La plainte de Donald Trump à l’encontre de Twitter a été jugée irrecevable par un tribunal californien. L’ancien président américain contestait son bannissement numérique par la plateforme, décidé à l’occasion de l’invasion du Capitole.
Cependant, le juge de district James Donato a considéré que Twitter n’avait pas malmené le droit à la liberté d’expression de Donald Trump, le premier amendement de la Constitution américaine ne s’appliquant qu’aux restrictions imposées par le gouvernement, pas aux restrictions imposées par des sociétés privées.
Commentaires (7)
#1
Être avocat de Donald Trump (Drump dans l’actu ) ça doit pas être simple.
#2
Intéressant ! Donc Apple a le droit de me censurer si je dit : “Apple c’est des enc…”
…Alors que je voulais seulement dire : “Apple c’est des encres”…
…Quoi que ça veuille bien vouloir dire…
…hm, hmm, hmmm…mouais…
…Ouais ça va, j’me casse, pas pousser…
#3
C’est tôt pour l’apéro du soir
#4
Donc, aux USA, une société privée a plus de droits que le GVT…. C’est noté.
#5
C’est un peut la base de beaucoup d’état de droit… Dans un espace privé et ben on fait presque ce que l’on veut
#5.1
Presque. Et Twitter n’est pas un espace privé.
#6
C’est un espace public appartenant à un groupe privé nuance