EE, O2, Three et Vodafone ont tous signé avec Huawei pour les aider à la conception de leurs réseaux 5G, selon The Guardian.
Une information qui peut étonner, environ deux mois après l’arrivée du constructeur sur liste noire aux États-Unis, via un décret de Donald Trump. Sur fond de guerre politico-commerciale, la décision a mené à toute une série de mesures dans divers pays, notamment au Royaume-Uni.
Selon le journal anglais toutefois, le rapprochement avec Huawei ne se ferait que sur des équipements périphériques pour la 5G, non sur la technologie centrale, c’est-à-dire le transport de l’information. The Guardian cite notamment les systèmes radio permettant la communication sans fil.
Reste cependant au gouvernement à confirmer l’information, ainsi que la portée de ces contrats.
Commentaires (5)
#1
le rapprochement avec Huawei ne se ferait que sur des équipements périphériques pour la 5G, non sur la technologie centrale, c’est-à-dire le transport de l’information. The Guardian cite notamment les systèmes radio permettant la communication sans fil.
Pas clair. La communication sans fil de quoi, s’il ne s’agit pas de transport d’information ?
#2
Justement, ça ne concerne pas la communication sans fil, seulement les équipements périphériques au coeur du système qui permet le transport de l’information. C’est pourtant clair.
#3
Huawei fournira les vis de 12 pour fixer les switches 5G dans les baies opérateurs : ça va on progresse dans la démocratisation de la 5G…
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#4
Ont-ils choisi de travailler avec Huawei suite à d’hypothétiques menaces de révélation d’activités douteuses du gouvernement britannique à HK avant la reprise de contrôle par gouvernement Chinois ? Ou de leur plein gré ?
#5