L’opérateur tentait de faire condamner l’État à 2,3 milliards d'euros de dommages « pour ne pas avoir suffisamment régulé, selon lui, l'accord d'itinérance entre Orange et Free entre 2011 et 2015 », indique le journal Les Échos.
« J’ai d’emblée jugé légitime que l’on attende de l’État d’accompagner voire d’encadrer ce type d’accord. C’est ce que l’Arcep a fait à partir de 2016 (…). Dommage que certains n’aient pas su tourner la page ensuite. Affaire classée », réagit Sebastien Soriano, l’ancien directeur de l’autorité.
Commentaires (2)
#1
On a des infos qui ne manquent pas de piquant aujourd’hui :
La concurrence par les infrastructures est quand même quelque chose d’étrange. J’attends impatiemment les commentaires qui m’expliqueront le libéralisme en réponse au mien.
#2
En attendant, cet accord, vu la qualité de peering, a fait gagner des clients à Bouygues