Le géant américain explique que la nouvelle « icône Google Maps reflète [sa] nouvelle manière de cartographier le monde. Elle se base sur un élément clé de Google Maps depuis ses débuts : le repère en forme d'épingle », avec le quatuor de couleurs cher à la société.
Une mise à jour « commémorative » est disponible sur Android et iOS. Elle propose « un écran d'accueil simplifié afin d'accéder facilement à vos fonctionnalités préférées (dont vos adresses enregistrées, avis et listes) ».
Parmi les nouveautés qui arriveront prochainement, il y a des informations sur la température, l’accessibilité (un travail commencé il y a longtemps), la sécurité avec la présence d’un dispositif de surveillance ou une ligne d’assistance, le nombre de voitures disponibles dans un train au Japon, etc.
L’entreprise en profite aussi pour mettre en ligne les 15 lieux préférés des utilisateurs sur Street View : une grimpette sur El Capitan de Yosemite, un tour dans la Station spatiale internationale, le festival de glace sur le lac Khövsgöl en Mongolie, le Mont Blanc, les cerisiers en fleur à Tokyo, etc.
Anniversaire oblige, une rétrospective des principaux changements apportés à Maps est disponible par là. Elle débute au 8 janvier 2005, lors de son lancement. Elle continue avec l'arrivée de Earth quelques mois plus tard, de Street View en 2007, du mode hors ligne en 2015, etc.
Enfin, Sundar Pichai y va aussi de sa petite anecdote personnelle.
Commentaires (16)
#1
Ce produit est devenu un monstre d’efficacitée et d’informations… Ya pas d’équivalent.
Dommage qu’il coûte maintenant UN BRAS (voir un rein) pour les sites internets (un petit x5000 de mémoire) :( :( :(
Je décolère pas, on va devoir mettre en place notre propre serveur de tuile open street map tellement les factures sont élevées.
Tu prends le marché et quand ya plus de concurrence, bein tu te gaves (et pas qu’un peu)… Tous les aficionados des services Google comme Gsuite & co devraient y réfléchir à 2 fois avant de se rendre prisonnier…
#2
#3
mapillary pour le cote streetview existe et après openstreetmap.
Je ne comprends pas pourquoi il a fallu attendre que google augmente ses tarifs pour que les gens bougent.
Un service privé, même s’il est gratuit te prive de ta liberté et de ton expression.
Plus il y aura de participant à ce genre de projet plus le projet sera pertinent et précis. Opentreetmap est parfois plus complet de googlemaps mais il y a des trou dans le gruyère
#4
Globalement d’accord, bien que sur certains points OpenStreetMaps soit meilleur (notamment réactivités quand changements de voirie, endroits cyclables…). Je l’utilise de plus en plus (aussi dans l’idée d’une dégooglisation), et à part les itinéraires non-partageables (ou alors je n’ai pas trouvé comment), je n’ai que rarement besoin de revenir sur GMaps (à part pour trouver certaines boutiques… Et encore, parfois elles sont sur OSM et pas sur GMaps, parfois l’inverse).
Là où je te rejoins aussi, c’est la claque quand on se rend compte qu’on s’est enfermé dans un truc super confortable/bien fait et qu’on doit changer nos habitudes… ^^’ Google est très doué pour ça, avec la qualité des produits proposés.
#5
“Je ne comprends pas pourquoi il a fallu attendre que google augmente ses tarifs pour que les gens bougent.”
Logique économique. On avait fait ce choix en 2012. Ça marche, les clients sont content et voilà.
C’est une très bonne leçon effectivement.
Et pis le coup du “on vous offre 200€ de quotas par mois”… C’est vraiment nous prendre pour des cons.
Payer pour un service ok mais le tarif est délirant pour les petits acteurs économiques / associations…
En revanche je voie pas bcps plus d’OSM sur le net. Par contre pas mal de Gmaps HS :)
Les acteurs qui te fournissent les tuiles OSM ont tous les mêmes quotas que l’ancienne formule Google maps -> on va héberger cela nous même et on va encourager nos clients à saisir les infos de leurs quartiers.
#6
Vous faites des trucs spécifiques avec Google map ? Car pour un petit acteur 200$ / mois c’est suffisant (ça fait 1000 requêtes par jours).
#7
On place des marqueurs sur une carte à partir de coordonnées géo.
Au début tout le monde pouvait le faire sans rien fournir. Puis il a fallu un identifiant et une clés API et maintenant tu dois saisir un n° de CB si tu veux avoir ton quotas offert de 200€.
Pas de CB pas de Google maps API (pour les sites web.. Sur mobile ils sont encore épargné)
1000 requêtes jours c’est pas grands chose surtout quand un seul compte Google sert pour plusieurs sites.
Ce qui est énervant aussi, il est impossible de dire “ne dépasse pas le quotas offert”… Non ce sont des quotas par minutes / heures / jours. Leur grille tarifaire est incompréhensible.
#8
Moi qui évite depuis toujours GoogleMaps, j’ai été surpris de constater récemment à quel point les autres fond de carte sont plus agréables à regarder : pour mon utilisation qui reste basique, je consulte plutôt Mappy, ou des sites qui utilisent Mapbox ou Openstreetmaps et quand je vois occasionnellement GooglMaps je me rends compte d’une espèce de sobriété, qui pourrait ne pas me déplaire mais qui m’a quand même surpris de la part de Google. Les autres services me semblent, peut-être à tort, plus exhaustifs et adaptés (peut-être est-ce aussi les critiques envers Waze notamment que je lis de plus en plus souvent ici ou là qui m’influence dans mon ressenti).
#9
Ah c’est donc ça ce nouveau favicon depuis ce matin !
" />Par contre OSM offre des opportunités très cool comme faire des requêtes avec Overpass turbo ! 
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Je préfère largement Openstreetmap pour la cartographie pure, mais il faut bien avouer que côté data (exhaustivité, horaires, contacts…) ça n’arrive pas à la cheville de Google maps….
#10
J’ai testé un module WordPress à base de Open Streets Maps, ça fonctionne très bien et j’ai pu faire bien plus et plus vite que sur Maps 😊
Et sinon en effet, c’est la fête, l’application Android est devenu ignoble et encore plus lente depuis la mise à jour “anniversaire”…