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Julian Assange autorisé à faire appel de sa possible extradition

Julian Assange autorisé à faire appel de sa possible extradition

Le 26 janvier 2022 à 09h10

La Haute Cour britannique a accordé le droit à Julian Assange de faire appel auprès de la Cour suprême de la décision pouvant mener à son extradition aux Etats-Unis.

Néanmoins, souligne RSF, « celle-ci ne pourra examiner que les assurances diplomatiques fournies par le gouvernement américain quant au traitement de Julian Assange si celui-ci est extradé ».

Cette décision fait suite à l’arrêt de la Haute Cour du 10 décembre 2021 pris par les mêmes juges, qui ont annulé la décision de la juge de district du 4 janvier 2021 rejetant l’extradition pour des raisons de santé mentale. La Haute Cour avait statué en faveur de l’appel du gouvernement américain en se basant sur les assurances diplomatiques qu’il avait fournies quant au traitement de Julian Assange en cas d'extradition.

RSF rappelle par ailleurs « ses vives inquiétudes sur la santé physique et mentale de Julian Assange », détenu dans la prison haute sécurité de Belmarsh depuis avril 2019. En décembre dernier, le fondateur de WikiLeaks avait en outre été victime d’un mini AVC en prison durant l’audience d’appel, « et en janvier, il a été rapporté que les contaminations à la Covid avaient de nouveau augmenté dans l’établissement pénitentiaire ».

Le 26 janvier 2022 à 09h10

Commentaires (7)

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Qu’est-ce qu’un mini AVC ?

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Ton moteur de recherche préféré est ton ami.



En fait, c’est un AIT ( :D ) dont les symptômes (identiques à ceux d’un AVC) disparaissent rapidement (souvent entre 10 et 20 mn).
C’est une alarme à prendre en compte avant d’avoir un “vrai” AVC qui peut arriver dans 20 % des cas dans les 3 mois.

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J’ai oublié le lien où j’ai récupéré ces infos.

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Ah, merci pour l’info. La question me faisait penser aux “mini-tornades”, un truc qui n’existe que dans la tête des journalistes. Les météorologues se demandent encore à quel phénomène atmosphérique ça peut bien correspondre…

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En fait parmi les AVC il y a l’AVC Ischémique, ce dernier pouvant être transitoire, c.a.d. passager. Traduire par, s’il n’y a plus de symptôme il n’y a pas de perte neurologique (chercher impérativement les causes tout de même). Mais à mon avis si les tissus sont privés d’oxygène à ce point, il doit quand même y avoir des séquelles ; ce n’est pas précisé.

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En fait sur les “mini-tornades”, d’autres que les journalistes en parlent, donc elles existent. Au même titre que les mini tremblement de terre par exemple… sauf que les 2 ne sont pas étudiés. Plus exactement pas archivés, car ce n’est pas très utile.
Et pour un scientifique lorsque qq chose n’est pas étudié, on peut dire qu’il n’existe pas scientifiquement.
Seulement, on ne peut pas dire, parce qu’un concept n’est pas scientifiquement prouvé, qu’il est scientifiquement prouvé qu’il est faux (exemple : l’homéopathie). C’est aussi une question d’outil.

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C’est soit une tornade, soit pas une tornade. Y’a pas de mini-tornade, comme il n’y a pas de mini-soleil, de mini-gel, de mini-orage ou de mini-neige. Ici, il s’agit plus d’un terme racoleur pour attirer le lecteur : “Tornade” est plus vendeur que “rafales”.



Extrait du site de météo-france :
Qu’appelle-t-on une « mini-tornade » ?
Le terme « mini-tornade » ne correspond pas à un phénomène météorologique. Souvent, on désigne ainsi les coups de vent sous orage (micro-rafales ou fronts de rafale) qui sont beaucoup plus fréquents et peuvent causer des dégâts tout aussi importants. Les micro-rafales correspondent à des courants d’air descendants d’un nuage et s’étalant au sol, alors que les tornades correspondent à des courants d’air ascendants et tourbillonnaires.

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