En guise de préambule, l’institut rappelle que, « en raison de la friction dans les interactions de marées, la rotation de la Terre ralentit et la Lune s’éloigne ». La distance qui nous sépare de notre satellite naturel est mesurée « avec une précision centimétrique à l’aide de la télémétrie laser ».
« Jusqu’à présent, aucun modèle physique ne rendait compte à la fois de cette dissipation mesurée et de l’âge de la Lune ». Ce n’est plus le cas : « L’équipe de recherche de l’Observatoire de Paris - PSL au sein de l’IMCCE a élaboré un modèle physique de l’évolution du système Terre-Lune qui s’accorde parfaitement avec ces contraintes, ainsi qu’avec les archives géologiques disponibles, résolvant un paradoxe vieux de cinquante ans ».
Une publication dans A&A Letters relate ces travaux.
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Commentaires (4)
#1
Cosmos 1999 …
#2
“Avec le réchauffement climatique, les océans s’évaporent. Les continents qui flottent à la surface descendent en suivant le niveau de la mer. Ceci explique l’augmentation de la distance entre le sol et le disque lunaire.”
Idriss Localhost, Ph.D en Astrophysique des particules plates.
#2.1
Arf :-) .
(Quel demi-taré ce mec, d’une prétention inouïe - à se demander qui de lui ou Raoult l’est le plus)
#3
Le résumé sur le site de l’observatoire de Paris est très intéressant. Impressionnant de voir ce que les chercheurs sont capables de prendre en compte comme phénomènes (dérive continentale, résonances de marée, évolution de la préssetion) simulés sur plusieurs milliards d’années. Je n’ai pas tout compris, mais chapeau bas.