Dans les grandes lignes, le rapport indique qu’il y a eu « ces dernières années des réussites notables, comme le prélèvement à la source, mais aussi des échecs retentissants, notamment dans le domaine de la gestion des ressources humaines ». Les projets Louvois, ONP et Cassiopée sont ainsi évoqués.
La Cour des comptes formule au passage 11 recommandations. Notamment « prévoir une intervention systématique de la Dinum dans les phases d’études préalables pour les projets susceptibles de dépasser une cinquantaine de millions d’euros de coûts prévisionnels (Premier ministre) ».
Signalons aussi : « ne prévoir aucun grand projet numérique dont la réalisation dépasserait cinq ans, sauf à obtenir un avis dérogatoire de la Dinum dans le cadre de la procédure d’avis conforme » et « s’assurer pour chacun des grands projets de la désignation d’un responsable unique ayant autorité pour prendre les décisions et les faire appliquer par l’ensemble des équipes engagées dans le projet (secrétaires généraux des ministères, Dinum) ».
Commentaires (4)
#1
Présenter la retenue à la source comme une réussite est une plaisanterie de très mauvais goût.
Que ce soit une réussite pour les services de l’état et au premier chef, pour les services fiscaux, je veux bien le croire.
Dans mon cas, cela a été pour le moins lamentable.
Avec le petit ministre en charge du dossier cela n’est pas étonnant.
#1.1
disons qu’aux yeux de la cour des COMPTES, voir plus de pognon rentrer, c’est une réussite, oui
#2
Dinum …. Dinum ? Dis nous ce que couvre ce terme obscur ;-)
#2.1
Direction numérique peut-être ? (j’ai pas cherché j’ai peut-être faux ! )
Edit : j’y étais presque c’est la direction interministérielle du numérique