IBM confirme des licenciements, mais refuse de donner le moindre détail
Le 25 mai 2020 à 09h11
1 min
Économie
Un porte-parole explique à TechCrunch que la société doit « travailler dans un marché hautement concurrentiel qui exige de la flexibilité […] nos décisions en matière de salariés sont prises dans l'intérêt à long terme de notre entreprise ».
Aucune précision concernant le nombre de postes et/ou les divisions touchées n’est donnée. Selon un analyste cité par nos confrères, l’ensemble de l’entreprise serait visé par les mises à pied.
Il ajoute qu’il s’agirait pour l’entreprise de se tourner à fond vers le cloud en se séparant, voire en remplaçant, certaines personnes n’ayant pas les compétences pour suivre ce mouvement.
Pour le spécialiste, cela pourrait donc ne pas être « une réduction nette des effectifs ».
Le 25 mai 2020 à 09h11
Commentaires (6)
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Abonnez-vousLe 25/05/2020 à 09h33
#1
Si c’est en France, l’obligation de former ses salariés n’existe plus (“maintenir l’employabilité”) ?
Le 25/05/2020 à 10h25
#2
Il ajoute qu’il s’agirait pour l’entreprise de se tourner à fond vers le cloud en se séparant, voire en remplaçant, certaines personnes n’ayant pas les compétences pour suivre ce mouvement.
Je me demande bien comment une entreprise centenaire, qui fait de l’informatique depuis plus d’un demi-siècle, qui s’est tournée vers les serveurs et le cloud il y a déjà une bonne décennie, peut encore trouver des gens incompétents dans ce domaine.
Le 25/05/2020 à 10h43
#3
tous la partie recherche fondamentale, il en reste pas mal à fermer
Le 25/05/2020 à 11h21
#4
L’achat de Red Hat à 34 milliards de $ se fait fatalement sentir " />
D’un autre côté si IBM France prépare un plan genre PES , il y aura 3 fois plus de volontaires pour partir
que d’offres de départ.
Comme dab !
Le 25/05/2020 à 14h10
#5
j’ai l’impression que ça fait 15 ou 20 ans qu’IBM régresse
Le 25/05/2020 à 14h13
#6