Depuis leur arrivée sur le marché, on a vu à quel point les assistants vocaux pouvaient être un problème en matière de respect de la vie privée, les efforts des plateformes en la matière ne se faisant pas toujours très rapidement.
Suppression de fonctionnalités pas toujours justifiée si l'on refuse telle ou telle collecte, préservation des empreintes vocales par défaut, forcing pour l'activation de la reconnaissance des utilisateurs, etc. Des pratiques qui posent problème. La CNIL s'y est penchée avec le Voice Lab pour rédiger et diffuser un livre blanc sur le sujet. Il sera présenté ce lundi.
La Commission a également profité de l'été pour mettre en ligne sa charte des contrôles pour « rappeler, aussi précisément que possible, les droits et obligations des organismes faisant l’objet d’un contrôle, au regard notamment de la loi Informatique et Libertés et du RGPD ».
Hier, elle a enfin rappelé les recommandations en matière de moteurs de recherche et d'analyse, comme Elasticsearch « couramment utilisée dans les entreprises lorsque de gros volumes de données sont traités ».
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