Le CNRS revient sur la « chasse aux exoplanètes »
Le 27 décembre 2022 à 07h36
1 min
Sciences et espace
Sciences
Dans un nouvel épisode de Zeste de Science, Maxime Labat explique qu’on « est à un des moments les plus passionnants de l’histoire des sciences : les astronomes étaient en train de découvrir des planètes à la pelle, des exoplanètes ».
- Le cap des 5 000 exoplanètes a été franchi
- Trappist-1 : les 7 exoplanètes pesées « avec une précision inédite »… mais comment fait-on ?
« Il y a un quart de siècle [en 1995, ndlr], on découvrait la toute première exoplanète, située en dehors de notre système solaire. Et depuis, on en a découvert plus de 5 000 ! Le prochain défi ? Étudier leurs atmosphères pour, peut-être, découvrir une nouvelle Terre... »
Le 27 décembre 2022 à 07h36
Commentaires (5)
Vous devez être abonné pour pouvoir commenter.
Déjà abonné ? Se connecter
Abonnez-vousLe 28/12/2022 à 07h12
La chasse aux exoplanètes est d’un intérêt tout théorique, vu leur distance à plusieurs milliers d’année lumière.
On commence seulement à planifier la conquête de Mars qui est dans notre système solaire, alors les exoplanètes ……
Le 28/12/2022 à 19h21
L’intérêt pour toi de savoir que les australiens jouent au rugby est tout aussi futile, sachant que votre village n’arrive même pas à battre celui d’à côté qui est à quelques kilomètres.
Le 28/12/2022 à 20h24
Tout dépend de ce qu’on appelle “conquête”.
Wikipedia
Le 28/12/2022 à 21h36
Dans l’Allier la panspermie inverse est un art multi-séculaire.
Mais l’empire de France n’a pas encore atteint les 5000 départements, alors on en parle moins.
Le 29/12/2022 à 07h29
Ce qui est encore plus beau avec la chasse aux exoplanètes, c’est qu’on est capable de les “voir” et de caractériser leur atmosphère et d’estimer leur nombre au sein de leur système solaire.
Alors qu’à l’inverse, on a encore du mal à connaître l’exhaustivité de notre propre voisinage (cf la théorie de la 9ème planète, dont l’orbite très singulière a pu être observée dans d’autres systèmes) car c’est plus difficile d’observer notre propre système vu qu’on le fait depuis la fenêtre de la maison et non pas de l’extérieur comme les autres.