observer notre propre système vu qu’on le fait depuis la fenêtre de la maison et non pas de l’extérieur comme les autres.


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