Facebook, Google et Twitter contre la crise des opioïdes
Le 14 novembre 2018 à 09h38
1 min
Internet
Internet
Dans un communiqué, Facebook revient sur sa participation au programme Tech Together, initié par le Center for Safe Internet Pharmacies. Leur première rencontre a eu lieu hier à Washington.
Ces sociétés promettent de lutter contre la crise des opioïdes outre-Atlantique. Comme d’habitude, elles assurent leurs bonnes intentions et leur contribution au bien commun.
Le réseau social détaille donc son travail, sur un air connu : collaboration avec des organisations expertes du problème, utilisation de l’intelligence artificielle pour faciliter le retrait des contenus (avec détection « proactive » sur Facebook et Instagram), et soutien d’associations spécialisées (ici Facing Addiction).
L’approche ressemble à celle utilisée contre la désinformation, la manipulation politique ou encore la protection de la vie privée, avec des résultats très variables selon les sujets.
Le 14 novembre 2018 à 09h38
Commentaires (8)
Vous devez être abonné pour pouvoir commenter.
Déjà abonné ? Se connecter
Abonnez-vousLe 14/11/2018 à 10h36
L’IA contre la drogue….
C’est perdu d’avance. " />
Quand il s’agit de drogue, l’humain fait preuve d’une intelligence et d’une inventivité redoutable…
Le 14/11/2018 à 11h37
C’est trop tard pour Michael Jackson et Prince (et bien d’autres) mais ça part d’un bon sentiment (théoriquement)…
Le 14/11/2018 à 12h04
Si tu parles du propofol, pour Jackson, je ne crois pas que ce soit un opioïde : Wikipedia.
Le 14/11/2018 à 13h17
Jackson comme Prince prenait aussi du Fentanyl qui est un opioïde.
La lutte contre les opioïdes c’est bien, mais c’est vague et ca fait des amalgames dans la têtes des personnes non informées…
La semaine dernière on m’a prescrit du Tramadol pour mon dos totalement bloqué, ma mère était en panique en apprenant que c’était un opioïde… Alors qu’au final c’est efficace et je suis pas devenu accro après 5 cachets :) (et j’ai pas perdu mon boulot ! )
Le 14/11/2018 à 13h30
Le 14/11/2018 à 13h39
Pourquoi ne pas mettre une amende de 300€ 200€ au consommateurs ? " />
Le 14/11/2018 à 13h42
Le 14/11/2018 à 14h40
Faut leur casser les genoux à ces poucaves! " />
Plus sérieusement si ça peut éviter que des gens cliquent sur des pubs qui vont leur livrer des calmants vétérinaires chinois à la place de leurs médicaments c’est pas forcément une si mauvaise idée.