C’est le jour J en France : les quatre opérateurs nationaux vont se « battre » afin de se partager les 110 MHz restants – découpés en 11 blocs de 10 MHz – dans la bande des 3,5 GHz. Une autre enchère aura ensuite lieu pour le placement des opérateurs dans la bande de fréquence.
Ce processus commence dans un climat tendu. Certains demandent en effet un moratoire sur cette technologie, pourtant en discussion depuis de nombreuses années, le régulateur ayant multiplié les appels à contribution.
On voit néanmoins l'Arcep intervenir régulièrement dans les médias ces derniers jours, comme hier encore dans le 13/14 de France Inter. Constructeurs et opérateurs font de même. Suffisant pour apaiser les tensions ? Nous verrons.
Pour rappel, les premières offres sont attendues d'ici quelques mois (mais certains sont déjà prêts), une fois les derniers blocs de fréquences 5G attribués et les premières antennes posées ou mises à jour.
On devrait alors revenir à des débats sur la vraie ou la fausse 5G (nous en reparlerons sous peu).
Commentaires (3)
#1
Moi aussi je peux en acheter? Ah non c’est un oligopole réservé aux oligarques, aux rentiers, comme les terrains français réquisitionnés en 1789 et vendus aux enchères donc seulement aux plus riches, pour qu’ils puissent exploiter les plus pauvres qu’eux, rien n’a changé depuis
#2
quand je vois la difficulté qu’a la 4G 2.6Ghz a pénétrer dans les habitations / sous terrain, il suffit d’être dans une pièce sur la facade opposée d’une résidence d’où une unique antenne 4G 2.6Ghz couvre une zone, pas dans les derniers étages pour que ce soit pas top niveau réception, alors 3.5Ghz, ca promet…
Espérons qu’à termes ils puissent refarmer les fréquences 2g, 3g, 4g en 5g histoire d’alléger / simplifier la maintenance / diminuer la consommation des sites d’antennes et donner un maximum de basses fréquences sur des plages contiguës à la techno la plus moderne / efficace.
Ca se fera hélas pas en 5 ans, ca crierait au scandale de devoir remplacer ses téléphones 3G
#3